L'été passé, je suis allé faire un tour dans un parc au bord du lac bien connu pour être un lieu de drague gay une fois la nuit tombée. Je me baladais le long des parties boisées, le temps que mes yeux s'habituent à la pénombre.
Sur un banc, deux mecs en survêt et sweat à capuche partageaient un pétard. La capuche leur cachait largement le visage, surtout dans la pénombre. Ils étaient fins, élancés… en passant devant eu j'essaie d'apercevoir leur visage, je les devine plutôt jeunes : la vingtaine.
L'un des deux me lance : —viens te mettre à genoux pour me sucer !
— Tu kiffes les gros vieux toi ? réplique l'autre sans aucun respect pour le fait que je puisse les entendre. Il est vrai qu'avec mes 45 ans et mes kilos en trop, je ne corresponds pas vraiment au canon du milieu gay.
Je m'approche, hésitant, et le premier mec baisse son pantalon de survêt et son caleçon jusqu'à mi-cuisse. Et se rassoit cul nul sur le banc en bois, les jambes écartées.
Et répondant à l'autre : —moi je veux juste me faire pomper en fumant un joint. Les moches, ils sont prêts à tout pour une queue. Lui, je suis sûr qu'il pompe et avale sans demander qu'on s'occupe de lui.
Je trouvais la situation très humiliante, mais il n'avait pas tort. Je me suis mis à genoux et sans rien dire j'ai pris en bouche la belle queue circoncise, environ 19 cm assez épaisse. J'ai commencé à pomper sans demander mon reste, impossible de capter le regard du mec dans le noir et de toute façon il continuait l'air de rien à discuter avec son pote.
Il pose sa main sur ma tête et impose son rythme. Pas très doué pour les gorges profondes, je fais mon effort pour ne pas étouffer sur ce beau morceau. Un moment donné il retire sa main et la plaque sur le paquet de son pote.
— Tu le trouves moche, mais tu bandes quand même. Tiens, fini le joint.
Puis m'appuyant sur les épaules il me repousse, se lève et m'ordonne.
— Allez fout toi à poil…
j'hésite un peu…
— Allez salope, ne me fais pas attendre !
J'enlève donc mon t-shirt, je baisse mon pantalon, je ne portais rien dessous.
— Non pas juste le baisser, enlève-le ! j'ai dit !
J'enlève donc mes chaussures pour pouvoir enlever les pantalons. Je pose mes habits au pied du banc.
— Sort ta queue Karim, tu as vu comme elle bande cette chienne. Elle a envie de te pomper. Puis s'adressant à moi : «mets-toi à quatre pattes sur le banc.»
Je me retrouve donc à quatre pattes, la tête au niveau de la braguette du fameux Karim qui ne tarde pas à baisser son bas de training. Il tire un grand coup sur le joint qui rougit et me permet avec ce peu de lumière de voir un bel engin encore plus gros que le premier. Je prends immédiatement son gland en bouche, passe quelques coups de langue sur le méat et sur la base de gland puis m'enfonce aussi loin que possible sur ce beau morceau.
— Putain, tu as raison, il aime la bite !, s'exclame le pompé.
Je sens tout coup des mains sur mon cul que j'avais un peu préparé avec un petit lavement et quelques jeux de godes avant de sortir au parc. Un doigt s'enfonce dans mon trou.
— Dis donc grosse chienne, tu t'es déjà lubrifié le cul. Je vais pouvoir te baiser direct !
Je réponds par un grognement, tout ce que j'arrive à faire la bouche occupée par l'immense queue de Karim. J'entends l'autre mec cracher et étaler de la salive sur mon trou. Il pose son gland et pousse… comme j'étais bien préparé, il entre sans trop de soucis et s'enfonce en moins jusqu'à ce que je sente ses cuisses contre mes cuisses. Il entame un va et viens assez rapide.
Des mecs passent sur le chemin, s'arrêtent et mattent. Mon baiseur les tient à distance : «Si vous voulez le baiser faudra attendre ! nous on veut juste se vider les couilles, se faire tripoter par plusieurs mecs c'est pas notre truc.»
Tout à coup le baiseur se met à crier «oui» et s'immobilise profondément dans mon cul pendant que je sens sa bite tressauter. Karim prend ça pour un signal et lâche quelques secondes après 3 grosses giclées dans ma bouche. J'avale et nettoie bien sa bite avant de la libérer de ma bouche. Immédiatement il remonte son bas de training et se lève… Le temps que je reprenne mes esprits. Ils sont déjà les deux en train de s'éloigner. Je leur lance un «merci c'était très bon»
L'un des deux rigole : «il nous vide les couilles et en plus nous remercie. Tu as raison, mieux vaut baiser un moche…»
Les deux voyeurs, visiblement plus excité par les deux machos que par moi s'éloignent aussi me laissant seul, à poil, à quatre pattes sur un banc public.
Akatpatt
jaimeca78@gmail.com
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