Il y a quelques semaines de ça, je me suis offert un week-end à Bruxelles. Je suis parti très tôt de chez moi et à midi je débarquais dans la capitale belge.
En début d'après midi, je me dirigeais au sauna. Grand établissement, fréquenté et animé à chacun de mes passages.
Comme il était tôt, je traînais au bar. J'apercus l'annonce pour une séance de massage.
Le serveur m'annonca fièrement "le vendredi, ils sont 2"
À ma mine, il vit que je ne comprenais pas.
- C'est un massage à 4 mains, précisa-t-il.
Il m'inscrivit sur l'agenda et 15 minutes plus tard, je rejoignais le salon détente.
La pièce était ouverte. Au centre, la table de massage, contre un mur, une bibliothèque avec serviettes, un téléphone diffusait une douce mélodie.
J'attendais sur le seuil que les masseurs arrivent. L'affiche à l'entrée montrait 2 blacks tout sourire les bras croisés sur leur torse.
- Bonjour et bienvenue, me dit le premier gars. Je m'appelle Eddy. 1,80m, larges épaules et un sacré sourire.
Il me serra vigoureusement la main.
Le deuxième masseur se présenta.
- Moi c'est Cyril. Plus petit, les yeux en amande. Il me fit la bise.
Les 2 portaient la tenue de l'établissement, bermuda et t-shirt noir.
Eddy m'invita à m'installer sur la table. J'otais ma serviette et m'allongeais sur le ventre. Cyril ferma la double porte.
- C'est parti pour une heure, annonca Cyril à Eddy.
La lumière baissée, la musique un peu plus suave et je me laissais entraîner dans cette douce ambiance.
Eddy était au niveau de mes pieds et Cyril au niveau de ma tête. L'un et l'autre versèrent de l'huile sur mon corps. Eddy s'attaqua à la voûte plantaire puis travailla les jambes. Cyril s'affairait sur les épaules et les bras.
Les mains effilées de Cyril caressaient ma peau. Au fur et à mesure, je les sentais descendre plus bas sur mon dos. En même temps, les mains massives d' Eddy remontaient le long de mes jambes. Cyril se penchait au-dessus de moi, il prenait appui contre le bord de la table. Je pouvais sentir son corps frôler ma tête.
En rythme, les mains s'activaient. Elles glissaient sur ma peau, dénouaient les muscles tendus. Je soupirais de bien être. Les mains d'Eddy attrapèrent chacune une de mes fesses. Puis elles remontèrent vers le creux de mes reins. Elles rebroussèrent chemin, caressant délicatement mes fesses rebondies, la pointe des doigts tournées vers l'intérieur de mon sillon, et glissèrent vers l'intérieur de la cuisse. Les doigts frôlaient mes bourses, puis s'éloignaient comme si de rien n'était.
Pendant ce temps, cyril s'était déplacé sur le côté et massait l'intérieur de la paume de ma main. Du bout des doigts j'effleurai le tissus léger du bermuda. Lorsque Cyril changea de côté, il se positionna de telle sorte que son paquet était à portée de main. À mesure qu'il massait le bras, l'avant bras puis le poignet, je sentais qu'il s'appuyait sur ma paume. Il resta là un moment, le paquet posé dans ma main, et il massa mon dos. Eddy n'avait pas cessé ses caresses, aussi je flottais entre 2 états. Tout à la fois présent et absent.
Ils tournèrent autour de moi. Cyril remplaça Eddy. Ses mains fines se faufilèrent le long de mes cuisses. Elles empruntaient le même chemin que celles d'Eddy peu avant. Mes bourses furent à nouveau effleurées. Encore. Puis encore. Cyril souleva une jambe qu'il ecarta légèrement. Puis la deuxième. Ses mains reprirent leur inspection. Je me laissais caresser ainsi alors qu'Eddy se tenait face à moi, et massait le haut du dos. Je me relâchai totalement.
Puis ils me demandèrent de me retourner. Alors que je m'exécutais, j'entrapercus des renflements sous le tissu des bermudas. Lorsque je m'allongeai sur le dos, j'offris une demi molle qui ne demandait qu'à grossir.
Feignant de n'avoir rien vu, les mains expertes reprirent leur office. Cyril massait le haut des cuisses toujours en frôlant mes couilles et ma verge.
Eddy se penchait sur moi et appuyait son bassin contre mon bras. La pression qu'il exerçait à chaque geste ne laissait plus de place à l'imagination. Eddy frottait son sexe tendu contre moi. Je n'avais pas réalisé que ma demi molle avait disparu. Une franche érection s'affichait alors que les mains de Cyril s'en rapprochaient de plus en plus.
Cyril se cala contre mon pied. Lui aussi bandait dur. Sa main se ferma sur mon sexe tendu. Délicatement, il me branla d'une main. De l'autre il malaxait mes couilles. Je ne cherchai pas à résister. Le désir prit le dessus. Je tournai la tête vers Eddy. Un grand sourire fendait son visage quand nos regards se croisèrent. Il se pencha vers moi. Au creux de l'oreille il murmura
- Tu veux la spéciale ?
Je hochai la tête.
Aussitôt, Eddy prit ma main qu'il glissa sous son bermuda.
- Viens la chercher.
Je trouvais l'objet du désir. Large et épaisse, raide et prête à rendre service.
Eddy souriait toujours.
- Oui, c'est pour toi. Allez viens.
Il fit tomber son bermuda à ses pieds. Il présenta sa verge à mes lèvres et le gland les écarta pour mieux se glisser entre.
Cyril releva mes jambes et sans préambule découvrit ma rondelle et l'embrassa. Sa langue et sa bouche m'offraient un moment intense.
Puis Cyril se redressa et me regarda.
- Puis je ?
Sans hésiter, j'acquiesçai.
Cyril m'attira à lui, puis offrit sa queue raide à mon œillet. Il prit le temps d'ouvrir mon petit trou. Lorsque le passage fut fait, Cyril changea de tempo. Il donna de grands coups de bassin. Son sexe allait et venait en moi. Puis il ralentit la cadence et offrit la place à Eddy.
Eddy attrapa une de mes jambes qu'il posa sur son épaule. Et toujours en souriant, il me pénétra. Son sexe était plus large que celui de Cyril.
Bien que prévenant, Eddy poussa sa queue d'un seul mouvement dans mon cul. Le membre épais m'ôta un long soupire. Cyril se plaça prêt de mon visage et engouffra sa bite dans ma bouche.
Ils me baisèrent longuement. Ils changèrent plusieurs fois de position. Cyril goûtait ma rondelle détendue chaque fois qu'Eddy se retira. Puis sa bite me pilonnait délicieusement.
Lorsque Eddy enfouit son membre une autre fois en moi, je ne voulais pas me retenir. Allongé sur le dos, les genoux relevés sur les épaules, mon sexe cracha de longs jets. Eddy continua sa besogne. Mon œillet se contracta autour de la bite tendue.
Ses yeux étaient plongés dans les miens. Tout sourire, il me dit
- Très joli. Mais pour la spéciale, tu as droit à plus. Tu veux ?
Je ne sais pas ce qui s'est passé, sa voix m'envouta et j'en demandais encore.
Cyril grimpa sur la table. Il m'offrit sa rondelle. Je léchais son œillet serré pendant qu'Eddy continuait à me baiser.
Je m'accrochais aux cuisses musclées de Cyril. Je dardais ma langue sur sa rosette et je sentis Cyril se contracter et libérer son nectar sur mon torse.
Puis Eddy accéléra ses ondulations. Il poussait son sexe toujours plus profondément, jusqu'à ce que je sente le manche puissant tout entier en moi. Dans un souffle nerveux Eddy déchargea en moi.
On se retrouva tous les 3 essoufflés.
Le temps de reprendre nos esprits et l'heure fut écoulée.
N'hésitez pas à m'écrire pour commenter cette histoire.
Balthazar
balthazarxxx@yahoo.com
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