Voici une nouvelle histoire pour ton site qui est toujours aussi bien. Plutôt domi et exhib. A +
Je m’appelle Guillaume, j’ai trente ans, célibataire… et bon passif. Je fais 1m75 pour 70 kg, un peu de rondeur, brun et peu poilu, des yeux de biche… et un cul bien rond qui plaît beaucoup aux actifs.
De plus en plus, les plans classiques, le vanilla sex, ça m’ennuie. J’ai envie de virilité, pour ne pas dire de brutalité. J’ai envie qu’on me nique, qu’on me lope. Pas qu’on m’aime. Enfin, la plupart du temps. Je fréquente les sites SM, les sites de rencontres gay, mais trouver un macho façon hétéro, prêt à vous niquer comme la pire des chiennes, c’est pas si facile. D’autant que je kiffe bien les rebeus et qu’ils ne sont pas légion.
J’habite à Nantes, côté boulevard Sarrebrück, dans un appartement en haut d’une des barres d’immeuble. Côté rebeus, je suis servi : j’en croise tous les jours, je bave sur leur côté macho. Mais pour se les taper, c’est autre chose…
C’est alors que je tombe sur Ibrahim. Ibrahim habite à 200m de chez moi, ce n’est pas moi qui le dit, mais son profil géolocalisé. Car je ne l’ai encore jamais croisé. Mais on papote. Je ne connais de lui que des photos nues, sans visage apparent. Un rebeu musclé, poilu sans excès, belle bite circoncise. Il aurait 19 ans, il se dit bi et dominateur. Tout pour me plaire !
On papote plusieurs semaines, car il semblerait que nous ne soyons jamais dispo en même temps. C’est chiant. Un mytho ? M’en fous, je me branle bien à échanger des messages avec lui. Il est très curieux : il veut connaître toutes mes envies, mes pratiques, mes fantasmes. Je lui dis que j’aimerais être lopé, appartenir à un rebeu domi. Je kifferais qu’on m’exploite, qu’on me baffe, qu’on me crache à la gueule. Fist ? Ouais. Pisse ? Bof bof, mais si le mec le veut… Humiliation ? Oui ! Plus le temps passe, moins je crois à une rencontre, et plus je lui fais part de mes fantasmes. D’autant qu’il a mes photos, dont mon visage, et donc s’il avait voulu…
Puis un vendredi soir… J’étais claqué de ma semaine de taf, je le vois connecté et je lui écris :
- Salut BG
- Slt batard
- T’es pas dispo now ?
Cinq minutes d’attentes, c’est fréquent, puis : « si ». Putain, mon cœur fait une embardée.
- Tu veux venir chez moi ?
- Nan, la lope. Toi, tu viens chez oim.
- Ton adresse ?
Il est au numéro 1 de ma barre d’immeuble, je suis au numéro 9 : y a pas 100 m de distance. Je balise un peu, ça va vite, là.
- Tu veux me faire quoi ?
- Putain, fais pas iéch, tu viens ou pas ?
Je balise. J’attends ça depuis de semaines, mais je n’ai pas sa tronche, je ne sais pas ce qu’il veut me faire, je lui ai dit trop de choses sur moi… Et puis merde. Je lui réponds Ok.
- Cool bâtard. Prépare-toi bien, surtout ta chatte. Si t’as de la merde au cul et que salis ma bite, je te fais nettoyer avec ta bouche.
- Ok.
- Minuit, tu seras devant ma porte d’immeuble.
- Ok.
- Prête à tout.
- Ok. Tu as capotes et gel.
- Ouais ouais mdr.
Je sais pas comment je dois prendre cette réponse…
- Toi, tu viens sans rien.
- Comment ça ?
- Rien. Que dalle. Tu viens à oilpé, ni téléphone, ni clés, ni rien. T’es motive ou pas.
Ouh la. Ca devient ouf, ça. Je bande comme un malade, mais je ne peux pas faire ça…
- T’as du poppers ? enchaîne-t-il.
Oui, bien sûr, je reste une grosse passive, et j’ai une bouteille toute neuve dans ma table de nuit.
- T’as juste le droit de venir avec une bouteille de poppers.
Je bande à mort et craque : « Ok. » Il est 22h, j’ai deux heures pour me préparer.
Je balise pendant toute l’attente, sans jamais parvenir à débander. Je pèse le pour et le contre. Pour : les rebeus comme ça sont rares, si c’est pas du fake, c’est juste énorme. Contre : c’est un coup à me retrouver à oilpé en extérieur et me faire emmener par les flics. Pour : Il est grave beau, il ne peut pas trafiquer sa géolocalisation, au pire, c’est un vieux moche et je me casse. Contre : je lui ai fait part de tous mes fantasmes, jusqu’aux plus hards, mais je ne me sens pas de passer à l’acte sur tous. Pour : c’est pas loin. Contre : j’ai grave la trouille… Pour : je vais trop regretter si je n’y vais pas.
Douche. Lavement. Re lavement. 23h45, je tourne en rond dans mon salon. Nouveau message d’Ibrahim :
- A minuit pile, j’ouvre la porte de l’interphone d’en haut. T’auras 15 secondes pour entrer. Tu montes au 7ème étage. Si t’es en retard, c’est mort. Ah oui, viens pluggée aussi, sale pute. Tu te mets à genoux sur le paillasson à droite en sortant de l’ascenseur et tu te gazes au poppers.
Je balise encore plus. Pluggée… Putain… Mais je réponds fatalement : « Ok ». Je vais dans ma chambre, fouille dans mes jouets, sors un plug taille M, un peu de gel et hop, il est rendu au fond ! Il est 23h50. Je compte 5 minutes pour y aller. Je n’aurai pas de montre… ***TROUILLE***
J’ouvre ma porte d’entrée, personne sur le palier. Je sors, ferme ma porte avec une clé de secours toute seule que je glisse sous mon paillasson. Il me reste ma bouteille de poppers – deux inspis pour me donner du courage ! – et la clé d’en bas. Le poppers me claque direct. Je prends les escaliers, moitié en tremblant. Arrivé en bas, personne. *** GROSSE TROUILLE *** Je traverse le hall, observe dehors. Vue l’heure, pas grande animation. J’ai chaud, je tremble… J’ouvre la porte, entends un bruit, reviens en arrière. Rien. Je ressors. En stress complet, je descend les trois marches qui mènent à la rue, tandis que la lumière automatique s’allume, je passe la grille en fer forgé. Je suis pieds nus sur le bitume. Juste à droite, il y a des buissons : j’y cache la clé du hall en serrant les fesses pour pas que le plug se sauve.
J’avance vers le numéro 1. Bruit de moteur, je me cache entre deux voitures. Un véhicule passe. Au loin, j’entends des voix, le bruit de la ville, des éclats de rire. Je repars. J’arrive en quelques instants devant son entrée. Si je suis trop tôt, j’augmente les risques de me faire prendre… Si je suis trop tard, je perds une belle occasion… Je reprend du poppers et m’avance vers la porte, en passant le portillon. La lumière s’allume. J’attends, le stress monte. J’entends la serrure qui se déverrouille : ouf ! j’inspire de soulagement et m’engouffre dans le hall.
Pas question de prendre l’ascenseur : je monte les escaliers jusqu’au 7ème et, comme exigé, m’agenouille sur le paillasson, serre les fesses et reprend du poppers. J’attends un peu. Encore. Le temps me paraît long. J’entends l’ascenseur se mettre en mouvement, je balise. Soudain, les portes de celui-ci s’ouvrent et j’ai l’impression que mon cœur s’arrête. J’ai à peine le temps de mettre les mains sur ma bite et de me redresser et là, j’ai face à moi un magnifique rebeu d’environ 20 ans, en short rouge, tongs et débardeur noir. Il a le regard noir, les pecs saillants, il est plus grand que moi d’une bonne tête. Il se jette sur moi, m’attrape par les cheveux et me remet à genoux.
- Je pensais pas que tu oserais venir comme ça, bâtard.
Rho cet accent de rebeu, c’est trop bon. Il passe un doigt dans ma raie pour vérifier la présence du plug.
- T’es une sacrée chienne, toi !
Et il me crache un molard dans la gueule, avant de m’entraîner à sa suite dans les escaliers pour rejoindre son appartement… au neuvième étage. Il me fait rentrer en premier, en me claquant le cul. Puis il referme la porte à clé. Mon trouillomètre s’affole de nouveau. Il me pousse vers son salon : les plans sont les mêmes que ceux de mon propre appartement, par contre celui-ci est moins propre et moins bien rangé.
Arrivé dans le salon, je bug. Deux autres rebeus sont avachis sur le canapé et je ne peux pas m’empêcher de mettre mes mains devant ma bite raide. Ca pue le pétard et le mâle. Un porno hétéro tourne sur un écran plat géant. Le premier mec est sec, stature de boxeur, il est torse nu, avec des abdos très visibles, une ligne de poils qui remonte de son short de bain bleu vers la toison de ses pecs. Pas la meilleure des gueules, mais un bon côté macho sexy, il doit avoir 20-25 ans. Le deuxième ressemble beaucoup à Ibrahim, en modèle réduit : il a grand max 18 ans, sûrement son frère. Il porte juste un t-shirt blanc et un boxer noir.
Les deux me regardent des pieds à la tête, puis retournent leur attention sur la meuf qui suce des bites à la chaîne sur l’écran. Je me sens très con. Ibrahim arrive derrière, me met une calotte derrière la tête et m’ordonne de me mettre à genoux, puis il s’installe entre les deux autres sur le canapé. Il sort sa bite, sans gêne, et claque des doigts pour que je vienne le sucer. Bien évidemment, j’obéis.
Sa bite est belle, grosse, bien raide, avec une bonne touffe de poils comme j’aime. Je démarre doucement, mais sa main appuie sur ma tête pour me rappeler que c’est gorge profonde ou rien. Mon maître me demande mon poppers, je lui donne. Je n’ai plus rien sur moi… Pause, il me fait sniffer, une fois, deux, trois, quatre… Et re gorge profonde. Je m’excite sur cette belle bite, c’est trop bon, j’en oublie les deux autres. Nouvelle pause, Ibrahim vire son débardeur et me tire par les cheveux pour me faire lécher ses dessous de bras poilus. Je kiffe. Gauche. Droite. Gauche. Droite. Sa bite frotte sur mon cul pendant tout ce temps. Il me repousse.
- Lèche mes couilles.
Je m’exécute et pendant ce temps, je peux mater les deux autres, qui ont chacun une main dans son calbut. Puis Ibrahim met ses pieds sur mes épaules et me pousse : je me retrouve le cul sur le lino et, aussitôt, un pied dans la gueule. Je déteste l’idée et là, pour lui, je suis prêt à tout. Je lèche, entre les orteils, la plante. L’autre pied. Les deux autres matent ça avec intensité en faisant tourner le pétard. Le boxeur sort son tel et se met à filmer. Je tique, j’essaie de me redresser, mais je prends une claque. Ibrahim me tend le poppers et me fait sniffer six fois, j’ai la tête qui tourne. Il me tire par les cheveux pour que je reprenne sa queue en bouche. Il y va super fort, l’enfoiré, je dégueule presque.
- Allez, encaisse, grosse pute. Vas-y, prends la…
Je m’applique, jusqu’à qu’on me tire les cheveux pour me coller la bite du boxeur dans la gueule. Elle est plus longue, plus fine, et il est plus brutal : je m’étouffe dessus ! Il s’en fout. Sa queue est légèrement courbée vers le base et du coup, Ibrahim me fait me déplacer pour mettre entre les jambes de l’autre. Ca passe effectivement mieux. Je sens le corps brûlant de ce rebeu magnifique passer derrière moi. Je tends une main vers ma bite pour me branler mais bam ! C’est interdit.
La queue d’Ibrahim frotte sur ma raie et butte contre le plug. Ca me donne des frissons. Il colle son gland juste sous le plug et pousse doucement. Je lâche la queue que j’ai en bouche et lui demande de mettre un capote.
- Chuuuut. T’inquiètes.
Ma bouche est aussitôt envahie de nouveau. Les gars se parlent en arabe, je comprends que dalle. Le gland appuie, ressort, appuie de nouveau. J’appuie de mes mains sur les cuisses musclées et poilues d’Ibrahim. Ca le fait marrer. Il les repousse et continue son manège. Comme je ne le laisse pas faire, il m’attrape les deux mains et me les tient dans le dos. La boxeur sort se bite de ma bouche et me fait sniffer du poppers. Quatre inspirations dans chaque narine, j’ai la tête qui tourne méchant. Re bite en bouche. Le gland d’Ibrahim appuie doucement. Ressort. Appuie. Ressort. J’ai très chaud, je me sens pas forcément super bien, et soudain, la bite rentre entièrement dans mon cul. Elle est grosse, en temps normal, ça aurait été dur, mais là, j’ai aussi un plug. Je recrache la première bite et gueule. En plus, y a pas de capote. Claque sur la tête, claques sur le cul.
- Ta gueule, chiennasse, faut encaisser, alors ferme la et prends bien.
Et là-dessus, il me lime sur toute la longueur. Le boxeur renfourne aussi. Je gémis, mais ne me débats pas. Ibrahim lâche mes mains, m’attrape par les hanches et me pilonnent. Je ne le repousse plus… Il sort et re-rentre direct, ça glisse tout seul. C'est intense. Pause. Nouvelle bite dans le cul, nouveau rythme. C’est le petit frère. Il est plus brutal, il veut cracher, ça se sent, ce qui ne tarde pas. Je perds la bite du boxeur pour pouvoir nettoyer celle du frangin. Mon cul me brûle. Le petit frère est peut-être encore plus beau. Quand je le regarde dans les yeux, il me crache à la gueule et m’insulte en arabe. Dans mon dos, une bite rentre de nouveau, sans capote. Ibrahim passe devant moi pour se faire sucer à la place de son reuf, donc c’est le boxeur qui y va. Un vrai bourrin, qui patauge dans la jute du gamin.
Ils inversent les rôles, plusieurs fois. Dès que je fais mine de me branler, je me prends une claque. Je prends dans les deux trous, c’est kiffant. Le petit frère revient se faire sucer, c’est moins rapide cette fois. Le boxeur me jute à la gueule, il me tartine bien. Le gamin y met sa jute aussi. Les deux me font tourner pour décrasser leurs dessous de bras, leurs couilles, leurs pieds. Pendant ce temps, Ibrahim enlève le plug et me doigte.
- C’est pas un cul, c’est pas une chatte, c’est eurotunnel !
Il n’y va pas de main morte, ça passe moyennement. Du coup, il s’en va et revient avec une bouteille d’huile d’olive. Pendant que je décrasse les deux autres, il me graisse et me doigte bien. Il commence à y aller fort, je gémis dur. Pause. Puis un truc froid qui pousse sur ma rondelle. Je veux tourner la tête, mais les deux autres me bloquent. Ca pousse, ça rentre d'abord facilement. Je sens quelque chose couler, à l'intérieur, ça me brûle, c'est très bizarre. Je balise pas mal, sans pouvoir faire quoi que ce soit. La brûlure s'intensifie et il pousse plus fort, l'objet s'élargit, ça passe pas. Il essaie quand même, je gueule. La sensation se calme, je ne sens comme plus rien, c'est bizarre. Le boxeur me fait sniffer du poppers, je pars dans les vaps. Ibrahim pousse plus fort, ça rentre mm par mm, je gémis, c'est de plus en lus gros. J'en peux plus, je gueule, je demande d'arrêter.
Pause. L'objet ressort et je découvre que c'est une bouteille en verre... Le plus jeune passe derrière moi et reprend le travail de mon cul. Il est plus brutal, moins patient. Je douille, je crie, il insiste quand même. Il finit par arrêter, puis je sens ses doigts. 2, 3, 4, 5. Il pousse fort... il cherche à me fister ! Je me débats un peu mais me prend une claque à l'arrière du crâne.
- Détends toi, bâtard.
Et Ibrahim me refait sniffer le poppers. Beaucoup trop, je perds moitié connaissance. Ca pousse et soudain, c'est tendu comme jamais puis... bam ! C'est passé... J'hyperventile, c'est énorme. Le frangin rigole, il est content de lui, il ouvre sa main et la remue, je gueule. Il ressort, je gueule encore plus, c'est aussi dur à la sortie qu'à l'entrée... Le plug revient à l'intérieur, je dois bien serrer mon cul pour ne pas le perdre.
- Bon, allez, bâtard, on va se promener, dégage de là.
Je me redresse, les jambes tremblantes. Eux se refroquent et Ibrahim me montre la porte. Je sors, le visage baissé. J'ai très envie de me branler, mais je sais qu'il vaut mieux pas. Mon maître appelle l'ascenseur, il me dit de les suivre. Je suis à oilpé, couvert de jus, avec trois beaux mâles. Arrivés en bas, on sort et ils m'entraînent direct vers le petit square. Le boxeur s'éloigne. Il fait nuit, certes, mais je suis à poil quand même. On entend les bruits de la ville, le sang bat à mes oreilles, je suis en stress.
- A genoux la tepu.
Je m'exécute près des jeux pour enfants. Ibrahim se roule un pétard, puis avec son frère, ils baissent leur short et commencent à... pisser.
- Ouvre la bouche et régale-toi.
Je ferme les yeux et obéis. Ca pue, c'est dégueu, mais je bande à mort. Les deux rigolent et m'insultent. Quand ils ont fini, je tente de me relever mais me prend une claque.
- Nettoie, pouffiasse.
Ils me tendent leur queue à sucer pour les rendre nickel. Au loin, je vois un mec qui sort son chien. Il nous a vu, forcément, mais il s'éloigne sans rien dire. Soudain, j'entends le bruit d'un scooter. Je balise, la lumière et le vrombissement se rapprochent. C'est le boxeur, toujours torse nu. Les phares découpent mon corps nu dans l'obscurité. Juste en regardant par la fenêtre, mes voisins sauraient que je suis là, à oilpé. Mon corps s'emballe.
- Monte derrière, bâtard.
J'obéis et m'accroche au boxeur. Il part en trombe, direct sur le boulevard. Y a des voitures, des coups de klaxon. Je bande pourtant comme un taureau, je suis excité comme jamais. Les vibrations du scoot font vibrer le plug et mon cul, je suis à deux doigts de juter, mais je sais que mon chauffeur m'en voudrait. Au rond-point, il prend à droite, direction Malakoff. Il ralentit devant le Basic Fit, y a des mecs qui zonent, ils nous sifflent et nous insultent. J'ai la tête qui tourne, mais où il m'emmène ? On passe sous le pont, il accélère, je ferme les yeux. Soudain, il freine et tourne. On est devant la piscine. Il file au fond du parking et s'arrête.
- Descend, la kabah.
J'obéis et... il se casse. Je suis à au moins 10 minutes à pied de chez moi, nu, couvert de sperme et d'un peu de la pisse que je n'ai pas avalée. Avec une gaule d'enfer. Ma bite se contracte et je me mets à gicler comme jamais, au moment où s'allument les feux stop du scooter et qu'il tourne en direction de mon appartement. La puissance de mon orgasme me laisse tremblant, je suis obligé de m'asseoir par terre. Puis au plaisir succède l'angoisse. Je dois maintenant rentrer chez moi sans me faire gauler...
(Vos retours sont les bienvenus, les mecs ;) )
Pol
pol.sevestre@gmail.com
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