Chapitre-1
Cette histoire aurait pu mieux commencer mais alors, peut-être n’aurait-elle jamais eu lieu. En effet il me faut malheureusement avouer qu’elle trouve son origine dans une affaire de menaces de diffusion de mes nudes par un maître chanteur sur le net.
Le coup classique, un mec de bel aspect a réveillé mes envies sexuelles les plus sensuelles et m’a demandé des photos chaudes de moi. Flatté par l’intérêt qu’il m’a porté j’ai accepté ses demandes et lui ai envoyé les pics en question. L’échange s’est poursuivi quelque minutes et alors que je venais de lui donner mon numéro de téléphone, le ton a changé.
Soi-disant seul avec sa cousine dont il avait la charge, il me demande 800 € sans quoi il diffusera mes photos sur internet. Pris de panique je saute dans mes vêtements et file à la gendarmerie du coin. Le hic c’est que vivant dans un endroit que d’aucun qualifierai d’authentique pour ne pas dire que c’est le trou du cul du monde, la gendarmerie se trouve à une quinzaine de minutes en voiture.
Arrivé devant le bâtiment je sonne et entends une voix qui me demande de pousser la porte pour entrer. Un homme d’une cinquantaine d’année m’attend, et avec une voix aussi aimable que le grincement de la porte d’un cachot me demande ce qui m’amène (l’envie de jouer à la belote tiens). Il demande à voir la conversation et les photos envoyées, il regarde le tout avec intérêt avant de me rembarrer sur mon inconscience à partager ce genre de contenu. Je n’en mène pas large car l’autre idiot continue de me menacer par message. Mais il va être midi et la pause méridienne est sacrée, je dois revenir à 14 heures pour déposer ma plainte.
Je décide alors de me rendre en ville pour grignoter un bout et tromper le temps et l'ennui. Dans le stress je ne remarque pas les hommes qui m'entourent et pourtant, d'habitude mon radar de chienne n'en loupe pas un. Bref c'est la loose.
A l'heure dite je me trouve de nouveau devant la gendarmerie, et là, surprise c'est un homme de 35 ans environ qui m'ouvre. Un mètre quatre vingt-cinq, des épaules larges et des hanches étroites. Un torse à l'air développé et de grands pieds enfermés dans les Rangers. Je ne suis pas fétiche mais je dois avouer que les Rangers font tout de même leur petit effet sur moi. L'homme est sûr de lui, viril jusqu'au bout de ses cheveux blond-roux.
Bonjour Monsieur, mon collègue m'a averti de votre venue, suivez-moi. Le gendarme est autoritaire mais pas dénué d'humanité, la force de l'habitude sans doute.
Dans le couloir, j'ai le loisir de constater le côté félin de sa démarche et la beauté de son petit cul moulé par son pantalon. Il me fait entrer dans un bureau dénué d'âme et de personnalité. Un bureau semblable à mille autres. Je pose ma besace au sol et je m'assois à son invitation. Le dépôt de plainte commence, il me demande les faits et les transcris de manière totalement factuelle sur son rapport. Là où cela se corse c'est quand il me demande de lui envoyer tous les screen que j'ai pu faire de mes échanges avec mon maître chanteur. Merde, il va me voir à quatre pattes la rosette bien en évidence. Il va aussi voir le gode que je m'enfile pour me soulager quand je n'ai pas de vraie bonne bite à disposition. Il va aussi voir ma bite, merde !
Pour gagner du temps je me penche pour attraper mon téléphone dans mon sac, ce qui ne calme pas mes pulsions lorsque je constate qu'il est assis les jambes bien écartées et avec les pieds légèrement détendus au sol. Je me sent rougir mais je ne peut pas rester dans cette position indéfiniment, je me relève en priant pour qu'il mette la rougeur de mes joues sur la honte. Je lui tends mon téléphone portable, ouvert sur la conversation, et donc sur les photos. Je le voit rosir légèrement, il se racle la gorge et me rend mon cellulaire en me demandant de lui envoyer les photos sur son mail pro.
Je m'exécute, la mort dans l'âme et en même temps intrigué par sa réaction. A la fin de la démarche, l'officier me raccompagne jusque la sortie en me laissant son prénom, Matthieu. Il serre ma main qui se noie dans la sienne. Un frisson me parcourt et semble l'atteindre aussi.
Rentré chez moi, je me désape et file prendre une douche. Je vois mon gode sur le bord du lavabo, et le feu aux fesses en songeant à mon gendarme je m'en empare.
Je lubrifie mon anus avec du gel à effet froid, pendant que je suce goulûment mon gode. Imaginant qu'il s'agit du membre chaud, veiné de mon officier. Oublié le stress du matin, je ne songe plus qu'à lui. Le gland de mon jouet est posé sur mon anneau et je le fait rentré, le souffle coupé car j'ai pris le plus gros que j'ai trouvé. Cela me lime les parois mais c'est bon, je respire, me détend et commence les allers et retours. Bientôt, beaucoup trop à mon goût, je sent la chaleur s'emparer de mon ventre, de mon cul. Mes boules remontent et tressautent, mon sexe est saisi de spasmes. Dans un gémissement de plaisir mon sperme gicle avec une force rare.
Lepassif