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Terminales pros

J’avais 19 ans à l’époque, et je n’avais absolument rien foutu au lycée les années précédentes, donc après avoir raté deux fois mon bac et m’être fait éjecter du public, je m’étais retrouvé inscrit dans le privé en terminale pro viticulture, dans un bahut paumé au milieu de nulle part, et en internat.

Je savais déjà que j’aimais la bite, mais n’étais pas encore out, et je me retrouvais entouré de 9 mecs tous plus homophobes les uns que les autres. Au moins ça me motiverait pour enfin avoir mon bac et me tirer de là.

Étant inscrit quelques jours après la rentrée, je n’avais pas de compagnon de chambre à l’internat, ce qui n’était pas plus mal : je n’aurais pas à partager ma salle de bain, et pourrais au moins me branler tous les soirs . Maigre consolation, puisque dans mon bled, j’avais un partenaire de touche pipi ( c’est nul mais ça allait pas beaucoup plus loin) . Sans que ce soit le grand amour, il allait quand même me manquer. Enfin surtout à mes couilles, pour être honnête.

Une nouvelle routine s’était donc installée. Les cours étaient particulièrement chiants, mes camarades de classe particulièrement cons, mais je m’étais intégré, me fondant au décors comme un caméléon : uniforme de lycée pro ( le jogging de foot moule burnes qui j’avoue me faisait un cul d’enfer) propos homophobes crasses, un peu de racisme par ci par là pour coller à l’ambiance ( je vous l’ai dit, ça volait vraiment pas haut, et lâchement, j’évitais les opinions divergentes) , et des blagues merdiques pour pousser à bout les profs déjà exaspérés.

J’insiste sur le fait que mes collègues étaient tous plus cons les uns que les autres, mais il faut quand même leur rendre justice, sur mes 9 camarades, 7 étaient de véritables bombes atomiques. Tous bien sportifs, moulés à la perfection dans leurs joggings adidas de footeux qui montrait de beaux paquets proéminents aux yeux innocents ( je comprends même pas qu’on nous ai laissé nous habiller comme ça, limite indécent) , presque tous ayant plus de 18 ans, sauf le petit Charles, bon fils de bourges, qui était là à sa place pour le coup, vu qu’il devait reprendre le domaine familial. Tous les autres étaient dans mon cas : un peu loosers, virés de partout après avoir raté le bac une ou plusieurs fois. Les individus n’étaient pas forcément foncièrement cons en fait, mais le groupe lui l’était, et on se motivait en quelque sorte pour être débile collectivement. J’en ai revu certains après le lycée, qui n’ont plus rien à voir avec ce milieu, et qui valent même le coup d’être connus, étonnamment ouverts alors qu’on aurait juré que nous étions une bonne petite fabrique à fachos.

Je disais donc que la plupart étaient vraiment bandants, et je devais me maîtriser pour pas matter leurs bites offertes à ma vue dans ces survets , ne pas matter ces culs absolument parfaits toute la journée, de peur de me faire gauler. J’aurais vécu un enfer si on avait su que j’aimais la queue ( même si j’ai découvert plus tard que je n’étais pas du tout le seul de la classe à aimer ça) . « Pédé » était l’insulte ultime, et on était prêt à se battre pour prouver qu’on en était pas un . S’ils avaient su. S’ils avaient su comme je me branlais tous les soirs en me repassant les images de la journée, que c’était moi qui avais piqué un freegun aux vestiaires après un foot, et que je me paluchais comme un bon gros pédé en sniffant l’odeur de teub bien imprégnée dedans. C’était le boxer de Thomas, la star de la classe, un brun poilu, footeu, qui a même fait une petite carrière semi pro après le lycée en deuxième ou troisième division ( honnêtement je préfère tellement les joueurs que le sport en lui même que je ne me souviens plus) .

Tout a changé vers le mois de décembre, quand un nouvel élève est arrivé : Pablo. Il avait 20 ans, et était donc le nouveau doyen de la promo. Il arrivait d’Argentine , d’un père français et d’une mère latino-américaine, il parlait donc français quasiment parfaitement, et avait les mêmes codes culturels que nous . En gros, on avait un couillon de plus dans la classe. Par contre ma vie allait changer drastiquement, parce que le nouveau con se retrouvait dans MA chambre. Donc fini l’intimité, fini mes branlettes endiablées du soir en sniffant le freegun de Thom. Putain !!!!

Pablo s’était bien intégré, en montrant bien sa virilité : il avait rapidement cassé la gueule de Thomas justement qui l’avait traité de singe. Il avait donc tout naturellement pris la place de mâle alpha du groupe, et on gagnait quand même au change, ne serait ce que parce qu’on s’était bien clamés sur les propos racistes. Mon statut social s’en trouvait donc amélioré, puisque je partageais la chambre du nouveau prince, profitant ainsi de ses privilèges.

Je vous ai dit que mes camarades étaient des bombes, ça n’était rien comparé à Pablo. Il était beau, absolument hypnotisant. Sa peau caramel, son corps absolument parfait, ses traits fins d’argentin et ses yeux verts sublimes hérités de son père français me faisaient vraiment fantasmer, et je ne mis pas longtemps à délaisser le calbut de Thomas pour lorgner sur les siens, sur ses sneakers taille 48 ( Pablo était ce qu’on appelle une belle bête, d’1m90 et 85 kilos de muscles) . Dès qu’il partait se doucher je lorgnais sur ses fringues étalées sur son lit, et c’était trop tentant. Je me mis donc à sniffer ses odeurs de mâle en rut imprégnées dans ses sous vêtements, ses chaussettes , ses joggings ( je vous ai dit que je suis carrément fétichiste des odeurs ?) .

Mes moments préférés c’était quand il revenait de ses entraînements de foot, bien puant. Les vestiaires n’étaient utilisés que pour les matches, après les entraînements c’était retour à l’internat chargé de boue et de sueur, et mon fétichisme pour les tenues de foot m’obligeait à aller me branler dans les chiottes quand je voyais prince Pablo rentrer du foot avec son cul parfait moulé dans son short puant. La première fois que je me suis branlé en sniffant son short, j’ai carrément eu peur qu’il m’entende depuis la douche tellement j’étais en chaleur. Heureusement, j’avais pu finir avant lui, et avais ouvert la fenêtre pour aérer et dissiper l’odeur de foutre qui s’était ajoutée à celle de ses fringues sales.

Pablo comme moi restait quasiment tous les week-ends à l’internat et rentrait très rarement chez lui , ce qui nous avait rendus de plus en plus proches. On parlait maintenant de cul régulièrement ensemble . Enfin, lui parlait, et moi je restais vague, ce qui semblait lui convenir. Il me racontait quelle nana il avait baisé ( elles ne se faisaient pas prier ces putes) ce qui l’excitait , il était obsédé par le cul , littéralement, et essayait d’ailleurs souvent de proposer la sodomie à ses conquêtes qui lui refusaient ce plaisir, immanquablement. Il disait « je m’en fous, un jour j’en enculerai une, c’est mon fantasme » en touchant sa queue raide ( et de très très bonne taille) à travers son jogging. Puis il finissait par dire « allez, à la douche, je vais me branler, ça m’a chauffé tout ça » , et partait en riant. La confiance entre nous faisait qu’il ne se cachait plus et que je l’entendais se branler bruyamment dans la salle de bains, en marmonnant des « tiens , dans ton cul ma salope » quand il allait jouir. Autant vous dire que ses freeguns se retrouvaient immanquablement sur mon visage pendant ce temps là pour que je me branle aussi.

Ce mec m’obsédait, je pense avec le recul que j’avais eu le coup de foudre pour lui. J’avais râlé, au début de perdre les privilèges de ma chambre en solo, mais j’avais rapidement compensé pat l’excitation de pouvoir sniffer ses odeurs. Je voyais qu’il m’aimait vraiment bien aussi, il était de plus en plus tactile avec moi, souvent une main sur mon épaule ou ma cuisse, et même des fois il faisait mine de me baiser en me plaquant contre le mur et en riant comme un con. « Faut te décoincer mon Teddy ( c’est mon prénom) peut-être que c’est toi que je vais enculer, ça t’apprendra la vie ». Et ça le faisait marrer cet abruti, et moi je me renfrognais, pour surtout pas lui montrer que j’en rêvais, d’avoir sa belle bite dans le trou. Quelle perte de temps quand j’y pense….

J’aurais du voir les signaux. J’aurais du comprendre qu’il en avait autant envie que moi, et que ses blagues n’en étaient pas. J’aurais du comprendre. Un jour, en janvier, quasiment deux mois après son arrivée, il est sorti de la douche à l’improviste, il avait laissé l’eau couler, et moi persuadé qu’il était en train de se branler sous la douche, je sniffais son short de foot , la queue à la main. J’ai cru avoir une attaque quand je l’ai vu devant moi en ouvrant les yeux, puis il m’a dit :

« T’as trouvé mon cadeau mon Teddy ? », et j’ai compris. Ses discussions sur la sodomie, les propos salaces qu’il me laissait entendre depuis la douche, les fringues étalées sur son lit m’étaient destinés, il cherchait à m’exciter.

Il s’est jeté sur moi. J’ai d’abord cru qu’il allait me casser la gueule, mais pas du tout. Il m’a roulé la meilleure pelle de ma vie ( encore à ce jour) . Il bandait comme un bouc, et pour la première fois je découvrais sa queue dans toute sa splendeur, alors que je ne la connaissais qu’au repos. Elle devait faire dans les 17/18cm était bien brune, avec de magnifiques grosses couilles poilues en dessous. Il la frottait contre la mienne, tout aussi raide, mais un tout petit peu plus petite 16cm) en murmurant « oh putain mon Teddy, putain, j’en ai trop envie » .

On est pas allé très loin ce jour là, trop excités. On a fini par se jouir sur la queue l’un l’autre à force de se frotter en nous roulant des pelles. Putain que c’était sensuels! Deux jeunes mecs complètement en rut, les bouches soudées ensemble, en train de se frotter comme des chiens, en s’attrapant par les fesses pour être encore plus collés. Heureusement que le pion n’a pas eu la mauvaise idée de se pointer à ce moment là, parce qu’il aurait eu le spectacle de sa vie. Ensuite, on est resté collés un moment ( littéralement, on avait du foutre partout entre nous) et on a parlé.

Je lui ai dit qu’il m’avait fait la peur de ma vie en débarquant, et il m’a répondu qu’il attendait depuis des mois que je le rejoigne sous la douche, qu’il laissait traîner ses boxers et ses shorts exprès depuis des semaines parce qu’il savait que je les kiffais. On est con à cet âge. On aurait pu baiser bien plus tôt, si on avait parlé franchement.

Il m’a dit qu’il pensait être bi. Qu’il avait déjà baisé un mec en Argentine, un vieux ( de 30 ans ! ) et qu’il avait adoré ça, mais qu’il aimait aussi baiser des nanas. Moi je lui ai avoué que j’aimais les mecs, et c’était la première fois que je le disais à voix haute. Je lui ai parlé de mon pote de baise de mon bled. Baise c’était quand même un grand mot. On se branlait surtout ensemble, et on s’était sucé quelques fois. Timidement. Une fois, j’avais essayé de l’enculer, mais il avait eu trop mal, et on avait arrêté.

« t’inquiète pas mon Teddy, on va se rattraper ensemble » m’avait il dit avant de me rouler une pelle. « Allez à la douche maintenant, peut-être que tu vas enfin te décider à venir avec moi » . M’avait il dit en riant. « Fallait juste proposer tu sais ».

On est parti sous la douche et on a continué à s’explorer ce jour là. Je me suis mis à genoux pour bien voir sa queue.

« Il est trop beau ton chibre »

« Je crois qu’il a envie de dire bonjour à ta langue » m’a répondu Pablo. Alors je l’ai sucé, et il gémissait comme une bête blessée, putain qu’il me faisait bander! J’évitais de me toucher la queue de peur de jouir trop vite tellement j’étais excité. Lui n’avait pas du tout peur de jouir et m’avait tout envoyé dans la bouche sans aucun complexe, puis s’était naturellement mis à genoux avec moi et m’avait fait me relever pour me rendre la pareille, puis avaler tout aussi naturellement mon jus.

Avec Thibaud ( mon pote/amant d’avant l’internat) on s’était jamais avalé. On avait toujours recraché le sperme avec un air dégouté, et on avait jamais recommencé deux fois de suite, parce qu’on se sentait toujours un peu coupables après avoir giclé. D’ailleurs le premier qui jouissait laissait généralement l’autre se finir rapidement tout seul, un peu honteux, c’était nul.

Avec Pablo, je ne me posais pas toutes ces questions. Son naturel déteignait sur moi, et me débarrassait de la honte que j’avais fini par associer au plaisir . Pablo me roula une pelle avec sa bouche pleine de mon jus, et je n’aurais même pas imaginé le repousser à ce moment-là.

Quand on sorti de la douche, je fus étonné de le voir remettre son short de foot sale,sans sous vêtements, ce qui laissait deviner sa belle queue qui se baladait librement dans le tissu , et menaçait de me refaire bander.

« Ben quoi ? J’ai cru comprendre qu’il t’excitait mon short . Tu le préfères pas avec moi dedans ? »

« Si , carrément, mais faut se calmer un peu , parce que le pion va pas tarder et qu’on va aller manger, et là, si tu restes comme ça, je vais être obligé de te violer mec » .

« Tu crois pas que c’est le but ? » me dit il avec un sourire à tomber par terre.

Mes prédictions étaient exacte, parce que le pion rentra à ce moment-là, en ralant parce qu’on était pas prêts, gueulant sur Pablo, persuadé qu’il était même pas douché en le voyant dans son short sale avec les cheveux un peu mouillés . Pablo enfila un jogging par dessus son short qu’il garda en guise de calbut. On suivit le pion, mais pas avant que Pablo n’ait pris ma main et l’ait plaquée sur sa bite en me chuchotant « ce soir, la suite mon Teddy »

À suivre.

Teddy

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