Histoire en partie réelle mais l’ensemble reste une fiction.
Chapitre 1
Je m’appelle Edouard, fils d’une famille bourgeoise, je vis dans le XVIème arrondissement de Paris. Je suis un jeune blondinet mince et imberbe qui étudie dans une école de commerce hors de prix. Socialement je suis un dominant : j’arpente les rues d’un pas assuré dans des chemises de créateurs, je fréquente les hautes places parisiennes et du haut de mes tout juste 20 ans j’exhibe fièrement ma black card.
Mais sous ce costume se cache un jeune minet insatiable. Depuis plusieurs années je sais que je suis gay, mais désireux de préserver mon statut de jeune homme dominant bon à marier, personne n’est au courant. Pourtant, sous mon pantalon tailleur Yves Saint Laurent, je porte un jockstrap versace que n’importe quelle cocotte, parfumée aux effluves charnelles, pourrait porter. Je l’ai compris très vite, sous la couette j’aime être dirigé et obéir comme un prolétaire.
J’envoie valser mes vêtements, je suis nu, seul dans ma chambre. Je peux donc vous parler plus crûment maintenant que j’ai ôté mon masque de bourgeois, car une fois dévêtue, richissime ou pauvre, une salope est une salope. Je vais donc vous raconter comment ma petite vie tranquille a basculé.
Devant une bite et une bonne paire de couilles, je me comporte comme une vulgaire pute. J’ai de belles fesses rebondies avec une rondelle bien élastique, mais une teub de taille plutôt moyenne avec de petites couilles. Même si les histoires de salopes soumises que je lis en cachette sur Cyrillo me déclenchent une belle érection et rendent humide ma petite chatte imberbe, je suis toujours resté timide lors de mes rapports sexuels et tout cela relève plus du fantasme.
Un jour alors que je m’étais égaré dans un quartier qui m’étais inconnu, je passe devant un sex-shop gay. Je poursuis mon chemin mais mon esprit s’emmêle. Je me dis qu’il n’y a aucune chance que je croise quelqu’un que je connais dans ce quartier, sur un coup de tête je franchis la porte de ce sex-shop. Une fois à l’intérieur je suis émerveillé par tout ce que je découvre, des rayons entiers de jockstrap, de strings en dentelle… Un jeune rebeu s’approche avec un sourire coquin et me dit « Et Salut, ici c’est les vêtements, les accessoires sont au sous sol, si tu veux essayer quelque chose n’hésite pas il y a des cabines. Fais moi signe si t’as besoin d’aide! ».
Je ne suis pas gêné, je suis le seul client du magasin. Je sélectionne quelques strings puis je descends au sous sol pour voir les accessoires. Je me retrouve dans le rayon BDSM qui m’excite tant, je marque un arrêt devant les cages de chasteté. Cet accessoire de soumission par excellence m’excite tant.
Soudain je sens du souffle dans ma nuque, le vendeur rebeux se trouve derrière moi. Je me retourne, il me dit « Ah tous les petits blancs sont aux anges dans ce rayon, ça vous dit d’en essayer une en cabine ? »
Par réflexe et sans réfléchir aux conséquences je réponds « Avec plaisir! ».
Je m’installe en cabine, j’ouvre la boîte que m’avait tendu le vendeur. C’est une cage de chasteté en métal et en silicone, je tente de la mettre mais je n’y arrive pas. Le vendeur me demande si tout se passe bien et je lui réponds que j’ai du mal à l’installer.
Il me dit « Je peux vous aider si vous êtes d’accord. » J’accepte. Il entre dans la cabine, je suis nu. Il me regarde de haut en bas et se met à siffler.
Vendeur : « Il en a de la chance ton homme, ton corps donne envie! »
Moi : « Merci mais je n’ai pas d’homme… »
Vendeur : « Oh ça ne devrait pas tarder alors, passe moi la cage que je te la pose. »
Je lui tend la cage, il commence par passer ma nouille et mes boules dans l’anneau en métal, il vient mettre la coquille en silicone sur ma queue et ferme le tout avec un cadenas. Mais soudain il met la clé dans sa poche. Je prends peur mais je ne dis rien, je ne bouge pas.
Vendeur : « Voilà maintenant j’ai la clé, t’es à moi petite pute et t’as intérêt de m’obéir si tu veux que ta queue soit libérée un jour. Et je peux te dire que tu vas en bouffer du zob arabe avant que je te rende la clé ».
J’en ai les larmes aux yeux. « Non je t’en supplie, rends moi la clé, j’ai de l’argent si tu veux. »
Il me donne une grande gifle et me dit « Ta gueule sale chienne. Maintenant je suis ton Maître, je fais ce que je veux de toi. Et arrête de faire ton dominant avec moi, le seul argent que j’accepterai de ta part proviendra du tapin. T’as compris? »
Comprenant que je n’avais pas le choix et voulant éviter une nouvelle gifle j’ai répondu « Oui Maitre c’est compris ». En réalité la situation m’excitait et ce mâle en face de moi me faisait envie.
Maitre : « Parfait ma salope, je vais rajouter quelques strings, un collier et une laisse à ton panier. Ce soir 20h je te veux devant chez moi en string, tu te déshabilleras dans le couloir. T’as intérêt d’être à l’heure, file ton tel je vais te rentrer l’adresse. »
Je suis rentré chez moi avec mes achats, assez honteux, j’avais l’impression d’être passé de salope dans mon intimité à salope tout court. Mais je me prépare à le rejoindre ce soir, je n’ai pas le choix et puis j’avoue que ce petit rebeu me fait bien mouiller.
La suite au prochain épisode, n’hésitez pas à me faire de retours et des suggestions, c’est ma première histoire ;). Vous pouvez aussi me contacter si vous souhaitez prendre le contrôle de ma cage de chasteté à distance :).
Soumisedouard
soumisedouard@gmail.com
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