Premier épisode | Épisode précedent
Note
Brève présentation. Je suis un beau mec (c'est ce qu'on dit) d'un peu plus de 40 ans, plutôt sportif, 1m70 pour 58kg, queue de 19 cm et beau petit cul rasé. Passif frustré car je vis en couple depuis plus de 15 ans avec un réel passif. Je suis donc uniquement actif depuis que je suis avec lui. Voilà pourquoi je partage mes plans cul passés sous forme de récits, ici. Ils sont tous réels. J'avais alors une vingtaine d'années.
Merci de votre fidélité. Elle m'encourage à écrire davantage sur mes plans passés.
Je sais que certains d'entre vous sont impatients de me lire, alors installez-vous confortablement car ce récit est le plus long que je n'ai jamais partagé ici.
9 | Cul de service
E et M (Chapitre 3), ce couple d'actifs qui m'avait défoncé le cul à tour de rôle chez moi pour terminer en double sodo, n'ont pas tardé à me recontacter.
Pour la compréhension du récit, "E" devient Étienne et "M", Matthieu (Prénoms inventés). Tous deux avaient plus ou moins l'âge que j'avais à l'époque.
Nous sommes lundi soir. Mon téléphone sonne.
"- Salut, c'est Matthieu. ça va ? J'ai un truc à te proposer.
- Salut. Tout va bien, et toi ? Vas-y, propose.
- Ouais, super. Voilà. Depuis qu'on t'a baisé la semaine dernière, on arrête pas de penser à ton superbe cul. Surtout moi, j'avoue, car je kiffe trop la façon qu'il a de me sucer la queue. Je kiffe tellement ton cul, que j'en ai parlé lors d'un repas entre potes vendredi soir.
- Continue. Tu m'intrigues.
- Étienne était le premier à dire que tu avais un cul fait pour la bite. Et j'ai ajouté que je n'avais jamais autant kiffer d'être dans un cul. J'ai tout détaillé. Du coup, deux de nos potes, un rebeu de 42 ans et un black de 45 ans, veulent te rencontrer, enfin surtout ton cul.
- Pas de problème. Filez leur mon numéro et mon adresse, je suis partant.
- Attends. Je n'ai pas fini. Je savais que tu serais chaud. Mais j'ai eu une idée. Parce que moi aussi j'ai envie de regoûter à ton cul. Etienne le veut aussi, bien sûr. Et l'idée que nos potes puissent en profiter grâce à nous, ça m'emmerde un peu. Voilà pourquoi je t'appelle aujourd'hui pour te proposer un truc. Enfin, si t'es ok.
- Accouche. Tu tournes autour du pot là.
- Désolé, j'ai trop envie que tu acceptes, c'est tout. Je veux que tu viennes passer le week-end chez nous. Et que tu restes en jockstrap tout le temps pour que je puisse te bouffer le cul et te sauter quand je veux. Étienne aussi, t'avais compris. On serait pour un week-end, détenteur de ton cul qu'on prêterait à nos potes lorsqu'ils passeraient. Alors, ça te dit ?
- Euh... Ce week-end ?
- Oui, dès le samedi matin ou même dès vendredi soir.
- Ok. Ça marche. Je n'ai rien de prévu ce week-end. Pas possible vendredi, ce sera pour samedi matin. Puis, je ne dis jamais non à une bonne bite dans le cul. Alors quatre, je ne vais pas refuser.
- Cool. Par contre, Étienne me dit de te prévenir que notre pote black en a une vraiment très grosse.
- C'est-à-dire "très grosse" ? 20 cm ? 21 ?
- 25 cm. T'es toujours ok ?
- 25 ? Putain, je n'ai jamais eu ça dans le cul. C'est chaud quand même. Bon, j'ai le poppers pour m'aider, mais quand même...
- Tu sais, ils ne passeront que samedi soir. Compte sur Étienne et moi pour te préparer le cul toute la journée. On va élargir ton petit trou pour que tu puisses accueillir sa queue sans problème.
- Ok. On verra. Et le rebeu ? Taille de sa queue ?
- 19 cm.
- Ok, ils sont tous les deux de bons actifs ?
- Ouais, de bons vrais actifs.
- Ok. Par contre pour une double, faudra voir. Parce que là, à froid, comme ça, c'est non. Et ils savent que je ne suce pas ?
- Oui. On leur a dit que tu n'étais qu'un cul. Et qu'il valait le détour, qu'il suçait les queues comme un pro aussi bien qu'une bouche. Même mieux qu'une bouche.
- Sympa. Je serai chez vous samedi aux alentours de 10h. Envoie moi votre adresse par SMS.
- Ok. Si tu veux, tu peux même arriver plus tôt le matin pour nous réveiller avec ton cul. Mais attention, quand je dis qu'on sera détenteur de ton cul tout le week-end, ça veut dire qu'on peut l'utiliser quand on veut. Même la nuit, que tu dormes ou pas. On te le bouffe et te le défonce dès qu'on en a envie. Exemple, on dort ensemble dans notre lit, taille "king size", je me réveille avec la trique en pleine nuit, tu dors, je te bouffe le cul ou pas et je t'encule. Idem pour Étienne. Ou en pleine journée, on te baise le cul ou on le prête à nos potes quand on veut.
- Ouais, ouais, j'ai compris. Et je ne suis pas du genre à me défiler ou à jouer les princesses. Mon cul sera entièrement à vous ce week-end."
La semaine se déroule calmement et normalement, avec une queue dans le cul certains soirs, celle de mon pote DJ (Chapitre 7), le midi quand il voulait en disposer ou encore, parfois, le Fantom (Chapitre 1) l'utilisait aussi.
Nous y sommes. Samedi matin. Levé à 6h, tellement j'avais envie d'être ce cul tant désiré tout un week-end. Je lis un SMS que Matthieu m'avait visiblement envoyé vers 2h du matin qui disait : "Envois moi un message lorsque tu es arrivé devant chez nous, je viendrais t'ouvrir. Pas besoin de sonner."
Je petit-déjeune et prends une très longue douche avant d'enfiler un jockstrap et un jogging. Je mets mon blouson, puis je quitte mon logement vers 7h, casquette noire vissée sur la tête et poppers en poche.
Je prends le métro direction Tourcoing. Arrivé devant chez eux, une petite maison de ville en briques rouges, je m'assure que mon cul soit bien libéré en baissant légèrement mon jogging et j'envoie un SMS à Matthieu comme il me l'avait demandé. Très rapidement, il ouvre la porte et m'accueille nu avec une bonne demie molle.
"- Entre et mets toi à l'aise. Bandant ce p'tit jogging moule cul. Chuchote-t-il.
- C'est pour vous. Regarde. Dis-je tout bas. Après avoir ôté mon blouson et m'être penché sur la table afin de lui présenter mon cul.
- Putain. Trop bon. Je bande comme un dingue rien qu'en t'imaginant prendre le métro avec ce p'tit cul demandeur. Dit-il en me caressant le cul.
- Étienne n'est pas là ?
- Il est là-haut. Il dort encore. Laisse moi profiter un peu de ton cul avant de le rejoindre. Laisse ta casquette"
Sur ces mots, il s'accroupit et baisse complètement mon jogging pour déposer des baisers sur mes fesses rasées de la veille. Il hume l'odeur de mon cul tout en me le pelotant. Mes fesses s'écartent à chaque fois qu'il les malaxait toujours en sentant le parfum de mon boule.
Je prends mon poppers dans la poche de mon jogging et le porte à mon nez.
Matthieu, lui, continue à m'embrasser les fesses, à me les lécher en frôlant ma rondelle toute rose et fraîche du matin.
"Putain ce cul. J'en rêve depuis que je l'ai goûté. Je n'en ai pas dormi de la nuit. J'en avais trop envie. Sa douceur, son galbe, son odeur, son trou... Dessape-toi."
Me voilà en jockstrap, lui présentant mon cul. Et là, il écarte mes fesses et me lèche le trou délicatement. Il titille ma rondelle avec la pointe de sa langue. Puis il l'enfonce un peu pour la retirer aussitôt. Il donne ensuite de grands coups de langue. Je cambre le dos et tends mon cul, excité par cet anulingus royal. Il écarte beaucoup plus mes fesses pour introduire plus profondément sa langue. Il fouille littéralement mon trou. Je l'entends humecter et se régaler avec ma mouille de cul, gourmant qu'il est. Je m'abandonne complètement sur la table. Je ne sens que sa langue me fouiller l'anus.
Après un petit moment, il cesse sa délectation de mon jus anal pour se redresser en plaquant son gland contre mon trou. Il pose une main sur le creux de mes reins plus l'autre sur l'une de mes fesses pour l'écarter. Il frotte son gland contre mon anus et je l'entends cracher sur son gland et mon trou. Il commence à taper son gland contre mon oignon jusqu'à ce qu'il cède.
"- Je peux te la mettre sans gel ? Demande-t-il en faisant glisser son gland à l'entrée de mon cul.
- Je te rappelle que ni Étienne ni toi n'avez mis de gel pour me baiser la dernière fois.
- Ouais, mais là, tu vas te faire défoncer tout le week-end. Je ne voudrais pas l'abîmer dès le début.
- Ferme-la et mets-la moi profond. T'as déjà le gland dedans."
Il ne s'est pas fait prié et a commencé à enfoncer sa queue en moi centimètre par centimètre. Je sniffe mon poppers comme un malade. Sa queue est maintenant bien au fond. Je lâche un petit gémissement de plaisir.
" Putain. J'adore t'entendre gémir comme un vrai mâle. Tu kiffes avoir ma bite dans ton cul, hein..."
Il commence ses vas-et-viens en douceur pour savourer, comme il aime le dire, "la pipe que mon cul lui fait".
"C'est trop bon. Ton cul aspire ma queue comme jamais un autre cul ne l'avait fait. Il me pompe le dard. Je kiffe trop."
Ses mains se dirigent vers mes hanches en caressant avec envie ma peau, puis il les agrippe avec fermeté. Ses vas-et-viens se font de plus en plus rapide et il jouit en moi en étouffant son cri de plaisir dans mon cou.
"- Putain. Merde ! Je ne voulais pas jouir aussi vite. Je voulais en profiter beaucoup plus. Fait chier. S'exclame-t-il en restant au fond de mon cul.
- Eh. Je te rappelle que je suis là pour deux jours.
- Ouais. Mais ce ne sera pas pareil."
Pas pareil ? Il veut dire quoi par "pas pareil'' ? Il décule avec un étrange soupçon de frustration puis il me propose de boire un verre avant d'aller rejoindre Étienne. Ce que j'accepte. Un quart d'heure plus tard, il m'invite à monter à l'étage. J'emprunte les escaliers avec hâte car Matthieu m'avait bien chauffé. Il me suit.
"Attends ! Reste là. À voir ton cul se balancer sous mes yeux, ça me donne envie de le bouffer encore. Penche toi un peu et file le moi."
Je m'exécute et lui redonne mon cul à bouffer, là sur les marches de l'escalier. J'entends toujours le plaisir qu'il a à me bouffer l'oignon. Et, après une dizaine de minutes, il cesse son anulingus et introduit l'un de ses doigts dans ce trou qu'il aime tant visiter.
"Vas dans la chambre. Sur ta gauche. Mets-toi à quatre pattes, ton cul vers la tête de lit pour qu'Étienne le voit à son réveil. Mais attention, sans un bruit car je vais encore te la mettre avant qu'il n'ouvre les yeux."
J'entre dans la chambre et devine dans la pénombre causée par le volet baissé, un immense lit sur lequel je vois Étienne encore endormi sur le dos, entièrement nu. Je comprends mieux le "King size" qu'il avait employé pour parler de leur lit. J'ai su plus tard qu'il faisait 2 mètres sur 2.
Je m'installe donc comme Matthieu me l'avait demandé, le cul tourné vers la tête de lit et très proche du visage d'Étienne. Matthieu me rejoint, se place derrière moi, s'agrippe à mes hanches et me fout sa queue dans le cul direct. Je lâche un léger grognement de surprise. Là où il était doux au rez-de-chaussée, sur le lit, il me défonce le cul comme un dingue. J'ai toujours mon poppers sous le nez. Il me casse le cul alors que j'ai désormais les épaules et la tête contre le matelas.
"Hum... Je vois que vous ne m'avez pas attendu. C'est super agréable de se réveiller avec ce beau petit cul en train de se faire défoncer par son mec. Donne-moi ta queue à sucer, toi, que je goûte à sa mouille de bâtard." Dit Étienne d'une toute petite voix.
Matthieu sort de mon cul avec une petite hésitation pour la fourrer dans la bouche d'Étienne qui la déguste avant d'avoir un mouvement de recul.
"- Non mais attends. Ta queue a un goût de sperme. Son cul a le goût de foutre. S'écrit-il.
- Euh... Ouais désolé. Je venais juste de jouir quand tu t'es réveillé. Ment ouvertement Matthieu.
- Et on avait pas convenu qu'on le baiserait avec du gel cette fois-ci pour ne pas déchirer son trou avant de le donner à nos potes ? Et je peux savoir depuis quand tu le baises ?" Demande Étienne.
Matthieu reste silencieux. Pourquoi ne lui a-t-il pas dit qu'il m'avait longuement fait le cul en bas, dès mon arrivée, et baisé avant qu'on monte ?
"C'est moi qui lui ai demandé de me baiser le cul direct en arrivant. J'étais tellement chaud, que je m'étais préparé le cul toute la nuit. En plus, c'est lui qui m'a dit qu'il allait me défoncer le trou devant toi pour que tu puisses le voir me fourrer dès ton réveil. Quand tu t'es réveillé, il a craché direct. C'est toi qui a provoqué ça. Alors, au lieu de te prendre la tête, viens me défoncer à ton tour." Dis-je pour clore cet échange qui me mettait mal à l'aise.
Sur ces paroles, Étienne se redresse, roule un patin à Matthieu et prend sa place derrière moi. Matthieu lui crache sur la queue et la suce avant de me l'enfourner dans le cul.
"Ah ouais, t'a raison, pas besoin de gel. T'as le cul complètement ouvert."
Étienne m'encule comme le bâtard que je suis. Mais je ne ressens pas la fougue que Matthieu a lorsqu'il me prend. Cela dit, je jouis également du cul avec lui aussi.
Matthieu vient s'allonger devant moi afin de se faufiler en dessous pour avoir le visage en première loge et observer la queue d'Étienne entrer et sortir de mon trou. En passant, il me regarde et me sourit comme pour me remercier de ne pas avoir dit qu'il avait passé un bon moment à jouer avec mon cul avant qu'on ne rejoigne Étienne. Lorsque Matthieu arrive au niveau de mon cul, j'avais sa queue bien raide devant mon visage.
Je sens la langue de Matthieu me lécher les fesses et le trou pendant qu'Étienne me prenait comme un sauvage. Je reprends du poppers quand j'entends à nouveau Matthieu gémir de plaisir en me pelotant et en m'écartant les fesses, ou encore en me léchant la rondelle qui enserrait la grosse queue d'Étienne qui ne cessait pas de me pilonner le cul. Sa langue et ses gémissements me rendaient complètement dingue. Si bien que j'ai pris sa queue en bouche et l'ai sucé comme un affamé alors que je n'aimais pas trop le faire habituellement. Je l'entendais gémir de plus en plus fort et il me défonçait la bouche comme il m'avait défoncé le cul, tout en continuant à déguster mon cul qui accueillait la grosse queue de son mec. Étienne, lui, y allait de plus en plus fort jusqu'à ce que, dans un râle non contrôlé, il lâche une impressionnante quantité de foutre dans mon cul. Matthieu, sûrement excité par les soubresauts de la queue d'Étienne dans mon cul, jouis à son tour, au fond de ma gorge. Je me suis appliqué à tout avaler jusqu'à la dernière goûte.
"Et voilà, deux doses dans le cul dès ton arrivée. Le week-end commence bien." Conclut Étienne.
Nous nous redressons tous les trois. Matthieu me regardait, le visage comblé mais interrogatif. Je pose mon index sur mes lèvres pour lui demander de ne rien dire. Je n'avais pas envie que l'on se croit également permis de me défoncer la bouche tout le week-end. J'étais là en tant que cul, rien d'autre.
Ils sont descendus tous les deux pour le petit déjeuner en m'indiquant la salle de bain pour que je puisse me rafraîchir ce que j'ai fait sans plus attendre.
Le reste de la journée se déroulait plutôt calmement devant la télé, un café ou le repas. Soit l'un soit l'autre me défonçait le cul. Matthieu semblait être beaucoup plus en demande. Il n'arrêtait pas de me palper les fesses, de me les caresser, elles et mon trou, de me bouffer le cul. Au cours de la journée, il m'a enculé quatre fois contre une pour Étienne en m'inondant les entrailles à chaque fois.
En fin d'après-midi, je suis allé me doucher en profondeur en changeant de jockstrap. Vers 18h, la sonnette de la maison retentit.
"C'est nos potes. Tiens, remets ta casquette et installe-toi à quatre pattes sur le canapé. Et tends bien ton cul." M'ordonne Étienne.
J'obéis. Étienne va ouvrir la porte à leurs invités et Matthieu le suit. Je les entends discuter un peu puis s'approcher.
"Le voilà, on l'a bien défoncé toute la journée. Surtout Matthieu. Il aime ce cul apparemment. N'est-ce pas Matthieu ?" Fanfaronne Étienne.
Matthieu ne dit pas un seul mot. Je jauge très rapidement mes deux nouveaux casseurs de cul. Ils sont tous les deux beaux mecs, d'une quarantaine d'années et plutôt massifs. Pas besoin d'aller chercher très loin pour s'avoir qu'ils se sont connus en salle de sport. Le black dépassait les 1m90 et le rebeu était un peu plus petit, 1m80 peut-être.
Le rebeu pose une main sur mon cul.
"- Ouha, ouha, ouha, les mecs !!! C'est un cul de compet' que vous nous offrez là. Dit-il en me pelotant les fesses.
- Bon. Nous, on va vous laisser. Hein, Matthieu ? Demande Étienne alors que leurs potes se déshabillaient.
- Euh non. Répond Matthieu alors que le rebeu commence à me bouffer le cul pendant que son pote black m'écarte les fesses.
- Eh les mecs, vous nous l'avez défoncé, ce cul, son trou est complètement explosé. J'y mets la langue, profond facile. S'extasie leur pote rebeu.
- Comment ça, non ? Tu l'as eu toute la journée. Ça t'a pas suffit ? insiste Étienne.
- Bah c'est pour ça qu'on l'a fait venir non ? Pour s'amuser avec. Moi je reste pour me le refaire. Réplique Matthieu.
- Oh, les mecs, vous partez ou vous restez, mais laissez nous jouer avec ce cul en silence. S'agace leur pote black.
- T'as qu'à rester ici. Moi je monte me matter un film. Capitule Étienne.
Pendant que le rebeu continue à me bouffer le cul et que le black me trifouille le trou entre deux grands coups de langue, je regarde Étienne quitter la pièce et emprunter les escaliers.
Matthieu nous rejoint déjà nu.
"- Bon, les gars. Il ne suce pas. On ne le baise pas sans gel. On n'y va pas comme un bourrin. Surtout toi, là, avec ta bite démesurée. Dit-il avec assurance.
- Eh, tout doux Matthieu. T'es jaloux ? T'aime pas prêter tes jouets ? Trop tard. Mais t'inquiètes, on ne va pas te le casser. Enfin, juste un peu. Regarde le, celui là, qui se régale en lui bouffant le fion. S'esclaffe leur pote black.
- Et au lieu de rester planté là à t'inquiéter pour ce petit cul, suce lui la bite qu'il puisse le défoncer après moi. Dit le rebeu en cessant son inspection minutieuse de mon trou pour venir y plaquer sa queue."
Depuis le début, j'avais le nez dans le poppers pour apprécier au mieux cette promesse de défonce anale.
J'apperçois Matthieu s'accroupir pour enfourner la demie molle impressionnante du black dans sa bouche.
Le rebeu verse le gel sur sa queue puis m'en badigeonne la rondelle à l'aide de son gland. Il positionne sa queue devant mon trou et force le passage, déjà bien ouvert. Le black n'en perd pas une miette en écartant mes fesses plus fort. Il semble bander très dur car Matthieu semble s'étouffer avec.
Le rebeu me saisit par les hanches et en un coup de reins, s'introduit en moi entièrement. Puis il commence par des vas-et-viens puissants. Il joue avec mon cul comme l'actif expert qu'il est assurément. Au bout de longues minutes, il se retire.
"Aller. À ton tour. Tu vas voir, son cul est magique. Et toi, comme t'aime son cul, tu vas me nettoyer la bite de sa mouille anale."
Le black et le rebeu échangent leurs places.
"T'inquiète petit, je vais te casser le cul avec ma matraque en essayant de ne pas trop l'amocher." Plaisante le black.
Matthieu déguste déjà la belle queue du rebeu.
"Eh ! Mais c'est que t'aime le goût de son trou, toi. Le jus de son cul te plaît, c'est clair." Dit le rebeu en donnant une petite claque sur la joue de Matthieu qui lui suce la queue avec envie.
Le gland du black me caresse l'anus et tourne autour. Je sniffe une très grande quantité de poppers. Il prend le gel et en versé beaucoup sur sa queue. Puis dans un "T'es prêt ?", il entre son gros gland en moi. Je lâche un gémissement de plaisir qui l'invite à continuer sa progression. Il y va doucement. Moi je kiffe et reprends du popper puis, comme lassé d'attendre, je pousse mon cul vers lui pour m'enfiler entièrement son bazooka. Et, je m'amuse à faire glisser mon cul dessus, en avançant et reculant tout en le remuant.
"- Oh putain. Un truc de ouf. Il m'a entièrement bouffer la bite ce bâtard. Et là il aspire ma queue avec son cul. C'est trop ouf. S'excite le black.
- Je vous avais dit que son cul suçait les bites. Je veux voir ça. Dit Matthieu en me faisant un clin d'œil et en se relevant.
Le rebeu le suit. Tous les deux observaient mon cul glisser le long de cette grosse bite de 25 cm, en le gratifiant d'une petite claque à tour de rôle. Matthieu n'a pas pu s'empêcher d'embrasser et laicher mon cul pendant que je m'empalais sur la longue tige de son pote. Je remuais tellement que sa bite est sortie de mon cul mais sans attendre il l'a remise aussi profond qu'il pouvait et me pris par les hanches pour, maintenant, m'imposer sa cadence. Il me pilonne le cul de plus en plus vite. Je gémit comme un véritable bâtard.
"Oh les mecs. Putain, ce te bâtard !!! Je vais venir." Puis dans un grognement bestiale, il me féconde de son foutre abondant.
"Bouge toi, à moi. Je vais pas tarder à venir. Dit son pote rebeu en prenant sa place au fond de mon cul. Lui aussi, me prends par la taille et me défonce avant de jouir à son tour. Il décule et je sens une langue me fouiller le cul.
"- Putain t'es grave Matthieu. Etienne a raison, ce cul te rend fou. Dit le pote Black en le voyant me fouiller le cul avec sa langue.
- Ouais. Et il est à moi." Réplique-t-il en se redressant pour me foutre, à nouveau, sa queue en moi pour conclure cette baise mémorable et jouir encore.
J'étais complètement éclaté et crevé. Les deux autres s'étaient déjà presque entièrement habillés. Le black se dirige vers les escaliers pour crier à Étienne de descendre puis il se tourne vers Matthieu en le pointant du doigt.
"Toi, mon mignon, tu joues un jeu dangereux." Dit-il d'un air sérieux.
Étienne descend.
"- Alors, vous avez apprécié notre petit cadeau ? Demande-t-il.
- Oh que oui. Et il encaisse comme un vrai mec ce beau gosse. Répond leur pote rebeu en me fessant tendrement.
- Il est prêt de 20h. Vous restez manger avec nous ? Je viens de commander des pizzas. Continue Étienne.
- Ouais. Cool. Je crève la dalle en plus. Répond leur pote black.
- Bon, bah moi, je vais me rafraîchir un peu en attendant." Dis-je en quittant ma position de bâtard.
Je monte à l'étage et m'enferme dans la salle de bain pour une longue et apaisante douche. Je redescends, frais comme une rose, entièrement nu, et vais les rejoindre. Les pizzas étaient déjà arrivées.
"Ouah trop classe. Tu en redemande, c'est pas possible. Retourne toi pour voir... (Ce que je fais.) Putain, amené ton petit cul de bâtard ici." Ordonne leur pote rebeu.
Je viens à ses côtés et prends une part de pizza. Lui, me caresse les fesses. Matthieu a l'air agacé.
"- Ah oui, c'est vrai. Je l'ai dit à Matthieu mais pas à toi. J'ai eu ma mère au téléphone pendant qu'ils te défonçaient le cul. Elle nous a invité, Matthieu et moi, pour le repas du midi demain. Tu peux rester cette nuit mais tu devras partir demain matin. Désolé. Me dit Étienne en me regardant fixement.
- Oh t'inquiète, avec ce que j'ai pris aujourd'hui, je suis rassasié. Réponds-je alors que leur pote rebeu me caresse l'anus en entrant délicatement un doigt.
- Mais j'ai dit à Matthieu qu'il pouvait encore utiliser ton cul. Même toute la nuit si ça lui chante." Ajoute Étienne.
Je n'ai rien dit. Je me suis contenté d'apprécier le doigt de leur pote dans mon cul et de regarder Matthieu qui semblait ne pas oser bouger ou dire un seul mot.
Nous avons passé la soirée à cinq à rire et à parler de mon cul. A sa façon d'aspirer les queues. Ils me l'ont bouffé une dernière fois tous les deux devant Étienne et Matthieu, et sont partis peu après minuit après que le rebeu ait voulu me remplir à nouveau.
Nous sommes montés tous les trois pour nous coucher en passant par la salle de bain nous brosser les dents.
Étienne est le premier à quitter la salle de bain. Matthieu ferme la porte et me plaque contre le lavabo pour me bouffer le cul comme un affamé qui ne l'aurait pas vu depuis des mois.. Putain que c'est bon. Il enfonce sa langue profondément puis se relève pour me refoutre sa queue dans le cul. Il m'oblige à me pencher encore plus sur le lavabo et me casse le cul en répétant "Ce cul est à mon. Ce cul est à moi. A moi." Pour finir par remarquer son territoire très profondément.
"Rafraîchis toi et rejoins-nous dans le lit." Dit-t-il en quittant la pièce.
Après une petite douche, je rejoins Etienne et Matthieu dans leur lit, complètement nu. Matthieu m'a indiqué la place entre eux deux pour me coucher en me précisant "Sur le ventre". Ce que je fais sans sourciller, épuisé que j'étais. A peine allongé, Matthieu me caresse le cul. Tout doucement, je finis par m'assoupir. Durant la nuit, je suis souvent réveillé par la langue de Matthieu qui me fouille le cul. Mais ce n'était pas si déplaisant et je m'endors en me faisant bouffer le cul. Au petit matin, je me réveille avec une sensation étrange. En émergeant, je sens la queue de Matthieu me ravager le cul, une main sur ma hanche et l'autre sur ma nuque. Il m'avait positionné sur le côté, si bien que j'avais face à moi Etienne qui dormait encore. J'ai tenté d'étouffer mes gémissements dans un oreiller. Je n'ai pas mon poppers et il me baise à sec.
"Tiens, t'es réveillé ? Ça fait bien dix minutes que je te défonce. J'adore ça. Je veux ton cul, t'as pas idée à quel point." Me susurre Matthieu à l'oreille.
Putain, je devais être sacrément crevé pour ne pas m'en rendre compte. Il sort sa queue et me la remet, comme un petit jeu pervers matinal. Il a envie de m'entendre jouir du cul. Me voir m'étouffer dans l'oreiller semble le mettre dans tous ses états. Il me baise et se retire, pour très rapidement me rebaiser. Il vient mordre le haut de mon dos et crache son foutre à moi.
"Reste autour de ma queue. Ton cul est à moi." Me dit-il.
Devant moi, Etienne m'observait d'une manière qui me mettait mal à l'aise.
"Putain, Matthieu. T'es encore dans son cul. Tu me fais chier. Son cul est à toi, c'est ça ? Bah regarde bien ce que je vais lui faire. Sors de là, Et toi, bâtard, fous-toi à quatre pattes." Fulmine Etienne.
Nous obéissons, Etienne s'installe derrière mon cul, crache un gros mollard sur mon trou rougis par les assauts répétés d'hier et ceux de Matthieu ce matin, puis m'enfonce sa queue violemment dans le cul. Je lâche un râle de douleur alors qu'il me baise comme un taré.
"Non, non. Toi, tu ne fais rien, tu me regardes péter son petit cul. Il n'est pas à toi comme tu vois." Dit agressivement Etienne avant de jouir à son tour dans mon cul.
Me sentant réellement pas être à ma place, je me lève et quitte la chambre.
"Bon. Les gars, c'était sympa. Mon cul a pris cher mais il est temps pour moi de rentrer visiblement. Tâchez de régler vos petits problèmes avant de me recontacter." Dis-je, en sortant de la chambre. J'enfile en vitesse mon jogging, ramasse mes petites affaires avant de partir comme un voleur.
Me voilà donc dans le métro, le cul débordant de foutre, sans sous-vêtement, vêtu d'un jogging souillé et puant le sperme. Arrivé dans le hall de mon immeuble, je croise mon concierge en tentant moins bien que mal à raser les murs.
"Nuit bien remplie ?" Me demande mon concierge.
A posteriori, en ayant su bien plus tard qu'il était mon "inconnu-voisin" (chapitre 2), sa question avait sans doute un sens plus pervers.
Deux jours plus tard, je reçois un texto de Matthieu qui me demande s'il peut passer chez moi car il était dans le coin. Je lui réponds que je viens de sortir du travail et que je serai chez moi dans dix petites minutes.
Je le retrouve assis sur les marches de mon immeuble et l'invite à me suivre.
La porte de mon appartement est à peine fermée qu'il me saute dessus et me retourne contre le mur de l'entrée en me palpant les fesses.
"- Baisse moi vite ton froc que je te bouffe le cul. Dit-il avec impatience.
- Attends, je ne me suis même pas rafraîchi. Réplique en dégrafant les boutons de mon jean.
- Je m'en tape. Je veux ton cul, j'en ai besoin. Réclame-t-il.
- Ok. Bouffe moi le cul. Capitule-je en libérant mon cul de mon jean et de mon boxer.
- Tu n'as pas encore compris que je suis drogué à ton cul. Son parfum, son goût." Dit il en se baissant pour embrasser l'objet de son plaisir.
Il me pelote les fesses en les écartant pour humer l'odeur de mon boule. Il commence à me lécher la rondelle qu'il ouvre délicatement avec sa langue. Il déguste longuement mon oignon, là, contre le mur de l'entrée, avant de me demander de me mettre à quatre pattes sur le sol pour me défoncer comme il aime le faire. Il me remplit le cul puis me dit qu'il est heureux de pouvoir encore l'utiliser.
Après cela, nous nous asseyons autour d'une bière bien fraîche.
"- Dis, il est où Étienne ? Il bosse ? Demande-je.
- Non. Pour être honnête, il ne sait pas que je suis là. Répond-il timidement.
- Ah ! Et pourquoi ? Tu n'avais pas prévu ta venue ?
- Si, mais... Il ne veut plus que je te vois.
- Sérieux ? J'ai fait un truc ?
- Non. C'est moi. Enfin... Il dit que je suis un peu trop accro à ton cul. Il dit que ça va bien au-delà du simple plan cul et ça ne lui plaît pas.
- Bah... Tu sais, il n'a pas tout à fait tort. T'as vu le nombre de fois que tu m'as baisé samedi ? Et ne parlons pas du nombre de fois que tu m'as bouffé le cul. Tu t'es même endormi dessus pour la nuit.
- Ouais, je sais. Mais c'est plus fort que moi. Je veux que ton cul m'appartienne.
- Mais ça, Matthieu, ce n'est pas possible. J'aime trop me faire baiser en ce moment pour n'être le cul sur d'une seule personne.
- T'es trop beau en plus. Et tu m'as sucé ce week-end, alors que tu ne le fais jamais habituellement. Ça ne veut rien dire ?
- Oh... Où tu vas comme ça. Bien sûr que si, je suce parfois. Je vois même un mec rien que pour ça de temps en temps. Je le suce sous poppers jusqu'à ce qu'il me jouisse dans la bouche. C'est son trip. Alors oui, parfois, lorsque je me fais bouffer et baiser le cul, l'envie de sucer me vient et je suce. Comme je t'ai sucé samedi. J'avais envie que ta queue à ce moment-là, me remplisse la gueule. Mais ça s'arrête là."
J'ai très rapidement écourté la conversation et ai décidé de mettre un terme à notre relation de cul en lui conseillant de retrouver son mec, Étienne.
Voilà pour ce long récit de ma vie de passif. Je tenais à vous décrire dans le moindre détail cette journée de samedi pendant laquelle mon cul était au service de quatre mecs.
J'espère que mon expérience vous a plu. Je vous dis à bientôt pour une prochaine aventure.
Le Cul jouissif
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