Chapitre-1
Je m’appelle Marcos, franco-colombien de 25 ans. Je vais vous raconter ma dernière virée bien chaude dans un sauna.
Il fait frais en ce mois de mars, mais depuis quelques jours, le soleil est de sortie. Après des mois de grisaille et d’humidité je suis ravi de sentir ses rayons réchauffer ma peau cuivrée. Moi qui ai grandi dans le soleil de Cali en Colombie, je souffre parfois de la longueur des hivers français alors ces quelques journées ensoleillées de printemps me mettent de très bonne humeur.
Je suis de passage pour quelques jours à la capitale et je compte bien en profiter pour m’amuser un peu. J’ai prévu de sortir faire la fête avec des amis, danser, me promener dans les beaux quartiers, aller voir quelques expos, manger au restau, m’acheter quelques fringues… Bref, profiter un peu de la vie parisienne, j’habite loin dans une petite ville et je ne viens que trop rarement. Quand je vous dis que je pense à m’amuser, c’est aussi en profiter pour faire de belles rencontres bien calientes…
Je suis bisexuel et très joueur tant avec les femmes qu’avec les hommes. J’aime prendre et donner du plaisir dans tous les aspects de ma vie. On n’en a qu’une, il faut la vivre pleinement ! Je fréquente plus généralement des femmes et entretiens quelques relations amoureuses, plus ou moins stables, plus ou moins libérées… mais parfois, j’avoue que je ne dis pas non à une bonne dose de testostérone. Mais chut, c’est un secret. Pour mon entourage, je suis Marcos, le charmeur des soirées, qui utilise son petit accent, son sourire et son sens de la fête pour faire tomber les femmes dans ses bras. Mais parfois, je me plonge incognito dans le milieu gay pour des histoires chaudes, très chaudes.
Et je compte bien profiter de cette virée parisienne pour faire quelques dérapages avec les beaux mecs de la capitale. Depuis quelques mois, je fantasme sur l’idée d’un sauna gay. Etre immergé dans un lieu rempli de mecs nus, dans la chaleur et les vapeurs, venus pour baiser sans pudeur, exhiber leurs corps et leur sexualité… rien que d’y penser hier dans le train, j’en frissonnais et je sentais ma queue se gonfler. Et aujourd’hui, enfin, je passe le pas, les mains quelque peu tremblantes en avançant vers ce temple de la luxure.
Arrivé dans cet immense sauna parisien, le stress fait très vite place à l’excitation. Serviette autour de la taille, je repère les lieux, dédale des plaisirs s’offrant à moi pour quelques heures. J’arpente les différents étages, croisant des mecs de tous âges. On s’observe, on se sourit, on se frôle parfois. Je ne m’arrête pas. Pas tout de suite. Je veux m’imprégner pleinement de la tension sexuelle qui règne ici, m’y couler, la sentir pulser en moi dans chacune des fibres de mon corps, avant de passer à l’action.
Je repère quelques belles silhouettes athlétiques, des corps musculeux et puissants, des démarches félines et souples, des culs prometteurs avec un rebondi appétissant sous les petites serviettes, je lorgne sur les queues qui se balancent fièrement et lourdement au détour d’un couloir… Je souris en croisant quelques regards appréciateurs sur mon passage. J’ai quelques atouts avantageux. De taille moyenne, 1m75, sous ma peau hâlée (même en hiver), roulent des muscles saillants entretenus par diverses pratiques sportives. L’athlétisme pour des cuisses robustes et des mollets dessinés, assez poilus pour un latino. L’escalade pour un torse sec et tonique, abdos saillants, pectoraux et bras marqués sans avoir l’air de sortir de prendre des prods. La natation pour un dos puissant sur lequel on prend plaisir à s’aggriper à l’heure du « delicioso » comme on dit chez moi. Ma démarche est souple, assurée… hé, je suis caleño, j’ai grandi dans la musique et la danse, j’assume mon corps, je l’aime, il est là et il clame à tous qu’il est objet et source de plaisir. Je me sens bien, je me sens désiré, ça y’est tous mes sens sont désormais en éveil. Que la fête commence !
Je vais faire quelques longueurs dans la piscine. L’eau est fraîche, je suis nu. Nous sommes quelques uns à nous exhiber, à nous observer. Je sors, l’eau perle sur mon torse. Un des nageurs passant devant moi, me caresse furtivement mais significativement la queue. Je lui adresse un clin d’œil coquin. Il ne me plait pas plus que ça, mais on est là pour se chauffer non ?
Je me dirige vers le hammam. Chaleur moite, vapeur, lumières rougeoyantes. L’ambiance est caliente putain. Les serviettes sont tombées. Certains sont en pleine action au fond de la salle. Il fait sombre on ne les distingue pas bien mais j’entends clairement les couinements des passifs, les râles des actifs et les claquements des corps qui s’entrechoquent. Je m’installe et défait ma serviette. Ma queue est déjà bien gonflée. Je la sens qui se soulève et qui commence à durcir. A se dresser timidement d’abord et de plus en plus fièrement. Je ne suis pas un étalon, 18cm, mais ma queue est très réactive, parcourue de veines, bien droite, plutôt épaisse, avec un gland rosé luisant et surtout bien dure. Et ici, elle est à son aise. Je repousse quelques mecs qui veulent y goûter où y toucher sans trop demander. M’exhiber ok, mais pour toucher, je veux qu’on soit d’accord, je ne suis pas un jouet non plus.
Soudain, je repère à 2 mètres de moi, un daddy qui me regarde attentivement, tranquillement assis, le torse velu luisant de sueur. Je croise son regard. Il est posé, calme, sûr de lui, la bouche légèrement entrouverte, des gouttes perlant le long de sa lèvre. Je sens un frisson me parcourir le long du dos. D’un regard ce mec m’a électrisé. On se regarde intensément. Je commence à caresser ma queue qui prend du volume. Il ouvre sa serviette et fait de même. Malgré la brume et les lumières tamisées du hammam, j’aperçois une queue lourde et épaisse qui repose mollement entre ces cuisses poilues. Le mec me fait un signe de tête et je me rapproche. Assis à côté de lui, je peux désormais détailler ce beau corps de mâle, velu, costaud, légèrement enrobé, le regard de braise et cette magnifique queue encore au repos sur laquelle il passe ses doigts. Nos cuisses se frôlent, je sens un nouveau frisson. Il pose sa main sur ma cuisse et comment à la caresser doucement. Ma queue se dresse, il me sourit. Ma main passe elle-aussi le long de sa cuisse, lentement d’abord, puis s’attarde en haut, s’aventurant vers le bel engin qui n’est plus tout à fait mou. L’épais chibre du mec commence à gonfler tandis que le mien est déjà au garde-à-vous. D’un même mouvement, nous attrapons chacun la queue de l’autre. Putain, elle est bien chaude, assez impressionnante au creux de ma main. On commence à se branler lentement. Autour de nous, quelques regards se tournent, plusieurs mecs se touchent ostensiblement en nous matant. On entend toujours des gémissements de plaisir dans la pénombre du fond du hammam. Un mec aventureux s’assoit à côté de moi et approche sa main de ma queue. Je le repousse une première fois. Il insiste en commençant à me caresser le torse, je le repousse plus fermement d’un coup d’épaule et d’un regard agacé. J’ai envie d’un moment à deux pas d’une partouze. Je me colle à mon partenaire, passe mon bras droit autour de son épaule, ma cuisse droite sur la sienne, j’attrape sa teub de la main gauche et reprend la branle. Il lâche un gémissement. Nos corps sont collés, glissants, brûlants. Je tourne ma tête, il tourne la sienne. Nos yeux se croisent intensément. Je me penche et lui roule une pelle dont il se rappellera. Je sens sa queue sous mes doigts se tendre de tout son long. Il est sacrément bien gaulé le salaud. Un bon 21 cm redoutablement épais. Il est toujours agrippé à ma teub qu’il serre fort dans son poing en lui imprimant un tonique va-et-vient. Il va falloir qu’il y aille doucement sinon je vais jouir au milieu du hammam.
On continue de jouer un moment comme ça, l’un contre l’autre. Je me caresse le torse luisant et les tétons en même temps qu’il me mordille le cou. Je jette un regard coquin autour de moi. Les autres mecs ont compris que je ne voulais pas qu’ils s’approchent. J’essaie cependant de leur offrir un peu de spectacle.
La température commence à être suffocante. Je glisse à l’oreille de mon daddy « et si on allait dans le jacuzzi ? », « Oui, tu m’as donné très chaud » qu’il me répond d’une voix grave avec un léger accent chantant. Mmh ce mec est étranger lui-aussi !
Je me lève, m’étire en faisant ostensiblement rouler mes muscles sous ma peau luisante de sueur et de vapeurs. Nous passons rapidement sous la douche. Le mec est massif, puissant, poilu. Il respire le mâle. J’attrape sa queue sous la douche à pleine main et le tire vers moi pour lui rouler une nouvelle fois une bonne pelle. Il lâche un gémissement. Direction le jacuzzi. L’eau fait du bien. L’un à côté de l’autre, massés par les bulles, nous profitons. Un couple est dans l’eau en train de se câliner tendrement. Rapidement, nous nous enlaçons à notre tour. Je caresse ce corps vigoureux, empoignant son cul bien ferme, faisant glisser mes mains le long de son dos, tenant sa tête pendant que je mordille son oreille ou fourre ma langue dans sa bouche. Je suis entreprenant, il a l’air d’aimer ça. Il gémit. Commence à lécher mon torse, il me mordille les tétons le salaud. C’est à mon tour de gémir. Soudain il plonge la tête sous l’eau et je sens ma queue se faire aspirer. Il la fait coulisser une fois, deux fois, trois fois. Je ne vois que le haut de sa tête qui sort de l’eau et m’éclabousse. Il s’y prend à merveille. Il se redresse tout sourire et me glisse « elle est très bonne ». Pas de doute, le mec est italien. « Moi c’est Marcos, je lui murmure à l’oreille, je suis colombien et j’ai très envie de poursuivre tout ça », « Moi c’est Aldo, me répond-il, je viens de Rome et je suis là pour quelques heures encore ». Son clin d’œil me fait comprendre qu’il a bien l’intention de me garder comme partenaire de jeu aujourd’hui. « Alors c’est à mon tour de te faire plaisir », dis-je. Je le pousse contre le rebord du jacuzzi et l’enlace entre mes jambes, collant mon torse contre son visage et plaçant sa belle teub le long de ma raie. Je la fait coulisser par de lents mais puissants mouvements de bassin. Je sens tout son corps se tendre. Des années de bachata, je sais que ce mouv’ les rend dingues ! Je continue, je sens sa queue épaisse plus dure que jamais. Redescente, on continue à se rouler des pelles en se caressant. Je viens titiller sa rondelle avec mon pouce. Il me sourit. Putain, il aime ça aussi. On se branle comme des dingues. Je suis obligé de lui faire lâcher ma queue sinon j’envoie la sauce. Il rit. « Je t’excite hein ? ». Comme si ça n’était pas une évidence.
« J’ai vu des cabines là haut, on sera tranquilles », lui dis-je. « Ok ». L’atmosphère est fébrile. Je remarque à peine les mecs qui nous regardent passer, nos queues au garde-à-vous. Quelques capotes chopées au passage sur le comptoir du bar. On va se la donner. Nous trouvons une cabine vide, sombre, on s’y jette dedans en s’embrassant. Je suis tendu comme jamais. Ce gars avec son accent italien, sa grosse queue, ses mains douces et fermes, son corps puissant, me me pone comme on dit. Je sens que je l’excite aussi. Il ne cesse de caresser mon torse en murmurant d’un ton appréciateur. « T’as une belle bite, me dit-il, je la veux ». « Amuse-toi papito ».
Il s’allonge sur le côté et je viens lui offrir ma queue tendue à la bouche. Il la commence par gober mes couilles rendues bien lourdes et pendantes par le passage dans l’eau chaude. Je les sens rouler entre ses lèvres. Il gobe ma queue ensuite, avec douceur puis avec avidité. Je m’allonge sans lui enlever son nouveau joujou de la bouche et me tourne pour m’occuper de la sienne. Elle est impressionnante. J’ouvre grand la bouche pour faire entrer son gland brun. Il passe. Je fais suivre le reste en m’y reprenant en plusieurs fois pour l’avaler jusqu’à la garde. Sa queue à un goût légèrement salé. Elle me remplit la bouche. Je sens ses hanches commencer à onduler. Je me rends compte que les miennes aussi depuis tout à l’heure, impriment de puissants va-et-vient dans sa bouche experte. Je relève le défi. Je joue avec ma langue le long de cette tige, j’entoure son gland, je malaxe de ma main deux énormes couilles brûlantes, la reprend en bouche pour la faire descendre en fond de gorge. Il arrête sa pipe le temps d’un râle. Je sens le précum couler. Il se laisse aller.
Je lui lance en me relevant : « et maintenant, tu veux quoi ? »
Il se retourne à quatre pattes et me réponds « les mêmes coups de hanche »
Je ne me le fais pas dire deux fois. J’enfile une capote et lui saute littéralement dessus. Il a le cul bien ouvert le salaud ! Sous ses airs de daddy actif bien membré, c’est en fait un bon passif qui attend de se faire chevaucher.
Je rentre sans aucun problème dans ce beau cul musclé et poilu. A peine mon gland est-il entré qu’il lâche un râle, puis ma queue calée au fond de son cul, le râle bien viril se transforme en couinement de plaisir. Je commence à le travailler, mes hanches ondulent de toutes leurs forces pour permettre à ma queue d’explorer les moindres recoins de ce boule offert, bien tendu en l’air. J’augmente la cadence, le rythme devient intense, ses couinements se transforment en cris. Il halète. Moi aussi. Mes abdos commencent à être brûlants, les claquements de mes testicules sur son cul se font plus intenses. Je le chevauche il commence à me lécher le pied mais abandonne rapidement. Il hurle, son orgasme monte, encore et encore. Je sens le mien arriver aussi. Je retire ma queue, enlève la capote, il se retourne, on se branle l’un contre l’autre. Je lâche 9 jets de jus bien épais sur son torse. Dans les deux secondes il lâche lui aussi sa purée, moins explosive mais sa queue s’écoule en continu, une quantité impressionnante dégouline le long de sa hampe et vient se coller dans sa forêt de poils noirs.
Nous finissons par nous embrasser longuement, nos torses collants de jus. Puis c’est la douche. Serrés dans la cabine, on se savonne mutuellement. Une petite pipe mutuelle nous faut repartir l’un et l’autre. On se vide tous les deux une dernière fois avant de repartir en se murmurant un "merci" complice.
Je ne garderai aucun contact avec Aldo. Mais un souvenir incroyablement torride Et retournerai pour sûr faire d’autres rencontres dans les saunas…
Marcos
marco.rodrigo1994@gmail.com