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Chapitre 7 | Le casse-cul du midi (Mon pote DJ)
Merci pour tous vos messages. Je suis heureux que mes récits vous plaisent et vous excitent.
Donc, pour rappel : En couple depuis plus de quinze ans avec un parfait passif qui, faut l'avouer, est égoïste et ne pense qu'à son seul plaisir. Moi, je suis versatile avec un goût prononcé pour la sodomie passive. Avant lui, je me faisais défoncer le cul régulièrement, voire tous les jours. Aujourd'hui, après quinze ans d'abstinence, je suis tel un puceau qui ne rêve qu'à se faire casser le cul sans retenue par un mec viril dans un coin. Je suis un mec que beaucoup qualifient de bel homme. J'ai un peu plus de 40 ans, mesure 1m70 pour 58kg. Plutôt sportif avec une queue de 19 cm et un bon petit cul rasé. Tous les récits partagés ici sont tous réels.
Le récit que je vais vous raconter ici s'est déroulé bien avant ma rencontre avec le "Fantom" (chapitre 1), bien avant que je ne rase régulièrement mon cul et bien avant que je devienne quasi exclusivement passif. Même si vous allez le constater par vous même, les plans culs avec ce "casse-cul du midi", sont identiques à ceux que j'ai précédemment partagés ici.
Je sais que vous êtes nombreux à être impatients de lire mon récit sur mon pote DJ, alors c'est ainsi que notre rencontre a débuté...
À un peu plus de 23 ans, j'emménage dans mon nouvel appartement au rez-de-chaussée d'une résidence de Lille, après avoir quitté mon tout premier mec avec qui j'avais vécu 5 ans. J'étais également en recherche d'emploi. Je recommençais tout à zéro.
Bien installé dans mon appart, il était temps que je remette sur le marché. Que fait un gay célibataire de 23 ans ? Baiser, bien-sûr. Chose que je n'avais jusque là jamais faite puisque que celui, avec lequel je venais de rompre, était mon premier amour et mon tout premier amant. Je me suis donc créé un profil sur un chat de cul gay. Étant dans la catégorie "beau gosse", j'ai tout de suite eu beaucoup d'admirateurs. Ce qui n'était pas spécialement déplaisant, faut bien l'admettre. Mais je n'avais pas spécialement envie de choses romantiques ou de compliments superficiels sur ma prétendue beauté. J'avais besoin de cru.
Un message a attiré mon attention, un certain DJ, vivant et travaillant à Lille.
"Salut. Je viens de mater des photos et la seule chose qui m'intéresse, c'est ton superbe boule poilu. Si tu veux, je viens te le péter en plan direct tout de suite. Pas d'attache, pas de blabla et pas d'autres rendez-vous. Je ne casse jamais le même cul deux fois de suite, question de principe. J'ai déjà un mec, je n'en ai pas besoin d'un second."
Voilà qui avait le mérite d'être clair et c'est tout à fait ce qu'il me fallait. Après avoir fait un tour sur son profil et y avoir appris qu'il avait 30 ans et qu'il faisait 1m85 pour 78kg sans aucun autre détail si ce n'est une photo de sa belle et grosse bite au garde à vous, je lui réponds.
"- Ok. Ça me va. Mon adresse est (mon adresse). Le code d'accès à l'immeuble est le (code). Je suis au rez-de-chaussée, appartement (numéro).
- Cool. Tu comprends vite toi. Donc plan direct signifie que tu me reçois à poil, à quatre pattes sur ton canapé ou ton lit, le cul bien tendu. Je ne veux rien d'autre, juste ton trou pour me décharger et ciao la compagnie. Je ne veux pas que tu me vois alors ne me regarde pas. Tu n'es qu'un cul-objet que j'utilise pour me vider les couilles. Laisse la porte de ton appart entrouverte. Je ne suis pas loin, j'arrive dans 20 minutes."
Oh merde ! Qu'est-ce que j'ai fait. Je n'ai jamais fait ce genre de truc et là, j'invite un parfait inconnu à me péter la rondelle, en plan direct, expression que je ne connais pas. Pour couronner le tout, je lui donne le code d'accès à la résidence et il me demande de laisser la porte de mon appartement entrouverte. Je suis taré. J'étais à deux doigts d'annuler quand j'ai relu ses messages et que l'excitation a remplacé l'angoisse de la nouveauté. Je me suis dis que ce n'était pas si grave, qu'il fallait que je cesse d'avoir peur et qu'il venait me défoncer le cul, pas m'égorger.
Après avoir entrouvert la porte de mon logement et avoir préparé un flacon de gel au pied du lit, je me fous à poil et m'installe à quatre pattes sur le lit, visage dirigé vers le mur pour être certain de ne pas le voir et cul face à la porte. .
J'attends. Installé ainsi sur mon lit. Le cul bien tendu. Je suis excité mais j'ai peur. J'entends la porte de mon appartement claquer suivie d'un "C'est moi."
C'est lui. Plus le choix. Ce n'est plus le moment de se poser des questions.
"Dans la chambre. Au bout du couloir."
A quatre pattes, je frissonne. Sans doute, causé par un mélange malsain d'excitation et de peur. Sans un mot, l'une de ses mains se pose lourdement sur mes fesses. L'autre semble dégrafer les boutons de son pantalon. Puis je sens sa queue déjà bien bandée claquer sur mon cul. Puis, j'entends comme une forte "inspiration".
"- Tiens, prends ça, me dit-il en me tendant un petit flacon.
- C'est quoi ? Demande-je avec candeur.
- C'est pas vrai. Tu sors d'où toi ? C'est du poppers. Ça va t'aider à te lâcher et à encaisser.
- Je n'en ai jamais pris. Ça marche comment ?
- Ah putain, je suis tombé sur un puceau ou quoi ? Laisse moi faire."
Sur ces mots, il s'est penché sur moi, a bouché l'une de mes narines et a positionné le petit flacon sous l'autre en me demandant de sniffer très fort. Ce que j'ai fait.
Je ne saurai l'expliquer mais je me suis senti partir. Mon cœur s'est mis à accélérer. J'avais chaud. Je tendais beaucoup plus mon cul et je n'avais qu'une seule envie : qu'il me défonce le cul sans attendre.
J'ai donc, à ce moment-là, compris d'où venait cette "forte inspiration", puisqu'à nouveau, après m'en avoir donné, il sniffe son poppers.
"Tiens. Garde le bien en main et n'hésite pas à en sniffer autant que tu veux. T'as l'air de kiffer ça."
Et donc, pendant qu'il s'amusait à claquer sa queue sur mon cul puis sur ma rondelle en l'enduisant de gel, moi je sniffais ce poppers qui deviendra, après cela, un compagnon de baise des plus précieux pendant de longues années.
J'étais comme dans un état second et de plus en plus chaud. Sa bite était lourde et bien dure. Je la sentais glisser entre mes deux belles petites miches. Il s'est mis à caresser longuement ma rondelle avec son gland puis à le taper contre mon trou tels des auto-tamponneuses. Ma rondelle céda sans aucune résistance. Il rit car j'ai une nouvelle fois le poppers sur le nez.
"Putain, je sens que je vais m'amuser avec toi."
Son gland était en moi. Il s'amusait désormais à titiller mon anus avec, en le sortant et le rentrant jusqu'à ce que je m'abandonne entièrement en allongeant le haut de mon corps sur le lit tout en lui laissant mon cul tendu, visser à sa queue, comme pour l'inviter à aller plus profond. J'étais en pleine extase. Je ne bandais pas mais je mouillais de la queue d'une façon impressionnante. Il me pris par les hanches et entra sa queue entièrement en moi. Je lâche un petit cri de plaisir. Il continue sa progression en moi. Il veut être sûr que je sente bien sa grosse queue logée dans les profondeurs de mon cul. Il la laisse, plusieurs minutes, bien installée au fond de mon boule avant de commencer ses vas et viens vigoureux.
J'adore sentir sa queue coulisser dans mon cul. Il sait y faire.
Le voilà qui me détruit littéralement le trou. Il me baise comme jamais je n'avais été baisé par mon ex. Je ne sais pas si c'est le poppers ou tout simplement sa queue, mais je lui suis complètement soumis. Entendre ses petits grognements de mec en rut, me rend fou. Je ne cesse de tendre mon cul afin de sentir sa grosse queue me ravager les entrailles et taper, encore et encore, ma prostate. A mon tour, je grogne comme le chien que je suis devenu après ses coups de bite. Je jouis du cul. Ce qu'en réalité, je n'avais jamais connu (désolé mon ex mais tu ne savais pas y faire).
Il accélère ses vas et viens. Sa bite semble, à chaque coup de reins et choc contre ma prostate, sortir pour immédiatement rentrer dans mon cul. Il me défonce et se défoule dans ce trou qui désormais lui appartient. Je suis au septième ciel. Il est endurant et ce n'est pas pour me déplaire.
Puis, dans un râle bestial, il lâche une énorme giclée de foutre en moi. Je suis épuisé. Il sort sa queue puis, sans dire un mot, me la remet entièrement en moi et continue à me baiser comme s'il n'avait jamais joui. Toujours le nez dans le poppers, je me plie à sa volonté. Il procède à un ramonage vigoureux de mon cul. Puis dans un second râle, il me remplit à nouveau le cul et se retire.
Je suis lessivé et m'allonge entièrement sur le ventre. Je l'entends se rhabiller et, comme à sa demande, je me garde bien de le regarder. Il se penche, reprend le poppers qu'il m'avait confié et s'en va sans dire un seul mot.
Je suis resté là, un long moment, à savourer, encore et encore, les assauts de cet étalon en visitant mon intimité à l'aide de mes doigts qui ont découvert un trou ouvert et palpitant. Étrangement, alors que je n'avais pas joui de manière conventionnelle, je n'avais pas envie de me branler. Jouir du cul m'avait comblé bien plus que je ne l'aurais envisagé.
Le lendemain vers midi, je reçois un message de sa part.
"- Je ne suis pas loin de chez toi. Mets toi à quatre pattes, j'arrive pour te baiser.
- Ok. Je suis chez moi. Mon cul t'attend."
Et comme la veille, il m'a baisé comme un véritable mâle Alpha. Mais, à l'encontre de tous ses principes, après m'avoir défoncé, il m'a demandé s'il pouvait prendre une douche car il ne pouvait pas retourner au travail en sueur. J'ai donc eu le droit de le regarder. C'était un mec de trente ans, bien bâti, cheveux châtains clairs, yeux bleus, avec une queue à se damner et un cul de footballeur.
Après sa douche, nous avons pu discuter un peu.
"Tu sais, je ne devrais pas être là, ni même prendre le temps de discuter avec toi. Ce n'est pas dans mes habitudes. Mais je dois avouer que ton cul a quelque chose en plus. Ne me demande pas quoi, je ne sais pas moi-même mais je ne vais pas pouvoir m'en passer. T'es beau gosse, tu le sais. Mais tu n'as pas conscience du pouvoir que ton cul a. En te défonçant comme je l'ai fait hier, tes gémissements virils m'ont carrément excités. On voit que t'aimes ça. Et moi, j'ai adoré baiser un bâtard et non une salope."
Après cela, nous avons convenu qu'il pouvait disposer de mon cul quand il voulait sur le simple SMS "j'arrive pour te baiser le cul". La plupart du temps c'était à l'heure du midi mais il lui arrivait de demander mon cul le week-end ou, plus rarement, la nuit.
Il a découvert l'évolution de mon cul durant les cinq années pendant lesquelles il s'en est servi. Mon envie de porter des jockstraps ou le moment où je l'ai rasé. Il l'a immédiatement adopté en précisant que cela n'enlevait rien à ce côté viril et bâtard qu'il aimait lorsqu'il me baisait.
Parfois nous discutions autour d'une bière après qu'il m'ait baisé. Jamais de choses personnelles, il nous l'avait interdit. Il ne parlait uniquement de mon cul et de ses envies. Telles que me faire porter un vieux jean, craqué au niveau du cul ou, encore, un slip qu'il pourrait déchirer avant de me défoncer comme une bête (d'où mon attrait pour les jockstraps).
Je n'ai jamais su d'où venait ce DJ. Était-ce ses initiales ? Son métier peut-être ? J'en doutais car le midi, il venait en costard cravate pour me faire le cul. Mais, à vrai dire, je m'en foutais. Il était mon baiseur et c'était bien suffisant.
Lorsque j'ai rencontré mon mec et que je lui ai annoncé que c'était sérieux. Il avait proposé que l'on garde contact pour me défoncer le cul régulièrement. Con, que j'étais, j'ai refusé. Il m'a donc demandé un après-midi pour m'éclater le cul une dernière fois avant que je n'emménage avec mon copain. Il en a bien profité, le salaud, puisqu'il m'a cassé le cul tout l'après-midi. Il a joui quatre fois en moi.
En me quittant, cette fois-là, il m'avait prédit que je ne pourrai jamais me satisfaire d'être un actif à plein temps car j'avais un cul fait pour les bites, un parfait moule-bite.
Aujourd'hui, je regrette de ne pas avoir accepté de devenir son cul particulier.
En me remémorant cette période de ma vie et tout particulièrement cette baise bestiale régulière avec mon pote DJ, j'ai un léger pincement au cœur car sa grosse queue me manque. Il savait s'occuper de mon cul que je lui avais confié pendant cinq ans.
Je me dis que notre rencontre aurait dû prendre la place du premier chapitre, car en la rédigeant, je me suis rendu compte que c'est lui, et lui seul, qui a fait de mon cul, un vrai cul jouissif. Il l'a élevé dans ce but, l'a formé à coup de bite.
A très vite pour de nouveaux récits réels sur mon cul.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr