À mon taff

Depuis notre deuxième baise avec le Père de mon pote la tension était monté d’un cran. Ce n’était plus la timidité et la peur qui m’animait, mais bien l’excitation et l’envie d’être désiré.
Échange de SMS très chaud, photo explicite ,etc…on ne se gênait plus. Il me dirigeait par message et me demandait de faire des choses que j’exécutais sans tarder.
Je me prenait en vidéo dans des cabine d’essayages en train de me caresser le cul ou dans ma chambre en train de me mettre des doigts et de gémir, de prendre un gode et de le sucer etc…j’ai même été jusqu’à m’ejaculer tout seul sur le visage pour lui envoyer ma tête pleine de sperme.

Pas longtemps après la deuxième fois il est venu a mon travail sans rien me dire.
Je bossais dans un starbuck.
J’étais au début un peu stressé et puis très vite je me suis excité tout seul a m’imaginer des trucs ici, a mon travail.
Je lui sers son café il me dit « a bientôt » et s’en va.
J’ai réfléchi et j’ai demandé a mon boss une pause, n’en demandant jamais.
je lui ai écrit « attend moi j’arrive » et j’ai pris un café puis je l’ai rejoint.
Il m’attendait devant sa voiture . Je suis monté direct derrière et lui a commencé a monter devant.
Je lui dit « non viens derrière »
« Quoi tu veux faire ça ici? »
« beh Oui ^^ vite j’ai que 5 minutes »

Heureusement il avait un gros 4x4 et c’était difficile pour les gens sui marchaient de voir quoi que ce soit.
Alors j’ai dezippé sa braguette et je l’ai sucé. C’etait une pipe plutot calme et sensuelle, comparé aux 2 premières. La situation m’excitait trop. J’étais a coté de lui sa bite dans ma bouche a 100 mètres de mon travail. Il a sorti son tel et à filmé. Zéro timidité. Je jouais avec la caméra je souriais, j’etais aux anges.
Et au bout de 5 minutes je lui ai dit « faut que tu finisses je dois y retourner »
Alors il s’est concentré m’a appuyé un peu sur la tete et m’a giclé dans la bouche. Il etait en extase.
Et j’ai fait un truc qui l’a encore plus excité : j’ai pris mon café j’ai ouvert et j’ai tout recraché dedans puis j’en ai bu avec un air satisfait en disant
« Je vais boire ton sperme devant mes collegues et personne le saura »
Il était la bouche grande ouverte, comme choqué.j’ai fait un bisous sur son gland puis pincé pour faire sortir ce qui restait dans le tube, puis une petite leche et je suis parti en buvant mon café.
J’etais fier de moi.
Tout était parfait, le fait que ce soit pas prémidité, l’idée du café, le fait qu’on aurait pu nous voir etc…une de mes fois préféré.
De retour au taff j’ai pris une vidéo de moi buvant mon café en fixant la caméra avec un sourire en coin

Il m’a repondu « t’es la meilleure chose sui me soit arrivé dans ma vie »

Je lui disait des choses du style « je suis ta petite pute je ferai tout ce que tu veux je suis a toi, rien qu’a toi, j’veux que tu me baises jusqu’a ce que je te supplie d’arrêter »

Ça le rendait fou.
Il commençait de plus en plus a me parler de sodomie moi je lui disais non je voulais que sucer a l’époque. Des doigts me suffisaient.
Et un jour, j’étais tellement excité j’ai essayé. Je me suis godé dans ma chambre en me filmant. En gémissant doucement. Comme il aimait. C’etait pas mal.

Il m’a envoyé : « je vais t’éclater le cul »
Moi « non non je veux que sucer »
Lui « ferme la ! t’es en train de te goder le cul en pensant a moi et tu gémis de plaisir, qu’est ce qu’il te faut de plus ??
T’as dit que tu voulais être ma pute ? Tu vas l’être et tu vas adorer ça vu comment tu te tortille avec un gode »

Moi « non mais c’est pas gros ça c’est pas comme ta bite… et puis c’était juste pour t’exciter»

Lui « relis tes messages, JE SUIS TA PUTE FAIT CE QUE TU VEUX DE MOI JE SUIS TA PETITE CHIENNE ANÉANTI MOI SOUILLE MOI TANT QUE TU LE VOUDRAS JE FERAIS TOUT »

C’etait pour le faire bander c'était des mots, j’étais jeune .
Mais lui c’était un Papa qui s’ennuyait sexuellement et qui avait un mec de 20 ans tout beau tout frais a ses pieds qui le suçait comme si il était payé pour et qui l’implorait de l’anéantir. Normal qu’il était fou.

Alors j’ai pas repondu.
Si il ne comprenait pas que je ne voulait pas je n’y pouvais rien.
Je ne voulais pas arrêter définitivement juste le temps qu’il arrête .

Mais voila. 2h après ça a sonné. Ma mère a ouvert. Il était 21h.
Il s’était déjà vu ca faisait 10 ans qu’on se connaissait avec mon pote.
« Ah beh ça fait longtemps !! »
Lui « oui 2ans au moins pour les 18 ans de mon fils »
Ma mere « Comment ça se passe avec sylvie ? (Sa femme) »
Lui « Pas très bien »
Ma mere « ah mince pourquoi? »
« j’ai rencontré quelqu’un d’autre et je lui ai dit »

J’avais la bouche grande ouverte et les yeux aussi. Il a pas pu faire ça non…
Je devais sortir de ma chambre.
J’ai fait comme si de rien n’était en lui disant bonjour.
Ma mère n’avait jamais su et je ne voulais pas qu’elle sache que j’etais bi,et il savait. Il m’avait déjà demandé de faire ça chez moi et j’avais dit non pour ça justement.
Il savait comment m’atteindre.

Le moment le plus gênant de ma vie.

Et le pire du pire, c’est que ma mère lui faisait a moitié du charme.
« Hésitez pas a repasser boire un café ou quoi un de ces 4 »
Lui « avec plaisir je sais que Thomas fait bien les cafés »en me regardant
Ma mère « ah bon ? »
Je ne faisait jamais de café chez moi, ma mère avait une vieille cafetière et j’aimais que les cafés avec plein de sucre et plein de truc dedans.
J’etais rouge.
J’ai bafouillé et je suis parti.
j’ai envoyé un message « t’es un connard ».

Puis le discussion s’est finit il est parti.
Et 2 minutes plus tard j’ai reçu « ca y est tu me reponds? »
Moi « T’es un con, vraiment »
Lui « viens je t’attends devant le collège ou on s'est vu la première fois».
J’habitais juste a coté.

L’imaginer flirter avec ma mère c’était pas possible je devais le laisser me baiser.
Alors j’y suis allé, sans caleçon , juste en short.
je suis arrivé devant lui, j’ai dit
« T’as pas fait ça tu lui as pas dit qu’on faisait des trucs ensemble ??!!
Lui : « j’ai pas dit que c’était toi mais je lui ai dit que je voyait quelqu’un de 20ans.
Moi « t’as pas intérêt a lui dire ! »
Lui « sinon quoi ? Tu vas l’dire a ***** » (son fils)
Il savait que je le ferais jamais.
« C’est l’inverse, c'est si t’arrêtes que je lui dit, j’ai deja perdu ma femme, je peux tout perdre pour toi »
…
« tu vas monter, je vais t’éclater, tu vas supplier d’arrêter, comme ça t’auras eu ce que tu voulais.
On est allé dans un coin que je connaissais, sans personne, je me suis deshabillé pendant qu’il roulait, juste gardé mon t shirt, arrivé a l’endroit il est sorti, a ouvert ma porte, m’a aggripé par les cheveux, m’a plaqué contre le capot, baissé mon short a craché sur sa main avant de me mettre 2 doigts, et a enfoncé difficilement sa bite en moi.
C’etait sec et pas agréable, mais j’ai encaissé. Je me rappelle ne pas avoir aimé. Pas au point de vouloir qu’il arrête, parce qu’étant soumis, le fait qu’il ait su obtenir ce qu’il voulait sans que je puisse rien y faire m’excitait un peu.
Mais j’ai quand même fait ce qu’il voulait.
« arrête je t’en supplie arête !! »
Et plus je le suppliait plus il était dur et excité.
C’était vraiment très violent. Et au bout de 3minutes de baise qui m’ont paru 10, il a ralenti et m’a giclé dans le cul en gemissant comme jamais.
Il est ressorti, et j’ai senti du sperme couler le long de ma cuisse. Je suis resté comme ça, impuissant.
Puis il m’a agrippé les cheveux et a tiré en arrière fort. avant de me dire «t’inquiète tu vas finir pas adorer ça, sale pute. »
Il m’a remonté le short, m’a jeté dans la voiture, puis arrivé devant, m’a dit « descend »
Alors je suis descendu et je suis rentré chez moi son sperme coulant le long de ma cuisse.

J’étais partagé de plusieurs émotions mais le lendemain en y repensant j’étais excité alors je lui ai écrit « merci »
Il m’a répondu « me remercie pas remercie la nature de t’avoir fait autant aimé ma bite »

J’avais crée un monstre. On passait de « on va s’amuser un peu et on en reparlera plus »
A «tu vas finir par adorer sale pute »

Et effectivement j’ai fini par adorer.
Il ne s’est pas passé une fois sans qu’il ne me pénètre violemment mon petit cul de chienne.
Je ne voyais presque plus mon pote, trop occupé à rebondir sur la bite de son père.