Premier épisode | Épisode précédente
Lorsque mon cousin fut revetu et reparti,mon maitre consenti à me libérer de mes chaines.Mon collier oté,je me massai le cou tout endolori par ces deux jours de joug.
Conscient que je devais avec de belles traces sur tout le corps et surtout autour de mon cou, un autre problème m'apparut bientot: mes vetements.
J'étais en effet totalement nu et les habits que je portais en arrivant étaient maintenant en lambeaux, inutilisables.
Fardis remarqua mon désarroi et me rassura aussitot:
-t'inquiète pas ma lope, je t'ai ramenè de quoi rentrer chez toi!
Il me sortit alors de son sac un bas de survetement paraissant etre à ma taille.
-Merci maitre, dis-je quelque peu rassuré.Et pour le haut qu'avez vous prévu?
-Le haut?Ricana - t il , c'est l'été et il fait chaud alors pas besoin de te couvrir ma lope!
Mes craintes reprirent d'autant plus qu'il me signifia que nous rentrerions à pied pour profiter du soleil jusque chez moi et qu'il me suivrait à distance pour me surveiller.
J'enfilai donc le survet et constatai qu'en fait j'étais tres à l'étroit dedans et que je serai obligé de le porter façon taille basse, laissant ainsi apparaitre mon bas ventre rasé.Renfilant mes tennis,je pouvais alors passer aisément pour un joggeur échauffé et fis quelques étirements pour tester la tenus de mon fut.Evidemment dès que je me baissais, le tissus coulissait et laissait entrevoir un peu plus mon anatomie.Mais mon maitre souriait et j'acceptai donc une fois de plus le sort qui m'était promis.
Me mettant en route vers mon domicile,je constatai à l'extérieur que la fin de journée était proche et que, le dimanche aidant, peu de monde était dans les rues .
Tout de meme assez mal à l'aise, je longeai les murs en marchant rapidement quand Farid me rappela à l'ordre:
-Eh batard! Prends ton temps tu veux, et ne te cache pas sinon.............
Comprenant aussitot cette nouvelle épreuve, je me plaçai alors au milieu du large trottoir et tentai de marcher fièrement , comme si de rien n'était, sous le regard sévère de mon maitre.
Commençant à croiser quelques badauds,je découvris dans leurs regards une certaine curiosité de me voir déambuler ainsi dans les rues.Mais le jeu commençait sérieusement à me plaire et un délicieux sentiment de fierté m'envahit rapidement.
M'apercevant dans une vitrine au passage, je me trouvai meme sexy et désirable, d'autant que l'absence de sous-vetements mettait en valeur la bosse de mon sexe.Etait-ce le frottement du tissus sur ma queue ou le jubilation de me montrer ainsi en pleine rue ainsi dénudé?Toujours est-il que ma queue enfla bientot et que l'excitation me gagna au plus profond de moi-meme.Aussi, tout en marchant et trottinant,j'exécutai des exercices d'assouplissements qui faisaient descendre encore plus mon fut.Bien sur je ne le remontai plus et faisais voir de plus en plus de mon corps.Je bandais maintenant dur comme fer et ne me privais pas de le faire deviner aux passants qui posaient les yeux sur moi.
A l'arrière, le fut était si bas que l'on voyait sans peine la naissance de ma raie, à la plus grande joie de mon voyeur de maitre.
N'y tenant plus, je bifurquai dans une ruelle déserte et descendai mon fut cette fois jusqu'à mi-cuisse.Cul et queue ainsi libérés, je continuai ma marche tout en me branlant effrontement, jetant un oeil vers les fenetres des logements.
Je stoppai près d'un porche et me retournai.Farid suivait à distance et se déléctait de mon audace et du spectacle.
Adossé contre le mur du porche, je baissai encore mon survet pour pouvoir écarter les cuisses,Alors, pendant plusieurs minutes, je me caressai et branlai devant lui en toute impudeur.Prenant des poses alléchantes,j'otai completement mon fut pour ne garder que mes tennis.Le fait de pouvoir etre surpris à tout moment augmenta encore mon extase et je m'avançai pour me plaquer contre le capot d'une voiture en stationnement.Là je jouai la lope parfaite et m'excitai tant que je ne pus me retenir .J'éjaculai de longs jets crémeux sur le capot, en ralant de plaisir, avant de venir lecher ma semence laissée là.
En rentrant chez moi, et après que mon maitre m'ait laissé, ma mère remarqua ma tenue:
-Eh bien te voilà sportif maintenant toi? Et tout un week end en plus!
Eclatant de rire, je filai prendre une très longue douche salvatrice...........
floboy
flo-home@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur : Le mariage
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