Un jour où j'étais particulièrement désoeuvré,je décidai de faire un tour sur le net et me retrouvai vite sur mon site de tchat préféré, spécialisé dans le sm et les webcams gratuites.
M' affichant sur la "room générale", je branchai ma cam et bien vite nombre de visiteurs commençait à mater ou à me parler.Je sélectionnai en privé une demi douzaine de "maitres" particulièrement motivés pour me diriger et me loper via ma webcam.Ainsi, toujours visible du salon général et par de plus en plus de mateurs, je pouvais recevoir mes ordres de cette autre fenètre de tchat.
J'étais déjà torse nu et jean taille (très) basse pour exciter mon public, et, après avoir récupérer tout mon "matériel" soigneusement caché chez moi, m'installai à terre, sur le carrelage du salon.
Sur ordre d'un premier maitre, je mis mon collier de chien à pointes, pour me batardiser, disait-il, puis entrepris de faire, toujours à sa demande, quelques séries de pompes afin de réveiller mes abdos déjà bien dessinés.
Très vite mon jean et mon boxer furent otés pour exposer à tous mes attributs entièrement rasés, cela va de soi, avant de reprendre mes exercices d'assouplissements et de travaux musculaires.La sueur commençait à perler le long de ma peau fine sur tout mon corps maintenant échauffé, et ma queue commençait à enfler au rythme du défilement du compteur de mes visiteurs.
Un autre maitre m'ordonna de poser immédiatement deux pinces à linge sur chacun de mes tétons.Ce que je fis sans tarder.
D'autres épingles furent bientot aposées sur mon torse et mon ventre.Leurs morsures électrisait mon corps et je grimaçais de plus en plus à chaque pince nouvelle.Ainsi une vingtaine d'épingles garnissait désormais mon devant et tirait sur ma peau à chacun de mes mouvements.
Le nombre de visiteurs ne faiblissait pas!
Comme ma queue était devenue toute dure, un maitre me fit poser encore quelques pinces tout au long de ma hampe, du gland jusqu'aux testicules,qu'il m'enjoignit de recouvrir également de pinces.
Ainsi un bouquet d'une bonne trentaine d'épingles pendait maintenant sur mon service trois pièces quelque peu allourdi.
Malgré la douleur, ma bandaison ne faiblissait pas, bien au contraire, et déjà quelques gouttes de mouille apparaissaient au bout de mon gland tellement j'étais excité.
Le premier de mes maitres me fit reprendre alors mes exercices de pompes.Une vingtaine de traction.
Une véritable torture tellement les pinces me rentraient dans la peau.Je devais en outre descendre jusqu'au sol à chaque mouvement pour que les épingles touchent bien le carrelage et appuient de ce fait sur mes chaires déjà meurtries.
A la fin de l'exercice, j'étais rouge à la fois de l'effort fourni mais aussi de la brulure que j'endurais maintenant depuis de longues minutes, de mon cou jusqu'aux couilles emprisonnées.
Je constatai avec fierté que le compteur avait encore progressé !
J'éprouvai un léger soulagement quand l'un des maitres me dit de retirer rapidement toutes les pinces de mes testicules.Je m'éxecutai alors mais poussai un cri à chaque retrait:j'appris ainsi combien la douleur pouvait etre importante quand le sang pouvait de nouveau circuler.
Après la dernière épingle, je reçus l'autorisation de malaxer mes couilles pour les soulager.Mais les autres pinces me rappelaient à leur bon souvenir,en particulier celles de ma queue qui empéchaient celle ci de grossir encore plus, tellement le mélange souffrance-plaisir était immense et m'envahissait.
Comme je signalai à mes bourreaux que j'avais mal, l'un d'eux me cria fortement dessus en me faisant comprendre que je n'avais strictement rien à dire .En punition, je dus tirer la langue au maximum afin d'y fixer deux pinces de chaque coté.
Je m'éxécutai !
floboy
flo-home@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur : Le mariage
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