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HISTOIRE

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Premier épisode

Trop

Chapitre-2

Six mois s’étaient déjà écoulés depuis mes aventures estivales. J’avais été relativement sage depuis les excès précédents. Mais le printemps pointait son nez et, les filles comme les garçons, commençaient à se promener en shorts et bermudas, montrant de jolis culs tendus sous l’étoffe.

Bien sûr, j’avais eu quelques aventures avec des garçons et des filles depuis l’été. Mais c’étaient des aventures deux à deux, garçons comme filles. J’étais donc un peu frustré en comparaison de mes expériences de l’été précédent. Je relisais régulièrement les souvenirs que j’avais écrit peu après et que j’avais envoyés à mes amis. Au début, j’étais toujours émoustillé et me masturbai régulièrement, mouillant abondamment mon slip de pisse et de foutre. Mais mon plaisir baissait. Je me lassai aussi des séances de films porno au cinéma, même si c’était l’occasion d’aller sucer des bites et des chattes dans les toilettes. Et même parfois d’avoir la chance de partager une douche dorée. Mais les toilettes de cinéma n’étaient pas des lieux à priori très sexy et accueillants. Progressivement, je m’en détournai pour lire des livres érotiques.

Avec l’arrivée du printemps, je sentais ma libido monter de jours en jours. J’essayai d’imaginer différents scénarii pour réitérer mes aventures de l’été mais aucun ne me faisait vraiment bander. Je rêvais de plus en plus aux fesses parfaites des garçons et des filles, les bites et les chattes venant au second plan.

J’allais assez souvent à la piscine pour mater les garçons lorsqu’ils se déshabillaient ou prenaient leur douche, nus. Quant aux filles, je n’étais pas Charlotte et ne pouvait entrer dans les douches ou vestiaires des femmes. Tout cela était loin d’être suffisant pour combler ma libido. J’appelais de temps à autres mes amis de l’été qui, malheureusement, habitaient loin de chez moi. Nous échangions nos souvenirs au téléphone tout en nous masturbant. C’était sympa mais frustrant.

Je voulais tester un hammam de mon quartier car cela faisait longtemps que j’avais envie de m’y aller. Un ami, Camille, un peu plus jeune que moi, m’en avait parlé. Avant de m’y rendre je l’appelai pour lui proposer de se joindre à moi pour cette exploration.

Etant libre, Camille me suggéra de nous y rencontrer en fin d’après-midi. J’avais finalement compris ce qu’étaient les « magic cookies » de l’été et j’en avais cuisinés pour Camille et moi. Je rejoignis Camille à la porte du hammam et nous y entrâmes ensemble en dégustant mes délicieuses friandises.

Camille fut surpris quand je lui demandai de partager la cabine où nous laisserions nos habits. Ce n’était pas prémédité mais j’agissais sur une soudaine impulsion. Je ne lui donnai aucune explication et le poussai gentiment dans l’étroite cabine. Je me déshabillai rapidement mais Camille, un peu timide, avait encore son slip alors que j’étais déjà nu. Il enleva finalement son slip, à moitié tourné vers moi, mais ayant manifestement remarqué mon début d’érection qui pointait. Sa peau était blanche et sans défaut avec quelques taches de rousseur, son corps était fin, bien balancé avec des hanches larges et de très belles fesses « en forme de pomme », comme je les appelle. Ce corps d’ado, semblable au mien, réveilla mes instincts. J’eu soudainement très envie de ce corps frais et qui sait, peut-être innocent.

Le sol était humide et, simulant une glissade, j’appliquai mon ventre et ma verge subitement durcis sur ses fesses et posai mes mains sur ses épaules musclées pour me retenir. Je balbutiai quelque excuse tout en remarquant que sa queue avait gonflé et commençait à présenter une taille pleine d’espoirs. Je ne voulais pas le brusquer, ne sachant comment il réagirait. Mais, sans réfléchir, je m’agenouillai à la hauteur de son phallus et le saisi avec délicatesse d’une main et je l’approchai de ma bouche qui salivait déjà d’impatience. Il essaya de me repousser, de résister mais je j’avais trop faim : j’enfournai sa longue et étroite bite dans ma bouche. Son corps se raidit puis, soudainement se relâcha. Il posa sa main sur mes cheveux et je sentis son sexe se durcir. Simultanément, je commençai à lui malaxer délicatement les couilles. Il éjacula quasi instantanément, envoyant un jet abondant et onctueux dans ma bouche et sur ma figure alors que je m’étais un peu écarté de lui. Il me regarda avec ahurissement, ne sachant plus où se mettre, balbutiant une excuse !

J’embrassai doucement son bas ventre et je lui souris. Je laissai passer quelques instants et je lui demandai de se mettre à genoux. Il hésita longuement puis s’exécuta. Lentement j’approchai de ses lèvres mon sexe en érection. Le sien reprenait rapidement une dimension intéressante. Camille prit ma bite d’une main incertaine puis, d’un seul coup, goba mon membre. Il commença à en sucer le bout, doucement, en geignant. Puis il avala ma queue jusqu’au bout tout en se masturbant. Il commença à me pomper avec de plus en plus de frénésie, s’accrochant à mes fesses avec ses mains tout en m’infligeant une légère douleur qui augmenta encore mon érection. Je le calmai et il me pompa plus doucement. Au bout d’une minute, je ne pu me retenir et j’éjaculai. Surpris par le jet, Camille s’éloigna de mon sexe ce qui eut pour conséquence qu’une partie de mon sperme lui gicla sur la figure et la poitrine. Bon prince, je fis semblant de l’essuyer pour mieux répartir mon sperme sur lui. Je le relevai doucement et m’emparai de sa bite qui reprenait déjà une bonne taille.

Je lui demandai de monter sur le petit banc de la cabine de manière à avoir tout son bas-ventre à ma disposition. Encore tremblant de tant d’audace, il me laissa faire : je lui caressai les couilles, le sexe puis passai un doigt près de son trou. Je sentis ses fesses se contracter et je commençai à enfourner sa bite dans ma bouche. Cette fois ci son corps se détendit et j’eu le sentiment qu’il se laissait aller de nouveau. Sa peau était douce, avec un petit gout de sueur et de mouille. Pas désagréable ! Je continuai à le pomper, caressant ses fesses, suçant ses couilles que j’avalai et stimulai avec ma langue, caressant son trou de mon doigt encore humide de son sperme. Il resserra ses fesses puis les relâcha. Alors je me mis à lui caresser l’intérieur de son trou. Je senti qu’il n’était pas loin d’éjaculer. Aussi j’arrêtai de le pomper. Mais s’était déjà trop tard car il m’envoya une nouvelle délicieuse giclée sur mon corps. Je le relevai et soudain l’envie me pris de l’embrasser sur la bouche. C’était la première fois que j’embrassais un garçon comme cela. Manifestement vaincu ou convaincu il se laissa faire dans un premier temps puis sembla y prendre plaisir. Je le tenais contre moi, mes mains pressées sur ses fesses, alors que Camille cherchait de sa main ma bite dont l’érection pointait. Nous continuâmes à nous embrasser avec douceur. Je n’eus alors plus aucun doute sur le fait que nous pourrions continuer ainsi un peu plus longtemps. C’était vraiment agréable, un mixte de tendresse et de sexe. Je m’accroupis, le cul en l’air et, guidant son sexe sur mon trou, je lui demandai de me pénétrer doucement, mon trou n’étant pas encore lubrifié. Camille hésita un bref instant et commença à appuyer sa bite sur mon trou qui s’ouvrit immédiatement. Il me pénétra un peu brutalement et commença de rapides aller-retour dans mon cul qui commençait à se lubrifier. Mais il ne put se retenir très longtemps et éjacula de nouveau un jet de sperme chaud dans mon cul largement ouvert. Il me sembla qu’il tremblait de plaisir et se releva pour m’embrasser sur la bouche avec fougue. Je lui demandai s’il voulait que je le sodomise. Il hésita, baissa la tête, regarda mon vit et d’une voix à peine audible il me répondit par l’affirmative.

Je ne voulais surtout pas qu’il regrette quoi que ce soit par la suite. Je lui demandai de se mettre dans la même position que moi, précédemment. Je m’agenouillai devant ses superbes fesses et commençai à les malaxer doucement tout en léchant le pourtour de son trou. C’était le plus beau cul que j’ai jamais vu : deux fesses rondes, fermes et douces, désirables. Je m’emparai d’une main de son sexe de nouveau raide et commençait à caresser et à embrasser ses délicieuses fesses pendant une longue minute. Puis j’introduisis ma langue dans son anus. Je sentis sa bite frémir dans ma main. Il frissonna et son trou s’ouvrit légèrement. Profitant de cette porte ouverte et après avoir mouillé mon sexe de ma salive, je commençai à le pénétrer lentement tout en continuant de tenir son membre. Son trou était encore contracté mais se relâchait progressivement. Je le pénétrai doucement et commençai des vas et viens de plus en plus rapide. Manifestement, il apprécia ce moment et je sentis tout son corps se détendre. Peu de temps après j’éjaculai dans son trou, en même temps que lui. Je recueilli son précieux liquide dans ma main et lui donnai à lécher, ce qu’il fit avec un regard complétement perdu. Manifestement, c’était la première fois qu’il ressentait une telle débauche des sens. Je voulais garder un souvenir de cette séance et j’utilisai mon slip pour essuyer nos corps et recueillir ainsi des effluves de nos liquides. Quand je me retrouverai seul, je le mettrai sous mon nez tout en me masturbant.

Nous restâmes ainsi une bonne minute, enlacés comme deux amoureux, dans un état second. Finalement, je lui tendis sa serviette et m’entourai de la mienne. Nous sortîmes pour nous diriger vers les douches. Regrettant de me priver déjà du sperme que j’avais sur le corps, je me mis sous la douche (c’était obligatoire).

Il y avait déjà dans les douches un jeune garçon et deux hommes d’une quarantaine d’année. Le jeune garçon sortit non sans avoir regardé avec intérêt nos sexes. J’observai les bites des deux compères en légère érection : l’une me parut épaisse alors que l’autre était fine et longue. Pris d’une soudaine idée, je fixai leurs sexes ce qui eut pour effet de les faire bander un peu plus. Comme je continuai à les regarder, Camille commença lui aussi à bander. Les deux hommes sentant que quelque chose d’intéressant était possible commencèrent à masturber le sexe de l’autre. Camille et moi regardions le spectacle et je commençai à faire de même avec le sexe de Camille. Les deux hommes s’approchèrent alors de nous tout en se branlant. Je ne savais comment Camille allait réagir. Mais les cookies avaient fait leur effet et Camille commença à me masturber de sa main. L’un des deux hommes s’accroupit devant le sexe de Camille, le saisi d’une main et en approcha sa bouche. Camille, comme s’il en avait fait ça toute sa vie, se laissa faire. Pour ma part, je voulais sentir la longue et fine bite dans mon cul. Je m’agenouillai, montrant ma croupe et mon trou, déjà largement dilaté. L’autre homme approcha ses lèvres de mon cul et commença à le mouiller de sa salive. Il enfonça un doigt puis deux dans ma fente tout en me masturbant d’une main. Soudain il colla sa longue bite contre mon trou et me pénétra d’un seul coup. Je sentis mon plaisir monter tandis que l’homme continuait à me masturber. Sa queue fouillait dans tous les recoins de mon anus, atteignant des points que nulle autre n’avait atteint. Il besogna ainsi pendant deux ou trois minutes et je sentis que j’allai avoir un orgasme anal. L’homme du sentir également qu’il se passait quelque chose et éjacula au plus profond de mon cul. Cette sensation était extraordinaire. J’étais au septième ciel. Je me rendis compte, malgré tout que j’avais également vidé mes couilles de leur contenu sur l’homme qui s’occupait de Camille.

J’eu envie de couvrir Camille de mon sperme. Aussi je m’approchai de lui, écartant gentiment l’homme qui le suçait et prenait sa place. Ce dernier, frustré, chercha mon cul qu’il trouva déjà prêt à le recevoir. Il y enfourna sa bite tandis que Camille me suçait avec volupté. Il m’accompagnait en avançant et reculant sa bite jusqu’au fond de ma gorge et éclata tout d’un coup sur ma figure. J’étais aux anges et l’homme qui m’enculait probablement également puisqu’il expulsa une grosse quantité de sperme dans mon cul. Se retirant, je recueillais le sperme qui sortait de mon trou et en barbouillais le corps de Camille qui sembla apprécier. Je demandai aux deux hommes une dernière faveur : qu’ils me pissent dessus pour me laver. Entendant ma demande, Camille se rapprocha de moi et nous nous retrouvâmes sous une pluie abondante de pisse dont j’avalais avec délice une partie. Mais nous étions tous les deux épuisés et incapables de bander encore, du moins pour le moment.

Nous prîmes finalement une dernière douche. Entre temps, j’avais donné mon numéro de téléphone à l’un des deux hommes qui nous avais proposé une petite fête chez ses amis à la campagne. J’espérai qu’il ne l’oublierait pas car j’avais bien apprécié notre courte séance avec eux. Il me dit que ce serai sympa, qu’il y aurait de jeunes hommes et des jeunes femmes et que la maison était très sympa.

Peu après, le jeune garçon revint sous la douche. Camille était collé à moi. Il était dans un état second, et racontait à voix haute les sensations extraordinaires qu’il avait ressenties à se faire enculer, sucer, branler, arroser. C’était sa première expérience sexuelle, il était vierge. Je lui répondis en rigolant que six mois avant j’étais dans le même cas et que mes débuts ressemblaient fort au sien !

J’étais tout à la fois épuisé et relâché comme je ne l’avais jamais été. Nous nous rhabillâmes non sans nous être embrassés longtemps.

Pour terminer notre séance, nous nous assîmes dans un café avant de nous séparer. Camille et moi étions heureux. De nouveau le désir montait et nous nous masturbâmes discrètement sous la table. J’éjaculai dans mon slip et Camille dans le sien. Rentrant chez moi je le mis sous mon nez pour jouir de toutes ses effluves.

Deux (longues !) semaines plus tard, Camille et moi étions accueillis par « notre homme » dans la maison de campagne. Il nous accompagna dans une grande pièce où se tenaient une quinzaine de personnes. Il nous présenta rapidement et nous dit de nous mettre à l’aise. Je restai près de Camille.

Cinq minutes plus tard, un dernier hôte arriva accompagné d’une belle jeune femme de 25 ans. Notre hôte, se tournant vers l’assemblée proclama avec humour : « la séance est ouverte ». Rapidement, tous commencèrent à se dénuder, exposant des bites déjà en érection et des cons baveux. Tout cela me paraissait fort prometteur. Nous étions les deux plus jeunes de cette honorable assemblée. Je ne voulais pas quitter Camille de la soirée. Je commençai à lui retirer un à un ses habits.

Nous commençâmes à nous embrasser sur la bouche et à nous caresser dans tous les recoins de nos corps. Bien sûr, nos sexes étaient déjà durs comme du bois. Je commençai à lui sucer les couilles, à les prendre entièrement dans la bouche et glissai deux doigts dans son adorable cul. Relevant un peu la tête, je me rendis compte que tout le monde nous regardait en se caressant. Cela ne fit que redoubler mon plaisir. De la queue de Camille dégoulinait déjà un liquide agréable au goût. Camille faisait de même, de son côté. J’enfourchai dans ma bouche son sexe avec délice, le suçai et malaxai ses couilles et sa rondelle. Nous frottions nos corps brulants l’un contre l’autre. Nous éjaculâmes en même-temps et son sperme emplit ma bouche. Je fis face à lui et fis couler sa crème sur son corps sur lequel je me frottai. Nous étions littéralement collés l’un à l’autre par notre jus.

Camille fut surpris en réalisant que nous nous étions offerts en spectacle. Il se redressa et salua, comme au théâtre. Les queues des hommes étaient turgescentes, le con des femmes coulait.

L’une d’entre elle, Nadia s’approcha de Camille qui s’était assis. Elle colla un de ses opulents seins contre sa bouche. Il commença à sucer ses tétons tandis que je me branlai doucement en les regardant. Nadia s’agenouilla, s’empara de sa bite et commença à la pomper. J’en profitai pour glisser ma bite entre ses fesses. Nadia mis Camille sur le dos et commença par lui chatouiller le cul, à y introduire deux doigts et sa langue. Puis elle enfourcha son vit et guida les opérations. Camille me regarda : il était aux anges et je l’embrassai. Il ne teint pas très longtemps. Nadia se retira et se précipita pour avaler goulument son foutre qui jaillissait. Mais ce n’était pas fini : je me mis au-dessus de Camille et commençai à lécher la vulve de Nadia qui se gamahuchait. Soudain, un puissant jet sorti de son con et je m’écartais pour que Camille en profite le plus. Il ouvrit de grands yeux et se mit à rire et m’embrassa intensément. Elle s’écarta pour rejoindre un groupe de 5 personnes les unes sur les autres.

Je demandai à Camille s’il voulait que je le lave. Il rigola. Je me plaçai au-dessus de lui et me mis à pisser sur tout son corps et dans sa bouche. Il avala autant de pisse qu’il pouvait. En parallèle il se masturbait. Je voulais dévorer de nouveau sa bite quand plusieurs hommes et femmes s’approchèrent de nous. Un travelo dans la trentaine s’empara de la bite de Camille que je convoitai tandis que la femme approchait son sexe humide de foutre et de cyprine devant son visage. C’est à ce moment qu’une pluie dorée s’abattit sur nous alors que quelques jets de sperme commençaient à nous atteindre. Puis ce fut un orage complet de pisse, de sperme, de cyprine. Nous étions les rois de la fête ! Nos deux corps ruisselants se rapprochèrent. Nous nous léchâmes, avalâmes la bite de l’autre et du travelo. Camille se redressa, m’écarta les fesses et n’eut pas besoin de m’humecter car ma rondelle était déjà glissante comme l’était tout notre corps. Il enfonça sa bite dans mon cul et le ramona pendant de trop courtes minutes. Un homme se mit à la hauteur de ma bouche et j’avalais une énorme queue bordée de deux énormes couilles. Nous dûmes trouver une autre position car une femme se glissa sous moi pour me lécher et me pomper. Mais ce que j’aimais par-dessus tout était de sentir la bite de Camille dans mon cul. J’éprouvais un nouvel orgasme anal, plus fort encore que le précédent.

Camille et moi nous mimes un peu à l’écart, histoire de nous reposer et de jouir du spectacle qui se déroulait sous nos yeux. Tous ces corps enchevêtrés, ces sexes bandants, ces cons ruisselants, ces culs grands ouverts, les cris et grognements de jouissance, le parfum des fluides mêlés… Nous avions très chaud : je pris Camille par la hanche pour sortir de la maison. Dehors, une pluie d’orage chaude se mit à couler sur nos corps. Elle se mêlait déjà aux restes de fluide qui couvraient notre corps. J’enlaçais Camille, l’embrassai et nos sexes, coincés entre nos deux ventres durcirent rapidement. Deux minutes après, nous éjaculâmes simultanément, mêlant nos spermes : nous étions tombés amoureux l’un de l’autre.

J’eus envie de me coucher sur l’herbe avec lui. Le sol était un peu boueux en raison de la forte pluie et je me souvins à ce moment-là de la scène d’amour dans la boue dans un des films « Emmanuelle ». Je pensai ne plus avoir de force mais mon membre se regonfla à cette image. J’enculai Camille dont le corps était marqué de plaques de terre détrempée. Je ramonai son anus pendant un long moment puis j’éclatai une dernière fois dans son cul. Camille m’encula ensuite et éjacula avec force. Nous restâmes quelques minutes sous la pluie. Rapidement rhabillés, nous quittâmes ces lieux à l’anglaise avec un dernier regard sur les fornicateurs qui formaient une mêlée. Je serrai Camille contre moi en marchant et nous quittâmes ces lieux.

Je n’en revenais pas du naturel avec lequel Camille avait découvert cette nouvelle sexualité. Il avait changé, il était sans complexe, avait une sexualité joyeuse et démonstrative. Au fond, il avait réagi comme moi lors de mes expériences initiales. Mais il ne cherchait pas d’autres aventures sans moi, ce dont me réjouissais. Clairement, nous préférions les garçons aux filles mais apprécions leur présence et leur sexualité.

L’été s’approchait et j’avais appelé mes amis de l’été précédent pour leur proposer de nous retrouver en bord de mer. Yann ne serait pas disponible mais Claire l’était. Yann proposa de nous prêter sa maison. Nous le remerciâmes sans accepter car nous avions envie de dormir sous la tente, à la belle étoile. Charlotte était libre comme Claude, Pascal et Cyrielle. Fred n’était pas non plus disponible.

Après nous être concertés nous décidâmes de camper sur une ile abordable à marée basse où le nudisme était toléré. Un mois plus tard, nous étions tous réunis. Cyrielle ne nous avait pas prévenu mais nous avais fait la surprise de venir avec une amie, « bi » comme elle, Dominique. Nous étions au milieu de l’après-midi, il faisait beau et nous déshabillâmes avant de nous rendre sur la plage déjà occupée par quelques touristes, tous en maillots de bain ! Je dois dire que la vue de nos corps nus les surprirent. Plusieurs d’entre eux se déplacèrent plus loin, probablement choqués ou simplement gênés. La plage se scinda en deux. Au bout de quelques minutes, ceux qui étaient restés près de nous se déshabillèrent discrètement dans les minutes qui suivirent, montrant une peau non bronzée à la hauteur de leur sexe.

Nous nous levâmes tous ensemble pour aller nous baigner. Nos corps n’étaient pas encore très bronzés et nos sexes bandaient avec retenue. Toute la troupe entra lentement dans l’eau, car elle était encore fraiche. Après quelques minutes, nous sortîmes de l’eau. Je me rendis compte que Cyrielle et Dominique en faisait bander plus d’un et probablement plus d’une. J’étais couché sur le sable, collé à Camille dont je caressai doucement la peau. Je racontais à Dominique une partie de notre histoire de l’été passé et de ma rencontre avec Camille.

Cyrielle nous proposa d’aller draguer deux ou trois filles et garçons pour nous amuser ce soir, ce que nous acceptâmes avec enthousiasme. Dix minutes plus tard, elle revint accompagnée de deux couples encore en maillot : deux filles et deux garçons de nos âges. Cyrielle avait prétexté une fête dans la soirée pour les attirer et que nous étions prêts à les accueillir sous la grande tente que nous avions louée pour nous tous : il ne leur serait plus possible de regagner la terre ferme à marée haute ce soir.

La plage était à présent presque vide quand nous rejoignîmes ensemble le vallon où nous avions installé notre grande tente. Babette et Natacha vivaient ensemble depuis peu L’une brune aux cheveux coupés à la garçonne – une beurette - l’autre blonde, toutes les deux sexy. Les deux garçons, Ahmed et Tristan avaient de très beaux corps colorés. Tristan était eurasien.

Nous fîmes semblant de discuter quelques minutes mais, vite le naturel prit le dessus. Il faisait chaud et nous décidâmes que chacun de nous déshabillerait lentement son voisin. Nos nouveaux amis ne résistèrent pas très longtemps à cette proposition. Déjà, des bites pointaient derrière les slips, laissant des traces humides sur le tissu. Les culottes des filles commençaient à être tachées de mouille. Je regardai ce spectacle avec un délice pervers et jouissif.

Ahmed et Tristan avaient compris nos jeux : ils commencèrent à s’approcher de Camille et de moi et balancèrent leurs bites sous notre nez. Elles étaient belles, comme neuves, largement décalottées déjà suintantes, dures et douces à la fois. Je léchai le bout de la queue d’Ahmed, la frottai contre mon visage qui devint humide de mouille. Je sentais son membre grossir encore dans ma main. Je repris mes fouilles en léchant ses couilles, les avalant comme des bonbons à sucer et, le retournant, j’introduisis mon doigt dans son trou. Enfin j’avalai goulument sa bite en regardant avec passion Camille sucer Tristan.

Cyrielle et Dominique allèrent s’asseoir près de Babette et Natacha qui n’avaient manifestement pas côtoyé de telles anatomies. Elles étaient fascinées par elles. Claude et Pascal, tout en se masturbant, s’approchèrent de nous quatre et commencèrent à sucer nos deux bites qui étaient temporairement inoccupées. Nous étions tous haletant, criant nos désirs et notre jouissance.

Nous étions donc six garçons réunis, voulant jouer et jouir ensemble. Charlotte et Claire se glissèrent sous la tente et en ressortirent avec deux beaux godes en bois, luisants de gel. Elles s’agenouillèrent sous Claude et Pascal et commencèrent en rigolant à les enfoncer dans leurs culs après les avoir léchés, triturant ensuite leur trou. Je regardais Camille avec envie. Je lui glissai à l’oreille que j’aimerais que nous éjaculions l’un sur l’autre. Comme s’il avaient deviné notre pensée, Ahmed et Tristan se retirèrent de nos bouches et éjaculèrent sur nos visages et notre corps. Camille et moi fîmes de même. Pascal et Claude étaient encore sodomisés et sucés par Charlotte et Claire qui, de leur seule main libre se gamahuchaient avec vigueur. Ils se relevèrent tous les quatre et nous fumes submergés par des jets de cyprine et de foutre. Divin ! Nos corps se mêlèrent, ne formant plus qu’un amas glissant de bites et de chattes et de bave qui coulait de nos lèches.

Cyrielle et Dominique ne chômaient pas non plus : Babette et Natacha s’étaient enculées sur leurs bites et s’agitaient en poussant de petits cris de plaisir tout en caressant les seins de leur partenaire et en se masturbant le clitoris. Charlotte et Claire les rejoignirent en se branlant et éjaculant plusieurs abondants jets de cyprine sur les quatre filles entremêlées. Cyrielle et Dominique éjaculèrent dans le cul des deux filles qui laissaient déjà couler leur sperme onctueux de leurs culs. Charlotte et Claire se disputèrent cette crème avec frénésie. Cyrielle et Dominique introduisirent immédiatement leurs bites encore en érection dans les cons de Babette et Natacha dont les petites lèvres montraient un clitoris en érection. Babette et Natacha haletaient, prises de convulsions. Elles ne tardèrent pas à éjaculer leur cyprine sur leurs bites et leurs couilles. Charlotte et Claire quittèrent les culs pour lécher le sperme et la mouille qui se mêlaient en dégageant un délicieux parfum. Camille et moi commençâmes à les enculer vigoureusement. Je sentis tout d’un coup le cul de Charlotte se resserrer puis se détendre rapidement sous le coup d’un orgasme anal. Elle hurla de plaisir ce qui eut pour effet de nous exciter encore plus, si cela était encore possible.

Cette orgie de sensations était fantastique. Nous dégageâmes nos bites de leurs culs et, avant de nous engager dans leurs chattes, nous suçâmes avec délice leurs clitoris qui baignaient de mouille. Leur plaisir semblait être sans fin quand nous introduisîmes nos bites dans leurs chattes grandes ouvertes. Tout en embrassant Camille sur la bouche, nous éjaculâmes simultanément dans les deux cons brûlants.

Nous étions tous épuisés, repus. Nos bites pendaient, inertes. Pascal, Claude, Ahmed et Tristan s’approchèrent de nous. Soudain, de puissants jets de pisse nous arrosèrent sans fin, faisant revenir notre désir. Camille se mit à pisser dans ma bouche et j’avalais avidement son liquide tout en laissant une autre partie gicler sur mon corps. Quelques instants plus tard, je lui rendais la pareille et nous nous embrassâmes comme des fous. Sa langue se mêlait à la mienne comme jamais. Un grand silence suivi. Nous étions tous rassasiés, du moins pour un moment.

Le soleil se couchait et c’est à ce moment-là que je vis à quelques pas de nous des garçons et des filles qui nous regardaient en se livrant aux mêmes exercices que nous. Nos ébats étaient contagieux !

Nos corps étaient encore luisants de sperme, de cyprine, de salive, de pisse qui séchaient. Nous fîmes une pose pour boire et manger quelques victuailles. Le groupe voisin émettait des cris de plaisir. Le spectacle était beau et excitant. Je posai ma tête sur le ventre de Camille et contemplai la lune qui apparaissait. J’eu soudainement envie de me retrouver seul avec lui.

Nous nous écartâmes et nous allongeâmes sur des coussins de mousse pour nous embrasser amoureusement, nos corps resserrés. Lui comme moi avions confiance en l’autre et considérions nos orgies comme un plaisir supplémentaire mais finalement secondaire. Nous caressions nos corps brulants, jouissant de nos effluves et de nous sentir amoureux.

Quand nous rejoignîmes notre groupe les garçons et les filles s’étaient remis avec leur partenaire et, comme nous l’avions fait, s’embrassaient et se caressaient. Les sexes étaient encore au repos. Seul Tristan, couché sur le flanc, enculait doucement Ahmed. Nous ne pûmes résister au spectacle : je pris la bite d’Ahmed dans ma main puis dans ma bouche lui caressant les couilles. Camille suça le trou de Tristan. Je me saisis du sexe de Camille pour l’introduire dans mon trou. Il m’encula en poussant un cri de jouissance puis en ressorti pour arroser mon bas ventre de sa semence alors qu’Ahmed éjaculait dans ma bouche. Camille pris mon sexe recouvert de sperme et le suça lentement. Tristan en profita pour m’enculer et, peu après je senti sa gerbe chaude éclater au fond de mon cul alors qu’il émettait un râle de plaisir. Ce qui déclencha le réveil des sexes de nos amis.

Camille suggéra que les filles se mettent les unes à côté des autres et forment des réceptacles pour le sperme et la pisse que nous allions balancer sur elles. Nous commençâmes à nous faire masturber ou sucer par nos voisins, au-dessus d’elles qui se livraient au même exercice. Au bout de quelques minutes les premiers jets de sperme blanc vinrent couler sur leurs corps, suivi de longs jets de pisse. Je me mis à genoux et commençai à boire avec délice ce mélange qui s’était accumulé entre les seins et sur le ventre des filles. Nos agapes recommencèrent, les bites enfilant les ouvertures disponibles, les bouches suçant ce qu’il était possible de sucer.

Il faisait nuit maintenant et nous regagnâmes tous notre tente. En m’endormant, serré contre Camille, je pouvais encore entendre les ébats de nos voisins qui nous avaient observé précédemment.

Pendant une semaine, alternèrent promenades, baignades et orgies. Nous étions rejoints parfois durant nos orgies par quelques garçons et filles de l’autre groupe, un agréable complément. Mais il était temps de repartir. Après nos adieux à nos amis et complices, Camille et moi allions poursuivre notre vie amoureuse ailleurs.

Tasfam

Suite de l'histoire

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1 | 2 | 3 | 4 | 5
Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 67 | 8

ET CE N'EST PAS TOUT !
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