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Bordeaux/Arcachon (suite)
Le retour au club est un peu plus délicat que l'aller ! Quand nous rentrons les chevaux, je m'aperçois que les clients sont tous partis et que seuls Jules, PH et deux lads nous attendent.
D'un coup d'oeil, PH sait que je me suis fait le moniteur alors que de son coté je suis persuadé que rien n'est encore arrivé, même si la présence des deux lads n'est pas innocente.
Le moniteur me les présente. Je reconnais les prénoms des deux autres " étalons " de Jules. D'ailleurs si j'avais eu un doute, l'état de leurs braguettes (prêtes à exploser) m'aurait renseigné.
Ils se chargent de nos chevaux alors qu'avec PH et Jules nous discutons de nos après midi respectives, hors épisode sexuel, sauf par sous entendus.
Je n'ai pas besoin de consulter PH, je sais qu'il sera d'accord avec moi.
Comme les deux lads reviennent vers nous, nos chevaux prêts à passer la nuit, je propose aux trois mecs de venir passer la soirée avec nous.
Jules me regarde avec de grands yeux me faisant comprendre à demi mots que nos gendarmes ne seraient pas forcément partants. PH qui a intercepté sa crainte, le dissuade de vouloir me faire changer d'avis et prenant les trois hommes à témoins, l'assure qu'eux aussi ne souhaitent surement pas que leurs vies privées soit dévoilées.
Dans un bel ensemble ils confirment. Un des lads objecte qu'ils sont un peu en sueur. Je coupe court et leur dit qu'ils se laveront à la villa avant d'aller piquer une tête dans la piscine.
Ce dernier argument fait mouche auprès des deux jeunes. Ils poussent le moniteur à accepter.
Quand nous rejoignons nos véhicules, si le moniteur et un des lads sont en voiture, j'ai la bonne surprise que le troisième soit motard comme nous. Même si son ZX 10R commence à accuser quelques années.
On tourne autour de nos motos avant que Jules, assis après du moniteur nous rappelle que nos autres amis risquaient d'arriver avant nous.
Je passe devant et nous regagnons la villa. En chemin nous sommes rejoints par nos motards. S'ils s'étonnent du nouveau collègue (motard) et de Jules assis dans la voiture qu'ils viennent de dépasser, ils sont contraints d'attendre notre arrivée pour les explications.
Nos trois nouveaux amis sont de la région et connaissent le quartier où nous avons loué. Pour les lads c'est plutôt de nom d'ailleurs vu que c'est plus celui des clients du club que le leur.
On traverse la villa et ils découvrent la piscine. Mais comme promis, avant d'y plonger je les emmène vers les chambres et leurs salles de bains. Répartition : le moniteur dans l'une et les deux lads dans l'autre.
Je n'aime pas cette ségrégation " naturelle " ! Ça va changer cette nuit !!
Avec les motards, j'explique le plan, les rassure que nous n'avions rien dit de leur métier et leur demande un coup de main pour le diner.
Jules est étonné qu'ils acceptent la situation aussi facilement. Il leur dit franchement et la réponse qu'il reçoit est claire.
Les deux Gendarmes se sont aperçus depuis longtemps qu'avec moi (Sasha) c'est : on accepte ou on se tire.
Nos nouveaux invités arrivent à ce moment là, ils se sont changés et arborent shorts et T-shirt, style surf pour les lads alors que le moniteur fait plus dans le style Polo. Ils nous trouvent tous les 5 maillots de bain.
Je leur dis de se mettre à l'aise et les t-shirt tombent. Pour le bas, ils s'excusent, ils n'avaient pas prévu.
PH arrive alors avec une poignée de maillots Aussiebum et ES et leur dit de se changer là.
Courtes hésitations, puis ils se changent devant nous. Nos deux G comprennent alors le pourquoi de leurs présences.
Les maillots sont tirés vers le bas par le matériel hors normes qu'ils doivent retenir. Ils laissent apparaitre les pubis anarchiquement poilus.
La gêne se dissipe quand je hurle " le dernier à l'eau sera le premier enculé ". Bousculade, un des lads glisse et nous rejoints tardivement. Il fait la gueule ! Je nage vers lui, empoigne son paquet et lui roule une pelle. Ça le déride. Je lui fais remarquer que si j'apprécie les bites comme la sienne dans mon cul c'est que quelque part c'est bon et donc qu'il ne doit pas avoir peur de se faire enculer à son tour.
Nous profitons de la piscine une bonne demi heure bien que tous, nous bandions comme des malades à se frôler, se toucher et même se rouler des pelles.
Nos deux gendarmes n'ont plus de retenue, pas plus que nos trois invités.
La suite s'aggrave mais sur la terrasse. PH a jeté son dévolu sur le moniteur alors que je m'accapare le mieux monté des lads, laissant les autres faire l'affaire au dernier invité.
Mon nouveau partenaire est massif. De ma taille, ses épaules sont encore plus larges que les miennes quoi ont pourtant bien élargi ces derniers temps. Des pecs pas trop poilus et des abdos tablette termine son torse. Les jambes sont fortes typé footeux/rugby, épaisses, elles complètent le tableau.
L' Aussiebum qu'on lui a prêté cache mal un paquet qui à lui tout seul aurait justifié le déplacement.
Le boa doit faire dans les 24/25cm sur un bon 7 de diamètre. Bien droite et non circoncise, elle laisse apparaitre la totalité du gland quand il bande. Un gland d'un beau rouge vif gorgé de sang et sensible à mes coups de langue.
Je sors toute ma science de la pipe pour le faire bander encore plus. Ses gémissements me guident dans la maitrise de son plaisir. Quand je le sens monter un peu trop haut, je calme le jeu. J'espère bien me faire enculer par sa bite avant qu'il ne jute.
Soudain, malgré mes 75 Kg je me retrouve retourné, le nez collé au matelas de la terrasse et le cul bouffé par une bouche gourmande. Maintenant je sais qu'il compte bien tenir assez longtemps pour me saillir !
Il fait ça super bien. Je sens sa langue perforer ma rondelle (ok elle est encre un peu souple de l'après midi, je sais !) et venir introduire de la salive plus profondément. Il alterne avec des mordillements de mes fessiers qui sont agréables, pareil quand il s'attaque à mon périnée. Il passe même sa tête entre mes cuisses pour venir me sucer la queue.
Je ne sais pas si c'est parce qu'il était tout à l'heure le dernier à entrer dans l'eau ... Mais il suce bien !
Sa langue parcoure ma hampe avant de retourner à ma rondelle qu'il aspire, lèche, pointe etc. Je m'ouvre et me détends pour bien profiter de sa queue.
Je prends une kpote sur la table basse et lui dis d'y aller que j'ai trop envie.
Et là c'est aussi bon que cet après midi. Après s'être introduit lentement il me saute avec un art consommé. Plusieurs fois il m'amène aux portes de l'éjaculation avant de cesser tout mouvement pour faire retomber la pression. Je verrais plus tard qu'il m'a " occupé " comme cela pendant plus d'1/2 heure.
Il est encore meilleur que le moniteur. Lui est plus attaché au plaisir de son partenaire qu'au sien propre.
C'est de lui-même qu'il me propose sa rondelle (même s'il n'a pas été le premier à être enculé alors que le dernier dans l'eau). Il sait que je n'ai pas arrêté de bander tout pendant qu'il m'enculait.
Il me redresse, me roule une pelle et me glisse que c'est à mon tour avant d'ajouter de faire attention. Sa rondelle n'avait servi que le jour de son dépucelage, cela remontait déjà à presque 5ans et n'avait pas été particulièrement agréable.
Je lui dis que je ne suis pas un bourrin et qu'il va kiffer ce que je vais lui faire.
Ses couilles son périnée et sa rondelle sont rasés, cela me surprend mais il me dit que les meufs ne dédaignent pas lécher cette partie de son anatomie. Par opposition le reste de son pubis est " sauvage ". J'en profite et ma langue parcours ce chemin très doux. Lui aussi aime se faire bouffer la rondelle et je vois que lors de son passage dans la salle de bain, il s'est nettoyé en profondeur. J'aime cette prévenance.
Je le détends bien mais garde pour le moment de l'enculage l'arme du poppers.
Quand je le sens prêt dans sa tête, je me redresse, kpote mon morceau avant de le couvrir de gel et pose mon gland sur sa rondelle.
Petite crispation d'appréhension, je lui donne le flacon de poppers et quand il sature sa 2ème narine je m'enfonce d'une traite en lui. Seul le choc de nos peaux fait cesser ma progression. Je suis content, c'est un gémissement et non un cri qui est sorti de sa bouche.
J'attends quelques secondes qu'il s'habitue à ma bite et à l'idée qu'il l'a dans le cul avant de commencer un limage en règle.
Quand il accepte mon rythme je regarde un peu autour de nous. Les autres se sont regroupés trois par trois et s'enculent en ligne !
PH est coincé entre un des gendarmes qu'il encule et le moniteur qui plonge sa grosse bite en lui. A un moment nos regards se croisent et je vois tout le plaisir que mon amour prend à faire le jambon du sandwich.
Dans l'autre trio, je vois Jules se faire double sodomiser par le 2ème Lad et le gendarme restant. Eux aussi ont l'air de prendre du plaisir.
En attendant j'apprécie fortement la nervosité de la rondelle quasi vierge que je perfore. Mon lad en redemande et recule de lui-même pour s'enculer. Il me dit que cela n'avait pas été aussi bon la première et seule fois où il s'était laissé sauter.
Il est en levrette devant moi. Je peux l'attraper aux hanches et accélérer le tempo. Il halète et m'annonce bientôt qu'il va pas tarder à juter.
Je calme le jeu, je veux qu'il n'en puisse plus et qu'il me supplie de le laisser juter !
Je le maintiens au bord de la jouissance pendant un bon moment. Cela surprend ses deux collègues qui ne le connaissaient qu'actif.
En attendant, sous ma queue, il ne boude pas son plaisir !
Quand il ne tient plus, j'accélère mes va et vient et tape fortement ses fesses à chaque pénétration.
Je sens son anneau pulser de contraction sur ma queue. Cela me fait monter le sperme. Quand il jute, il me bloque le mouvement et dès qu'il relâche pour la première fois, je ne peux m'empêcher de juter à mon tour.
Il gueule que c'est trop bon, ce qui attire le regard du moniteur. Je pense alors qu'il doit se dire qu'il va disposer d'un cul de plus au club !
Nous nous écroulons sur la terrasse alors que les autres sont en phase de finition. Leurs mouvements s'accélèrent, ils deviennent moins maîtrisés et moins synchro.
Ils finissent par jouir à leur tour et de s'écrouler à nos cotés.
Tout le monde à l'air content de s'être rencontré !
Après un " blanc " de quelques minutes, nous reprenons contact avec la réalité et nous nous attaquons au diner.
Tout le monde met la main à la pâte. Ça chahute et les mains s'égarent souvent sur d'autres outils que les couverts de table.
Quand nous dînons, nos estomacs crient famine et la totalité de ce que nous avions préparé est engloutie.
Un peu plus tard, alors que nos deux gendarmes et le moniteur s'éclipsent, j'arrive à persuader les deux lads de passer la nuit avec nous. Je n'ai pas trop de mal, surtout quand PH et Jules se remettent à téter leurs gros biberons.
La fin de soirée sera du même tonneau que l'apéritif et les deux lads s'endormiront les couilles plus sèches que des pruneaux.
Nous repartirons le lendemain (PH et moi), ravis d'avoir rencontré les " étalons " de jules.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!
