Je tiens d'abord à confirmer que toutes les histoires que je publie me sont réellement arrivées. En 2007, j'habitais à Paris, et j'avais souvent l'habitude les vendredis, samedis et dimanches de me rendre dans les divers coins de drague dans le centre de la capitale.
Cette histoire, donc, se passe en juillet 2007. Etant un week-end, je me suis dis qu'il serait intéressant d'aller voir du côté des jardins du Louvre, vers le Campanus, haut lieu de la drague gay. Ce qui est bien sur ce lieu, c'est que l'on a la chance de trouver tout ce que l'on peut désirer : du jeune, au vieux, en passant par le rebeu, le travesti, le bi, l'hétéro en manque, et j'en passe.
J'arrive et commence mon inspection directement vers les buissons dans les pelouses de chaque côté. Cela démontre aussi que je peux, quelquefois, être blonde : pourquoi aller là-bas, alors que ceux qui y sont, généralement sont en train de baiser à deux ou plus à l'intérieur ?
Je retourne vers le Campanus. Il y avait pas mal de monde quand même, je croise une ou deux connaissances, on parle de la pluie et du beau temps. Puis je vois arriver par le côté Rivoli deux mecs, jeunes, 20 ans à tout casser : un jeune rebeu style racaille et un jeune blond super beau gosse militaires ? Etudiant ? Impossible à dire, mais, alors que le rebeu est habillé en tenue bien racaille, survêt, baskets, sans casquette, le blond taillé court à la militaire est en t-shirt blanc et faux treillis militaire. Immédiatement, je vais vers lui alors que son pote file vers les bancs sur la hauteur. Le jeune, en plein milieu devant tout le monde me regarde, me fout directement à genoux, ouvre sa braguette et me fout sans autre forme de procès sa queue dans la bouche. Il devait bien être excité car bien dur et raide, un bon 20/21 centimètre. Alors qu'il me force à des forges profondes, je me retrouve propulsé par terre, et je vois un vieux, à-demi maquillé comme un travesti, prendre ma place et pomper le jeune à ma place. J'allais revenir pour reprendre mon droit, mais le jeune m'a fait comprendre de rester là et de laisser faire. J'avais une de ces haines contre ce vieux ! Le jeune, d'un coup est devenu hyper violent en tapant bien au fond de la gorge du vieux, en l'étouffant avec sa queue, et d'ailleurs, le vieux bavait comme un malade et des larmes coulaient de ses yeux. Puis le jeune l'a prit par les oreilles avec ses mains et redoubla de violence. Dans un grognement très mâle, il obligeât le vieux de tout avaler le foutre en gorge profonde. Aucune pitié le jeune ! Le vieux s'est relevé et, alors qu'il partait, le jeune lui a dit
"J'espère que t'as compris le message vieille tarlouze ?"
Je compris alors que le jeune s'est vengé de sa colère et du coup de pute qu'il nous a fait. Il rentre sa queue, remonte sa braguette, et me dit
"Viens avec moi"
Nous sommes allés rejoindre son pote rebeu sur un des bancs. Je lui ai demandé alors
"T'es quoi ? Bi ? Hétéro ?"
"Je suis bi et on est sorti de boite, mais aucune meuf à tirer, donc, on est venu ici car j'avais besoin de me vider les couilles, j'étais trop en chien"
"Ouai mais pas cool d'avoir laissé l'autre profiter de toi, alors que j'étais le premier"
"Sur le moment, j'en avais rien à foutre, toi ou un autre, fallait que je dégorge. Mais à voir sa tronche à moitié maquillé, ça m'a foutu en rogne et vénère, je me suis vengé sur lui. Je suis réellement désolé pour toi"
Puis il prend congé de moi en me faisant un petit bisou sur la bouche.
Bon, c'est reparti pour la chasse, et je me rapproché du rebeu qui était resté sur le banc, et je lui ai demandé s'il avait besoin aussi de décompresser
"Va te faire foutre, j'suis pas PD ça m'intéresse pas"
Ok, donc après un salut, je repars en chasse et me dirige vers les souterrains de l'autre côté, côté Seine, rien d'intéressant, sauf au dernier, un beau mec genre armoire à glace qui démontait un jeune aussi d'une vingtaine d'année maximum. Je me suis dit, décidément c'est les sorties universitaires ou quoi ce week-end ? Et je retourne vers le premier souterrain avec pour idée, pensant ne rien trouver, aller me poser et discuter avec un pote marocain. Je rentre dans le souterrain, pas de lumière, juste un petit rayon qui venait du dessus extérieur des marches et là je vois un vieux en train de se branler tout seul. Je me dis que ce n'était vraiment pas ma chance cette nuit.
Et là, alors que je m'apprêtais à me retourner pour remonter à la surface, je n'ai rien compris ! Je me suis retrouvé tenaillé par les bras, puis foutu à terre sur le ventre, on m'a enlever le survêt et baisser mon boxer, forcé à me cambrer cul en hauteur et là, j'ai senti une grosse queue s'enfoncer d'un seul coup. Là, tout est allé très vite. Le mec me déboitait le cul (mais vraiment au sens propre !), un vrai bourrin ! il me pinait très vite en soufflant comme un bœuf, faisant bien taper ses couilles contre mes fesses. Cela a du durer 10 minutes, puis il m'a retourné comme une crêpe sur le dos, m'a coincé très vite avec ses jambes, m'a obligé à ouvrir la bouche pour y enfoncer son gourdin et a craché sa sauce. quantité familiale, il me pinait en giclant dans ma bouche et tellement excité, il n'arrivait plus à contrôler sa queue qui est ressortie de ma bouche. J'ai encore reçu du foutre sur les cheveux, sur la gueule et les jets allaient même sur les côtés, tel un tuyau que l'on ne maintien plus. Puis, ni une ni deux, il s'est levé, a rentré sa queue dans son pantalon et est parti comme un voleur. Je suis resté un peu chaos, non pas par violence, mais par surprise. J'ai doucement repris mes esprits, me suis levé. Oh putain mon cul !!! Un régiment entier me serait passé dessus, ça n'aurait pas été pire ! Le vieux que j'avais vu se branler avant que cela arrive s'approche de moi avec sa queue à la main
"Tu veux avec moi ?"
"Non mais t'es complètement barje mec ! Tu crois que j'ai pas assez ramassé comme ça ?!"
j'essaie de marcher normalement en évitant la marche des canards, ça aurait été plutôt la honte en sortant ! Tant bien que mal, je me dirige vers M. qui se met à éclater de rire comme un con
"Marre-toi pas, putain je me suis fait violer dans le souterrain"
Soit, ce fut le pied psychologiquement, mais je n'avais même pas jouis physiquement. Et je sentais que quelque chose coulait de mon cul dans mon fut. L'enfoiré, il n'a pas jouit une fois, mais deux, dont une fois dans mon cul !
"Putain, M. ça s'est passé tellement vite que je n'ai rien venir ! et ça s'est terminé aussi vite que c'était arrivé. Tu as vu le mec ? "
"Ah ouai, tu as vraiment une chance de cocu (j'étais pourtant célibataire), le canon ! Style surfeur américain mec ! Il bandait encore dans son jeans. Il est parti direction Rivoli en passant à côté de moi. J'ai tout de suite compris quand je t'ai vu ressortir du même souterrain"
Et il s'esclaffe encore. Ce fut difficile de prendre le métro en essayant de marcher correctement.
Un viol comme ceci, je signe un contrat à vie !
Jan
titelope38@outlook.fr
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