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27 | L'actif curieux et créatif
Je voyais depuis peu, en plus de mes plans réguliers, un actif gaulé comme un rugbyman et à la bite de taille généreuse et très large. Il avait près de quarante ans et moi, j'en avais 26.
Il était devenu l'une de mes relations "cul" suivies. Je vais le nommer Cyril (petit clin d'œil à celui qui grâce à qui je peux vous partager mes histoires) car s'il lit un jour "notre" histoire, je sais qu'il ne me pardonnerait pas si j'utilisais son vrai prénom.
Notre première rencontre s'est déroulée comme toutes celles que j'avais avec les actifs à qui j'offrais mon cul à l'époque. C'est à dire, en plan direct, à quatre pattes sur mon lit, le cul tendu, prêt à encaisser et porte de mon appartement entrouverte.
Par la suite, il a voulu me revoir. Toujours pour jouir de mon cul, mais il aimait discuter longuement et me demander ce que je ressentais quand il me baisait le cul ainsi sans geste tendre ou sans autre acte sexuel que celui de me pénétrer.
"Est-ce que c'est le sentiment de te sentir dominer ?" M'a-t-il demander avec un véritable besoin de comprendre.
"Je ne pense pas qu'être dominé soit mon truc. C'est moi qui décide de me faire sauter, quand et comment. C'est plutôt de n'exister uniquement en tant que cul. Ma jouissance ne doit passer que par lui. J'adore qu'un mec qui m'a déjà baisé, ne revienne que pour mon cul, et non pour ma p'tite gueule. Quand je donne mon cul, je ne suis plus moi, mais lui. Je ne sais pas si tu comprends ce que j'essaie de t'expliquer." Ai-je répondu avec toute la sincérité qui me caractérisait et continue de l'être.
"Si, je commence à un peu plus à te cerner. Je voulais comprendre ce qui t'animait car quand je te prends le cul, tu as vraiment l'air de de prendre un pied de dingue. J'adore ça. Et rien que d'y penser, je bande dur." A-t-il dit en s'empoignant le paquet.
Et bien qu'il vienne de me défoncer, je n'ai pas pu ignorer cette queue bandée dans son jean. Je me suis donc levé de ma chaise, j'ai baissé le jogging que j'avais enfilé négligemment après sa première défonce et je me suis penché sur la table en cambrant le dos.
"Mets la moi direct !" Lui ai-je presque ordonné.
"Euh. Là maintenant ? T'es au rez-de-chaussée. On peut nous voir. Puis, je n'ai plus de capote. Tu en as ?" A-t-il répondu à ma provocation, hésitant.
"Sérieux, je m'en fiche. Tout ce que je veux, c'est ta bonne grosse queue dans le cul. Et toi, que veux-tu ?" L'ai-je ainsi continué à le provoquer en me caressant le cul.
Il n'a rien dit et semblait s'interroger, avant d'ouvrir sa braguette et de sortir son énorme engin bandé de son slip en s'approchant de moi. Il s'est rapidement placé derrière mon cul et me l'a perforé violemment pour me bourriner avec vigueur.
Il me cassait le cul avec plus d'ardeur que les fois précédentes puis, dans un dernier coup de queue, il s'est raidi et a craché son jus bien au fond de mon cul.
Il a déculé et, en reboutonnant sa braguette, m'a dit devoir vite partir en s'excusant maladroitement.
Je n'ai pas compris tout de suite ce revirement de comportement. Ce n'est que plus tard, que je me suis dit qu'il avait eu, sans doute, honte de m'avoir rempli le cul après m'avoir défoncé violemment sans préservatif.
Après ce jour-là, je n'ai pas eu de ses nouvelles en plus de deux semaines. Puis un jour, il m'a téléphoné.
"Oui ?"
"Salut. C'est Cyril. Euh, tu es chez toi là ?" M'a-t-il demandé.
"Oui."
"Je peux venir te prendre le cul ?"
"Tu sais que je suis toujours partant." Ai-je répondu avec envie.
"Ok. Je suis là dans 20 minutes. J'aimerai essayer un truc si t'es d'accord."
"Fais ce que tu veux, tant que ça concerne mon cul."
"J'arrive !!!"
Un quart d'heure plus tard, j'étais à quatre pattes sur mon lit.
Il n'a pas tardé à arriver. Entré dans ma chambre, il se déshabille en m'expliquant qu'il aimait le fait que je sois toujours en position quand il débarquait chez moi.
Nu, il colle sa grosse contre mon cul.
"T'es sûr ? Tout ce que je veux ?" M'a-t-il demandé.
"Oui. Tu vas bien me baiser, hein ? Ça ne concerne que mon cul ?" Ai-je commencé à m'interroger.
"Oui. T'inquiète. C'est juste que je viens de baiser un mec. Mais en l'enculant, je ne pensais qu'à la dernière fois quand je t'ai baisé sur la table. Alors, après avoir joui, j'ai récupéré ma capote pleine pour venir te prendre direct avec mon jus comme lubrifiant." M'a-t-il avoué, avec excitation.
"Ah. Mais ouais. Fais toi plaisir. Si mon cul peut t'aider à assouvir tes fantasmes." Ai-je répondu en remuant le cul contre sa queue.
Soulagé par mon accord, il a laissé couler un peu du contenu de sa capote usagée sur ma rondelle. Et comme un élève appliqué, à l'aide de son index, il a étalé la goutte de jus sur mon trou en le pénétrant doucement. Il a ensuite enfourné cette même capote dans mon cul pour y vider le contenu.
"Tu peux t'allonger sur le ventre en tendant ton cul ? Ce sera plus facile pour te vider la capote dans le cul." M'a-t-il gentiment demandé.
Je me suis exécuté en tendant mon boule autant que je le pouvais en l'aidant à m'écarter les fesses.
Le contenu du préservatif entièrement en moi, j'ai repris ma position initiale pour que Cyril puisse me sauter.
Avec application, il a frotté son gland sur mon anus luisant de son sperme qu'il avait gardé rien que pour moi. Puis il m'a pénétré avec assurance mais douceur. Sa queue glissait en moi énergiquement pour mon plus grand plaisir jusqu'à ce qu'il jouisse en moi.
Plus tard dans la semaine, il m'a vu connecté sur le tchat de rencontre.
"Hey ! Salut. Tu cherches à te faire trouer le cul ?" A-t-il écrit.
"Ouais, ce n'est pas exclu. Mais là, j'ai surtout envie de me faire bouffer le fion." Ai-je répondu hâtivement.
"Sérieux ? Je n'ai jamais fait ça. Je n'en ai jamais compris l'intérêt. Tu aimes ça, toi ?"
"Si j'aime ça ? J'adore ouais. Ça me fait grimper au rideau. Je n'arrive pas à croire que tu n'aies jamais fait d'anulingus."
"Tu peux me croire, jamais. Et qu'est-ce que ça te fait quand un mec te bouffe le cul ? Comme quand il te baise ?"
"C'est différent, mais tout aussi jouissif. Ça me fait dilater la rondelle, direct. Sentir la langue chaude et humide d'un mec me lécher le trou, c'est l'extase totale."
"Ok. Je viens te bouffer le cul. J'ai envie d'essayer."
Trente minutes plus tard, il était à genoux en train de me bouffer le cul tel le novice qu'il était. Et en bon novice, il me demandait sans cesse si j'aimais, s'il faisait bien ou si j'avais des conseils à lui donner.
Il m'a longuement bouffé l'oignon en commentant tout. Mon trou, son odeur, son goût, sa mouille ou encore sa dilatation qu'il trouvait excitante.
Pour le récompenser, je l'ai laissé me casser le cul avant qu'il ne doive repartir.
Une autre fois, il m'a demandé s'il pouvait venir me défoncer le cul, comme toujours, en ramenant une dizaine de capotes pleines de son jus pour me les injecter dans le fion avant de m'enculer. J'ai accepté. Il aimait plonger sa queue dans mon cul et, visiblement, patauger dans son propre jus. Ce jour-là, mon cul dégoulinait de sperme à chacun de ses coups de bite.
Plus tard, un soir, il m'a téléphoné pour me demander, à nouveau, s'il pouvait disposer de mon cul. Bien entendu, j'ai encore accédé à sa demande. Il m'a besogné comme s'il n'avait pas baisé depuis des jours et m'a rempli, encore une fois. Il m'a ensuite proposé de commander une pizza.
Nous avons, donc, ce soir-là, mangé ensemble et avons discuté de tout et de rien, puis...
"Euh. Je me posais une question. Tu gardes toujours le sperme en toi après avoir été défoncé ?" M'a-t-il demandé, décontracté.
"Toujours, oui. J'aime le garder en moi. Je n'éprouve pas le besoin de me vider après avoir été rempli." Ai-je répondu du tac au tac.
"Ça m'excite. Je peux te demander autre chose ?"
"Vas-y. Tu ne t'en prives pas généralement."
"Je peux dormir ici pour pouvoir me servir de ton cul toute la nuit, même si tu dors. C'est un de mes fantasmes et j'aimerais le réaliser avec toi."
"T'en as combien des fantasmes ? Car j'ai l'impression que tu les assouvies tous avec mon cul..."
"Désolé. C'est..."
"Non, attends. Tu m'as mal compris. Ça ne me déplaît pas, t'inquiète. Et oui, tu peux rester."
Cette nuit-là, Cyril s'est servi de mon cul un nombre incalculable de fois. Il me baisait même sans éjaculer. Le seul fait de me pénétrer le satisfaisait. Alors si, il m'a bien rempli le cul durant la nuit, mais il voulait surtout loger sa queue en moi, encore et encore.
Il m'a défoncé au réveil également en se vidant, une dernière fois, les couilles dans mon fondement. Puis, au petit-déjeuner, il m'a raconté sa nuit passée dans mon cul et m'a avoué avoir kiffé le faire quand je dormais à point fermé.
Nous nous sommes souvent revus jusqu'au jour de son départ de la région pour le sud. Un vrai regret.
J'espère que ce souvenir vous a plu.
Pas étonnant que je devienne complètement dingue de ne pas m'être fait défoncer le cul depuis plus de 15 ans. Plus je me remémore mais plans passés, plus je regrette ma vie d'avant.
Pour en avoir discuté avec l'un d'entre vous, chers lecteurs de Cyrillo. Il est clair que j'ai un blocage qui m'empêche d'assouvir pleinement mon besoin de me faire foutre et trompé celui qui est, depuis la fin de cette époque, mon mari. Alors qui ne fait pas l'effort de vouloir m'enculer pour me soulager car "monsieur" n'est que passif. Même me bouffer le cul, il ne fait pas.
Pour tout ça, je suis allé souvent aller voir un sexologue-addictologue. C'est lui-même qui m'avait conseillé d'écrire sur mes expériences passées pour pouvoir en faire mon deuil. S'il savait, qu'en plus, je les partageais ici.
Faut dire que ce besoin de me faire casser le cul devenait obsessionnel. C'était à un tel point, que pendant plusieurs semaines, je n'arrivais plus à bander.
Mais voilà, les séances ont cessé car je commençais à faire un transfert. J'avais envie qu'il me prenne et j'ai eu l'audace de lui en parler. Alors, tout naturellement, il m'a dirigé vers l'une de ses collègues. Mais jamais je n'ai donné suite.
Peut-être ai-je eu tort. En reparler m'aiderait, sûrement, à répondre à ces désirs qui, non assouvis, me rendent fous.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr
