Ludovic et moi avions rejoins l’équipe de handball la même année. J’avais quelques années de pratique à mon actif ce qui n’était pas son cas. J’étais devenu un bon joueur. Mon physique assez fluet mais vif m’incitait à me faufiler au travers des défenses. Moins expérimenté, Ludovic s’appuyait sur ses atouts pour compenser. Sa carrure solide lui permettait de transpercer les murs de bras de shoot puissants et rendait bien des services à l’équipe.
C’était était un garçon trapu. Cheveux moitié bouclés, teint halé, visage un poil bouffi. Des joues rondes qui faisaient écho à sa belle paire de fesses. Lors des mi-temps des match, il enlevait son short et son maillot à l’occasion, laissant apparaître son torse musclé ruisselant de transpiration, et s’adonnant à de grandes expirations témoignant d’une sorte de surchauffe de l’ensemble de son corps.
J’avais pris l’habitude de fantasmer sur ce corps qu’il dénudait facilement entièrement avant ou après les entraînements, pour se changer ou rejoindre les douches. Nous parlions peu mais la communication était simple entre nous. Nous nous trouvions facilement sur le terrain et c’était bien ainsi. Les combinaisons entre nous qui fonctionnaient et permettaient de marquer des buts se soldaient par une tape de main franche et virile qui me réjouissait à chaque fois. J’admirais sa puissance brute et je crois qu’il estimait ma finesse.
Après les matchs, je restais souvent dans le vestiaire même si je n’allais pas sous la douche. Ma pudeur s’ajoutait à ma crainte de bander aux côtés des corps nus de mes camarades. Je m’installais alors dans un coin, sur un banc et regardais du coin de l’œil, Ludovic s’installer sous le jet d’eau, fermer les yeux et se frotter langoureusement.
Un week-end, mes parents n’étant pas là, je n’avais pas d’impératif pour rentrer chez moi. Je suis donc resté un peu plus longtemps que d’habitude dans le vestiaire. Nous avions remporté un match disputé et nous étions fiers d’avoir été au bout. Les joueurs sont sortis les uns après les autres. Nous n’étions plus que trois, échangeant encore sur le match, reparlant des actions marquantes avec enthousiasme. Puis nous sommes sortis devant le gymnase. L’autre joueur est parti avec ses parents et nous sommes restés seuls avec Ludovic.
- « ah c’était cool comme match » lâche-t-il
- « ouais, on s’est bien trouvé ! » ajoutais-je
- « par contre, je suis vidé, je crois que je vais me caler sur le canapé avec la console tout l’après midi ! »
- « tu joues à quoi ? »
- « PES »
- « ah, ouais, j’aime bien. C’est un des seuls jeux où je me défend un peu... »
- « Ah ouais ? Tu veux venir jouer à la maison ? »
- « ben, pourquoi pas mais je veux pas déranger ta famille »
- « t’inquiète, ils sont pas là, ils sont partis tout le WE »
- « OK, cool, ben allons y alors »
Ludovic habitait à 15 minutes à pied du gymnase. Nous marchons donc en discutant sous un soleil de plomb. Nous sommes en mai et il fait très chaud. Arrivés chez lui, on pose nos sacs dans l’entrée et on enlève nos chaussures. L’appartement n’est pas très grand mais bien rangé et lumineux. Ludovic se dirige vers la cuisine, se sert un verre d’eau et m’en propose un que j’accepte avec empressement. Muni d’une carafe d’eau, il m’invite alors dans sa chambre et lance la console de jeu. Il enlève alors son t-shirt, puis son short, se retrouvant en calbut. Il me dit : « Mets toi à l’aise si tu veux, moi j’ai trop, chaud ». Je n’ose enlever que le t-shirt, je garde le short craignant de bander et que ma bosse se voit à travers le caleçon. On s’installe devant l’écran avec les manettes. Des coups d’oeil discret me permettent de mater ses cuisses luisantes et ses pecs transpirants. Il fait chaud…
On choisit une équipe et on commence à jouer, ensemble contre l’ordinateur. On choisit une coupe du monde. On gagne notre premier match de poule assez difficilement, je peine à trouver mes marques et on doit la victoire à ses belles actions. Les deuxième et troisièmes sont plus faciles, on se trouve bien sur le terrain, et notre tape de main virile marque notre satisfaction à chaque nouveau but. On est qualifié pour la suite. On doit rencontrer une équipe moyenne.
Ludovic souffle. La chaleur est vive. Il soupire.
- « J’ai trop chaud, je crois que je vais reprendre une douche. Ça te va de faire le début du match tout seul ? »
- « OK, je vais essayer de tenir bon »
- « Mais déconnes pas, hein ! Attends moi si tu le sens pas. »
- « T’inquiète, ça va aller. J’irais aussi sous la douche après toi. »
Il pose la manette, fait tomber son caleçon et me passe devant le nez, entièrement nu. Je scotche sur ses fesses musclées qui se dirigent vers la salle de bain. Je reviens sur l’écran et commence alors à jouer mais j’ai du mal à me concentrer. Je crois que je pense un peu trop à ce qui se passe sous la douche. J’encaisse rapidement un but puis un second. Je tiens bon un moment, je suis même tout près de marquer à deux reprises puis j’encaisse à nouveau 2 buts coup sur coup, dont le dernier lorsque Ludovic sort tout juste de la douche. Il arrive en trottinant, encore tout mouillé, une petite serviette en pagne.
- « Alors ? Ça donne quoi ? » lance-t il ?
- « Je suis désolé, j’ai déconné »
- « Putain, 4-0, en une mi-temps, t’abuses ! » dit il en regardant l’arbitre siffler la fin de la première mi temps sur l’écran
Il arrache sa serviette de sa taille pour se sécher les cheveux, laissant apparaître son sexe. Je commence à rougir.
- « ouais, je me suis fait trouer deux fois au début et deux à la fin, j’ai failli leur en planter 2 mais je me suis fait retourner… Je suis désolé de te laisser ça. Vaut mieux que j’aille sous la douche. » fais-je un peu honteux
- « c’est ça, va sous l’eau, je vais m’en occuper, mais si on gagne, tu vas m’en devoir une belle » annonce-t-il vindicatif
Entre temps, je me suis levé, j’ai pris la serviette qu’il me tends et lui lance en le regardant :
- «ok, si t’arrives à remonter, je te fais ce que tu veux ! »
- « ce que je veux... » répond il amusé
- « ouais, je sais pas moi, je fais tes devoirs si tu veux »
- « ça pue ça, j’m’en fiche des devoirs. J’en ai pas ch’crois en plus... »
- « ben je sais pas moi, tu veux un massage ? »
- « un massage de ma bite ouais »
On pouffe. Puis je réagis :
- « ah ouais ? Avec la bouche, c’est ça ? »
- « ben ouais, faut que tu prennes un peu cher quand même… et que j’en profite aussi » rigole-t-il.
J’hésite un moment puis je lâche :
- « OK, si tu gagnes, je te suce. Allez, ce sera mérité... »
- « Deal ! ça c’est motivant » conclue-t-il « allez, va sous l’eau, j’ai des buts à marquer »
Je rejoins la salle de bain. J’ai l’impression de déjà bander. Je prends néanmoins le temps sous la douche. Je n’ai qu’un espoir, qu’il ait marqué suffisamment de buts. Mais je doute de notre discussion. Est ce qu’il me demandera vraiment de le sucer s’il gagne ou c’était juste par esprit de jeu. Bah, on verra bien, il n’y pas grand-chose à perdre. Je sors tranquillement de la salle de bain, une serviette en pagne mais bien mieux séché que Ludovic.
Je pénètre dans la chambre et regarde Ludovic qui s’affaire sur la manette, concentré. La mi-temps n’est pas finie, et l’écran indique 3-4. Il a remonté une partie du retard mais il reste peu de temps. Il est toujours nu, son sexe pendant. Je ne peux pas m’empêcher de le regarder. Je vois qu’il le remarque mais il ne dit rien. Il sourit simplement puis s’excite de nouveau nerveusement sur les boutons, accélère le mouvement puis lâche un « YES ! ». Il vient d’en marquer un autre. Égalité. Il me regarde fièrement. « Putain, 4 t’assures ! » dis-je.
« Ouais, répond-il avec un grand sourire, plus qu’un ! » en disant cela il s’est mis la main sur son paquet, qu’il a secoué vigoureusement. Ça promet, me dis-je.
Il reste une minute. Le jeu est serré, la balle va de part et d’autre. La fin approche. Il récupère un ballon et part en contre-attaque, se fait tacler, récupère, se faufile, dribble et alors qu’il reste 5 secondes, déclenche une splendide frappe. « Goaaaaaal » On se lève tous les deux en criant. On se tape dans la main comme en match. Il est complètement nu et il exulte. « Alors ! Ils sont où ? » déclame-t-il à l’écran. « T’as vu ce but ? » me dit il en revoyant les ralentis. Je me suis réassis. Lui est encore debout, dans son action.
La balle est ramenée au centre et une seconde après l’engagement, l’arbitre siffle la fin du match. Il laisse tomber la manette et lève les bras en l’air. Il se tourne vers moi, on se tape une nouvelle fois dans la main. « T’as assuré ! » lui dis-je.
Il me regarde l’air malicieux puis s’assied sur lit en s’appuyant sur son oreiller. Il prend son sexe dans sa main. « Je crois que ça va être à toi d’assurer maintenant ! » me lance-t-il
Je prend alors mon courage à deux mains. Je n’ai jamais sucé un garçon jusqu’ici. J’ai un peu peur de ne pas aimer ça mais en même temps, très envie de sentir son odeur. Je m’installe en face de lui, genoux à terre, ma serviette toujours en pagne. Le cœur battant, je prends son sexe dans ma main, commence à le branler. « Allez, fais pas le timide, ça mord pas » rigole-t-il.
- « c’est ça »
- « eh, c’est pas moi qui ai pris 4 buts, maintenant, t’y es ! »
- « ok, ok »
J’approche alors doucement ma bouche de sa bite et je l’avale goulûment. Je me mets à le sucer lentement. Lui commence à pousser des petits râles de plaisir. « voilà, c’est bien comme ça ». J’accélère un peu, il pose sa main sur ma tête, la caresse puis me presse un coup. Je laisse cette pression, et me retire lorsqu’il la relâche. Je le branle un peu. Je lèche un peu ses couilles, il apprécie visiblement. Puis je reprend son sexe en bouche et me réactive dessus, accompagnant mes mouvement de langue avec ma main, je vais le long de sa verge, m’attarde sur son gland et repars dans des va et vient dont je varie l’allure en fonction de ses gémissements.
- « Eh mais tu fais ça bien putain ! Lâche-t-il. Et puis t’as l’air d’aimer ça non ? »
Je m’arrête tout en tenant encore son sexe dans ma main.
- « j’avoue que j’aime bien ça en fait ouais. J’étais pas chaud du tout au début mais je crois que j’aime bien ta bite »
- « ben, te prives pas alors, vas-y continue ».
Je reprend alors de plus belle. Ma serviette en pagne est tombé et je suis moi aussi complètement à poil. Je m’affaire sur la bite de Ludovic et sur ses à côtés, les petites parties d’aine douces et sensibles, ce qui le fait se tortiller encore plus. Je sens son sexe se durcir encore plus ce qui a le don de me redonner de l’énergie. « Doucement » dit-il un moment « faut que ça dure si t’aimes ça »
J’accompagne mes mouvements de caresses sur les différentes parties de son corps, ses cuisses d’abord, puis son torse musclé et ses tétons. Ses gémissements m’indiquent qu’il apprécie visiblement. Ces allées et venues sont très agréables. Ils s’accélèrent et Ludovic redevient alors plus fougueux. Il me prend la tête à deux mains et fait lui même les va-et-vient. « Ah, t’aimes ma bite alors, dit-il les dents serrés, et ben prend ça ». J’étouffe presque. Puis il se relâche. Je suis aux anges.
Je tiens toujours son sexe en main et lui lance :
- « Eh ben, ça se vérifie, j’aime vraiment bien ta bite »
- « En ben, elle, elle aime bien ta bouche »
- « tu crois qu’elle aimerait bien mon cul ? »
- « hein ? »
- « mon cul, tu crois qu’elle aimerait ça ta bite ? »
Après un moment d’arrêt, il reprend son air malicieux.
- « je ne sais pas, faut voir, faut lui demander. Montres un peu ça ? »
Je me lève, et lui montre mon cul. Il s’avance un peu, me tâte une fesse et me fiche un claque dessus. Je sursaute. Il rigole. Puis il se lève, m’attrape les fesses, fait taper sa bite dessus.
- « hmmm, je crois qu’elle veut bien essayer, tu l’as tout excité ! »
- « Cool, par contre, j’ai jamais fait ça, vas-y doucement stp quand même »
- « t’inquiète, on va faire ça tranquillement, tu vas kiffer encore plus ma bite, tu voudras la voir tous les jours »
A ce moment, il me penche vers l’avant, crache sur mon anus et se mets à le travailler avec ses doigts. Je tremble, je gémis. Il s’affaire, prend son temps mais avance ses doigts mouillés, me claque régulièrement les fesses en se félicitant de ce petit cul qu’il a en face de lui. Après 5 bonnes minutes à me préparer la rondelle, il se relève, passe un capote, mets du gel et me dit « t’es prêt ? ».
Je le supplie « Oui, carrément ».
Il s’avance alors doucement en moi. Je transpire, j’ai mal. Il s’y reprend à deux fois avant de passer son gland. Je soupire. Il me caresse, fait des pauses, me demande si cela va. Puis il commence à avancer et à faire de va-et-vient. Il commence à pousser un petit râle. « ahhh, c’est bon ». Il accélère le mouvement, je gémis. « T’aimes ça alors ? » lance-t-il. « aaaah ouiiii » répond-je de façon saccadée. Il me lamine le cul, ses mains sont accrochées sur mes hanches. J’adore cette sensation. Puis, il ralenti, me caresse le dos. Je me redresse, sa bite toujours en moi, je mets une main sur le côté de sa hanche pour l’inciter à continuer, de l’autre, j’essaie d’attraper sa tête. Il vient alors se coller contre moi, son souffle sur la nuque, tout en me secouant le bassin. Puis il s’arrête, ses mains viennent sur mon torse et il m’embrasse dans le cou. « Je kiffe ton petit cul en fait » lâche-t-il avant de m’embrasser goulûment. Je n’y crois pas. C’est l’extase. Je me suis retourné et on s’embrasse tout en se caressant.
Puis il finit par me pousser sur le lit. Je tombe sur le dos.
« J’en ai pas fini avec toi ! » dit il
« je t’attends ! » dis je en écartant les jambes.
Il se jette alors sur moi, me pénètre de nouveau et s’active comme un taureau. Je l’encourage tout en l’enserrant de mes bras, alternant les passages langoureux et plus rapides. On essaie ainsi plusieurs positions, moi à cheval sur lui, sur le côté, lui sur moi allongé sur le ventre. On finit par se réinstaller comme au début. Il s’active de nouveau, je vais venir. Il râle aussi. Dans une explosion, je jouis près d’une dizaine de fois, lui se tend et finit par s’écrouler sur moi. On est épuisé. On se laisse tomber, on rigole, côte à côte. On s’essuie puis on se regarde
- « Bon, j’ai bien fait d’en prendre 4 tout à l’heure alors ? »
- « ouais, j’ai surtout bien fait d’en mettre 5 surtout ! Ça mériterai que tu me suces 5 fois ! »
- « mais c’est quand tu veux, surtout si tu m’encules comme ça après. »
- « eh ben, on va se voir souvent alors ! »
On a passé le reste de l’après midi à alterner entre jouer à la console et baiser. On s’est aussi revu régulièrement. Toujours avec cette animalité et cette douceur qui en ont fait des moments particulièrement inoubliables.
Timtim
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