Depuis le début de la pandémie, je n'ai rencontré que quelques hommes. Avec le couvre-feu, le confinement et la peur de la maladie, il faut dire que j'ai été bien freiné dans mes rencontres. Mais après avoir discuté quelques soirées avec Pascal par mail, nous avons décidé de nous rencontrer.
Lui en couple avec une femme, moi ne pouvant pas recevoir, on a dû faire un choix. Aimant tous les deux les plans extérieurs, nous nous sommes donnés rendez-vous dans un centre commercial. Dans les toilettes plus précisément.
Des toilettes que j'avais eu l'occasion de repérer. Grandes cabines, et surtout, totalement fermées. Pas d'espace sous ou au-dessus de la porte.
Du coup, il est 18h00, c'est un vendredi et lorsque je pénètre dans les allées du centre commercial, la première chose qui me vient à l'esprit c'est : mince, y beaucoup de monde aujourd'hui!
Mais je bouillonne depuis des semaines. Mon envie d'avoir une queue entre les lèvres me dévore! Et de ce que j'ai pu en voir sur ses photos, celle de Pascal m'a l'air très appétissante !
Arrivé aux toilettes, j'observe : un petit vieux se sèche les mains et c'est tout. Je marche en direction de la dernière cabine, j'ouvre la porte et j'y jette un coup d’œil. Propre. Je referme derrière moi et envoie un snap à Pascal.
"J'y suis, dernière cabine. Toque 1 fois"
J'ai l'impression d'être un agent secret. Jouer la carte de la discrétion dans cet endroit bondé de monde m'excite.
J'enlève mon masque et j'attends.
Deux minutes, puis trois, quatre...
Toc !
Mon cœur se met à tambouriner contre ma poitrine.
J'ouvre la porte et découvre la carrure de Pascal. Environ 1m80, 45 ans, discret et directif, son profil sur ce site de rencontre Gay m'avait bien plu. Il avait su me faire bander avec quelques mots et ses photos intimes m'avait procuré une bonne dose d'excitation.
Je recule de quelques pas pour le laisser entrer. Mesurant 1 m72, je fais un peu petit.
Pascal ferme la porte et se fige devant moi. Il enlève son masque et me dit discrètement:
- Tu avais raison, c'est plutôt grand ici.
Je lui souris et recule encore un peu, puis je viens me plaquer le dos contre l'un des murs sur le côté. Je lui fais signe de venir avec mes doigts.
Il s'approche de moi et viens se coller à quelques centimètres de mon visage. Voulant rester discret, nous devons constamment chuchoter.
- J'ai envie de ta queue, lui dis-je à l'oreille.
Tout en lui parlant, ma main droite vient se poser sur son entre-jambe et je commence à lui caresser les couilles lentement.
- Hmm... tu sais ce que tu veux, toi, me répond Pascal qui ne tarde pas à placer ses deux mains contre mon dos pour les descendre jusqu'à mes fesses. Là, il se faufile sous mon jogging et rentre directement en contact avec mes fesses.
- Tourne-toi. Je veux d'abord te bouffer le cul, puis tu t'occuperas de ma queue après, ok? me demande-t-il, le visage collé au mien.
- Avec plaisir.
Mais avant de me tourner, je laisse sortir ma langue doucement de ma bouche et la passe lentement sur mes lèvres. Ses mains se resserrent sur mes fesses et il vient soudainement m'embrasser. Moi qui, habituellement, n'est pas trop porté sur les bisous, j'apprécie ici la façon brutale avec laquelle il m'embrasse. Et tout en me roulant une pelle, il vient me plaquer contre lui. Sous mon jogging, je peux sentir sa queue durcir sous l'épaisseur de son jean.
Pascal me tourne. Je pose mes mains contre le mur, cambre mon dos et le laisse faire. Il baisse mon jogging jusqu'à mes chevilles, et observe mes fesses pendant un petit moment. Il les écarte, les referme, les tapotes discrètement.
- Tu as un super cul!
Je lui lâche un petit merci et me félicite de faire autant de squats et fentes.
La langue de Pascal se faufile entre mes fesses. Elle contourne mon petit trou tout lisse et vient l'humidifier pour ensuite le pénétrer. Ses mains écartent mes fesses à leur maximum, et dans le feu de l'action, le voilà qu'il me glisse un doigt.
Surpris, je lâche un petit bruit.
Pascal relève la tête :
- Désolé, je t'ai pas demandé. Mais je peux te doigter?
Je souris.
- Je suis là pour ça, lui dis-je.
Alors, il recommence. Un doigt, puis un coup de langue, un doigt plus profond, puis deux. Et le voilà qu'il se redresse derrière moi, me choppe la tête en arrière, m'embrasse et me doigte. Je sens plusieurs doigts qui se baladent en moi. Peut-être trois. J'adore ça, je bande comme un dingue.
Après cinq minutes de doigtage et roulage de pelle, il recule et me dit :
- Suce-moi, maintenant!
Je tombe à genoux et défais son pantalon. Sa queue se dresse d'un seul coup devant moi. Un gland bien large, une queue épaisse d'environ 18 cm. Rasée entièrement, elle me laisse bouche bée lorsque je la saisis dans ma main.
- Hmmm... elle est si grosse!
- Ravie qu'elle te plaise! Ton cul lui a fait un sacré effet!
Je plonge ma tête sous ses couilles et viens les lécher lentement pour ensuite les gober. Je les fais rouler doucement dans ma bouche et de ma main je branle sa queue. Puis, depuis la base de sa bite jusqu'à son gland, je donne un long et humide coup de langue tout en regardant Pascal dans les yeux. Arrivé à l'extrémité de sa bite, je la prends dans la bouche et ressers mes lèvres. Je peux commencer mes va-et-viens tout en lui donnant des coup de langue sur le gland. Mes mains lui malaxe les couilles, le branle et lorsque je viens les plaquer sur ses fesses, il comprend immédiatement que je veux qu'il me baise la bouche.
Ses coups de hanche sont de plus en plus nombreux et brutal. Il m'est difficile de ne pas faire de bruit, mais je me retiens du mieux que je peux. Sa queue glisse au fond de ma gorge et ressors de ma bouche, aspergeant mon torse et mes jambes de salive.
Pascal me prend les poignets et viens me plaquer contre le mur. Il bloque mes mains au-dessus de ma tête et me baise la bouche ainsi. Je le regarde dans les yeux tandis que sa queue m'étouffe. Cette sensation de soumission m'avait manqué!
- Je vais pas tarder à gicler, me dit-il.
Alors, je le repousse un peu, je choppe sa queue et le branle d'une manière répétée. Avec la salive cumulée sur sa bite, elle glisse à merveille dans ma main. L'autre main, elle, s'occupe de ses couilles.
- Gicle sur mon visage, s'il-te-plait!
Je sens ses couilles se rétracter légèrement, puis sa queue m'asperge la bouche, les joues et le front de sperme chaud. De longs jets qui n'en finissent plus. J'en ai un peu sur la langue, le goût aussi m'avait manqué!
Je continue de le branler un peu, puis j'enfonce son gros gland entre mes lèvres afin de tout nettoyer.
- Merci, lui dis-je, le visage trempé.
- De rien, merci à toi! La prochaine fois, je te baise. Mais là, c'était trop bon pour me retenir.
- Pas de souci. Mon cul sera à toi.
Pascal me montre le papier toilette. Il me dit :
- Tu veux que je te le donne pour te nettoyer?
Je me relève et prends mon masque dans la poche de mon jogging.
- Pas besoin, avec ça les gens ne verront rien.
Je viens placer mon masque sur le visage. Je sens le sperme coller contre le tissu. Je trouve ça excitant, je ne sais pas trop pourquoi. Marcher au milieu de la foule en sachant que je viens de me faire gicler sur le visage me fait bien bander.
Pascal me regarde d'un air surpris. Il se met à rire.
- On va bien s'amuser tous les deux!
Oh oui, je pense qu'on va bien s'amuser et j'ai hâte de sentir sa queue entre mes fesses!
Voilà, cette histoire est véridique et peut-être que Pascal se reconnaitra ;)
N'hésitez pas à m'écrire sur mon mail pour me dire ce que vous en avez pensé!
A bientôt !
Petitcul57
moa.mi.moa@hotmail.fr
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