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Louis, le retour, ma nouvelle moto et mes premières sorties (Bordreaux)
Louis a déboulé au Blockhaus dès le lundi soir suivant le WE chez le grand père de Franck.
Il était tout excité de me raconter par le détail ce qu'il avait vécu.
Franck était venu le chercher à exactement 9 heures et après un bisou à peine avec la langue, lui avait dit de se dépêcher de monter derrière lui (sur sa Ducati).
Roulage à toute vitesse et arrivée quelques heures plus tard chez le grand père.
Panique de notre petit ami jusqu'à ce qu'il voit le vieux en question. Dès les premiers mots du grand père, il (Louis) a été séduit. Sa force, son acceptation sans réserve de la vie de son petit fils (Franck) et de ses choix personnels ont ouvert grand la porte du coeur de notre jeune ami.
Le fait que dans son grand hôtel particulier, l'aïeul de Franck n'ait fait préparer qu'une chambre pour eux deux a achevé de le convaincre de son acceptation totale.
La nuit du samedi, il avait fait l'amour avec Franck avec une intensité jusque là jamais atteinte.
Il en était encore tout retourné rien que d'y penser.
Et surtout il était tout fier de nous montrer sa nouvelle montre, cadeaux du grand père de Franck, une superbe HUBLOT presque aussi large que son poignet !
Sans lui rappeler que j'avais eu raison, je lui disais que j'étais content pour eux.
Ce qui m'excite le plus c'est mon retour sur mes motos. Depuis que la faculté m'y autorise, je travaille le bas de mon corps avec application et assiduité. Il faut que je récupère mes muscles et en plus que j'équilibre avec la masse et le volume que j'ai pris dans mon torse et mes bras.
Si les premières séances ont été douloureuses, je me suis donné à fond et parfois même un peu trop selon mon kiné. Du coup il a eu autant de travail que pendant mon immobilisation !
Les premiers tours de roue ont été magiques ! Trop trop bon d'enfourcher la selle d'une moto et de rouler. En plus il fait beau, c'est idéal.
Eric a absolument tenu à accompagner mes premières sorties pour vérifier qu'il ne me restait aucun points de gène pour mon pilotage et surtout que mes repères étaient toujours bons.
Quelques Km l'on convaincu. Selon lui, j'étais de nouveau apte à conduire mes bolides. Retour à la fac en moto, enfin !!
Le merdeux snob m'a étonné. Quand il m'a vu arrivé la première fois, il m'a fait une réflexion comme quoi la présence de Samir allait leur manquer.
Après enquête auprès de l'intéressé (Samir), j'ai appris que dès la deuxième semaine où il me servait de chauffeur/accompagnateur, il se faisait sucer par ce jeune con et que la semaine suivante, il lui rodait le cul avec sa belle bite.
En riant, je m'excusais d'avoir guéri. Samir me dit qu'il n'avait fait cela que pour lui montrer que :
- Les mecs ça peut être aussi bon et même meilleur que les meufs et là il y a bien réussi, vu que c'est le jeune con qui l'appelle en état de manque !
- Les arabes sont pas tous des dealers ni des intégristes qui voilent leurs femmes
- Que leur réputation de mecs BM n'était pas surpassée
Le lendemain, je profite d'un changement d'amphi pour coller ma main au cul du jeune prétentieux et pour lui glisser à l'oreille (alors que mes doigts enfoncent son jeans entre les fesses) un " alors elle est bonne la bite de mon arabe ? ".
Comme nous sommes entourés, il ne bronche pas et fait comme si de rien n'était.
Après le cours (2 heures où il a du cogité ferme), il se dirige vers moi et me demande comment ça va, si je me suis remis sans séquelles. Il fait signe à ses potes d'avancer sans lui. Quand nous somme seuls, il me demande d'être discret sur ce que j'ai appris.
Il n'est plus aussi fier que quand il se moquait de tout un chacun.
Je le laisse mariner un peu, après tout il a bien essayé de me casser la première année. Je le rassure quand il commence à s'étrangler.
Je lui dis qu'il n'a rien à craindre tant qu'il continuerait à avoir ce comportement, plus tolérant envers ceux qui ne son pas de sa caste.
Les yeux baissés, il me jure qu'il a compris la leçon.
Quand je lui dis que ça l'a rendu moins con, il ne s'en offusque pas et me dit en riant, qu'effectivement cela lui avait " ouvert " d'autres horizons. J'ajoute que je le préfère comme ça et l'invite à prendre une bière.
Morgan qui s'était attardé nous voit sortir ensemble. Il m'interroge du regard. Je lui fais un signe de tête comme quoi je le verrais plus tard et accompagne le jeune con au bar le plus proche.
On va l'appeler Amaury, ce n'est pas son nom mais ça aurait pu l'être vu son vrai prénom !
Il trouve une table isolée des têtes connues. Il attend que le serveur nous apporte nos bières pour aborder le sujet.
Il tenait à s'excuser de son comportement débile depuis notre première rencontre. Il avait senti sa suprématie en danger et, comme il régnait sur sa " cour " depuis la seconde, avait réagit stupidement.
Mon indifférence et la façon que j'avais eue de soustraire Morgan à sa vindicte l'avait profondément vexé.
Je lui demandais quand il avait compris que les problèmes venaient de lui et pas des autres.
Il m'avoua alors que les " explications de textes " de Samir lui avaient permis de clarifier ses idées et de s'avouer que les mecs l'attiraient plus que les meufs, même s'il était condamné au mariage hétéro.
Je lui dis être content qu'il ait changé et ajoute que vu sa situation, s'il veut un jour ne pas être malheureux et rendre sa femme malheureuse, il ferrait bien de tout lui dire dès le départ. Il ne me croit pas. Je lui dis que si elle est intelligente (et ça, il est capable d'en trouver une comme ça) et qu'il lui explique la situation, ils pourront trouver un arrangement qui satisfera toutes les parties. Il pourra même avoir des gosses sans les traumatiser de son mal être.
Je le vois réfléchir à tout ça. Je le remercie pour la bière et le laisse tout pensif à notre table.
Quand j'en discute avec PH, il rit de mes conseils matrimoniaux. Il admet être surpris d'un tel changement vu ce que je lui avais raconté du mec et félicite Samir pour l'effet pacificateur de son sperme !
Ce dernier nous répond que c'était sa participation à la société. Ammed de renchérir qu'il (son sperme) avait le même effet sur lui en plus d'être une source appréciable de protéines.
La R1 que m'a racheté Emma est formidable. La préparation de Cédric sous la supervision et les réglages d'Eric est idéale et je colle à la route avec une puissance impressionnante (182CV pour 270Kg moi dessus). Je ne sens pas mes plaques (dans ma cuisse) et je fais à nouveau plaisir
Avec PH on descend même sur Bordeaux voir nos potes motards et leur Jules attitré. On loue la villa de l'été denier une semaine.
Jules qui a terminé ses cours nous y rejoint et ses " hommes " après leurs journées de taf.
Jules est déjà tout bronzé. Il nous en raconte de belles (histoires). Depuis leur passage chez nous, il a fait du chemin le gamin. Sans être pour autant devenu la " salope " de son club d'équitation, il y a péché quelques belles bites propres à satisfaire ses envies.
Il m'avait raconté comment il s'était fait un des moniteurs et un lad (cf. J_SD 285). Depuis, en plus de ces deux là, il s'était fait deux autres lads, aussi bien montés que les étalons dont ils avaient à s'occuper. Du coup les 2 G le prenaient régulièrement en double sodo.
Comme je leur demande à tous les trois si cela ne lui a pas transformé la rondelle en chatte, ils m'assurent que non. Pour me le prouver, Jules se penche, écarte ses fesses et me présente sa rondelle. Ok elle s'est ovalisée un peu mais moins que je ne l'attendais. Je tends le bras et passe mes doigts dessus. Elle est bien souple. Quand je tente d'y enfoncer le majeur pourtant couvert de salive, j'ai du mal, Jules serre son anneau pour bien me prouver ses dires. Je lui caresse la taille. Il se détend et j'enfile mon doigt dans ses profondeurs. Il joue de son sphincter pendant toute la pénétration. Je me rends à l'évidence et approuve. Je me kpote vite fait et remplace mon doigt par ma bite.
Je lui laisse le champ libre à lui de m'étonner.
Il a bien progressé, même depuis son passage dans notre donjon ! tout pendant que je lui ai limé le cul, il n'a eu de cesse de masser ma hampe par de fréquente contractions anales.
Quand j'en parle avec les 2 G en train de se faire PH par les deux bouts, ils me disent qu'ils s'en étaient aperçus eux aussi.
Je ne peux m'empêcher de demander à Jules si son club était ouvert le lendemain. A sa réponse positive je proposais à PH d'y faire un tour pendant que nos gendarmes seraient au travail.
Jules nous propose alors d'y aller en milieu d'après midi afin de profiter de la fermeture du club. Nous lui faisons confiance !
Le club hippique
Nous arrivons au club vers les 15 h après un repas léger.
C'est un club moyen en taille mais avec pas mal de très beaux chevaux. Les installations sont luxueuses et effectivement le personnel est plutôt canon !!
Jules nous présente au gérant comme des amis de passage et demande la permission de nous laisser monter (au sens propre du terme bande de cochons).
Je demande quand à moi si un moniteur ne pourrait pas m'encadrer, mes souvenir d'équitation remontant à déjà quelques années. Il passe un coup de fil et je vois arriver le beau mâle décrit par Jules comme possédant un organe de bonne taille. D'ailleurs il ne pourrait le cacher s'il le voulait vu que ses jodhpurs le moulent étroitement.
Nous partons de notre coté alors que Jules entraine PH vers les stalles.
Ils en sortent avec des chevaux sellés alors qu'avec le moniteur, je viens juste de finir le point de mes souvenirs de monte. Quand je lui précise qu'ils sont de cheval ces souvenirs lointains de monte, il comprend le sous entendu et je vois le tissu, heureusement élastique, de ces pantalons spéciaux se distendre un peu plus.
Il m'entraine vers la stalle d'un hongre de toute beauté. Il me précise que ce cheval est calme. Il ajoute que vu comme il était très bien bâti, il devrait répondre à mes exigences. Il me coince plusieurs fois contre l'animal afin que je me rende bien compte de tout l'intérêt qu'il me porte alors qu'il m'aide à le harnacher.
Je sens bien sa bite dure enfoncer mes jeans entre mes fesses. Je ne peux m'empêcher de faire ma " salope " et de bouger mon boule pour l'exciter encore plus.
Ce qui est étrange c'est que pas un mot se rapportant à cette situation sexuelle ne s'échappe de nos bouches. D'ailleurs, le personnel comme les clients ne s'aperçoivent pas de la chose !
Une demi-heure plus tard, après un passage en carrière pour vérifier ma maîtrise de ma monture, nous voila parti vers les bois. Je le sens encore plus chaud. Faut dire que je n'ai de cesse de frotter mes fesses sur la selle et d'y aller de commentaires à doubles sens. Trouvant la selle peut être un peu grande, je lui montre que mes fesses chauffent sur le cuir et que mes attributs auraient tendance à s'écraser vers l'avant.
Il approche sa bête et me rappelle, à l'aide d'une démonstration, comment me lever sur les étriers afin d'ajuster mes soulevés du cuir avec les mouvements du cheval et éviter ainsi les risques d'écrasement de mon postérieur.
Après une demi-heure de promenade qui nous a entrainés jusqu'à une petite clairière, il me propose de mettre pieds à terre. Je simule des difficultés à descendre et le voila qui vient vers moi et ses grandes mains autour de ma taille, il me soulève et me pose à terre.
Là, il ne me relâche pas et me tire vers lui, collant nos bassins et surtout nos sexes l'un contre l'autre.
Je peux m'apercevoir qu'il n'a pas débandé et que son état s'est même aggravé depuis notre départ !
J'ai beau faire1m85 je dois lever les yeux pour regarder dans les siens. Il se penche à ce moment là et nos lèvres s'écrasent les unes sur les autres. J'écarte les dents et sa langue vient aussitôt au contact de la mienne. Impérieuse, il installe son autorité.
Je fonds ! Collé contre son corps je sens ses masses musculaires fermes. Je lève mes bras et m'accroche à son cou, renforçant la soudure de nos bouches.
Plus bas je sens sa bite grossir à la taille de celle de Xavier (26 x 6,5) pour le moins. Ses mains passent de mes hanches à mes fesses et bien quelles soient serrées par le jeans slim que je porte, elles (ses mains) arrivent à les écarter.
Je suis chaud de chez chaud ! je glisse sur les genoux et attaque les boutons de son pantalon. La boule que faisait ses attributs s'est développée en une grosse barre vers la gauche. J'ouvre le zip et avec difficulté descend l'ensemble, slip et pantalon, à ses genoux. Sa bite manque de m'assommer et se déployant.
Elle est comme me l'avait décrite Jules. En plus de ses dimensions inhabituelles chez un blanc, elle est rose avec un beau gland violacé, droite, circoncise et bien veinée. Ses boules sont en rapport grosses comme des oeufs de poules et rasées de près.
Je me gode la gorge directe sur ce beau morceau. Il a un léger mouvement de recul alors que je me penche vers lui mais je maintiens ma pression en m'aidant de mes mains posées sur ses fesses. Je ne m'arrête que les dents posées sur son pubis. Au dessus de moi j'entends un gros soupir suivit d'un " putain quelle salope !".
Je recule pour respirer et replonge sur la " bête ". il me laisse faire 5 ou 6 fois puis me repousse vivement. D'en bas je le regarde avec le sourire innocent dont je sais qu'il décontenance mes partenaires.
Il me relève, me regarde alors qu'il me porte à bout de bras, puis m'attire à nouveau vers lui pour me rouler un patin.
Quand il me repose au sol, j'en profite pour défaire ma ceinture et faire glisser mon slim sur mes chaussures. Quel bonheur d'avoir la bite à l'air ! Elle commençait à sérieusement être à l'étroit !!
Je me sens alors à nouveau soulevé puis les jambes du moniteur passer entre les miennes, les forçant à s'écarter vu que mon pantalon m'entravait encore aux chevilles.
Il me soulève encore et naturellement, dès que mon bassin est passé au dessus du sien, je serre mes jambes. Sa bite vient aussitôt tutoyer ma rondelle. J'ai beau être chaud, je lui glisse qu'une kpote, du gel et beaucoup de poppers devrait permettre de conclure l'affaire.
Il me dit qu'il n'a rien des trois. Je lui réponds que cela tombe bien, comme par hasard, j'en avais sur moi.
Un peu de contorsion et j'attrape les trois de mes poches. Je lui passe la kpote et le gel et garde le poppers en main.
Je m'accroche à lui alors qu'il pose la kpote et la recouvre de gel.
En appuis sur ses hanches, je maintiens ma rondelle au juste contact avec son gland le temps de me gazer.
A la deuxième narine et son explosion dans ma tête et mon cul, je relâche la pression et m'assois sur la bite de cheval du moniteur.
Il titube un peu sous l'effet ressenti et mon poids aussi ! Il a beau faire 10cm de plus que moi et au moins 30Kg de plus, mes 75 Kg (oui j'ai pas encore retrouvé mon poids d'avant l'accident) commencent à peser !
Dans un premier temps, il recule et s'adosse à son cheval qui ne bronche pas. Pendant quelques minutes il va me soulever en force pour me laisser retomber sur sa bite. Explosion de sensation à chaque défonce ! Puis il me pose, les épaules sur l'herbe avant de me saillir (hé oui on est dans un club hippique !). De longues, longues et délicieuses minutes.
Quand je me mets à jouer de ma rondelle, la faisant pulser sur son gros sexe, il se met à grogner que je suis encore meilleur que Jules.
Entre deux coups de rein, j'arrive à lui dire que c'est normal vu que c'est un peu moi qui lui ai tout appris coté sexe TTBM.
La conversation ne peut être soutenue. Son activité est intense et ses coups de reins s'accélèrent. Un grand cri exprime son soulagement alors que sa queue pulse dans mon cul. Cela me fait jouir à mon tour et j'en mets pleins nos abdos.
Quand il sort de moi, ça fait comme un coup de frais dans le cul. Il s'extirpe de mes jambes et s'écroule à mes cotés.
Les chevaux broutent à nos cotés indifférents à nos ébats.
L'excitation première redescendue, il me répète que mon cul est un délice comme il n'en n'avait jamais connu. Je le remercie et lui dit que ce n'est pas nécessaire d'en faire autant s'il voulait me ressauter d'ici notre départ. Sa bite et son formidable coup de rein suffisent.
Il éclate de rire et me dit qu'il comprend enfin d'où vient la science que Jules avait développée sur lui.
A propos de nos amis, je suggère de rentrer les retrouver pour envisager la suite.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!