Pendant une belle randonnée sur les hauteurs du Jura, il m'est arrivé une histoire qui me fait encore bander aujourd'hui.
Tout a commencé un beau matin d'hiver où j'ai décidé d'aller me balader non loin de chez moi sur les hauteurs du Jura. Les paysages étaient magnifiques. J'étais parti pour 2 jours de randonnée. Seul, avec mon sac à dos et de quoi manger, il y avait un refuge à moitié de la randonnée qui faisait environ 40 km. Après 20 km j'aperçois le refuge et décide de m'y arrêter pour la nuit.
Après avoir mangé mon casse-croûte, je m'assoupis.
Soudain j'entends la porte claquée, je me réveille en sursaut, je vois un grand mec d'au moins 1,98 m musclé dans l'encadrement, je lui dis bonjour, il ne répond pas. Et là, il se jette sur moi et me met une chaussette avec du chloroforme devant la bouche et le nez. Je perds connaissance.
Je me réveille avec les bras endoloris, les yeux dans le noir. J'essaie de me lever, mais mes chevilles sont attachées entre elles. J'essaie de crier, mais quelque chose dans ma bouche m'empêche de le faire, aucun son ne sort. Je commençais à flipper, je me demandais bien ce que me voulait cet homme.
J'étends une porte claquée et des bruits de pas autour de moi. Je me sens soulevé et déposé sur quelque chose de chaud, mais sacrément odorant. Et là, mon ravisseur commence à me dire :
– « J'espère que tu aimes les odeurs assez fortes, tu es sur mon tas de chaussettes à salope, salope que je te précise, c'est bien sale et sacrément odarante, rien que pour ton plus grand plaisir, sale chienne ! »
Il n'avait pas besoin de me le dire, l'odeur était très forte.
Il continua :
– Je t'explique ce qui va se passer, tu vas m'obéir et me servir et tout ira bien pour toi, sinon je te promets que tu vas morfler, en ricanant, il ajouta : « De toute façon, tu vas morfler dans tous les cas. Je me suis permis de regarder ton portable pendant que tu faisais ta sieste, j'ai lu tes messages Grindr et j'ai vu que tu aimais bien te faire baiser comme une chienne. » Je sais même tous tes fantasmes avec Reel39. Tu voulais qu'il t'organise un kidnapping et qu'il te baise pendant plusieurs jours, que tu sois à sa disposition. Ça tombe bien, on dirait, c'est ce qui va se passer. J'ai aussi lu que tu étais en vacances, et tu n'as pas l'air d'avoir beaucoup de contacts à qui tu écris. Ça va être simple : personne ne va te chercher.
Je commençais à stresser, je ne savais pas qui était cet homme, mais en l'espace de ma sieste, il avait l'air d'avoir eu le temps de regarder toute ma vie. Un téléphone, ça peut-être dangereux… Il avait raison. Je n'avais dit à personne que je partais en randonnée à part un plan Grindr, mais sans nouvelles de moi pendant plusieurs semaines, c'est à son habituel de ma part. Avec mon travail, je suis commercial, je ne suis pas souvent chez moi.
Mon kidnappeur commence à me parler :
— Donc, du coup, je t'explique : je vais t'enlever ton bâillon, et tu vas me sucer. Si tu mets les dents, je te les arrache comme ça, c'est clair ?
J'acquiesce de la tête, il enlève sa chaussette odorante qui est bien imbibée de ma salive. Je n'ai presque pas le temps de reprendre mon souffle qu'il m'enfoure sa bite dans la bouche en gorge profonde, je déglutis et me dit qu'une salope comme moi, ça suce les mecs alphas sans problème. Sa bite est petite d'après lui, 23 cm, ce n'est pas ce que j'appelle petit moi.
Il me lime la bouche pendant 25 bonnes minutes.
Il me complimente : « Tu suces bien salope, et tu es assez endurante, et tu suis bien mon rythme, on voit que tu as l'habitude. »
Je sens sa main effleurer ma bite, il voit que je bande, suce une bite, ça m'excite toujours.
— Tu bandes salope ! Je savais que tu aimais ça ! Quand je t'ai vu avec ton petit déhanché lors de ta randonnée, je me suis dit que tu aimais la bite. Dit-il.
Il baisse mon pantalon et mon boxer et commence à me branler la bite. Il sort sa bite pour me sucer, je commence à faire des petits gémissements de plaisir. Ça n'a pas l'air de lui plaire : il me fourre ses doigts dans la bouche. J'aime me sentir soumis à un mec et on ne m'avait jamais sucé comme ça. Quand il commence à sentir mon sexe se raidir, il enlève sa bouche et me dit qu'elle n'est pas une salope et n'avale pas du sperme et surtout d'un bâtard comme moi. Je sens quelque chose de chaud et humide se poser sur ma bite, c'est la chaussette que j'avais dans la bouche qu'il vient de m'enfiler sur ma bite et commence à me branler activement. Je n'arrive pas à lui dire que je vais jouir parce que j'ai toujours ses doigts dans ma bouche. Je jouis dans la chaussette, il retire ses doigts, je l'entends ouvrir un placard, et il revient vers moi. Il retire la chaussette et commence à m'insérer quelque chose dans l'urètre. Je crie : ça me fait mal, il me donne une baffe qui me sonne, je sens quelque chose passer derrière mes couilles, et j'entends un clic. Il m'enlève ce que j'avais devant les yeux, je le vois : il est toujours aussi grand, sa bite est bien raide. Il a une cagoule sur la tête, il me dit :
– Regarde ta bite, elle est quand même mieux comme ça, j'espère que tu as bien joui et profité parce que tu n'es pas prêt de te réjouir.
Je regarde ma bite qui est enfermée dans une cage de chasteté. Je n'en avais jamais porté.
– T'inquiète pas, tout le monde dit que ça fait mal les 15 premiers jours et après on s'habitue.
Je reste bloqué sur ce qu'il vient dire les 15 premiers jours. Il compte me garder combien de temps comme ça ? Il part fouiller dans un placard, pendant ce temps, je commence à regarder autour de moi : on était dans une pièce assez vide avec des placards sur les côtés de la pièce. J'étais sur un tas de chaussettes sales, ça devait être mon matelas de fortune, une odeur assez forte en émane. Il devait avoir au moins 150 paires de chaussettes assez épaisses. Il revient vers moi avec un bâillon et un entonnoir, je commence à comprendre ce qu'il va faire et je commence à crier et à essayer de me débattre, mais les liens que j'avais été très serrés. Il arrive à me le fixer et commence à mettre des chaussettes dedans. Je ne comprends pas ce qu'il compte faire : il commence à me porter et me fixe contre un mur et se met devant moi la bite au-dessus de l'entonnoir.
– Je pense que tu ne comprends pas trop ce qui t'arrive, c'est dur, je vais pisser dans l'entonnoir et du coup ma pisse va se mélanger avec mes chaussettes, tu n'en aurais qu'un peu qui va couler dans ta bouche, mais n'inquiètes pas, après il y aura une paire de chaussettes pour toi, celle avec ton sperme et une avec ma pisse pour que tu sentes comme quoi tu es une sous-merde.
– Le jet commence à couler et des petits flots coulent dans ma bouche. C'est la première fois que j'essaie l'euro, je ne voulais jamais tester avec mes partenaires. Une fois qu'un mec que je connaissais m'a pissé dans la bouche, je lui ai tout recraché dessus. J'avais l'impression que c'était interminable… Mais juste après, il avait fini et me mis la dernière goutte de sa pisse sur le front. Il retira l'entonnoir, et je lui dis :
— S'il vous plaît, laissez-moi partir, je ne dirais rien.
Et, sans avoir fini, il me fourra une chaussette de l'entonnoir pleine de pisse dans la bouche et il prit celle où j'avais juté et força le passage pour que ça rende. Il chopa le scotch et il fit plusieurs tours pour éviter que je puisse recracher.
Il se recula et admira son travail.
– Tu peux toujours te plaindre, mais je ne te laisserai pas partir. Maintenant que j'ai vidé ma vessie, je vais te prendre le cul, t'inquiète pas, il y aura une capote, enfin plutôt une chaussette, c'est pour ça que j'ai pissé dessus : après plusieurs essais, je me suis aperçu que ça rentrait mieux dans le cul des mecs que je baise avec mes chaussettes, j'adore et les mecs aussi, enfin ils gesticulent beaucoup, mais j'ai l'impression qu'ils aiment ça.
Il me retransporta jusqu'à son tas de chaussettes, me fouta sur le dos et commença à me mettre du lubrifiant sur la rondelle. Je sentais son doigt rentrer dans mon cul un puis deux puis trois. Et il dit,
— Je crois que c'est bon, tu es déjà bien ouvert, salope !
J'essayais de me débattre, mais il vient se poser au-dessus de moi et je sentis le tissu encore tiède plein de pisse à l'entrée de mon cul. Il se mit en position et poussa, je sentais mon cul se déchirer et passer le premier sphincter, il ressortit et se remit en position et cette fois poussa de toutes ses forces, sa bite rentra directement en un coup avec la chaussette.
J'hurlais mais rien ne sortait avec mon bâillon, il commença à me pilonner, je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais la douleur a laissé place à la jouissance, le tissu chaud de la chaussette frottait l'intérieur des parois de mon cul et c'était agréable, sauf que après ce moment mon ravisseur accélérait le pas je compris qu'il devait être au bord de la jouissance, et la je me suis dit que j'allais me retrouver avec le sperme d'un inconnu, moi qui avait toujours été très attentif à ne jamais chopé de MST. Avant même de finir de comprendre ce qu'il arrivait, je sentis sa bite se raidir à l'intérieur de mon cul, je sentis un liquide chaud traverser la chaussette, il retira le tout et vit des morceaux de merde sur sa chaussette. Tu es vraiment un gros dégueulasse, hurla-t-il, tu aurais pu au moins faire un lavement ! Tu n'es vraiment qu'une pauvre merde, tu sais quoi : tu vas avoir une première punition, tu vas devoir la reprendre de ton cul et en plus, tu auras la deuxième, avec un gros plug pour éviter que tu puisses te débattre. Il commença l'entrée de la chaussette, je me tortillais dans tous les sens pour faire comprendre mon mécontentement. La première rentra et il commença l'entrée de la deuxième. Je sentis du poppers à proximité : il venait d'en mettre sur une de ses chaussettes sales juste devant mon nez. Ça devrait t'aider à faire passer la deuxième et le plug. J'essayais de me concentrer pour ouvrir mon cul en regardant droit devant moi. La deuxième était passée avec difficulté, mais elle y était.
Il prit un appareil photo et prit une photo de mon cul et vint me la montrer.
– Regarde ta jolie rondelle, on voit les chaussettes qui essaient de ressortir, mais t'inquiète pas, ce n'est pas fini, on va les empêcher de ressortir justement.
Sur la photo, on voyait la chaussette qui devait être blanche de base, qui était devenue jaunâtre, essayant de ressortir de mon cul.
Il sortit un plug assez gros 5×5 environ, le lubrifia et me le fourra d'un coup. Je sentis les chaussettes remonter dans mes entrailles.
— Voilà, tu es vraiment une bonne salope, comme ça, tu as de moi dans tous les trous. Maintenant, on va passer aux choses sérieuses (parce que là, pour lui, ce n'était pas des choses sérieuses ?). Je vais te momifier, j'ai toujours rêvé d'avoir une momie à ma disposition.
Il me mit une chaussette devant les yeux et la scotcha avec plusieurs tours, comme pour ma bouche. Il mit une chaussette sur ma bite en cage et autour de mes mains, il enleva les liens qui les retenaient et me dit que si j'essaie de me débattre, la punition sera encore plus terrible. Je ne fis rien et le laissa faire. Il me mit donc les chaussettes autour des mains, il choisit les plus épaisses et en mit deux sur chaque main, mis du Scotch pour éviter que je les enlève. Il enleva les liens autour de mes chevilles, enleva mon pantalon et mon boxer qui était resté en bas de mes jambes. Il me mit des chaussettes de fouteux au pied en plus des miennes qu'il piocha dans le tas.
– Tu m'as l'air pas mal comme ça déjà, si tu pouvais te voir, je suis sûr que tu trouverais à ravir.
Il commença à me fixer les jambes et les mains ensemble. Bon, on va pouvoir commencer, ah oui, c'est du scotch de déménagement, ça risque de te faire une épilation quand je te les enlèverai, mais vu que ce n'est pas pour tout de suite.
Il commença par mes jambes, il fit plusieurs tours à chaque fois, il arriva assez vite au bout du rouleau : il n'était pas encore arrivé à mes genoux. J'ai l'impression que mon stock va s'épuiser assez vite, rigola-t-il, mais t'inquiètes pas, il y en a assez à la cave. La momification avait dû durer 1 h au moins. Mais quand il arriva à la tête, il me mit un bonnet sur mes cheveux pour éviter que je sois défiguré.
Voilà, c'est pas mal du tout, plus que la petite touche finale, les deux trous pour le nez. Il me mit un collier autour du coup, certainement pour pouvoir m'enchainer.
— Bon, bah je pense qu'on est pas mal là, qu'est-ce que tu en penses ?
Je ne répondis rien, je ne pouvais même plus bouger un petit doigt.
– Oui, c'est bien ce que je me disais, qui ne dit rien acquiesce.
J'entendis la porte claquée, j'étais seul sur un tas de chaussettes sales, incapable de bouger le moindre orteil ou petit doigt. Je réfléchis à ma condition. Je n'avais jamais été autant soumis à un homme. J'étais enculé par un gode avec des chaussettes dans le cul plein de sa pisse et de son foutre. Je sentais mon sphincter qui essayait de les recracher, mais c'était mission impossible. J'avais honte, je commençais à bander, je crois que cette condition m'excitait… Mais la cage de chasteté me rappelait vite à l'ordre, je n'arrivais pas à bander. Sa pisse et mon foutre coulait encore dans ma bouche. Ma mâchoire commençait à me faire mal, je ne pouvais pas la serrer. Je respirais par le nez, même si son odeur était là, sur le tas de chaussettes sur lequel je me trouvais me rappeler ma condition. Je commençais à somnoler.
Gayy5470