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Chapitre-5
Au réveil je suis seul. Alors que je me lève, les jambes tremblantes, j’aperçois un mot sur la porte.
« Tu es un bon garçon ! Maintenant habille toi avec les vêtements poser sur le meuble en face du lit et rejoins-nous dans le salon. »
Fier de moi, d’avoir rendu mon maître heureux je m’habille avec un caleçon / jockstrap en néoprène, un harnais de poitrine en cuir et une paire de sandalette.
Quand je rejoins le salon je vois à travers les fenêtres qu’il doit déjà être tard, la nuit est tombée.
- Voilà notre marmotte, m’accueil mon maître. Red tu peux aller préparer le repas. Toi viens ici.
Et il l’ouvre ses bras dans lesquels je me blottis. Après 20 minutes de câlin Red nous appelle pour manger. Cette fois le gode sur ma chaise fait 4cm de diamètre et une quinzaine de longueur. Red le lubrifie pour moi alors que mon maître me regarde avec des yeux intenses. Mon anus douloureux du traitement précédent accepte pourtant avec plaisir ce jouet. Ma queue durcit alors que je ne peux m’empêcher de bouger pour que le gode tape ma prostate. Mais très vite le maître me rappelle à l’ordre et nous mangeons en parlant à nouveau comme des égaux.
Une fois le repas fini et la vaisselle faite par moi et Red nous rejoignons le maître pour un moment de détente sur le fauteuil.
- Alors mon garçon, m’apostrophe Thomas, content d’avoir perdu ce pari ?
- Oui répond je honnêtement. Je me sens tellement mieux dans vos bras que lorsque je m’occupe de mon puppy. Je ne connaissais pas cela de moi.
- On n’est encore qu’au début chéri, tu vas encore nous servir toute la nuit. Et maintenant que ton anus est étiré tu vas pouvoir soulager nos queues. En attendant voici une récompense pour toi.
Il me montre alors un collier auquel pend une petite fiole blanchâtre.
- Se collier, dit-il en me le mettant, prouve que je suis ton maître. La fiole à l’avant contient le sperme que tu as lâché quand tu m’as cédé ton corps cet après-midi. Il s’agit du premier orgasme que je t’ai personnellement donné. Il te reste maintenant une dernière tâche à accomplir avant de mériter ma queue dans ta belle petite gueule ou dans ton trou rougi. Red ! Va le chercher c’est l’heure du paiement.
Le puppy quitte alors la pièce avant de revenir 5 minutes plus tard accompagné par un vieux, la soixantaine, grassouillet, avec des tâches bizarres sur son tee-shirt et son jeans.
- Voici mon nouveau garçon, dit mon maître à l’homme. C’est lui qui va s’occuper du paiement de cette semaine.
Puis mon maître me force à le regarder et me dit d’une voix dure :
- C’est notre voisin, il ne se plaint pas du bruit que l’on fait et nous laisse nous trimballer nu dans le couloir à conditions que mon soumis le suce une fois par semaine. Heureusement cette semaine j’ai deux soumis sous mes ordres et c’est toi qui va-t’en occuper. Fais le bien et je remplacerai son goût par le mien juste après.
Il a murmuré ces derniers mots à mon oreille et cela suffit pour me donner envie de sucer l’autre porc.
Alors que je m’avance vers lui, le gars sort une queue odorante et visiblement sale qui me donne envie de gerber. Mais dans le coin de mon œil je vois alors mon maître frotter sa queue à travers son pantalon en cuir et je m’agenouille.
Cette queue est dégueulasse, rien que l’odeur me donne envie de gerber mais, alors que le voisin saisit ma tête pour me baiser la gorge, je ne pense qu’à mon maître et m’applique.
La queue s’enfonce dans ma gorge et jamais je n’ai ressenti cela. Ça brûle et j’étouffe mais je subis pour mon maître. Heureusement après à peine deux minutes le gars jouit sur ma langue et s’en va en se rhabillant. Red débarque aussi tôt avec un bol dans lequel il me dit de cracher, ce que je fais avec plaisir tant le sperme de cet homme est immonde.
- Je suis si fier de toi boy, me félicite mon maître. Tu ne t’es pas plaint une seule fois et tu l’as laisser faire. Tu peux venir chercher ta récompense.
Et sans réfléchir je cours à 4 pattes vers mon maître, je sniffe la bonne odeur de mâle se dégageant de son entre jambe et je le prends direct en bouche.
Quel bonheur. Jamais une queue n’a autant étiré ma bouche. Jamais je n’ai trouvé le goût d’un gland si bon et lourd sur ma langue. Jamais je ne me suis senti autant à ma place.
Et alors qu’il commence à m’imposer son rythme et que petit à petit son membre s’enfonce dans ma gorge, je commence à pleurer de bonheur.
Mon maître voit mes larmes et la joie dans les yeux et me caresse les cheveux tout en baisant de plus en plus fort ma bouche.
Derrière moi je sens les doigts de Red envahir mon anus. Il me doigte avec un, deux puis trois doigts. Appuyant toujours plus fort sur ma prostate.
Il retiré ses doigts alors que je ne suis plus qu’une loque gémissante autour de la queue de mon maître. Et je le sens appuyer la pointe de son gland sur ma rosette.
- Nous voilà à un moment critique, me dit mon maître. Sois-tu le laisse faire et Red te baise sans capote. Tu seras alors rabaissé en dessous de lui mais tu feras désormais partie de mes soumis jusqu’à ce que j’en décidé autrement. Tu lui dis non et on ne te baisera qu’avec une capote, tu pourras repartir demain comme si de rien n’était. Ou tu refuses tout simplement et ton anus ne subira rien de plus gros que le jouet sur ta chaise.
Que faire ? La troisième option est inenvisageable, je veux cette queue. Mais pour le reste ? Être baisé sans capote, ressentir la chaleur et la douceur de son membre directement en moi, être marqué par sa semence et celle de mon maître. Mais la contrepartie est de lui appartenir, d’être même reléguer plus bas que le puppy. Si en arrivant tout à l’heure cette idée m’horrifiait, maintenant je connais ma place.
Je recule alors moi-même mes fesses en faisant pénétré cette large queue. Mon maître me regarde avec un sourire heureux alors qu’il ralentit sa baise de ma gorge. Red m’attrape les hanches et s’enfonce d’un seul mouvement lent dans mon cul. Il frotte contre me prostate en chemin et je gémis tout du long. La brûlure de sa queue si grosse et si longue ne peut éclipser le plaisir de ce mouvement. Une fois au fond il me laisse un instant pour reprendre mon souffle autour de la queue du maître qui laisse désormais échapper un liquide si bon. Le goût du precum du maître sur ma langue me rend fou et je commence moi-même un rapide mouvement de balancier entre les deux queues. C’est si bon je gémis constamment, mon anus chauffe, ma gorge est douloureuse et, malgré les précédent d’orgasmes de la journée, ma queue est dure comme de l’acier. Au bout de 10 minutes de baise intense Red saisit ma queue et ce seul mouvement suffit à me faire cracher.
Je me ressers autour de sa queue ce qu’y l’entraîne avec moi. Je sens un liquide chaud se répandre en moi et mon orgasme redouble d’intensité alors que Red me remplis de son jus.
Une fois nos orgasmes passés et nos corps avachi l’un sur l’autre. Thomas prend ma tête entre ses mains et me baise la gueule avec tant d’intensité que je manque de vomir à chaque mouvement. Il finit par ressortir sa queue pour me balancer deux jets crémeux sur la face. Il remet ensuite son gland au chaud pour me faire boire son lait. J’avale tout avec bonheur.
Il finit par se retirer et donne sa queue à nettoyer à Red qui la rend toute propre avant de m’embrasser pour que l’on se partage le goût du maître.
S’en suit une séance de câlin dans le fauteuil avant de migrer dans le lit. Nous passons aux toilettes ou le maître nous observe nous soulager avant de nous brosser les dents. Une fois dans le lit je me retrouve au milieu entre Red et Thomas. Ils caressent mon corps de leurs mains et de leurs langues. Alors que le maître s’attaque à mes tétons, le puppy me prend la queue en bouche, il descend rapidement vers mes couilles avant de s’attaquer à mon anus. Je ne peux rien faire d’autre que de subir et suppliant pour plus, laisser sans force par les activités de la journée.
Alors que je pleure, en suppliant pour plus, mon maître se place entre mes jambes et s’enfonce d’un coup en moi. Je hurle de douleur sous sa queue plus large et longue que celle de Red qui me détruit l’anus. Mais je ne cherche pas à m’écarter, mon corps lui appartient et enfin il en prend possession.
Red me présente devant la bouche, un bol que je reconnais. C’est celui qui était relié à la machine de cet après-midi. Celui dans lequel se trouve le jus de mes trois orgasmes.
- Bois ! Ordonne Thomas en me baisant sur toute la longueur de sa queue. Tu n’es désormais qu’un réceptacle à sperme, que ce soit le mien, celui de Red ou le tien. Désormais ton seul désir dans la vie est ce liquide.
Et je bois alors que ces paroles s’inscrivent au fer rouge dans mon esprit. Je bois alors qu’il me baise de plus en plus vite. Une fois le bol vide c’est la queue de Red qui se présente devant moi et sans réfléchir je la prends en bouche et pompe de toute mes forces pour avoir son jus.
Ma gorge douloureuse par le passage du maître ne proteste même plus car mon corps reconnaît son maître et obéit.
Lorsque Red se vide dans ma gorge je jouis sans me toucher. Mais ce 6eme orgasme de la journée me prend toute mes forces, à peine quelques gouttes sortent douloureusement de mes bourses et je cri de douleur. C’est à ce moment-là que je sens la meilleure sensation au monde. La queue de mon maître palpite au fond de mon trou avant d’y déverser des litres de sperme chaud. Après deux trois allers-retours pour finir de se vider le maître sors de mon cul.
- Je suis si fier de toi mon garçon. Tu as pris ma queue et mon sperme en toi. Tu t’es soumis à la queue de mon pup. Désormais tu ne peux plus m’échapper. Tu m’appartiens jusqu’au fond de ton anus. Tout ce qui est à toi m’appartiens. Ton seul et unique but dans la vie est d’être à moi.
Et je m’endors heureux dans ces bras.
Je serais réveillé plusieurs fois pendant la nuit par lui ou Red, ensemble ou pas, qui me baisent lascivement avant de me féconder encore.
Au matin je me réveille en sentant la queue ramollie du maître qui n’as pas quitter mon cul depuis sa dernière jouissance vers 4 heure du matin. Bien vite cependant elle grossit annonçant le réveil prochain de Thomas. Ne voulant pas la perdre je m’empale plus profondément dessus avant de faire des mouvements de vas et viens. Je sens le maître se réveillé et accompagner le mouvement. Nous sommes rapidement tous les deux durs. Il me fait grimper sur lui et m’empale sur sa queue de face. Il me penche pour m’embrasser et je sens alors la queue de Red pousser contre celle de notre maître.
Mon cul, bien graissé par le jus reçu cette nuit, n'oppose que peu de résistance alors que je me fais écarteler. Red me baise en contre coup du maître. Celui-ci me fixe du regard et m’ordonne de jouir. Sans aucun contrôle de ma part le jus coule de ma queue et forme une flaque sur le ventre de mon maître. Tout mon plaisir vient directement de mon anus maltraité.
Je sens les deux queues se contracter en moi et m’emplir une dernière fois de leur semence. Red sort bien vite de mon cul et, après m’avoir fait nettoyer sa queue, part préparer le déjeuner. Mon maître sort également de moi mais reste allongé le temps que je le nettoie du jus restant sur sa queue et de celui que j’ai laissé sur son ventre. D’une claque sur les fesses il me fait me lever du lit et m’ordonne de m’agenouiller à terre.
Il se lève dans sa glorieuse nudité, s’étire et s’approche enfin de moi.
Il glisse sa queue molle dans ma bouche et un seul regard vers lui le fait comprendre mon rôle.
J’avale sa pisse au fur et à mesure qu’il me remplit la bouche. Il me caresse les cheveux et me félicite à chaque gorgée.
Il attrape alors mon string d’hier qu’il avait posé sur la table de chevet, avant d’y essuyer les dernières gouttes et de me le jeter à la gueule.
- Ce sera tout pour aujourd’hui, je ne pense pas qu’aucun d’entre nous soi capable d’un autre orgasme. Tu peux remettre les vêtements dans lesquels tu es arrivé hier mais ceci, dit-il en montrant le string pendant sur mon nez, sera ton seul sous vêtement. Viens prendre ton déjeuner une fois habillé. Et bien sûr, je t’interdis d’essayer de laver le jus qui coule de ton cul. Ma semence doit rester en toi ou sur toi.
Il enfile rapidement un jogging et s’en va. Je m’habille alors et frissonne en sentant la douceur de la broderie du string, glisser sur mon anus douloureux. Dans le salon nous nous asseyons, non sans une grimace pour mon cul de ma part, et discutons-en déjeunent. Ils veulent cette fois tout connaître sur mes escapades en recherches de soumis. Le maître m’ordonne de ne plus recommencer. Puis ils me font parler de mon puppy et se demandent ce que je devrais en faire maintenant que je ne suis plus qu’un soumis. Décision est prise que je peux le garder pour le moment. Après cela je range une dernière fois l’appart et m’en vais avec la promesse de revenir le week-end prochain.
Je reviendrai une à deux fois par semaine pendant les 3 mois qui suivent jusqu’à fameux jour raconter dans le chapitre 2.
La prochaine fois je vous raconterais ce qu’il c’est passer de mon point de vue.
Pup Orock
puporock4@gmail.com
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