Bonjour à tous, je m'appelle Jérôme, j'ai 27 ans, et je vais vous raconter l'histoire à peine croyable qui m'est arrivée un 23 Décembre il y a quelques années.
Originaire de l'Est de la France, je suis monté à Paris il y a quelques années pour travailler. Après une journée de boulot normale le 23 Décembre, je suis repassé chez moi prendre ma valise avant d'aller prendre mon train pour retourner dans ma famille pour le réveillon. J'arrive un peu en speed à Gare de l'Est, trouve mon train, monte dedans, et trouve assez rapidement une place malgré le monde déjà présent. Je pose mes affaires, m'asseois enfin, et vois un homme sur un siège allée un peu plus loin qui me
dévisage. Enfin si ce n'était que le visage... Il me dévorait du regard des pieds à la tête comme un carnivore surveille sa proie. Peut être que je lui
semblais familier ? Ou que je l'avais bousculé en montant dans le train ? Tout en me préparant psychologiquement à faire mes excuses au cas où, je m'assoie, prends mon téléphone et envoie un message à ma mère pour la prévenir que j'étais bien dans mon train.
Quelques minutes plus tard le train démarre, je me mets à regarder une série que j'avais téléchargée via Netflix sur mon téléphone, en tentant d'oublier le regard que je sentais posé sur moi. Il ne me lâchait pas... Comme attiré par un aimant, je finis par lever les yeux vers lui et croise son regard insistant. Il n'avait pas l'air malveillant. Et même j'avais l'impression d'y déceler une pointe de désir... Est-ce que c'était moi qui me faisait des films ? C'est vrai que le genre "quadra en costard et baiseur domi" m'avait toujours attiré. "Baiseur domi" je ne pouvais pas le savoir d'un simple regard, mais "quadra en costard" on était en plein dedans. Et bien sûr marié et père de famille, pour ajouter le goût de l'interdit au reste, parce que visiblement la femme et les enfants dans son carré de sièges étaient les siens. Mais ça ne l'empêchait pas de me fixer.
Au moment où le contrôleur passe, il profite que sa femme fouille dans son sac pour m'envoyer un "petit signe discret". Quel signe ? Il attrape son paquet à pleine main et mime une pipe en tapant sa langue contre l'intérieur de sa joue. Difficile de faire plus clair... Je me sens rougir jusqu'aux oreilles... Devant mon absence de réaction il me lance un autre signe en levant le menton pour dire "Alors ?". Je regarde autour de moi. Personne ne remarque rien, c'est dingue comme les gens sont dans leur bulle et ne voient plus rien de nos jours... Après un moment d'hésitation je lui fais "oui" de la tête. Il me fait alors signe d'aller vers la porte du train. Je m'exécute. Et pendant que j'avance je l'entends clairement dire à sa femme "Je vais aux toilettes". Il me rejoint devant la porte et me pousse en posant sa main sur ma taille en disant :
" Avance. "
Ferme. Indiscutable. Non négociable. Je me sentais totalement soumis par ce simple mot. On traverse encore deux blocs de sièges avant d'arriver aux toilettes. Elles sont occupées. En attendant qu'elles se libèrent, il se collent à mon dos, et je sens son sexe contre mes fesses. Il a une sacrée gaule ! Soudain je me demande ce que je fais là... Je ne sais absolument rien de ce mec, à part qu'il est marié et a des enfants, et moi je suis dans ce train pour aller passer Noël avec ma famille... Je devrais retourner à ma place...
Soudain la porte s'ouvre et une petite mémé sort des toilettes. Mon quadra me pousse à l'intérieur, m'asseoit sur le siège, ferme la porte, se retourne vers moi, ouvre sa braguette, et en sort une bite bien raide, assez large, d'au moins 25 centimètres, qu'il me colle sous le nez. Devant mon absence de réaction il m'attrape pas la nuque pour approcher ma tête et dit :
" Allez. "
Comme si c'était naturel pour moi, j'ouvre la bouche à l'approche de son gland, et enfourne une bonne partie de sa queue dans ma bouche. Il pousse un gémissement de soulagement et de plaisir. Me sentant encouragé, je me mets au travail, et déploie tout mon savoir-faire en la matière. Sa queue, déjà raide et large, devient encore un peu plus raide et un peu plus large. Il me sort dans un soupir :
" Putain je savais que t'étais une bonne salope toi. "
Je l'ai pris comme un compliment et comme un défi à la fois. Je m'aggripais à son pantalon, et avalais sa queue jusqu'aux couilles, en gorge profonde. C'était difficile et douloureux vu le morceau, mais c'était tellement bon en même temps.
" Oh ouais ! Putain ! T'avais faim de bite hein grosse pute ? "
J'adore ça. J'adore quand un mec d'apparence BCBG se met à m'insulter. J'adore être utilisé.
Pour être un peu plus à l'aise il défait son pantalon et le laisse tomber à mi-cuisse, baisse son boxer au même niveau, et ouvre sa chemise, révélant des abdos parfaitement dessinés et des pecs bien bombés. J'en profite pour carresser ce corps magnifiquement sculpté.
" Ha ouais c'est trop bon ! Malaxe-moi les couilles allez ! "
Je m'exécute. Elle sont bien larges et bien pendantes, et m'ont l'air bien chargées. Depuis combien de temps bobonne ne l'a pas satisfait ?
Je ne sais pas depuis combien de temps on était là, mais quelqu'un a frappé à la porte. J'allais m'arrêter de le pomper mais mon quadra m'attrapa pas la tête pour me forcer à continuer et demanda :
" Oui ?
- Tu es encore là ? Ça fait un moment que tu es parti.
- Oui il y avait du monde avant moi.
- Ha ok. Bon ben je retourne auprès des enfants.
- D'accord. "
Le mec avait répondu avec un naturel déconcertant. Il attendit quelques secondes avant de me dire :
" Bon fini de rire, va falloir que j'y retourne. "
Il m'aggripa par la tête et se mis à me baiser la gorge. J'étais littéralement un vulgaire sextoy au service de son plaisir. Je crachais de la bave qui coulait le long de mon cou, j'avais du mal à respirer, mais il ne changea pas de rythme pour autant.
" Oh oui... Ça y est ça monte... Ha... Haaaa... "
Je sentis sa queue se contracter et un liquide chaud être expulsé par sacades directement au fond de ma gorge. Il venait de jouir. Et vu la quantité, il y avait clairement un moment qu'il ne s'était pas vidangé les couilles.
Après avoir envoyé les derniers jets, il sorti de ma bouche, s'essuya la bite sur un bon de mon T-shirt, reboutonna sa chemise, remonta boxer et pantalon, et sorti sans rien dire. J'étais encore assis là, la bouche et le cou dégoulinant de bave, essayant de reprendre mon souffle, quand un petit vieux entra.
" Oh euh, je croyais que c'était vide. "
Je rassemblais mes esprits du mieux que je pus, me relevais en essuyant la bave, et sorti rapidement. Je ne sais pas ce que le grand-père avait compris mais c'était vraiment la honte.
Je retournais à ma place. Mes affaires étaient à l'edroit précis où je les avais laissées, personne ne semblait avoir remarqué mon absence particulièrement longue, ni l'état dans lequel j'étais. Je repris ma place, ma série, et pas dessus l'écran je voyais mon quadra qui s'occupait de sa famille comme si rien ne s'était passé.
La petite famille modèle descendit plusieurs gares avant la mienne. Le père, qui fermait la marche, fit tomber sa carte de visite sur moi en passant. Je la ramassais et découvrit gribouillé rapidement au dos :
" La prochaine fois je te fais le cul. "
Je sentis une bouffée de chaleur et d'excitation m'envahir. Je n'en avais clairement pas terminé avec mon quadra domi.
Conteur75
conteur75@hotmail.com
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