Cette histoire s’est déroulée quand j’avais 26 ans. A cette époque, j’avais encore peur de me dévoiler publiquement et ne fréquentais pas les jeunes de mon âge pour trouver l’amour. Mon horizon sexuel se résumait donc à mes fantasmes et mes masturbations quotidiennes. La plupart de mes scénarios imaginaires impliquaient des hommes bien plus âgés que moi, dans des relations de domination. Je ne sais pas pourquoi, mais l’autorité m’excite, et encore plus celle d’un mâle pervers. Avec le temps, je sentais grandir en moi le désir de concrétiser ce fantasme mais, ne trouvant pas d’occasions et étant bien trop trouillard pour me rendre sur un site de rencontre, je ne me lançais pas.
L’occasion s’est présentée un jour quand le club de sport dans lequel je m’étais inscrit m’a demandé un certificat médical d’aptitude. Un soir, j’ai regardé tous les généralistes autour de chez moi, et habitant dans une grande ville, je n’avais que l’embarras du choix. Le premier tri était rapide mais il restait encore de nombreux candidats dans la tranche d’âge qui m’intéresse. J’ai donc commencé à éplucher les avis pour y déceler des indices sur leur personnalité et bingo. Le candidat idéal, Docteur Michel Clément, était probablement proche de la retraite et plusieurs patients écrivaient clairement qu’il avait un ton directif, peu d’empathie et une manière expéditive de conclure. Je me décide alors à prendre alors un rendez-vous en ligne sur le dernier créneau d’une journée, tant pis si c’est dans plus d’une semaine, je ne veux pas risquer qu’il soit pressé d’en finir.
Le jour venu, nous sommes en hiver et la nuit est déjà tombée à l’heure du rendez-vous. Le cabinet est dans un immeuble ancien du centre-ville, la secrétaire qui m’accueille semble blasée quand je lui réponds que c’est la première fois que je viens. Le dossier de renseignement rempli, je m’installe dans la salle d’attente, je suis seul. Parfait. Au cours de la semaine, j’ai eu du temps pour réfléchir à mon approche mais pas eu beaucoup d’idées : mon plan se résumait à mettre un slip taille basse assez échancré et de prétexter des douleurs à l’intérieur de la hanche. Assis dans cette salle d’attente défraichie, je me demande si je vais vraiment avoir le courage d’aller au bout de mon idée. Je suis autant excité que terrifié.
Soudain la porte s’ouvre énergiquement : le Docteur Clément fait sortir une dame de son cabinet et lance à sa secrétaire « imprimez donc l’ordonnance de Madame ». Il pivote alors vers moi, me dévisage et prononce sèchement deux mots : « Vous, entrez. » On ne peut pas dire que les avis exagéraient sur le personnage!
Installé dans l’une des chaises face à l’imposant bureau en verre, je me tiens en silence tandis que le docteur consulte son écran d’ordinateur. Quand il me demande enfin le motif de ma visite, je bafouille un peu et tente d’expliquer mes histoires de hanche douloureuse et de certificat médical. Il me regarde sceptique, et perdant patience face à mes phrases à rallonge, me coupe la parole pour lancer « bien, déshabillez-vous ».
« Juste le haut ? » ose-je naïvement
« Non, le bas aussi, en sous-vêtement allez. »
A cet instant, je me sens complètement idiot. Je me souviens du slip que j’ai sous mon jean, j’ai un moment d’hésitation, de honte même, presque envie de fuir. Pourquoi suis-je aussi bête ? Je n’aurai jamais dû me lancer dans un projet aussi débile ! Il ne va rien se passer dans ce cabinet médical, c’est un médecin rustre qui se fout de me voir à moitié à poil et en plus sa secrétaire est juste à côté! Pauvre naïf, je me suis fait des films, j’aurai mieux faire de rester chez moi avec mes fantasmes !
Le Docteur Clément se retourne après avoir déroulé du papier sur le lit d’examen :
« Bon alors, il faut que je vienne vous le baisser moi-même ce pantalon ? »
Cette phrase m’électrise. Pas au point de trouver le courage de répondre tout haut « oui s’il vous plait docteur », mais suffisamment pour me redonner l’envie d’essayer de mettre à exécution le plan que j’avais derrière la tête en venant ici. Quitte à être ridicule, autant s’amuser… Je baisse donc mon jean mais malheureusement, le docteur détourne le regard juste à ce moment-là.
Je m’assoie sur le bord du lit et il commence à m’examiner. Il fait un peu frais dans le cabinet, mais les contacts furtifs avec les imposantes mains chaudes du docteur me font frissonner. Il prend ma tension, écoute mon souffle, regarde le fond de ma gorge. « Allongé maintenant ». Il me parle vraiment comme un chien, pour peu, je laisserai moi aussi un avis négatif après le rendez-vous !
Le médecin me palpe alors le ventre, il semble vraiment concentré dans sa routine et nullement intéressé par la « tenue » que j’avais choisi pour lui. Même quand il commence à me toucher les cuisses et s’approcher dangereusement de la zone sensible, je n’arrive pas à capter un regard, il semble juste préoccupé par la cause possible de ma blessure imaginaire.
En faisant mine de rien, je viens me gratter la jambe, juste sous l’élastique du slip, dans une tentative désespérée de faire naître en lui un désir soudain de me l’arracher. Il me saisit alors le poignet d’un coup et me le repose sur le ventre en lâchant « ne bougez pas ». Voilà qui met définitivement un terme à ma bancale tentative de séduire un médecin, il ne va clairement rien se passer ici.
Sans dire un mot, le docteur retourne derrière son bureau, je me lève donc et me dirige vers la chaise et attrape mes habits. « Qui vous a dit de vous rhabiller ? » « Euh désolé je croyais que c’était fini, je peux retourner m’allonger… » « Assis ! ». Ce dernier ordre a claqué dans les airs et j’obéis sans demander mon reste. Je me retrouve assis, en slip, sur une chaise aussi froide que lui.
« Bon, je suis assez embêté car tout est en ordre, j’ai bien examiné votre cuisse et il n’y a aucun signe de lésion musculaire pouvant expliquer vos douleurs »
« Ah, c’est bizarre, c’était peut-être passager … »
« Silence ! Laissez-moi parler. Deuxièmement, quand je consulte votre dossier, je vois que vous habitez à 40 minutes du cabinet, pourquoi être venu ici et pas chez un confrère alors ? »
« Euh c’est que… »
« Taisez-vous ! Si vous m’interrompez à nouveau, vous allez le regretter amèrement, je vous le promets. Ma question était évidemment rhétorique, cela fait près de 40 ans que j’exerce, et il y a des signes qui ne trompent pas comme le rendez-vous tard le soir ou le slip de petite salope »
Comme un lapin pris dans les phares, je reste impassible. Le docteur se lève, contourne le bureau et vient se positionner à côté de moi. Tout proche, il me domine de sa hauteur et continue : « votre petit jeu a bien fonctionné, maintenant que je suis sûr de vos intentions, je vais jouer à mon tour ». Il me saisit alors l’arrière de la nuque et me fait lever, puis appuie sur mes épaules pour me mettre à genoux devant lui.
« Voici les règles mon petit gars : je donne des ordres, tu obéis sans broncher. Je ne veux pas t’entendre gémir, et je te le déconseille car ma secrétaire pourrait t’entendre et elle prend un malin plaisir à propager des rumeurs sur les patients. Tout ira bien pour toi, tu sais très bien pourquoi tu es venu me voir, alors profite du moment autant que moi. »
Il finit son petit discours pas une subite gifle qui me déséquilibre presque. J’ai envie de crier mais je me souviens aussitôt de ce qu’il vient de me dire. On peut dire qu’il sait comment faire rentrer les leçons de manière percutante.
Le Docteur enlève alors sa blouse, puis sa chemise et déboutonne son pantalon, à quelques centimètres de mon visage. Dans son slip kangourou blanc, on devine de grosses boules bien remplies ainsi qu’une sexe qui commence à durcir. Il m’attrape alors la tête et commence à me faire renifler son paquet. L’odeur du tissu qui a macéré toute la journée dans la transpiration m’enivre. J’oublie tout le reste, le temps est suspendu.
Il baisse alors son slip sur les chevilles et me fait ouvrir la bouche de ses deux pouces pour m’enfourner son membre. Je n’ai jamais connu cette sensation de chaleur au sein de ma cavité, j’ouvre au plus grand de peur de le mordre. Ma tête fait des vas-et-viens, je m’abandonne complètement à lui. Je sens que le rythme s’accélère, puis il s’arrête net et ressort sa bite. « Ça te plait hein ? ». Je m’apprête à répondre mais il m’interrompt « pas un mot j’ai dit, tes yeux me donnent déjà la réponse ».
Il recommence pendant un long moment à me limer la bouche. Je perds toute notion du temps, et ma mâchoire commence à me faire mal. J’ai envie de tendre la main pour me toucher le sexe mais je n’ose pas. Je suis de toute façon tellement excité que je pourrais certainement jouir sans contact. « Continue comme ça, ne change rien petite salope ». Pour peu, je serai presque fier de ma première expérience.
Soudain, un bruit se fait entendre de l’autre côté de la porte. Le docteur arrête immédiatement ses coups de reins, me repousse à moitié et part fouiller dans les affaires derrière son bureau. Croyant qu’il va se rhabiller, je me lève à la hâte et remet mon pantalon avant qu’il ne revienne vers moi « qu’est-ce que tu fais ? tu me désobéis ? ». « Heu non, c’est juste que j’ai cru que … » « Assez ! Je t’ai donné les règle et tu en as accepté les conséquences»
Il m’attrape à nouveau par l’arrière de la nuque et me plaque contre le bureau. D’un coup de pied rapide, il me fait écarter les deux jambes, puis de ses puissantes mains, il arrache mon slip. Le long bruit de déchirure et la sensation d’air frais ne trompent pas, il a mis en lambeaux mon sous-vêtement. A ce moment je suis certain que la secrétaire ne peut que l’avoir entendu également.
« Pas de panique, on l’a entendu partir, tu es tout à moi. Quand tu vas rentrer chez toi avec le contact du jean rêche sur la peau, tu réfléchiras à la notion d’obéissance. Maintenant, tu as deux choix, sois tu te penches et tu vas au bout de ta démarche, soit tu repars te branler dans ton lit. »
Sans un mot, je me penche alors sur le bureau.
Je comprends alors ce que le docteur avait été chercher derrière son bureau quand il ouvre un pot m’enduit l’anus d’un produit gras. Une sensation nouvelle me traverse, incomparable à mes propres tentatives de m’insérer des doigts dans l’anus. Petit à petit, les doigts rentrent et tournent en moi : un, puis deux, puis trois et enfin quatre. Je me mets à me dandiner de plaisir, si bien qu’il me met une claque sur la fesse : « bouge pas salope, j’y arrive pas sinon ».
Après avoir ressorti sa main, j’entends le docteur ouvrir une capote et se l’enfiler, puis son sexe s’approcher de mon trou, écartant mes fesses rebondies. Il m’attrape alors les épaules, et pousse doucement. Chaque centimètre, j’espère que c’est le dernier, mais heureusement la douleur s’estompe rapidement. Je suis même presque déçu quand il arrive au fond et que je sens son ventre reposer sur mes fesses, j’ai l’impression de ne plus rien sentir. Très vite, ce sentiment est chassé quand il entame les vas-et-viens, douleurs et plaisirs se renouvelant sans cesse.
Il accélère la cadence et me mets quelques fessées (non-méritées) supplémentaires, peut-être sent-il que j’aime ça. En me tenant les reins et en me faisant cambrer, je sens son sexe au fond de mes entrailles et le mien commence à dégonfler tant je reçois de plaisir. Il saisit alors mon chibre et entreprend de me masturber en rythme. Nous finissons par jouir en simultané, son membre durcit en moi tandis que le mien éjecte une quantité impressionnante de sperme. Manque de chance, mon jus a arrosé tout son bureau en verre et je crains le pire. Il me saisit par le cou et lance « lèche salope, et après tu pourras partir ».
Je m’exécute au plus vite, et quand j’ai fini, il se retire, me fesse une dernière fois pour la route et dit « ne reprend pas de rendez-vous, c’est moi qui m’en chargerais ». Je suis encore ivre de plaisir, je ne réponds rien et me rhabille rapidement. Le slip étant complètement déchiré, je l’ai fourré dans ma poche plutôt que de l’enfiler. Sur le trajet du retour, je me repasse en boucle le film de cet incroyable rendez-vous médical. J’ai déjà envie d’y retourner, mais une chose est sûre, je ne risquerai pas de lui désobéir. En attendant, je pourrai lui laisser un avis 5 étoiles pour le complimenter sur son expertise…
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Fesses Rougies
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