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HISTOIRE

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Premier épisode

Monstre VS Humain | Fin

Billy...

Un prénom...

Le Prince Charmant...

Un mètre quatre-vingt. De longs cheveux blonds. Une peau bronzée qui couvre un corps dont chaque muscle semble avoir été développé à la perfection. Deux énormes pectoraux réconfortants. Six abdominaux sculptés en tablette croquante. Deux biceps bien ronds. Deux fesses juteuses. Et il y a cette queue!

Longue. Circoncise. Sous laquelle pendent deux bourses bien pleines!

Billy est mon idéal masculin. Même si c'est un elfe et qu'il possède la queue (pas celle que je rêve de bouffer) et les oreilles d'un chat, comment n'aurais-je pas pu céder ?

Était-il l'avatar d'Apollon ? Un fils d'Aphrodite ?

Chaque souvenir le concernant me fait bander. Il me hante depuis que je l'ai rencontré au "Sort-céleri". Cet adonis aux yeux de saphir est viril, puissant, robuste et parfait, peu importe ce qu'il fait. Il le reste quand il protège son "petit frère". Il le reste quand il soumet un mortel plus grand et plus gros que lui à la force d'une seule de ses mains. Il le reste quand il se soumet à son épouse.

Billy a beau avoir l'âge de mes élèves, il est ce que je désire.

Depuis que je l'ai vu s'adonner aux plaisirs intimes les plus bestiaux avec son pupille, je rêve de son braquemard qui ferait rougir Priape en personne. Je rêve de son jus amer. Je rêve de ses muscles d'acier.

Cette journée à l'université était un calvaire. Comment corriger des copies quand tu as croisé le mâle alpha absolu la veille? D'autant que le G.E.M.H a raison ! Pourquoi on n'a pas de monstres à l'université ? Depuis que j'ai découvert ce qu'est le fruit défendu, pourquoi me mettre une compote de pommes industrielle sous les yeux?

Je suis en rut, bordel !

Mon cul appelle Billy !

J'étais dans mon bureau, avec Serge. Lui, il en voulait à Billy. Hier, il avait eu à affronter la pire remise en question possible du point de vue de la masculinité. Serge mesure près de deux mètres de hauteur et pèse près d'une centaine de kilos de muscles. Comment avait-il pu se laisser humilier par un gigolo tout juste bon à se déshabiller pour gagner de quoi manger?

Depuis que je connais Serge, il a toujours été au sommet de la chaîne alimentaire. Au lycée, tout le monde enviait ses muscles. De plus, avant qu'il ne rencontre Cathy, tous les hommes et toutes les femmes se soumettaient à lui. Il aimait trouver les Blancs sans cervelle qui se prenaient pour les rois du monde et les rabaisser à leur rang de sous-merdes en les obligeant à acclamer sa supériorité. Les mecs les plus baraqués vénéraient les énormes muscles noirs de mon ami, ils caressaient ses poils et se battaient pour avoir le droit de pomper son chibre.

Quand Cathy l'a quitté et que Cynthia allait chez elle, j'ai trouvé un passe-temps à Serge. Pour oublier sa fille, il mettait de côté le père et réveiller le mâle. Même les autres Noirs acceptaient de se soumettre à mon ami.

Billy allait payer! Il allait découvrir qui est le mâle alpha.

Justin : Ça va mieux avec ta fille?

Serge : À ton avis? Elle fait n'importe quoi. Elle arrête de me parler de son engagement envers les discriminations faites à l'encontre des monstres, mais franchement, tout ce qu'elle tirera de cette expérience, c'est son nouveau petit ami.

Justin : En parlant de ça, ce soir, je retourne au "Sort-céleri"...

Serge : Pour quoi faire? T'as pas profité des services hier soir, quand je t'ai laissé ?

Justin : Non, Billy était pris... Serge, écoute, il faut que je me fasse ce gamin.

Serge : Si tu veux, tu as envie que quelqu'un d'autre participe?

Je sens clairement que parler de l'elfe blond l'enrage.

Justin : Serge, je suis sérieux. Depuis que je l'ai vu baiser son morveux, j'arrête pas de penser à lui. Tout à l'heure, un élève m'a corrigé en plein cours. J'ai besoin de lui.

Serge : Oh pitié, si tu veux te faire fourrer, t'as qu'à y aller, mais, moi, ce soir, j'ai muscu!

Serge.

Je venais de l'offenser.

Dès la fin des cours, je suis retourné au quartier loup-garou, tant pis pour les devoirs que je dois corriger, le "Sort-céleri" étant quand même supposé être un restaurant, j'ai vu les vigiles qui remettaient des colis à un livreur.

Justin : Bonjour, messieurs.

Le loup-garou : Bonjour, vous voulez encore voir les monstres ?

Justin : Oui, j'aimerais savoir si Billy travaille aujourd'hui.

Le loup-garou : Vu l'heure, ou il est en cuisine, ou il fait sa muscu.

Justin : Billy est cuisinier?

Le loup-garou : À votre avis, comment iI a fait pour se dégoter sa meuf? Il n'a pas que son corps.

Alors je sais plus trop comment ça s'est passée parce que j'avais autre chose en tête, mais l'instant d'après, j'étais dans un salon privé. Il était entouré de décorations rouges, les objets noirs et gris qui y étaient éparpillés devaient être destinés au sadomasochisme, mais Billy leur avait trouvé une autre utilité. Dès que je suis entré, mes yeux ont été happés par la vue.

Tout d'abord, il y avait Billy. Mon elfe. Mon prince! Mon dieu !

Le jeune monstre ressemblait vraiment à un humain, mais en bien plus beau. Sa musculature était si belle, si bien dessinée et définie. Je ne pouvais qu'admirer ses abdominaux en tablettes de chocolat, ses pectoraux sculptés dans l'acier, ses larges épaules arrondies, ses ronds biceps et ce postérieur si bien moulé par le short noir qui lui servait d'unique vêtement. Il mettait aussi bien en valeur son paquet.

Ces longs cheveux blonds étaient attachés en natte à l'arrière de sa tête, son inhumanité était toujours trahie par sa queue touffue et ses oreilles triangulaires situées au milieu de sa chevelure et non derrière les joues, je crois que les jeunes appellent ça un "neko".

En plus de mon Apollon, il y avait son ami. Le dieu païen aux cheveux blancs était si mignon. Sous sa peau de neige, on pouvait voir son corps si faible, si maigre, si chétif en comparaison de la perfection anatomique athlétique de mon adonis à la chair de bronze.

Billy : Bonjour, monsieur Justin. Serge n'est pas avec vous?

Les deux gigolos étaient en train d'entraîner leurs abdominaux sur le sol, ils se couvraient de sueur, mais c'était vraiment la carrure de gladiateur de l’aîné blond qui attirait mon regard pervers, qui attisait le feu qui se remuait dans mon estomac.

J'étais fasciné par la manière dont les gouttes de transpiration s'écoulaient sur les reliefs appétissants de ses muscles virils. Les voir travailler, gonfler et se rétracter, était un délice oculaire.

Justin: Non, je préfère qu'il vienne demain, comme convenu...

Billy **il se relève, croisant les bras, ses cheveux aussi sont couverts de sueur** : Orriah avait prévu que vous viendriez.

Justin : Tu sembles blasé...?

Billy : Si Kamo et moi avons accepté ce travail, c'est pour des raisons privées. Orriah a insisté, mais je suis pas un peu soulé. Vos avez idée du nombre de fois où j'ai dû soulagé un mortel qui s'était mis à vénérer mon corps comme si j'étais un dieu parce que je le faisais fantasmer. Enfin, si ça peut vous faire plaisir, faîtes donc.

Kamohoali'i : Tu préférerais qu'ils fantasment sur moi.

Billy : Petit frère, ceux qui fantasment sur toi sont en prison. **Il met ses cheveux en bataille**

Justin : Donc, ça te gêne pas?

Billy : Si je suis "blasé", comme vous dîtes, c'est parce qu'on s'en lasse, mais si vous voulez me sauter dessus, allez-y, nous avons un contrat. Je vous prierai juste d'en laisser au petit.

J'étais vraiment en chien, j'avais envie de "lui sauter dessus" comme il dit, d'arracher ce short, de lui sucer les tétons, de mordiller son corps d'athlète, de pomper sa grosse verge et de déguster un jus que je supposais délicieux.

Kamohoali'i : Vous voulez que je sorte?

Justin : Non, tu peux rester. Après tout, c'est ton éraste, non?

Billy : Kamo a été violé par des humains, Orriah et moi l'avons recueilli et depuis, c'est mon meilleur ami.

Justin : Personnellement, j'ai déjà couché avec Serge, mais jamais quand il était en couple.

Billy : Vous parlez d'Orriah ? Comme vous le savez, les monstres ont une approche différente de la sexualité de celle des mortels. J'essaie de m'occuper de ce petit gars (qui malgré les apparences a plus de 18 ans) comme mon grand frère s'occupait de moi.

Justin : Ton frère ?

Billy : Je suppose que vous vous demandez s'il était mon éraste, mais Orriah m'interdit de répondre à cette question. Même si la réponse est évidente, elle estime que je dois laisser mes interlocuteurs écouter leur imagination dégueulasse. Je suis d'accord avec elle.

Justin : Tu fais tout ce que ta fiancée te dit?

Billy : Outre le fait qu'un seul de ses chants peut vous détruire la cervelle, je vous ferai dire que même l'amour demande des sacrifices.

Justin : Là, je saurais pas dire.

Kamohoali'i : Vous n'êtes jamais tombé amoureux ?

Amoureux?

Moi?

Honnêtement, je ne pense pas l'avoir déjà été. Chaque fois que je me suis tapé un mec, c'était pour satisfaire un besoin hormonal naturel, c'est tout.

Billy : Et je suppose que je suis un fantasme logique, vous n'avez jamais essayé les monstres et comme j'ai dominé d'une seule main le mâle alpha qui est votre ami, vous voulez me sucer!

Justin : Tu es télépathe ?

Billy : Ma sœur a essayé de m'apprendre, mais j'ai jamais réussi.

Justin : Tu as combien de frères et sœurs, au juste?

Billy : En excluant le petit, quatre frères et quatre sœurs !

Justin : Et du coup...

Billy : Déjà, je n'ai jamais couché avec mes sœurs, mais je n'ai pas le droit de vous dire si j'ai déjà couché avec un de mes frères.

Justin : Donc là, je peux te faire ce que je veux, tu ne contesteras pas?

Billy : C'est mon travail. Dîtes-vous que si vous faîtes quelque-chose que vous n'avez pas le droit de faire, vous allez finir noyé.

Justin : Et le petit et toi, vois pouvez me faire un "spectacle privé"?

Billy : Ça dépend, qu'est-ce qui vous ferait plaisir ?

Justin : Ben, impressionnez-moi, quoi.

Les deux mâles allaient me sauter dessus quand ils s'immobilisèrent.

Billy : Y a un esprit qui vient d'entrer, mais vous pouvez pas pe voir. Eh, Wendigo, on... **Il semble écouter** Ah. Monsieur Justin, la salle est réservée. Tant pis.

Billy s'approcha donc de moi. Cette odeur. C'était un fumet de mâle pur! Je me souviens encore de cet effluve sauvage. Ce corps puissant est musclé s'est mué vers moi, je tremblais alors que je laissais mon cerveau s'imprégner de cette fragrance phéromonale, les muscles qui viennent juste de travailler ne peuvent que réveiller mes instincts primaires.

Alors que je n'étais plus en mesure de réfléchir, les pouvoirs féeriques de Billy prirent la forme de plusieurs étincelles bleu vif et turquoise qui tourbillonnèrent et foudroyèrent l'espace. Une fois la lumière dissipée, le décor du salon avait était remplacé par celui d'une salle de bain. En face de moi, il y avait plusieurs douches.

Non seulement, Billy était capable de nous téléporter, mais en plus, nos vêtements avaient disparu, il les avait posés dans un placard sans même les toucher. Kamohoali'i nous rejoignit, il se matérialisa derrière plusieurs bulles d'eau bleu foncé, le dieu-requin portait plusieurs bouteilles de savon et de shampoing.

Comme nous étions tous les trois nus, je pouvais comparer nos corps, qu'étais-je en comparaison de cette perfection masculine? Mon sculptural gigolo venait encore une fois de me révéler son sexe. On oubli très rapidement les parties de son corps qui sont félines quand on admire en plus de ces abdominaux et pectoraux si bien dessinés son large et long phallus surmontant deux bourses qui en l'air si remplies.

Alors que le plus jeune d'entre nous fait couler l'eau et asperge le corps si puissant de son mentor, j'écoute mes pulsions hormonales, je me soumets à ses pheromones si mâles et j'avance mes mains, je peux enfin délecter mes doigts du contact brûlant de cette chair féerique. Mon monstre divin accepte mes cajoleries. Il passe sa main derrière sa tête pour révéler l'aisselle que je peux humer, je la lèche, il frémit.

Je vénère ce corps, je l'admire. Je ne sais même plus ce qui attaque sa chair. Mes mains? Mes lèvres ? Ma langue?

Je caresse son ventre bosselé, j'embrasse un mamelon, je mordille un pectoral, je tâte un biceps, je câline une épaule, je suce un abdominal, je caresse son postérieur musclé. À force de passer en revue chaque détail de cette musculature herculéenne, je me retrouve à genoux devant mon elfe blond.

Il crachait de chaudes haleines, une fois la vénération digitale de ses muscles ventraux terminée, je pus me concentrer sur mon repas. En face de moi, j'avais la preuve de la suprématie de sa masculinité. Mon mâle alpha présentait une magnifique érection, je la revoyais enfin, elle n'avait pas de prépuce et le trou qui surmontait un gland aussi turgescent qu'appétissant crachait quelques perles pré-séminales, je récoltai cette rosée de mâle.

Les puissantes mains de mon amant se posèrent sur ma tête pendant que j'enchaînais les léchouilles et les baisers sur cette hampe si dure, si ardente. Ce pilier de sang et de feu était vraiment exquis, je massais les testicules pendant que ma bouche s'emparait de ce Priape.

Je commençais l'avancée, mon tas de muscles s'enfonça lentement dans ma gorge, son pilonne métallique m'obligeait à commencer une série de va-et-vient, je suçais et pompais cette érection, l'accueillant vers ma gorge.

Je me déchaînais dessus. Implacablement, je poursuivais ma fellation tout en e cramponnant aux cuisses les plus musclées que je n'ai jamais touchées. Complètement en rut, je ne pouvais que faire entrer et sortir de ma gueule de pute ce pilier charnel. Une fois mon devoir accompli, mon jeune mâle se cambra, me récompensant de mes efforts en déversant son jus dans ma bouche.

C'était amer... Salé. Enfin, je goûtais le fluide le plus important de ma vie, enfin je me régalais.

Je n'en laissais pas une goutte, je me reculais juste pour pouvoir me prendre une noble éclaboussure sur mon visage de stupide mortel. J'allais devoir le masturber, si je voulais bien le traire.

Je venais de sucer un elfe et j'ai adoré ça.

Une fois ma tâche exécutée, je laissais mon dieu se placer sur le sol, sur son dos, il me demanda de l'enjamber. Je ne m'attendais pas à ce qu'il s'apprêtait à faire. Dès que j'eus placé mon sexe sur son torse d'Apollon, il a attrapé ses pectoraux d'acier et à profiter de leur puissance et de leur masse pour prendre en sandwich mon érection. Ma bite était prisonnière de cette poitrine purement masculine, si ferme. Mon mâle me demanda de bouger.

J'allais donc me masturber avec ses pectoraux musclés et réconfortants. Mon dieu me laissa avancer et reculer, il agrippait mes avant-bras pour m'obliger à manipuler ses délicieux muscles, je pouvais donc me branler comme je ne m'étais jamais branlé, je secouai mon sexe de pute.

Ma queue succomba à la friction jusqu'à ce que ma sève se répande sur son si beau visage.

Billy : Je comprends parfaitement.

Justin : Ah bon.

Kamohoali'i : C'est logique, vous n'avez pas l'habitude des monstres, alors tomber sur un spécimen aussi incroyable que mon "grand frère" ne peut que vous fasciner.

Billy : Même si la psychologie des monstres et des humains sont différentes, chacun peut cerner l'autre. Vous êtes le meilleur ami d'un pur mâle alpha, me voir le dominer a fait naître chez vous un besoin d'être dominé. Au passage, je soupçonne votre ami d'avoir demandé à un loup-garou de le convertir.

Justin : Quoi?

Billy : Oh pitié, je suis sûr que c'est ça. Il a soudoyé le vieux dealer chelou du quartier et l'a demandé de le convertir, du coup, demain, il va me forcer à le vénérer et va me défoncer le cul pour retrouver sa place sur le trône. Après, connaissant le dealer, je tiens à vous dire qu'il doit juste lui avoir prêté ses pouvoirs, Serge ne restera pas loup-garou.

Kamohoali'i : Et tant mieux, après-demain, c'est la pleine lune...

Justin : Je dois faire quoi.

Billy : Faîtes comme si de rien était et venez au rendez-vous à 18h, demain. Je pense que ça va être marrant.

Kamohoali'i : Et moi, je vais encore mater, ça vous gêne pas?

Serge ? Il a voulu se changer en loup-garou.

À part quand il était avec Cathy, il a toujours été une bête. Lorsqu'on organisait des partouzes, c'était toujours lui qui dirigeait. Maintenant qu'il a sa fille, il a ce côté "papa" qui séduit tout le monde.

Contrairement à Billy et à Serge, je ne suis jamais tombé amoureux, chaque fois que je sortais avec quelqu'un, c'était pour faire plaisir audit "quelqu'un"...

Le lendemain, j'ai donc enchaîné le boulot. J'étais perdu dans mes réflexions.

Les monstres ne sont pas comme les humains, même si certains comme le sirènes et les vampires peuvent en prendre l'apparence. Les monstres sont plus forts, plus rapides, plus agiles, plus résistants, vivent plus longtemps, quand ils ne sont pas carrément déjà morts ou immortels, pratiquent la magie, ont des super-pouvoirs et disposent même d'une acuité sensorielle accrue. Seuls les loups-garous qui ont les mêmes pouvoirs peuvent rivaliser avec eux. Leur nature magique fait d'eux des êtres à l'origine de nombreux fantasmes. Quand on me demandait avec quel monstre j'aimerais coucher, je pensais à un incube, à un ange ou même à un gandharva, même si je ne sais pas ce que c'est !

À l'université, le seul monstre que je suis sûr de croiser, c'est l'ogresse qui travaille à la cantine. Y a aussi les chiens des enfers des vigiles, mais ils ont clairement pas une intelligence semblable à celle des humains.

Quand j'étais étudiant, on avait vu en cours que les monstres étant dotés d'aptitudes paranormales concrètes, de vrais pouvoirs, il rejettent culturellement les pouvoirs virtuels que sont l'économie, la politique et la religion, comme ce sont les bases de la société humaine Occidentale, il est très difficile pour eux de s'adapter. Quand j'étais au lycée, on croisait souvent des monstres parmi les élèves, cependant les limites de leur condition sociale et souvent, pour ne pas dire subséquemment, professionnelle, fait qu'on n'en voit dans les études supérieures que si on cherche au niveau des sciences physiques ou de l'art.

On peut dire que j'ai choisi la voie professionnelle qui m'éloigne le plus des monstres.

En dehors de mes introspections philosophiques concernant la monstruosité, je pense à Serge. Quand je suis arrivé pendant ma pause dans mon bureau, il était en train de dormir sur mon fauteuil.

Serge : Juju, faut qu'on retourne au bar.

Justin : QUOI?

Serge : Moi, j'y vais, si tu me suis pas, je m'en fous.

Je ne l'avais jamais ainsi, son orgueil de mâle alpha avait gagné une nouvelle dimension. Nous fonçâmes vers sa voiture et nous hâtâmes de rouler vers le restaurant.

Dès qu'il fut devant les lycans, il les convainquit de garder leur gueule fermée en sortant une liasse de billets, ils comprirent tout de suite pourquoi nous étions là et l'un des deux nous accompagna vers le sous-sol.

Le videur lycanthrope : Vous venez voir qui?

Serge : Billy.

Chacun des poils de mon corps se dressa. Mon ami venait de s'exprimer avec une telle rage, une telle virilité, une telle violence... J'en bandais!

Serge n'était plus le même homme, il était prêt à faire payer son humiliation à Billy, nous eûmes à peine le temps de passer le vortex des ténèbres super flippant que:

Le videur : À l'heure qu'il est, il doit être occupé avec sa copine, mais ça la dérangera pas.

Serge ouvrit brutalement la porte, elle aurait pu exploser. Quand j'entrai, j'entendis certains bruits féminins qui indiquaient que les deux amants en avaient fini. Derrière un rideau, je vis mon beau et jeune Dieu arrivait, il était au paroxysme de son sex-appeal. Mon anus s'ouvrait rien qu'en admirant cette anatomie, ses puissants muscles de mâle en rut paraissaient encore plus seyants, la sueur qui les couvraient émettaient un fumet de pur alpha!

Le rythme cardiaque de mon ami semblait s'être accéléré, ses narines crachaient de la fumée, comment ce gamin était-il s'exhiber devant lui? Comment osait-il apparaître nu, affichant la perfection géométrique de son ventre bosselé et de ses larges pectoraux, ainsi que son puissant sexe gluant sous lequel pensaient deux appétissantes perles rasées.

Billy **affiche un sourire angélique** : Bonjour, monsieur !

Les doigts du colosse à la peau d'ébène s'abattaient sur le doux visage de mon idole, la pression de leur étreinte était digne d'une tenaille qui aurait pu écraser sa tête.

Serge **foudroie du regard le jeune elfe** : Déshabille-moi!

J'étais tellement envoûté par la beauté de ses deux êtres si parfaits que je faillis ne pas remarquer la jeune Sirène qui passait derrière moi:

Orriah : Vous inquiétez pas, votre ami est déjà redevenu humain, les loups-garous ont dû l'arnaquer.

Ainsi mon Adonis avait accepté de se soumettre, Serge s'était assis, mais on pouvait toujours admirer à quel point il était plus grand que le blond.

L'aura torride de mon ami suffisait pour que Billy accepte d'enlever chacun des vêtements qui couvrait ce corps de colosse. En plus de la belle érection découverte, il semblait se demander si son regard allait pouvoir quitter, lâcher ces muscles d'acier. J'avais vraiment envie de me masturber.

Serge était en effet incroyablement beau. Billy ne pouvait qu'envie cette peau noire, ces cheveux sombres, ce visage poilu, ce corps dont chaque muscle semblait avoir été développé avec un tel soin qu'il aurait pu explosé, ces énormes pectoraux couverts de poils drus, ces abdominaux aussi parfaits que les siens, ce chibre que seul un étalon aurait pu posséder ou ces biceps plus gros que la sa propre taille.

Billy vit son corps se faire parcourir par un frisson, un délicieux parfum masculin parvenait à son nez et faisait doubler de volume son érection circoncise.

Ses mains, qui semblaient si pâles en comparaison caressent, vénérèrent les bras burinés, les hanches, les abdominaux qu'elles tâtèrent, les pectoraux qu'elles mangèrent et enfin cette arme qui suintait déjà un liquide poisseux, mon dieu vouait un culte à mon ami.

Tout en caressant les courbes harmonieuses et bien fermes de ses muscles poilus, Billy complimentait l'étalon d'ébène sur la beauté virile de son corps Herculéen. Serge se demanda même si une femme, ou un homme lui avait déjà fichu une érection aussi grosse, son gland crachait déjà un peu de liquide ! Les deux mâles étaient à présent bien en chaleur. Je pense que mon ami aime l'idée de dominer celui qui a osé remettre en question son statut de mâle alpha!

Leurs corps commençaient à transpirer, ils se frottaient, les deux verges, la plus petite se sentant écraser, se heurtaient l'une à l'autre. En voyant à quel point les muscles de son amant était contractés, Billu saliva en imaginant ce qu'allait donné la jouissance et l'extase, ses mains posées sur les épaules du géant.

Soumis à l'adrénaline, à la testostérone et à divers besoins naturels que le flux hormonal adorait manipuler et dérégler, Serge embrassa le garçon qui se frottait, roulant des hanches contre ses abdominaux et ses pectoraux. Billy lâcha un petit rire tout mignon quand Serge fit bomber et se recroqueviller ses grands pectoraux velus pour l'impressionner.

Après un baiser qui semblait durer une éternité, Serge plongea son regard dans les yeux de turquoise de l'elfe. Je voyais du regret dans les siens.

Serge : N'avale pas en entier, j'ai peur pour ta bouche...

Le jeune blondinet sourit et descendit, il plaça sa tête contre l'obélisque de muscles qu'il serra, caressa, vénéra, sa sthénolagnie s'appliqua même aux gros testicules. Il lécha le gland, le couvrit de suçons, ce qui était assez plaisant avec toute la présemence qui suintait.

Setge lâcha un long râle, il posa ses grosses mains sur la douce chevelure du plus jeune qui tentait désespérément de prendre en bouche ce centauresque organe reproducteur... Mon ami avait vraiment envie de féconder ce beau visage, il se cambra et serra les poings pour gicler un jet brutal, comme un diable jaillissant hors de sa boîte. Les oreilles du coach se délectèrent du bruit tout mignon que poussa la pute quand la vague neigeuse aspergea son visage, histoire d'y regoûter, la chienne têta sans satiété ce gland délicieux, cette manne naturelle.

Le petit finit par s'allonger sur le dos écartant les cuisses :

Billy **on a presque l'impression d'observer une femelle en chaleur** : Remplissez-moi!~

Rugissant d'excitation, le plus âgé sauta sur le plus petit, souleva son bassin et enfonça son énorme verge entre ses deux petites fesses habituées. Le problème fut que Billy était trop excité.

BANG!

BANG!

Le jeune adulte hurla quand la puissance de mon ami de toujours percuta sa pauvre prostate, il pleura se mordit la lèvre... Là où d'autres hommes auraient abandonné, l'elfe continua de prendre dans son pauvre derrière la rafale de coups de verge enchaîné par le malabar qui suait sur lui... Les deux amants finirent, au bout de longues et interminables minutes pendant lequel l'univers n'existait plus que pour eux deux, ni pour le voyeur qui s'astiquait, par jouir à l'unisson et le blondinet pleurant de plaisir, hurla en sentant un geyser ébouillanter ses entrailles.

Épuisé, Serve s'effondra sur le dos, sur le fauteuil, ne trempant, pantelant et invita le plus jeune à reprendre son souffle sur son corps, son sang était toujours bouillant, ce qui leur donnait un confort incroyable.

Serge sourit, au fond, ce sale mioche lui avait appris l'humilité, maintenant, je sais qu'il se rendait compte que cet orgueil éphémère avait effacé de sa pensée ses doutes pour sa fille, elle n'avait qu'à lui offrir une soirée ici pour son anniversaire et elle changerait d'avis sur cet endroit. Au fond, les monstres ne donnaient-ils pas ici le meilleur d'eux-mêmes?

Serge **embrasse le front de l'elfe qui part suçoter un mamelon durci, il lui met une claque sur les fesses** : Bon, sale pute, **voir la semence de mon ami s'écouler hors des fesses si costaudes du plus jeune me laisse penser qu'il en est bel est bien une** Juju aussi veut en profiter, va donc le voir.

Kamohoali'i : Billy, dépêche-toi, on a une représentation dans une demi-heure.

Je me tournai vers le jeune aux cheveux blancs.

Justin : Depuis quand t'es là, gamin?

Kamohoali'i : Depuis le début...

Billy se leva, mit en bataille la tignasse blanche de son collègue et vint vers moi. Il allait enfin me repeindre le conduit !

Mon mâle allait enfin le chevaucher. Il marchait vers moi, faisant rouler son anatomie musculeuse.

Serge : Gamin, tu veux bien me lustrer le cuivre, s'il-te-plaît?

Le morveux maigrichon haussa les épaules et accepta de placer sa main sur la queue démesurée de mon ami.

J'étais complètement bandé à l'idée de me faire chevaucher. Je l'ai donc laissé me dominer, mon elfe blond me vola un baiser, sa langue affronta la mienne. Il m'a soulevé dans ses bras musclés et me plaqua contre le mur, mon visage se colla contre ce dernier. Tout d'abord, il a enfilé une capote, ensuite, il a utilisé ses étranges pouvoirs féeriques pour projeter un rayon bleuté qui lubrifia mon anus et enfin il y a enfoncé sa grosse queue. Lentement, mais sûrement, la matraque prenait possession des lieux.

Je gémissais en sentant ce priape s'emparer de ma chatte humide. Il faisait claquer ses lourdes couilles à chaque coup de reins, son étreinte me permettait de redécouvrir à quel point il était baraqué, je sentais chacun de ses muscles imberbes se coller contre la chair trempée de mon dos.

Chacun de ses va-et-vient était alimenté par sa puissance, je la ressentais, je l'ai laissé me baiser jusqu'à ce que je m'éjacule dessus, à m'en faire mal aux burnes.

Par la suite, nous avons repris notre vie, Serge n'a plus jamais eu peur pour sa virilité et notre amitié s'en porte mieux... Cependant un jour, j'ai rejoint mon ami au "Dragon", il discutait avec le barman quand il m'a vu et je lui ai proposé :

Justin : Serge, tu penses quoi des tentacules ?

Fin

Archangeru77

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Suite de l'histoire

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1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
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L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
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Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
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ET CE N'EST PAS TOUT !
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