Premier épisode | Épisode précedent
17 | Branlette devant porno hétéro
Cette aventure s'est déroulée quand j'avais 26 ans.
Vous vous reconnaissez dans mes souvenirs ou vous les appréciez ? Envoyez un petit message à dialogaylille@outlook.fr
Ce dimanche-là, le temps était pluvieux et venteux. À peine levé du lit, je ne pus m'empêcher d'allumer mon ordinateur afin de me connecter sur mon site de drague préféré. C'était un temps à passer sa journée bien au chaud chez soi à se faire défoncer le cul.
Je me préparai un petit déjeuner et retournai devant mon écran d'ordinateur. Aucun mec ne se semblait être disponible le jour-même. Les propositions qui m'étaient faites n'étaient que pour la semaine à venir. J'allai me préparer en laissant mon profil en ligne.
Je pris le temps de me raser le cul avant de me doucher et de me faire un petit lavement au cas où. Puis je me suis enduit les fesses de crème hydratante et apaisante avant de retourner devant mon écran.
Pendant ma préparation, plusieurs mecs avaient tenté de rentrer en contact avec moi. Certains avaient quitté le tchatte et d'autres semblaient ne pas être dignes de confiance.
Un, par contre, piqua ma curiosité bien qu'il n'ait aucune photo.
"Salut. Moi c'est Sylvain, je cherche un pote de branlette. Avant de répondre, je te demande de bien lire mon annonce car nos recherches sont à l'opposées l'une de l'autre. Après, si t'es intéressé, on peut dial."
Intrigué, je me rendis sur son profil afin de l'éplucher. Comme je le soupçonnais, aucune photo, ni même un seul indice sur son physique. Il se qualifiait d'hétéro et il avait 28 ans. Son annonce disait à peu près ceci : "Recherche pote viril pour branlette devant porno hétéro. Je refuse toutes autres choses que la branlette. Je ne touche pas, je ne me fais pas toucher. Pas d'accessoires ou lingeries féminine, ça ne marche pas avec moi. Juste, deux mecs qui se branlent côte à côte, chacun de son côté devant un porno. J'aime me branler longuement, même très longuement. M'arrêter juste avant de cracher m'excite pour pouvoir reprendre ma branlette. Je ne reçois pas Si tu n'es pas capable de respecter mes choix et le fait que je sois hétéro, passe ton chemin. C'est moi qui ramène le porno."
En effet, nos recherches n'avaient rien à voir. Lui, voulait se branler, moi je voulais me faire défoncer le cul. Mais, n'ayant pas d'autres propositions et, j'avoue, étant curieux, je lui répondis.
"Salut. Désolé, j'étais sous ma douche. Ton annonce m'intrigue et me plaît."
"Super. J'ai cru que tu n'étais pas intéressé. Si t'as des questions, n'hésite pas."
"J'en ai quelques-unes oui. T'inquiète, j'ai bien compris que seule la branlette était ton trip. J'aurai simplement savoir d'où te venait ce fantasme, si s'en est un. Et pourquoi tu étais venu sur un site de rencontre gay pour ça."
"C'est bien un fantasme. Il remonte à mon adolescence quand, avec mon meilleur ami, on se branlait devant les pornos de son père. Je n'ai jamais eu d'attirance pour lui mais cette complicité me plaisait. Plus vieux, j'ai tenté de retrouver cette complicité mais sur tous les sites de rencontres hétéros que j'ai fréquentés, les mecs me traitaient de pédés. Je me suis donc tourné vers les sites gays."
"Je comprends. Ça n'a pas dû être simple pour toi. Je suis partant mais je ne peux pas te garantir que j'arriverai à bander, surtout devant un porno hétéro."
"T'inquiètes. Comme je t'ai dit, ce n'est pas forcément ça que je recherche, enfin pas seulement. C'est une complicité entre mec viril. Je sais ce que tu recherches et des concessions que tu fais pour mon fantasme."
"Viril... Eu t'as conscience qu'habituellement je me fais défoncer le cul."
"Oui. Mais ça n'empêche pas que tu fais viril. Tu fais vrai mec en tout cas. T'as une belle petite gueule de mec viril. Et, je le sens bien avec toi. Tu n'es vraiment pas comme les autres."
"Ah oui ? J'espère que c'est un compliment."
"Carrément. D'une, tu t'exprimes bien. De deux, tu ne m'as pas demandé comment j'étais. Et de trois, tu n'as pas insisté pour autres choses. Ça m'est même arrivé de devoir partir de chez un mec en plein milieu car beaucoup tentent plus qu'une branlette."
"Pourtant, je te trouve clair dans ta recherche. Puis pour ce qui est du physique, peu importe puisqu'on ne fera que se branler."
Nous convînmes d'un rendez-vous en début d'après-midi. En attendant, je me suis changé en enfilant un boxer sous mon jean pour ne pas le mettre mal à l'aise en me voyant porter un jockstrap.
Peu après quatorze heures trente, on sonna à l'interphone. C'était lui. Je lui ouvris en lui précisant que j'étais au pas de ma porte. Vivant au rez-de-chaussée, il était simple de recevoir mes plans en toute discrétion.
Il était beau gosse le salaud et avait l'air sacrément bien foutu. Je compris pourquoi certains mecs tentaient plus qu'une petite branlette avec lui. Il n'était pas beaucoup plus grand que moi, les cheveux noirs, les yeux noisette, le teint bronzé et il semblait musclé sous une veste en cuir marron, une chemise cintrée et un jean Levis 501.
Il me serra la main, ce qui me fit sourire.
Je lui proposai une bière tout en l'invitant à s'installer dans le canapé. Il posa le DVD du porno hétéro sur la table basse et s'assit sur le sofa. Nous discutions en sirotant notre bière de tout et de rien comme de vrais potes qui se connaissaient depuis longtemps.
Au bout d'un moment, il me demanda une seconde bière et s'il pouvait se permettre de mettre le DVD qu'il avait amené. Je lui expliquai rapidement le fonctionnement de la télé et du lecteur de DVD avant d'aller chercher les bières. De retour avec les bouteilles, le film avait commencé. Je me suis réinstallé sur le canapé et regardais ce film qui ne me faisait aucun effet.
Lui, continuait à me parler, relax, en décrivant la scène et la façon dont la "blonde" suçait le mec. En l'écoutant s'extasier ainsi, j'eus un début d'érection.
"Je peux me mettre à l'aise, mec ? J'ai la braguette de mon jean qui va exploser." Demanda-t-il calmement.
D'un signe de tête, je lui fis comprendre qu'il pouvait. Je l'observais, la gorge serrée, se dévêtir consciencieusement en commençant par sa chemise qui cachait un torse et des abdos à faire pâlir certains sportifs.
"Mets-toi à l'aise aussi. Ne sois pas gêné. Pas avec moi, on est pote après tout." Ajouta-t-il en retirant son jean, me dévoilant ainsi ses cuisses musclées et son boxer bien rempli.
Je me déshabillais en ayant honte de mon corps d'éphèbe et de mes cuisses bien fines comparées aux siennes.
"T'es bien fait mec." Dit-il, essayant, sans doute, de me mettre à l'aise.
"Merci. Mais franchement, tu n'as rien à m'envier. T'es foutu comme un GI-Joe."
"Laisse, va. Je te dis que t'as un corps bien fait. Ne te compare pas. T'es bien comme ça. Aller, à trois, on retire notre boxer." Dit-il alors que nous étions tous les deux en boxer.
A trois, il retira son boxer sous mes yeux. Une bite énorme en sortit. J'ôtai le mien également pour libérer ma queue qui bandait un peu plus à la vue de la sienne.
Il se rassit et commença à se masturber. Je pus écarter mon regard de ce spectacle qui me mettait dans tous mes états.
"Détends toi mec. Je te sens tendu. Viens te branler aussi." Me dit-il tout naturellement.
"Euh... Oui... Excuse-moi... C'est juste que... Enfin, elle fait combien ta queue ?" Demandai-je en salivant.
"23 cm. Pourquoi ?" Répondit-il sans se rendre compte qu'elle me rendait de plus en plus bâtard.
"Euh... Non... Pour rien." Dis-je en m'asseyant à ses côtés sur le canapé.
Nous nous branlions ainsi durant un petit moment quand il me demanda si tout allait bien.
"Oui, ça va pourquoi ?"
"Tu ne bandes pas vraiment. Si tu veux qu'on arrête, faut me le dire."
"Non. T'es fou. Ça me plaît. C'est juste que, comme je suis homo, le porno hétéro, ce n'est pas trop mon truc."
"Pourtant, tu bandais bien au début."
"Pour tout t'avouer, c'est ta queue qui me faisait bander."
"Bah, pas de problème, tu peux me mater me branler si tu veux."
"Ce n'est pas si simple malheureusement."
"Explique-moi, on est pote maintenant. Franchement, je t'apprécie vraiment. Je veux que toi aussi tu prennes plaisir."
"Bon, ok. Ta queue m'a fait bander, oui, mais elle a aussi réveillé le passif que je suis. Donc, mon plaisir doit passer par mon cul. Quand c'est comme ça, ma bite devient juste un accessoire. Je ne sais pas si tu comprends."
"Si, je comprends. Enfin, dis-moi si c'est ça. En fait, t'es comme une femme qui veut une queue dans sa chatte. Toi, tu veux jouir avec ton cul et pas avec ta bite "
"Oui, voilà, même si je ne me serais pas comparé à une femme. Mais c'est ça oui."
"Bah si tu veux te masturber le cul, ça ne me dérange pas."
"Sérieux ? Je peux ? Pour ça j'aime me mettre à quatre pattes. Ca te va ?"
"Oui, t'inquiète." Dit-il en continuant à se branler.
Je poussai la table basse devant le canapé et m'installai à quatre pattes sur le tapis au sol, face à lui afin qu'il ait la vue sur mon cul. Je commençai à me caresser la rondelle en passant ma main entre mes cuisses. J'ai voulu choper mon poppers qui se trouvait dans un des tiroirs de la table basse, mais j'ai eu peur de le faire fuir. Je jetai un œil sur lui et le surpris à mater mon cul alors que l'un de mes doigts titillait mon anus qui commençais à suinter de désir et à s'ouvrir. Nos regards se croisèrent.
"Euh..." Commença-t-il en balbutiant. "Je peux te poser une question ?"
"Bien sûr, on est pote, non ?" Dis-je, espiègle, en introduisant deux doigts dans mon cul qui mouillait déjà.
"Je me demandais si ton cul était imberbe naturellement. On dirait le cul de la meuf qui se fait sauter."
"Je le rase de très près en fait. J'aime avoir les fesses très douces." Répondis-je en me doigtant plus énergiquement.
"T'as l'air de prendre ton pied en tout cas. Autant que la salope du film quand le mec lui avait mis dans le cul. Ça fait plaisir." Réagit-il à mes gémissements de bâtard et en s'agenouillant à mes côtés au sol pour se branler avec moi.
"Pas possible. Je ne peux que prendre plus de plaisir en me faisant enculer, qu'elle." Ajoutai-je encore plus excitant le voyant se branler à quelques centimètres de mon cul.
"Ah oui ?"
"Oui. La prostate est très érogène. Ce que les femmes n'ont pas. Quand je me fais enculer, la queue du mec stimule la prostate en tapant dedans. Il m'est même arrivé de juter, sans même me toucher, sans bander, juste en ayant une queue dans le cul."
"Véridique ? A croire que la prostate a été créée pour les mecs se font sodomiser prennent leur pied. Et là, en te doigtant, tu vas éjaculer aussi ?"
"Non, il me faut vraiment une bonne bite comme la tienne dans le cul pour ça." Plaisantai-je en l'espérant très fort.
"Tu veux que t'encule ?"
"Ne me demande pas ça. Je vais me laisser tenter. Regarde ça, je mouille du cul et mon trou est grand ouvert tellement j'en ai envie." Dis-je en écartant mes fesses pour lui montre ma rondelle humide et palpitante.
"Non, mais je suis sérieux. Je sais que t'es un mec mais on a une telle complicité que j'ai envie que tu jouisses. Et c'est grave comme ton cul me fait penser à un cul de meuf. Ce sera comme me branler dans un gant de toilette."
"Merci pour le gant de toilette." Ris-je.
"Non mais arrête. T'as très bien compris. Alors, je t'encule ou pas ?"
"Avec plaisir." Osai-je dire avec enthousiasme. Sur le moment, je ne voyais que cela à dire.
"Ok. Je fais comment ? Je ne veux pas te faire mal."
"C'est gentil mais, franchement, vu mon état d'excitation, tu peux y aller comme un bourrin. Fait comme si j'étais l'une des meufs de ton porno. Ne te préoccupe pas de moi. Dans tous les cas, vu la taille de ta queue, je jouirai du cul."
Toujours à genoux, il se plaça derrière moi, entre mes jambes, et mit maladroitement une main sur l'une de mes fesses, et se servit de l'autre pour guider son énorme bite devant mon trou humide et palpitant. Il se contentait de caresser ma rondelle avec son gland, tout en se branla, puis tenta de légers va-et-vient timides.
Je sentais qu'il n'osait pas introduire son gourdin en moi. Sûrement que l'idée de baiser un mec le répugnait vraiment. J'ai pensé, un court instant, lui dire qu'il n'était pas obligé de m'enculer mais j'étais en mode bâtard et hyper chaud. Alors, dès que j'ai senti son gland à nouveau sur ma rondelle, je tentai un mouvement de recul afin d'engloutir entièrement sa queue dans mon cul et fis de légers mouvements de bassin.
"Oh putain. Oh putain." Cria-t-il.
"Ça va ? Je suis désolé. J'en avait trop envie. Tu veux qu'on en reste là ?" Réagis-je en faisant coulisser mon cul le long de sa queue.
"T'es fou. Non. C'est trop bon. J'ai juste été surpris. C'est rentré facilement. Ça sert plus qu'une chatte."
"Et c'est mieux ?" Demandai-je, toujours le cul embroché sur son énorme bite.
"C'est différent mais super kiffant. On peut arrêter de parler s'te plaît."
En silence, je continuais à faire glisser mon cul d'avant en arrière sur le long de son gourdin quand il me prit par les hanches. Je ralentis net la cadence.
Je sentis alors ses mains m'agripper plus fermement par les hanches puis il commença à m'imposer son propre rythme. Je vis son reflet sur l'écran de la télé qu'il fixait presque maladivement. Je pris conscience qu'il ne me baisait pas, mais qu'il se servait de mon cul comme d'un sex-toy ou d'une poupée gonflable. Ce qui, sur le moment, ne me posait aucun problème puisque je jouissais du cul.
Il me défonçait le cul sans se soucier de ma personne. Mon cul n'était qu'un objet qu'il utilisait pour branler sa queue. Il ne parlait plus. Je prenais mon pied alors que je n'avais pas imaginé que ce "plan" aurait pu déboucher sur une baise sauvage et bestiale.
Comme il aimait se branler, il faisait durer le plaisir. Il cessa à plusieurs reprises ses coups de bites pour les reprendre quelques secondes après. Je savais qu'à chaque fois, il était sur le point d'éjaculer et cette pensée m'excitait encore plus. Il était très endurant et j'étais heureux qu'il se serve de mon cul comme d'un branle bite.
J'étais en totale extase. Même sans mon poppers, je n'avais plus aucun repère. Seul sa grosse queue qui me ravageait le cul me semblait réel. Je me donner à lui et ma rondelle avait palpitait autour de sa bite qui ne demandait pas. Il stimulait ma prostate comme s'il savait où taper pour me faire jouir du cul.
Je sentis une nouvelle fois qu'il voulut se retenir d'éjaculer. Seulement, pour cela, il logea sa queue au fond de mon cul en tapant violemment sur ma prostate, ce qui a provoqué ma propre éjaculation alors que je ne bandais pas. Ma jouissance a eu pour effet de provoquer la sienne car mon anus battait autour de sa queue au rythme des jets de sperme qui jaillissaient de ma bite molle.
"Putain. Trop bon. Quelle branlette. Je ne m'étais jamais branlé comme ça." Dit-il en déculant de manière désinvolte.
J'étais épuisé et l'écoutait s'extasier sur cette branlette mémorable. Je me suis relevé le cul suintant de sperme.
"Content que cette branlette dans mon cul t'ait plu. Tu m'as défoncé comme une bête et tu m'as fait jouir du cul pendant un bon quart d'heure tout en me faisant cracher tout mon jus sur le tapis. Puis sentir le tien m'inonder le cul m'a plu à un point, t'as pas idée." Dis-je afin de lui rappeler que mon cul l'avait largement aidé dans sa branlette.
Nous sommes restés très amis durant plusieurs années après ce jour-là. Plus rien ne s'est jamais passé entre nous. Il refusait même d'en reparler. Je respectais ce choix. Seule chose qui m'avait dite était le fait qu'il avait cessé ces plans branles après notre rencontre. Nos conversations lui suffisaient d'après ces dires.
Nous nous sommes perdus de vue lorsque je me suis installé avec celui qui est mon mari aujourd'hui. Notre complicité me manque.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr