Avant d’embarquer, Arthur regarda une dernière fois la brochure de voyage que ses parents lui avait suggéré de lire, avant d’atterrir au somptueux Royaume du Maghreb : le Maroc. « Vous vous amuserez à vous perdre dans le dédale de ruelles du souk de Marrakesh », pouvait-on y lire. « Si vous êtes une femme, couvrez-vous les parties et faites vous discrète du regard des hommes ». Arthur ne comprenait pas pourquoi les hommes marocains regardaient plutôt attentivement des paires de fesses et des poitrines de touristes européennes. Après tout, Arthur n’avait jamais visité de pays arabe et sa curiosité ne faisait que grandir, pages après pages. Si son coming out n’était qu’une question de temps, malgré son jeune âge, Arthur n’en était pas à sa première expérience. Au lycée, son meilleur ami Walid ne s’était pas fait prier pour découvrir les talents d’Arthur. Son énorme pénis arabe au gland protubérant s’enfonçait régulièrement au plus profond de son anus rosé. Désormais, Arthur savait. Devenu accro aux bites arabes, ou « zeb arabi » comme disait Walid, il n’attendait plus qu’une chose : que ses parents partent en excursion dans le désert pour enfin servir de femelle aux hommes du quartier de l’hôtel.
Le petit-déjeuner terminé, ses parents n’avaient plus une minute à perdre. « Repose toi bien, car ce soir nous allons dîner en bord de mer, nous partons visiter un musée et nous reviendrons d’ici trois heures ». Arthur s’empressa de filer à la douche. C’était sans compter les quelques couacs de la salle de bain : par dessus de bain, ni se savon. « Composez le 4142 pour joindre la réception », indiquait l’autocollant jauni au-dessus du téléphone de la chambre. « Allo, pourriez-vous m’apporter des essais et du savon s’il vous plaît ? ». Dix minutes plus tard, Abou Ibrahim arriva. La quarantaine, avec sa longue barbe noire, il lança d’un ton autoritaire : « C’est toi le français qui a demandé ces affaires ? Les voici, et lave toi à l’eau froide, ici il fait très chaud, les touristes comme toi ne supportent pas bien le climat ». Arthur était déjà sous le charme du premier Arabe marocain qu’il venait de croiser. Les contractions musculaires de son anus le trahissait, il ne pouvait s’empêcher de se sentir soumis face à ce mâle rempli de testostérone. « D’accord Abou Ibrahim, merci pour votre aide », répondit Arthur. « Surtout n’hésite pas si tu as besoin de quelque chose », dit Abou Ibrahim d’un oeil lubrique sur les fesses rebondies d’Arthur, enroulées dans son essuie de bain. Son regard voulait tout dire. Arthur ne pu contrôler l’acte d’après, lorsqu’il fit délibérément tombe son essuie pour rentrer dans la douche. Ce qu’il espérait très fort arriva. Abou Ibrahim rentra dans la salle de bain et agrippa de toutes ses forces les fesses d’Arthur, ravi d’être assailli de ses mains viriles : « Vous êtes tous des chiennes salopes, vous les touristes blancs, et surtout les petits français comme toi. Maintenant à genoux et avale mon zen, kahba! », lui ordonna Abou Ibrahim. Arthur du faire face à un zeb marocain large et dur au possible. Son fond de gorge ne tarda pas à subir les assauts d’Abou Ibrahim : « plus profond Arthur, oui comme ça, yalla avale tout mon zeb mon petit ! ». Expert en fellation, Arthur lubrifia davantage son zeb jusqu’à l’explosion. « Je viens salope ! Avale tout mon halib aaah ouiiii ». Le râle d’Abou Ibrahim fit jouir Arthur sans même que celui-ci eut à toucher son pénis. « Maintenant, on m’attend en bas. Tu connais le numéro désormais, à bientôt Arthur ».
La bouche d’Arthur était encore imprégnée de l’odeur du sperme d’Abou Ibrahim. Il n’en avait pas assez, bien au contraire ! Ce n’était que l'appéritif. Son après-midi au souk de Marrakesh allait surpasser tout ce qu’il aurait pu imaginer. Les hommes marocains n’en avaient pas fini avec ses petites fesses rebondies…
Nicolas Kahba
nicolas.sakis@gmail.com
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