Voilà deux ou trois ans, que j’étais militaire à la préparation militaire marine dite PMM en tant que mousse. Et à la veille du 14 juillet, pendant les répétions du défilé, le commandant de la caserne en question me fit appeler. C’était la première que le commandant m’appelait. La rumeur disait à son sujet que si nous étions convoqués dans son bureau, nous étions forcément virées de l’armée. Personnellement, j’ai jamais prêté attention à ses rumeurs.
Ainsi, donc, entre, deux répétitions, je me rendit dans le bâtiment des généraux, là ou se situait le bureau du commandant, tout en gardant mon uniforme de parade. Je traversais quelques couloirs et montai quelques marches d’escaliers. Une fois arrivé devant la porte de son bureau, je frappai et entrai.
« Mousse Fraboul à vos ordres Commandant ! »
Pendant que je le saluai comme l’exige la tradition, j’enlevai mon bachi et me mis au garde-à-vous. Puis je patientai.
C’était la première fois, que j’entrai dans son bureau. C’était aussi la première fois, que je voyais le commandant dans la caserne sans coiffe. Il portait son pantalon de cérémonie et un t-shirt blanc uni. Je n’avais jamais fait attention à la blondeur de ses cheveux qui lui faisait ressortir ses yeux verts. Je le trouvais assez sexy comme ça.
Le commandant pianota sur son ordinateur et de temps en temps, il me jeta un ou deux regards, pour savoir si j’étais toujours au garde-à-vous.
« Repos Fraboul ! »
J’écartai légèrement les jambes, mis mes mains dans le dos avec mon bachi et patientai de nouveaux.
Le commandant se leva de son bureau et posa ses fesses sur le rebord de son bureau et me regarda droit dans les yeux.
« Tu sais pourquoi je t’ai fait venir Fraboul ?
- Non Commandant.
- Tu sais que demain, on va me remettre la Légion d'honneur.
- Oui commandant.
- Et j’aurai besoin de toi, pour tenir le coussin d’honneur. Serais-tu honoré de le faire ?
- Oui commandant. »
Pendant que nous parlions, j’avais remarqué quelque chose d’assez étrange. Le commandant n’avait pas de sous-vêtement. Plus on parlait, plus son sexe grossissait. Ayant compris mon regard, le commandant se leva et s’approcha de moi.
«Je vais te confier un secret. J’ai toujours aimé les petites putes de ton genre. Petit, bruns, qui savent assumer ce qu’ils sont ! ».
Hypnotisé par sa voie et son sexe, je ne bougeais pas. La seule chose que je savais dire en sa présence, c’était : oui commandant.
Il m’attrapa par le cou et me força à me mettre à genoux.
« Lèche ! » M’ordonna-t-il.
Je léchais ses chaussures blanches et il en profita pour me donner des claques sur le cul. Sur le moment, je ne réagissais pas, mais ma fierté en prit un coup.
« Tu te débrouilles bien salope pour une première fois ».
Je voulus répondre, mais n’ayant pas eu le temps, qu’il me força à me faire marcher à quatre pattes dans son bureau jusqu’au canapé. Il déboutonna son pantalon et s’installa sur le canapé.
« Suce !» Continua-t-il de me dire.
Sans la moindre hésitation, j’enfonçais son sexe dans ma bouche et je lui fis une pipe.
« T’aime ça ! Salope. Hein ? »
J’inclinai la tête pour lui confirmer.
Il me tira par les cheveux pour me faire comprendre, que c’était terminé et me força à ma regardé. Le commandant me donna quelques claques sur le visage pour me faire reprendre mes esprits et pour me remercier de ma bonne action, il m’embrassa.
« C’est tout pour aujourd’hui ! » M’annonça-t-il.
Je me relevais, il se rhabilla et je sortis de son bureau comme si rien ne, c’était passé. En sortant de son bureau, j’étais plus la mousse Fraboul, mais la pute du Commandant.
Fantasiosm69
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