Chapitre-1
Grand, cheveux châtains toujours ébouriffés, souriant, attentionné. Avec des muscles qui ne peuvent être distingués que grâce a un corps sec. Une peau douce. Quelqu'un de timide, réservé, mais, une fois sa confiance gagné ne l'est plus du tout. Tel était mon ami de toujours, Nicolas. Nicolas était pour moi un frère. Nous étions toujours fourrés chez l'un où chez l'autre. Nous ne faisions pas de conneries, travaillons ensemble, pensions ensemble, mangions ensemble, bref je n'imaginais pas une seule seconde ma vie sans lui.
Nous nous sommes rencontrés quand nous étions encore des nourrissons, jamais a ma connaissance il n'a eu d'autre ami que moi et je n'ai jamais eu d'autre amis que lui. Nous étions presque frères. Moi, Gustave, était comme lui d'un point de vue physique, mais moi j'étais blond aux yeux noirs. Nicolas et moi parlions de tout, même de sexe. je savais qu'il était gay, comme moi, je savais avec qui et quand il avait fait sa première fois et s'était réciproque. Nous n'avions jamais vraiment pris du plaisir à faire l'amour avant, mais tout ça allait changer.
Nous avions à ce moment 18 ans. Nous habitions en collocation ensemble pour nos études. Lors de vacances d'été, nous restions chez nous pour réviser pour nos examens. Notre appartement était bien mais n'avait pas de climatisation ce qui faisait que Nicolas et moi mourrions de chaud durant la canicule.
Cet après-midi là nous étions tout les deux sur le canapé, couché, l'un en face de l'autre. Nous discutions comme a notre habitude de tout et de rien. Nous décidâmes alors d'enlever nos T-shirts. Cela n'était rien d'exceptionnel. Nous nous étions vus des centaines de fois torse nus. Quand nous étions petits, nous prenions même parfois nos douches ensemble pour aller plus vite. Mais cette fois-ci était différente.
La vue de son torse m'était divine, je sentait mon coeur battre des centaines de fois plus vite que d'habitude. J'avais encore plus chaud. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivais, mais je ne contrôlais plus mes actions. Je n'était plus moi-même. Après un certain temps comme ça, je lui dis que j'allais enlever mon pantalon car j'avais encore trop chaud. Je vis à son visage que cette action l'étonna un cour instant, mais après il eu un regard de satisfaction et dit qu'il allait faire de même. Le voir en boxer, me donna encore plus chaud, et mon coeur battait encore plus vite.
C'est alors que je le vis très étonné puis il devenu rouge comme une pivoine il s'était arrêté de parler. Je ne compris pas tout de suite, mais quand mes yeux se posèrent sur mon entre jambe je vis mon pénis en érection d'une force que je n'avais jamais ressenti avant. J'étais aussi pris de gène, au point où je partis du canapé et me réfugais dans ma chambre et fermât la porte.
J'étais en pleurs, je ne comprenais pas ce qui m'arrivais. J'avais peur, peur de ne plus être accepté, peur de ne plus être aimé par Nicolas. Je me disait qu'il devait être dégouté de moi et qu'il devais être entrain de faire ses valises pour ne plus jamais me revoir. Mais cela était des histoires que je m'étais raconté. En réalité, Nicolas s'approcha de moi et s'assis en face de moi. C'est alors qu'il s'approcha de mes lèvres, je sentis alors son souffle chaud et il m'embrassa. Je senti ses lèvres douces , chaudes, contre les miennes. Il s'approcha alors encore plus de moi, et me fit un câlin. C'est a présent lui qui pleurait, il disait qu'il rêvait de moi depuis maintenant 8 années, qu'il m'imaginais durant chacune de ses masturbation, que durant chacun de ses rêves il ne voyait que moi, qu'a chaque fois qu'on dormais ensemble il cachait son érection et que lui aussi bandait quand nous étions face a face en boxer tout à l'heure mais que je ne l'avais tout simplement pas vu, il me dit qu'il m'aimait comme jamais personne il n'avait aimé et il finis en disant qu'il ne me l'avais jamais dis car il avait peur que je le rejète et que je refuse de le revoir.
C'est ensuite moi qui m'approcha de lui et qui l'embrassa avec le baisé le plus passionné que je n'avais jamais fait. Ma main, s'approcha de son torse et le toucha, elle le parcouru de haut en bas, il était chaud et doux, je m'arrêta de peur d'aller trop loin, et Nicolas me dit de continuer. Doucement ma main descendait vers son pantalon, c'est alors que tout en l'embrassant, je déboutonnait son pantalon, puis descendit sa braguette. Tout doucement en prenant tout mon temps.
Puis, avec un grand plaisir, je posa sa main sur son boxer. une masse chaude, dure s'y trouvait. Ma main s'approcha de son pubis, et descendit je saisi la base de sa verge, ses bourses, et avança ma main vers son gland, de sorte que je vis maintenant sa verge. Elle était longue, épaisse blanche. Le bout du gland était visible, une veine pouvait être vu et traversait la verge de part en part. Au même moment, Nicolas sortie de mon boxer, mon bâton de chair. Nous nous touchions alors la queue, nous commençâmes a faire des vas et viens, tout doucement. Nous prenions un plaisir immense a faire cela. Puis je m'arrêta et Nicolas me dit qu'il me voulait complètement, je lui répondit alors que c'était tout ce que je voulais. Il approcha sa bouche de ma verge. Je senti d'abord sa langue s'enrouler autour de moi, puis l'humidité de sa bouche. Sa langue pénétra alors entre mon prépuce et mon gland, tout doucement, il me nettoyait le gland. Il enchaina avec des vas et viens où il titilla mon urètre. Cela me procura un plaisir inégalé. Je n'avais jamais rien ressenti de tel, je me senti libéré d'un poid, je profitais pleinement de l'instant, et de mon amis d'enfance, Nicolas.
Cela nous procuras un plaisir si immense que nous éjaculions en même temps. Il avala mon jus, et m'embraça, il partgea avec moi alors mon patrimoine génétique. Nous nous couchions ensemble, sur le lit, éreintés, mais heureux. C'est alors qu'il me dit qu'il voulait être une partie de moi, il voulait que nous soyons reliez par un lien physique, ne serait-ce qu'un cour instant. Je me leva alors et enfila un préservatif, je lui dit que je n'avais pas de lubrifiant et qu'il risquait d'avoir mal, mais il me dit qu'il s'en fichait et que c'était tout ce qui contait pour lui. Alors je lécha mon doit et toucha sa rondelle en appuyant légèrement au début, puis un peut plus, puis encore un peu plus. J'arrivais alors complètement dans sa cavité anale, elle était chaude, réconfortante. C'est alors qu'il me dit que son anus était toujours vierge, comme le mien, mais il me dit de ne pas m'inquiéter et d'enfoncer un autre doit puis ma queue. Au bout du deuxième doigt enfoncé complètement il commença à gémir de douleur. Je décida alors de tout arrêter car ses cris me brisait le cœr, je ne supportait pas l'idée de lui faire mal. C'est alors que mon Nicolas adoré s'énerva et dit qu'il allait bien et qu'il fallait passer le pas. Alors je l'embrassa. Ce baisé, me donna le courage dont j'avais besoin, et Alors ma verge se présenta à l'entré de son anus, et entra, difficilement, lentement, douloureusement au début, mais amoureusement tout le long. C'est a ce moment que je compris que j'étai profondément amoureux de cet homme, mon meilleur ami. Enfin j'était complètement rentré en lui. Je sentait mes bourses contre les siennes, la chaleur de son anus était délicieuse. C'est ansi que je commença à faire des vas et viens tout doucement, avec amour. Nicolas qui gémissait avant de douleur gémissait maintenant d'un plaisir incommensurable. J'étais le premier à qui il offrit son amitié, le premier à qui il offrit son amour, le premier à qui il s'offrait complètement. J'allais de plus en plus vite, ma verge me brulait, et finalement après de délicieuses minutes, j'éjaculas dans son anus, il éjaculat, son anus jouissait aussi ce qui le contractait en vague et me procurait encore plus de plaisir. Quand je sortit de lui, je lui dit que je l'aimait de tout mon cœur et que je voulais que cet instant dure pour l'éternité. J'ajouta aussi, que je voulait être défloré par lui. Il me dit que mes désirs seraient bientôt assouvis et que tout venait à point que savais attendre. Après un dernier langoureux baisé, nous nous sommes endormis côte à côte.
Voici le récit de mon premier et éternel amour.
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Achirraa
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