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Chapitre-8
Finalement, une douche et habillé, nous voilà parti chez les amis de Ludo. Je trouve que son ami me regarde un peu bizarre. Sur le chemin, l’échéance a changé: je dois garder le jus de Ludo jusqu’à la fin du repas.
Tout se passe bien mais j’ai l’impression que ce repas dure… mais dure!! Et à l’intérieur de moi ça grouille. Comme si ça faisait des bulles. A un moment je sens le jus couler. Je fonce aux toilettes mais ça a marqué un peu le pantalon. Quand je reviens, honteux de la situation, Ludo a le sourire de celui qui a gagné. Il m’avait prévenu ce soir il me démonte à nouveau. Son ami a une tête de vainqueur aussi. On finit le repas et l’après-midi, c’est bon enfant.
En partant son ami me dit à l’oreille.
« Ludo est un vrai mec, il a du bien te remplir. Tu as bien tenu malgré tout. »
Je sais surtout que ce soir c’est ma fête. On passe la soirée tranquillement mais d’un coup le ton change. Je sais ce que ça veut dire: le domi est sorti et ma place est à ses pieds pour ses moindres désirs!
« je t’avais dit de tout garder. Et tu as perdu. Tu es à moi encore plus pour la nuit et je vau te montrer ce qu’est un alpha! En attendant, à genou et fais en sorte que je sois bien raide. Ouvre la bouche. »
Le temps de réaliser, que ma bouche s’ouvre automatiquement et accueille sa queue encore flasque.
Elle ne met pas longtemps à se déployer. J’ai toujours du mal à la prendre complètement en bouche. Sauf que j’ai encore mal de la séance du matin. A chaque fois que le gland bute au fond, c’est douloureux. Je ne peux même pas lui dire car à aucun moment il ne me laisse du répit. Comme tout n’est pas encore rentré, il met ses mains derrière ma tête pour forcer. Je bave, j’ai mal mais ça ne rentre pas totalement. Il faut dire qu’à genoux comme ça ce n’est pas la meilleure position.
Je mets mes mains sur ses cuisses pour le freiner mais ça énerve Ludo.
« Tes mains!! Enlève tes mains! Tu le refais encore une fois et je te les attache pour la soirée. »
Même si je le connais maintenant et que j’ai peu de doutes sur sa capacité à le faire, j’oublie rapidement la menace. Un coup de butoir un peu fort et me revoilà les mains sur ses cuisses!
« Je t’avais prévenu!! Reste en position, ne bouge pas je reviens. »
Il revient rapidement devant moi avec de quoi m’attacher les mains. Il me les fait mettre dans le dos et les attache. C’est plutôt inconfortable car je ne suis pas très souple mais ça va.
« La! Maintenant tu es à ma totale disposition. »
C’est vrai que je suis à genou face à lui. Je ne peux qu’encaisser. Il enchaine avec une séance de facefucking intense. Je comprends littéralement l’expression « se faire baiser la bouche ».
Je bave, je pleure. Quand je vais pour m’effondrer, Ludo me tient la tête et continue.
« Tu vois ce que c’est un vrai mâle! Tu n’as jamais été baisé comme ça hein?
• …
• Si tu savais comme ton fond de gorge est bon et agréable. Je le sens sur mon gland. Bon toi, tu auras ta gorge démontée mais c’est pas grave. A chaque fois que tu avales tu te rappelleras que c’est moi ton boss, que tu n’es qu’un soumis.
• …
• Tu verrais ta tête! Tu veux que j’arrête?
• …
• Je le savais. Si je pouvais je t’incorporerais à ma queue pour que la sente tout le temps… oh j’ai une idée. recule contre le mur du bar la… voilà c’est bien! »
A cet endroit je suis bloqué contre le mur. Lui est collé au mur mais avec la poitrine au niveau du bar et donc dégagée. Je n’existe plus, je suis une gorge qui lui fait du bien. Mon champs de vision se résume à son pubis qui va et vient. Qui de temps en temps se bloque au fond pour tester ma résistance.
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La position est de plus en plus inconfortable et je profite d’un moment plus calme pour tenter de bouger et me déplier les jambes.
« Je t’ai autorisé à bouger et te lever?
• euh… non dis je en baissant les yeux
• C’est que tu ne dois pas bouger. Je vais arranger ça. »
Il récupère de la ficelle (il est vraiment équipé!) et passe derrière moi.
« Si tu bouges, je te mets une baffe! »
Comme je n’aime pas les coups, je ne m’avise pas de bouger. Je sens qu’il passe la ficelle autour de mon pouce de pied puis autour de mes couilles. Il fait ensuite pareil avec l’autre pied. Il teste le mou de la ficelle.
« Voilà qui devrait calmer ton envie de te lever
• qu’est ce que tu as fait?
• J’ai relié tes orteils à tes petites boules de soumis.
• Mais… pitié Ludo non…
• Comme ça, quand il te prendra l’envie de te lever tu sentiras une douleur pour te rappeler ta place. Et si tu te lèves rapidement ce n’est pas la résistance de ces petites boules qui va t’en empêcher… mais tu n’en auras plus.
• Ludo…
• Je t’avais dit de garder mon sperme en toi jusque la fin du repas sinon c’était ta fête.
• Mais il a particulièrement duré ce repas
• Oui, j’avais demandé à ce que ce soit long, très long
• Ils étaient au courant?
• Ahaha ben oui! Ils savaient que je m’amusais avec toi!
• Oh mon dieu!
• On en était où déjà? A oui! Je m’attablais au bar pendant que je te limais la gueule. Essuie toi car on est reparti! Cette pause m’a fait redescendre la pression, je vais pouvoir abuser de ta bouche un bon moment. Ouvre la bouche! »
Un crachat pour humidifier et je sens le gland passer mes lèvres suivi de tout le sexe dont la base plus large m’élargît bien!
La position est toujours inconfortable. Mais des que j’essaie de bouger la ficelle tire sur mes couilles provoquant immédiatement une douleur
« Ben alors on arrive pas à se lever? Regarde moi ça. Malgré ta taille, ta masse tu es contraint à rester un soumis accroupi face à ma queue. Et si je changeais de côté? »
Ludo connaît ma difficulté avec notamment les odeurs. Même s’il est propre, il ne sort pas de la douche. M’occuper de son cul serait pour moi compliqué. Mais, il se retourne et recule ses fesses vers mon visage. Je me retrouve contre la paroi du bar. Il lui suffit de reculer un peu plus et mon visage est dedans.
« Maintenant que tu es en place, lèche comme si ta vie en dépendait. Fais ça bien, mouille bien. Tu vas manger des poils mais c’est pas grave ».
Dire que je n’ai pas le choix est un euphémisme. Je ne peux pas bouger ni me lever et ma tête est pile au bon endroit. Je fais du mieux que je peux. Ce n’est pas facile mais Ludo a l’air d’y prendre du plaisir. Je le sens même moins pressant sur moi.
« Bon maintenant, il est temps que je te prenne. Mais je ne vais pas te détacher. Non, c’est trop bon de te voir souffrir et galérer.
• Stp boss détache moi
• Non! Regarde je suis assis par terre. Tu n’as plus qu’à te tourner et te laisser tomber sur ma queue! »
En me disant ça il a un sourire!! On voit qu’il prend du plaisir à me mettre dans cette situation. Et finalement sa demande est assez simple. Sauf qu’attaché comme je suis c’est compliqué.
Déjà rien que de me retourner pour me placer entre ses jambes est une épreuve à elle toute seule. Et il ne se gêne pas pour me rabaisser et faire ses commentaires. Quand je suis enfin arrivé en position au niveau de sa queue, je me rends compte qu’elle est pas lubrifiée.
« stp Ludo, tu peux cracher sur ta queue que je puisse descendre dessus.
• à part ta salive le seul lubrifiant que j’accepte c’est ton sperme. Tu le sais. Il ne sert qu’à ça d’ailleurs
• Je sais boss mais dans cette position ça va être compliqué.
• C’est ton problème salope. Mais comme je suis sympa, je veux bien te branler pour te faire sortir ton jus. »
Le problème est que dans cette position inconfortable c’est quasiment impossible. Et quand il tire sur ma queue pour me faire raidir, c’est plutôt une douleur à mes couilles que je sens. Je soupçonne même qu’il le fasse exprès.
« Je suis désolé. Je n’y arriverai pas!
• tres bien, tu n’as plus qu’à descendre et t’empiler sur ma queue. Elle, elle est raide. Comme celle d’un vrai mâle. Et non la petite bite de soumis que tu peux avoir. »
J’essaie de descendre mais difficile de me laisser glisser sans que ça tire avec la ficelle. Je pense que ça devient trop long, je le sens me positionner avec ses mains. Puis d’une pression sur les épaules, me fait m’effondrer littéralement m’empalant ainsi jusque la garde dans une douleur et un cri de ma part.
« Voilà! Au moins le passage est fait. Rassure toi, pour la suite c’est moi qui bouge. »
Il commence à osciller. Tout mon poids me pousse vers sa base large qui avec les cercles qu’il fait est en train de m’élargir. Ce jeu dure un moment. Puis il me maintient le bassin en hauteur et entame des va et viens intenses qui me détruisent le cul et me donnent du plaisir en même temps. Heureusement, je mouille du cul ce qui facilite la suite. Il se cale et éjacule de nombreux jets à l’intérieur.
« Mmmh je t’ai bien fécondé. Maintenant, nettoie moi cette queue.
• non, c’est degueulasse! Elle sort de mon cul, et elle est gluante.
• C’est un ordre! »
Comme je n’obtempère pas de suite en voyant son morceau certes plus raide mais toujours imposant qui se balade devant mon visage, je me prends une baffe. Au moment où j’ouvre la bouché pour me plaindre, il met ses doigts dedans, écarte bien et fait glisser lentement sa queue à l’intérieur pour que j’en « profite » au maximum. J’ai le cœur au bord des lèvres mais lui est content de ce qu’il me fait. Son but est que je me jette sur sa queue par la suite dès qu’elle sort de mon cul. Il a encore du boulot!
Une fois sa bite nettoyée, il me libère les couilles et me fais me lever. Je suis content de pouvoir me déployer. Je pensais avoir les mains libérées mais mon espoir est de courte durée. Il m’annonce me les laisser attachées pour la soirée et sûrement la nuit. Nous allons dans la chambre et une fois contre le lit il me pousse. Je n’ai pas moyen de me retenir et tombe de tout mon poids. Le système du lien lui plait. Ludo me menace de s’en resservir. En attendant, il me conseille de me reposer pour être en forme quand il revient. Il sort de la chambre et ferme la porte à clef.
Shernabog
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