Épisode précédent
C'est la petite voix féminine de l'ascenseur annonçant " 5ème étage " qui me sort de mon doux rêve. Elle ne m'a jamais été aussi antipathique. Alors que les portes de l'ascenseur s'ouvrent mon tendre inconnu s'est écarté de moi pour en sortir, m'abandonnant à la fraicheur tout d'un coup si cruelle de la cage d'escalier. Je me retourne et le suis pour pénétrer dans son appartement. Au passage j'aperçois la plaque sur la porte : Valentin ! Il s'appelle Valentin !! Incroyable, cela fait si jeune, si doux, si romantique... Valentin, mon rêve bleu à moi... Je pousse un grand soupir de bonheur.
Alors que je m'attendais à ce qu'il se retourne pour m'embrasser dès la porte fermée, il reste extrêmement maitrisé et délicat, il se retourne vers moi avec un magnifique petit sourire timide et craquant, m'attrape la main et m'entraîne en disant :
" Viens je vais te faire visiter mon chez moi, tu sais cela fait très longtemps que je n'ai pas reçu un garçon ici "
Je lui réponds tellement vite que je crois que c'était pour me donner du courage
" Pourtant avec ta manière de m'inviter, dans l'ascenseur, tout le monde rêverait d'être à ma place "
" Tu sais Arnaud j'ai vraiment craqué dès que je t'ai vu, mais j'avais tellement peur que ce ne soit pas réciproque j'ai même de la peine à y croire "
Sans s'en rendre compte nous nous sommes retrouvé dans sa chambre. Je l'ai retenu par la main pour nous rapprocher l'un de l'autre, nous étions les yeux dans les yeux, regards brillants du désir de deux jeunes garçons découvrant pour la première fois l'amour, il a passé ses deux mains dans mon dos en me caressant tendrement les hanches pendant que nos lèvres enfin se rencontraient. Sa langue est venue chercher la mienne, je l'ai enlacé en fermant les yeux, nous échangions notre premier baiser avec une douceur et une sérénité infinie, profitant de chaque seconde, de chaque mouvement, de chaque sensation... Nos langues dansant doucement l'une avec l'autre, nous inclinions nos têtes dans une parfaite harmonie afin que nos bouches se marient tellement qu'elles ne puissent en former qu'une seule.
J'aime sa salive sucrée et épicée, le contact de sa langue, la sensualité de ses lèvres. Sa main droite remonte pour attraper et caresser ma nuque : je reçois une véritable décharge électrique, une bouffée de désir qui me rend encore plus gourmand. Il s'en rend compte et me serre contre lui avec sa main gauche placée juste au dessus de mes fesses.
C'est à ce moment là que je sens son sexe contre le mien, tous deux gonflés de plaisir et fermement décidés à en découdre. Je ne m'en étais pas rendu compte mais je suis tellement excité que mon gland semble baigner dans la douce rosée du plaisir impatient. Je pose mes mains sur ses fesses et nous entamons un très lent corps à corps, bouches enlacées, chaleur de nos corps frémissants partagée, impatience de nos désirs charnels exacerbée, si nous continuons ainsi trop longtemps je ne suis pas certain d'arriver à retenir ma jouissance.
Alors doucement je m'enhardi tout en tentant de faire un peu retomber la pression. Je glisse doucement ma bouche vers son cou, son oreille, le couvrant de tendres bisous tout en commençant à lui déboutonner sa chemise, ce qui a pour vertu d'imposer à nos corps de maitriser nos désirs le temps d'une minute...
Alors que mes deux mains lui caressent enfin sa magnifique poitrine légèrement poilu et les deux auréoles brunes magnifiques qui ornent ses tétons dressés d'excitation, ma langue parcours déjà ses magnifiques abdominaux à peine masqués par une délicieuse protection d'excès de sucreries. Il m'enlève rapidement ma chemise sans la déboutonnée et me rattrape avant que je finisse à genoux devant lui. Il me jette sur son lit. Il me saute dessus et m'embrasse à nouveau. Je meurs de sentir enfin sa peau contre ma peau. J'ai instinctivement écarté mes jambes et il n'hésite pas à frotter avec insistance son bas ventre contre le mien en mes disant tendrement
" C'est trop bon Arnaud, tu me plais trop j'en peu plus excuse moi "
Et moi de lui répondre
" Arrête de t'excuser valentin et baise moi je vais mourir avant de jouir de toi sinon "
Je n'en peu plus, et le fait d'avoir osé ce " Valentin " dans la même phrase que ce " baise moi " qui n'est que le fruit de mon incroyable excitation à fini de me faire oublier toute éducation, sois disant bonne, que j'aurais pu recevoir. Alors que je lui embrasse avec vigueur son sein droit je le pousse et le retourne sur le dos. Je continue à passer ma bouche de son sein droit à son sein gauche en déboutonnant son pantalon. Il me caresse tendrement la tête et la nuque pour m'encourager en soupirant de bonheur. Je me redresse pour lui retirer son pantalon et je découvre qu'il n'avait pas de sous-vêtement... Le temps semble suspendu, il me regarde avec un petit sourire :
" J'espérais bien que nous serions ici... maintenant... "
Petit Cupidon ce Valentin...
J'admire avec envie son sexe dur et tremblant de désir, dressé le long de son ventre, circoncis, magnifiquement proportionné, épais et pas trop court... Je l'admire comme un objet interdit derrière la vitrine d'une boutique de luxe dont l'entrée me serait interdite... je déboutonne alors rapidement mon pantalon afin de me retrouver enfin dans la tenue de son Eve du moment et me précipite entre ses jambes. Je lui caresse ses cuisses musclées, passe mes deux bras en dessous ce qui le force à lever un peu ses jambes, et bien décidé à le faire mourir avant moi, commence à lui faire de très doux et délicats bisous à la base de ses si jolies bourses rasées.
A peine quelques secondes après, ivre de désir de ses mains fébriles il me caresser les cheveux. Je donne de furtifs coups de langues sur ses testicules. Il gémit. Je sens son membre traversé par des soubresauts. Je m'accroche à son bassin pour me hisser à la hauteur de son sexe que je parcours très délicatement avec ma langue, juste une caresse, afin de continuer à faire durer le plaisir un maximum de temps. Je dépose des bisous sur son bas ventre, sur son pubis en poussant l'objet de ma convoitise avec la joue. Lui aussi est trempé de désir, je lèche avec délectation les gouttes de plaisir tombées entre les poils de son pubis.
Je me régale et n'y tiens plus, j'attrape son gland avec ma bouche : nouvelle décharge d'adrénaline tellement sa rosée est délicieuse et abondante, j'avance ma bouche davantage pour avaler son membre avec application mais je suis tellement excité que je vais plus rapidement que je ne l'aurais souhaité, il me tiens la tête en poussant de plus en plus profonds soupirs. Je commence un passionnel va et viens en même temps qu'il active son bassin de plus en plus vite. Je l'entends exprimer son plaisir
" Hummmm c'est bon Arnaud, oh non c'est trop bon continue, hummmm ne t'arrête pas "
Il va de plus en plus vite dans ma bouche. Je m'applique pour le sucer le mieux possible en serrant très fort mes lèvres. Sa virilité et son excitation me mettent dans un état de transe. J'amplifie son va et vient avec mon propre mouvement de gourmandise, je sens son sexe gonfler davantage, se durcir et je l'entend hurler
" OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !! hummmmMMMMMMMMM, OUIIIIIIIIIIIIII, HRG "
Tous les voisins doivent l'entendre c'est incroyable, en même temps que je reçois une multitude de jets puissants au fond de ma gorge de son jus si chaud et bon que je me dépêche de l'avaler... et je me répands moi même sur la couverture de son lit en une éjaculation interminable...
Il est tout essoufflé pendant que je suce une dernière fois son membre encore si ferme... Je me hisse pour poser ma tête sur son torse. Nous ne disons rien. Juste nos respirations en train de retrouver un rythme plus calme disent tout le bonheur de l'instant passé. Je sens son coeur battre à toute allure. Mon corps sur son corps chaud, mon sexe est nonchalamment posé sur sa cuisse. Le sien semble ne pas vouloir en rester la.
Il me caresse doucement les cheveux, puis m'attrape tendrement le menton pour guider mes lèvres vers les siennes, et après un tendre bisou sage il me regarde avec tant de sensualité pour me dire
" J'ai tellement envie de toi bel Arnaud de mes rêves "
Puis il m'embrasse a nouveau, moins sagement, à pleine bouche, sa langue venant comme pour récolter les dernières saveurs de sa jouissance... ses jambes se referment sur moi et je sens à nouveau son membre durcir contre mon ventre...
pourtonplaisir
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