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22 | Le deal d'un couple
Je vais, une nouvelle fois, vous raconter un de mes plans alors que j'étais célibataire et quasi-exclusivement passif anal.
Aujourd'hui, plus de 15 ans après, je suis en couple et suis devenu, par la force des choses, exclusivement actif. Je suis donc un passif en manque depuis plus de 15 ans.
J'avais donc 25 ans au moment des faits. Et tout comme aujourd'hui, je faisais 1m70 pour 58kg, plutôt beau gosse avec une queue de 19cm et beau petit cul rebondi que je rasé méticuleusement.
Sur un des tchats que je fréquentais, un couple de mecs me contactent en ces termes approximativement :
"Salut. Mon mec et moi te voulons pour me remplir le cul. Mon homme ne fera que regarder pendant que je te suce ta belle queue et que tu me baiseras. Lui, 43 ans, actif et voyeur. Moi, 23 ans, passif en chaleur. Nous ne recevons pas mais nous déplaçons sans problème."
Ce à quoi je réponds : "Désolé, mais j'ai super envie de me faire défoncer le cul. Je ne suis pas votre homme."
Quelques minutes plus tard, je reçois un nouveau message de leur part me donnant accès à leurs photos.
J'y jette un oeil curieux.
Le passif est super mignon. Il a un cul bien bombé et semble être naturellement imberbe. Cheveux frisés mi-longs blonds foncés. Il me donne envie ce salaud.
Son mec, qu'il dit être actif et voyeur, fait très viril, limite Bear. Il est costaud sans être gras. Poilu de la tête aux pieds, barbu, torse velu, il à une queue d'une très belle taille. Bien entendu, cet étalon éclipse rapidement mon envie de baiser son petit passif.
"Merci les mecs pour vos photos. T'es vraiment craquant et ton cul m'a donné envie de le bouffer et de le défoncer. Mais ton mec a réveillé le bâtard en moi qui ne rêve qu'à être soumis à sa queue. Je suis vraiment désolé. J'espère que vous trouverez ce que vous recherchez." Lui dis-je, l'envie encore plus forte qu'avant de me faire casser le cul.
A la recherche d'un actif pour calmer les demandes insatiables de ma rondelle, je parcours les profils quand je reçois un message. Chouette, me dis-je, mon cul va enfin avoir ce qu'il mérite.
"C'est encore nous. Mon mec, pour me faire plaisir, et, surtout parce que tu as un superbe cul, dit que si tu me baises et qu'il peut te mater me défoncer le cul, il te cassera le tien pour te remercier." Me dit le passif.
Désappointé, mais extrêmement excité, j'accepte de les recevoir sans savoir si son mec honorora sa part en me caressant au moins le cul. De toute manière, le tchat était trop calme pour que je trouve quoique ce soit d'autre.
Je leur donne mon adresse ainsi que mon numéro de téléphone.
"Nous sommes là dans 40 minutes." Répond le passif avec m'enthousiasme d'une salope en chaleur, après que je leur ai donné mon adresse.
Dans une quarantaine de minutes, ils sonnent à ma porte. Je leurs ouvre.
Le passif est vraiment craquant. Son mec, lui, fait clairement mouiller le bâtard que je suis.
Le passif s'approche de moi et commence à m'embrasser goulûment alors que son mec s'installe sur le canapé, une main sur le paquet.
J'enlasse ce passif très en demande en matant son mec se caresser l'entrejambe. Mes mains parcourent le dos de mon passif jusqu'à son cul. Je plotte ses fesses galbée à travers son jean.
Tout en continuant à m'embrasser, il dégrafe sa braguette avant de dégrafer la mienne afin d'y glisser une main pour empoigné ma queue déjà bien raide. Il la branle doucement.
Moi, toujours en regardant son mec yeux dans les yeux, je glisse, à mon tour, une main sous son jean. Putain, il n'a rien dessous. Voilà un vrai passif. Je joins ma seconde main à la première. Une fesse bien ronde dans chaque main. Il a la peau douce.
Sa branle semble s'accélérer.
Je continue mon inspection, du bout des doigts, ce cul que je vais devoir baiser pour, peut-être, avoir le droit de l'être à mon tour. Je caresse sa raie toute lisse et son tron soyeux. En bon passif, il se cambre.
Toujours le regard plongé dans celui de son mec, je bande de plus en plus en le voyant déglutir tout en se passant régulièrement passer sa langue sur ses lèvres.
Le passif, lui, avait sorti ma queue de son écrin en coton et commença sa descente jusqu'à elle. A peine à genoux devant moi, il la prit en boucle. Il me suçait la bite avec appétit.
Son mec bandait dur et semblait avoir beaucoup de mal à contenir son gros gourdin dans son pantalon. Ton en me faisant sucer par son passage de copains, je l'invite du regard à libérer cette bite que je voulais absolument voir. Il compris et la libéra de son entrave.
Il a une queue sublime et je la veux dans le cul.
Je demande au passif de se mettre à quatre pattes. Il s'exécute, présentant son cul, celui qu'il m'offre, à son mec.
Génial, à moi de présenter le mien à son mec en bon bâtards que je suis.
Je me dessape entièrement et me place derrière ce passif en chaleur. Me voilà donc entre lui et son mec. Je me mets également à quatre pattes afin de bouffer ce cul qui, je l'avoue, était plus qu'appétissant. Ainsi, j'ai la tête face au cul du passif et le cul entre les cuisses de son mec qui reste impassible tout en se caressant la queue doucement.
Quoiqu'il en soit, je commence à bouffer le cul du passif qui avait un doux parfum florale. Même si je prends mon pied en dégustant ce magnifique cul, je n'en oubliais pas pour autant mon objectif premier et frotter mon cul de bâtard entre l'entre jambe de son mec.
Toujours aucune réaction. Frustré, je me redresse, toujours entre ses cuisses, et ramène son passif à moi afin de le défoncer. Son mec, derrière moi, me tend un flacon de gel. J'en mets sur mes doigts pour lui lubrifier le trou. Je m'en verse sur la verge et la présente devant sa rondelle luisante. Je pousse et d'un coup sec mais doux, je le pénètre. Il hurle de plaisir. De ma main gauche, je le saisis par le bassin et entame des vas-et-vients contrôler.
J'ai la main droite encore pleine de gel et, au lieu de l'essuyer, je me caresse les fesses, la raie et le trou avec, en espérant chauffer son mec qui, jusque-là, ne m'a toujours pas touché.
Son passif, quant à lui, apprécie ma queue dans son cul. Je le défonce un bon 10 minutes et me dis que son mec ne me baissera pas le cul, quand je le sens glisser du canapé derrière moi. Sa queue se retrouve coincé entre mes fesses. Je continue à baiser son passif sans savoir ce qu'il voulait faire, puis il guide sa bite vers mon trou qu'il pénètre sans un mot et commence à me pilloner le cul.
J'inonde de foutre celui de son copain mais n'ose pas y sortir de peur qu'il cesse sa défonce. Malheureusement, il avait senti que j'avais féconder son passif et il en fit de même avec moi avant de déculer rapidement. Il rentra sa queue dans son pantalon qui reboutonna.
Je décule à mon tour. Son copain s'extasie sur la baise que je lui avais offerte tout en se rhabillant.
Plus tard, dans la semaine, un numéro inconnu m'appelle.
"- Allo ?" Demandais je.
"- T'es libre là ? Je suis pas loin. Je viens te remplir le cul." Dit un mec à qui j'avais sûrement donné mon téléphone pour ce genre de chose.
"- Je suis chez moi oui. Je t'attends à quatre pattes prêt à m'en prendre plein le cul. Je te redonne le code d'accès à l'immeuble, (code)."
J'attends, excité, ce baiseur providentiel. Il rentre et me défonce le cul magistralement. Il me rempli comme promis. Je retourne et constate que c'est le mec du passif que j'avais baisé quelques jours avant.
"- Et oui. Fallait que je te baise comme tu le mérites. Je n'ai pas pu assez profiter de ton beau cul." Me dit-il avec un large sourire.
"- C'est quand tu veux."
"- T'inquiète, je garde ton téléphone précieusement. Et je ne t'imposerai plus mon mec. Toi, t'es un mec à défoncer."
Voilà, j'espère que ce nouveau pan de ma vie de passif vous a plu. Merci encore pour tous vos messages et n'hésitez pas à m'écrire.
Me remémorer de tout ça me rends de plus en plus à nouveau bâtard.
Qui se réveille en pleine nuit, la rondelle béante et suintante de mouille, au point de pouvoir se foutre trois doigts sans devoir forcer le passage ? Ce sevrage forcé de bite dans le cul depuis 16 ans maintenant, commence à me rendre dingue. J'ai de plus en plus envie de me faire défoncer le cul. Quand l'envie devient un besoin, il est sûrement temps de donner mon cul à un vrai mec. Mon mari m'agace quand il me dit que j'ai un superbe cul, un véritable appel à la sodomie. Mais comme il est du genre femelle, jamais il ne m'enculera ou ne me bouffera le cul.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr
