Je me présente rapidement, je m’appelle Arthur et je suis en BTS commerce dans un lycée de campagne. Je fais un 1m80 et je suis mince. Je vais vous raconter une histoire avec un garçon de mon bahut.
Une fois, assis à ma table de classe, j’entendais des filles qui parlaient pendant le cours de math. Elles étaient derrière moi et comme je n’étais pas très intéressé par le cours, j’écoutais leur discussion qui se voulait assez intime..
- Elle était énorme ! Ça n’a vraiment pas été une expérience agréable, elle était trop grosse pour moi.
- Ha bon, à ce point là ?
- Ouais je t’assure, au moins 22 centimètres je pense. Je suis pas sûr de vouloir essayer à nouveau en vrai..
- Cédric en a dans le caleçon
Au même moment où elle prononce son nom, je tourne le regard vers le Cédric en question. Il était assis quelques rangées devant moi. Cédric c’est le beau gosse de la classe. Il fait 1m85 et assez fin, mais avec une musculature prononcée. Sans être trop développé, on voit tout de même qu’il est en forme après toutes ses sessions d’athlétisme. Ce qui frappe avant tout, c’est son visage d’ange. Cédric a une belle mâchoire, des yeux bleus à tomber et de magnifiques cheveux courts et bouclés. Un physique très similaire à Benjamin Pavart ou Aron Piper quand on y pense.
On ne se connait pas trop, mais il nous arrive de nous parler en cours ou dans les vestiaires car nous sommes inscrits à la même salle de sport. J’avoue qu’il m’est arrivé, plus d’une fois, de le mater après les sessions de sport. J’y voyais toujours une belle bosse au niveau de son entre-jambe.
Suite à la discussion de mes deux camarades, je meurs d’envie de voir à quel point sa queue est grande.Le lendemain matin, j’arrive dans la classe de math et la professeure nous demanda de changer de places pour faire un nouveau plan de classe. Par chance, elle me plaça à côté de Cédric. Cela ne pouvait pas mieux tomber. Pendant le cours, la professeur nous donna nos copies et je vit que Cédric avait une mauvaise note, heureusement pour lui c’était une matière où j’excellais. Pour entamer une discussion, je lui dis :
- A : Mince, t’avais pas révisé ?
- C : Si si, mais j’ai une vieille note ça me soule.
- A : si tu veux, je peux t’aider à réviser, Des fois c’est facilitant d’avoir quelqu’un qui parle comme toi qui t’explique les leçons.
- C : Bah pourquoi pas, ça te dit de venir chez moi après les cours.
- A : Ouais pas de problème.
Après les numéros et adresses échanger. J’étais impatient d’aller chez lui.
Arrivé. 18h, je me dirigea vers chez lui, sa maison était à quelques pâtés de maison de la mienne. Je toqua à sa porte et c’est lui qui l’ouvra.
C : Salut, rentre on va aller directement dans ma chambre.
A : okay okay je te suis.
On alla dans sa chambre qui était assez spacieuse avec plein d’objets personnels et de choses qui traînent dans tous les coins. Je posa mes affaires sur mon bureau pour commencer à bosser.
C : Tu veux un café avant de débuter ?
A : Ouais merci beaucoup, sans sucre s’il te plaît
C : T’aime ça corsé, ça me plaît
Je ne sais pas vraiment ce qu’il entendait par là, mais j’espérais secrètement qu’il continuerait à faire des allusions. Il revint quelques minutes plus tard et posa les tasses sur le bord de la table.
C : C’est bon on peut commencer.
A peine il dit cette phrase qu’il fait tomber sans faire exprès une des tasses avec son coude. Le café chaud se renversa sur lui. Il devait donc changer de vêtement rapidement au risque de se brûler. Très vite, il enleva à la fois son pantalon et son caleçon. Il Il se regarda dans le miroir si tout allait bien
C : c’est bon, rien de brûlé, je ne suis même pas rouge.
De là où j’étais, je pouvais voir ses fesses et le reflet de sa bite. Les filles de la classe n’avaient pas menti, Cédric était super bien monté. Alors qu’il ne bandait même pas sa queue devait atteindre les 16 ou 17 centimètres et elle était très large.
A : ça aurait été bête
C tu m’étonnes, avec une queue comme la mienne, je vais pouvoir soulever des nanas toute ma vie, regarde ce monstre.
Au même moment, il se tourna vers moi en emparant sa queue depuis la base. je lui signalerais bien que j’aimerais la voir de plus près, mais j’ai peur de sa réaction. Je décide quand même de rentrer dans son jeu.
A : ouais c’est vrai qu’elle est grosse, les meufs doivent prendre cher
C : Ouais mais certaines sont pas prêtes, j’ai ken Juliette à une soirée la semaine dernière et elle n’était pas sereine, elle pouvait à peine tout rentrer dans sa chatte.
A : Et là, tu bande même pas en plus, elle fait combien quand tu es en érection ?
C : je sais pas trop j’avoue, mais tu vas pas tarder à le savoir parce que le fait de me souvenir de ma baise avec Juliette et de t’en parler, j’avoue que ça commence à me donner la gaule.
Effectivement, sa bite pris toute sa mesure très rapidement.
C : donne moi la règle à côté de toi.
A : tiens
C : 22 centimètres ouais. J’ai un avenir dans le x.
A : c’est clair
C : mais j’avoue que le pire, c’est qu’elle impressionne tellement qu’aucune meuf ne m’a jamais sucé.
A : Pas de chance.
C : Tu voudrais pas toi ?
A : comment ça ?
C : écoute Arthur, on va plus se mentir, je te vois bien me regarder dans les vestiaires quand je me change et là tu louches clairement sur ma queue depuis 2 minutes. Je viens de te donner une occasion de baiser avec moi, c’est le moment de la saisir et d’assumer qui tu es vraiment.
Je le regarda dans les yeux quelques instants et je m’approcha de lui pour l’embrasser, mais il me stoppa net.
C : non non on est pas là pour ça, là je veux que tu me suces la bite okay, j’ai pas parlé de tendresse ou de romantisme. Si tu restes, c’est parce que tu veux te faire baiser comme une chienne et c’est ce que je vais te donner.
Me voilà prévenu. Sans perdre un instant, je m’agenouilla et commença à prendre en bouche son énorme morceau. Je le regardais en même temps pour voir comment il réagissait et je le voyais sourire. A genoux dans cette position me donnait vraiment l’allure de quelqu’un de soumis, mais j’avoue que ça m’excitait. Je me donnait du mal pour lui faire du bien, j’alternais entre des moments où je le suçais et des moments où je le branlais.
C : Tu fais ça bien, t’es un vrai pro.
Cédric se retira de ma bouche pour claquer sa queue contre mon visage avec sa main. Elle était énorme vu de cet angle, il m’aspergeait de ma propre salive sur les joues, les lèvres et le nez. Se faire bifler par un mec comme Cédric, c’était vraiment l’extase.
C : Allez on va passer aux choses sérieuses maintenant. Va t’allonger sur le lit.
Je me dirigea vers le matelas et je m’assis sur le bord.
C : t’es con ou quoi ? Fouts-toi à poil, je vais pas pouvoir te baiser comment avec tes fringues ? Faut vraiment tout faire ici.
D’un coup il me poussa pour que je sois allongé sur le lit et il m’enleva tous mes vêtements. Je me retrouvais nu devant lui. Dans la continuité, il me prit ensuite par les hanches et me força à être sur le ventre, puis il se posa sur moi.
C : t’as une gueule de beau gosse Arthur, mais la partie la plus intéressante de ton corps c’est clairement ton cul.
Je le vit prendre une capote qu’il positionna rapidement, il mit un peu de lubrifiant à l’entrée de mon cul et sur sa queue puis je sentis son gland sur mon anus.
C : Allez, va falloir souffler maintenant. Ça va sûrement piquer.
D’un coup, il amorça la manœuvre pour rentrer en moi en poussant avec ses hanches. Je me sentis transpercé par son membre, il n’avait même pas voulu me préparer un petit peu, Cédric avait juste envie de se vider les couilles. Arrivé tout au fond, il se stoppa pendant quelques instants.
C : Alors qu’est ce que tu en dis ? Toi qui l’a voulais tant.
A : Je vais pas mentir, ça déchire quand même
C : Si tu veux que je continue va falloir le réclamer par contre
A : Comment ça ?
C : Tu veux que je te baise ou pas ?
A : Oui
C : Oui quoi ?
A : Oui je veux que tu me baise
C : Plus fort, j’entends rien
A : JE VEUX QUE TU ME BAISE
C : Allez c’est parti
D’un coup, il se retira presque au bord de mes fesses pour rentrer avec force et rapidité.
C : je te préviens, avec moi c’est pas doux. J’espère que tu es prêt à encaisser.
Ses jambes de chaque côté de miennes claquaient à rythme impressionnant.
Là où beaucoup de garçons auraient éjaculé rapidement dans cette position, Cédric me pilonnait avec force.
Au bout d’un moment, Cédric prit mes cheveux d’une de ses mains, et vint les tirer vers lui. Il me dit « je veux te baiser en levrette maintenant » je me redressa pour me mettre à quatre pattes pendant qu’il tenait encore fermement ma chevelure.
Cette position et la vitesse de la baise provoquait une gêne plus intense, j’essayais de prévenir Cédric en lui signalant d’aller moins vite avec la paume de la main, mais il me la tira derrière le dos et accéléra la cadence.
Au bout d’un moment, Il sorti sa queue de mon entre et viens de la frapper plusieurs fois sur mes fesses. Je tourna la tête et le vis en train de se mordre les lèvres. Il doit aimé beaucoup cette position, une position où je lui suis totalement soumis. D’un coup, il vient rentrer à nouveau et m’agrippe fermement par les hanches.
Une fois tout au fond, il me dit « je vais te baiser plus fort okay » ce qui aurait pu sonner comme une question n’en est pas une du tout. Cédric me prévenait juste pour que je me prépare à bien déguster. Les minutes qui ont suivi étaient folles, j’avais la tête qui frappait contre le mur pendant que mon mâle me pilonnait violemment. Ces coups de butoir me projetaient vers l’avant, mais Cédric me tenait fermentant pour que mes fesses reviennent rapidement contre son bassin, ce qui provoquait d’ailleurs des claquements, qui résonnait dans toute la pièce.
Heureusement que personne n’était chez lui car je ne pouvais plus cacher mes gémissements. Seulement Cédric, lui, n’avait pas l’air d’avoir envie de m’entendre gémir à ce point là. Au bout d’un moment, il s’arrêta, son torse de colla à mon dos et il approcha sa bouche de mon oreille « ta gueule Arthur, tu fais trop de bruits ».
Tout en continuant à me baiser profondément, il me regardait peiner à retenir les cris, à chaque fois qu’il allait plus fort et qu’il m’arrachait un gémissement, il claquait mes fesses avec sa main et criait « ferme ta Gueule Arthur » ou « prends là et la ferma là putain ».
J’en pouvais plus, je n’étais plus qu’une boule de plaisir et de nerfs. Je me livrais totalement aux caprices de Cédric qui me dominait totalement.
Au bout d’un moment Cédric se retira
C : va devant le miroir.
Je regarda sa chambre et vis dans un coin un miroir d’environ 2 mètres de long accroché au mur. Sûrement pour se regarder le matin et admirer son beau physique. Je me leva du lit et vins me mettre dos au miroir. Puis, il me retourna afin que mon visage colle le miroir.
C : non face au miroir salope, je veux que tu vois à quoi tu ressemble quand tu te fais baiser
Juste après ses mots, il enfonça à nouveau sa bite dans mon cul, puis me bourina pendant plusieurs minutes, ses mains de chaque côté de mes hanches. Dans cette position, les frottements stimulaient à fond ma prostate, j’en criais.
C : Ouais, je vois que t’aime ça salle chienne ».
Je croisais très souvent son regard, autant il voulait que je me regarde en train de me faire enculer, autant il voulait se voir aussi en train de baiser. Ça m’excitait énormément de le voir comme ça, puissant et dominateur.
C : Je vais bientôt juter et je veux jouir sur ta gueule ok
A : vas y, j’ai grave envie
C Okay, quand je sors ma bite de ton queue, accroupis-toi tout de suite
Il continua ses va et vient durant encore quelques secondes et il se retira. Rapidement je me dis devant sa queue et j’attendais qu’il crache tout son foutre pour me faire une faciale . D’un coup, je sentis un liquide chaud propulsé sur mes joues, mon nez, mes yeux. Au moins une dizaine de jets s’écrasaient contre mon visage et mon torse. J’ouvris les yeux, me regarda dans le miroir et je vis que j’étais littéralement couvert de sperme.
Cette vision me fit éjaculer au même moment, plusieurs jets de sperme sur mon torse ; une libération.
C : Regarde toi, tu es trempé.
A : A qui la faute ?
C : A moi et j’en suis fier, j’ai jamais baisé comme ça de ma vie. C’était un truc de dingue.
A : C’est vrai que c’était sympa, on forme une bonne équipe.
C : Tu serais prêt à rejouer avec moi du coup ?
A : Quand tu veux beau gosse.
T.Pavone
contact.tonypavone@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :