J'étais connecté sur une appli de rencontre et j'avais déjà vu le profil de ce type, mais je pensais que c'était un fake (il y en a quand même un gros paquet entre les mythos et les brouteurs).
Donc c'est lui qui me contacte en me disant qu'il est très chaud. Bien sur il reçoit pas mais il se déplace chez moi. C'est typique des fakes. Mais vu comme on discute et qu'il a quelques réponses assez drôles, je me dit pourquoi pas.
il a une seule photo de son visage de profil avec une casquette sur la tête au volant dans une décapotable. De tête il semble correct, c'est toujours difficile de savoir même avec plusieurs photos. Parfois c'est la bonne surprise et parfois complètement l'inverse, j'essaye de pas trop m'y attacher.
On parle bien sur de nos envies et lui veut pomper une bonne queue juteuse et moi je lui dit que je préfère sodomiser. Il m'envoie quelques photos de son cul imberbe. Moi j'adore ça un cul sans poil, il a donc augmenté mon niveau d'intérêt d'un coup.
Je reste néanmoins méfiant, les photos ça veut rien dire, de nos jours il y en a qui les volent à d'autres. Il insiste pour un rapport au plus vite parce qu'il est très chaud et me propose une baise en extérieur près de chez moi.
A force d'insistance, je lui propose de se retrouver sur un parking et qu'on partira de là pour trouver un coin de baise. A ce moment là, je n'ai aucune idée d'où aller et lui n'est pas du coin donc il ne saura pas me proposer un endroit discret.
Il me dit qu'il est au volant et qu'il arrivera dans 20 minutes. Mais il continue de me parler par message pendant qu'il conduit. A nouveau je suis donc méfiant et je n'attends donc pas vraiment à le voir un jour, je vois pas comment il peut conduire et en même temps écrire sur son téléphone.
Donc il continue à me chauffer en me disant qu'il a pas baisé depuis quelques temps et qu'il a besoin d'une bonne queue, il me demande si son cul me plait, je lui dit que oui. Et puis il me pose la question "tu veux juter où?".
Pareil, mon détecteur à fake est en train de me dire que c'est pas demain la veille que je vais voir ce type (si c'est bien lui sur la photo).
Je lui réponds :
- je jouis pendant la sodomie.
- sans capote???
- je jouis dans la capote.
- ah, ouf!
Bon, du coup j'ai un doute sur le fait que ce soit un fake.
- j'arrive dans 5 minutes
- ok, je t'attends là-bas.
Je prends ma voiture et m'installe sur un parking en face du parking sur lequel je lui ai donné rendez-vous. Comme ça si le type qui se pointe ne lui ressemble pas, je me casse et le laisse tout seul.
Sa voiture finit par arriver sur le parking et on se texte toujours sur l'appli. Bon, ben je suis un gros parano, j'ai vraiment cru que je verrai personne. Je le vois de loin mais impossible de dire s'il ressemble à la photo ou pas.
- t'es où? Y a personne sur le parking
- je suis sur le parking d'en face
Il me voit et s'approche avec la voiture, cette fois je le vois mieux, il a les cheveux châtain mi long, des pommettes assez marquées, il porte une chemise sans manche qui montre des bras imberbes.
Bon, ben ça ira, maintenant qu'il est là autant mettre ma queue dans son cul. De toute façon il est 22h et même si c'est l'été et le weekend, je ferai pas venir grand monde jusqu'ici maintenant.
Je lui dit donc de me suivre et me dirige un peu au hasard sans trop savoir dans quel coin discret le baiser.
On est sur un petit chemin où on croise pas un autre véhicule et on arrive devant un entrepôt de stockage où les camions viennent se ravitailler. L'endroit semble désert et une misérable chaine entre deux plots en béton nous interdisent l'accès à la cour devant le bâtiment de stockage.
Si la chaine bloque nos véhicules, on la passe sans peine en tant que piétons.
En face des portes de l'entrepôt, il y a une sort d'abris d'un mètre de large sur 3 mètres de long qui masque la vue depuis l'extérieur. Il n'y a pas de caméra de sécurité, je pense que c'est un entrepôt désaffecté.
On se dirige alors vers ce petit abris qui va nous cacher.
Pendant qu'on marche je vois qu'il est plus grand que moi, ce qui va être pénible pour l'enculer.
Une fois à l'abris, on commence par se rouler une bonne galoche et il me met la main au paquet direct. Je glisse mes mains sous son short et son boxer (ou split, je sais pas) pour lui caresser les fesses.
- mmmm!
il est bien imberbe, je durcit direct.
- Tourne toi.
Il obéit. Je baise brutalement son short, je baisse le mien et met ma queue contre ses fesses. Il commence à les frotter contre mon membre.
Pendant ce temps, je lui dégrafe lentement sa chemisette et je laisse courir mes doigts sur sa peau sans poil. Il gémit et prends mon sexe dans sa main pour le diriger vers son trou.
Je me baisse alors pour aller chercher une capote dans la poche de mon short.
- qu'est-ce que tu fais?
- Je vais mettre une capote.
- Attends, excite-moi plus d'abord.
Il reprend ma queue et l'amène à nouveau jusqu'à son trou et commence à frotter mon gland sur sa rondelle. Je sens la chaleur de celle-ci. Visiblement il est soit naturellement très ouvert, soit il est très excité et il fait rentrer mon gland en lui sans forcer.
- mmmm, juste le bout.
Merde, il m'a pris de court le salaud, j'ai pas encore mis de capote et j'ai le gland dedans.
Il tortille du cul tout en gémissant. Salaud.
- c'est pas juste le bout que tu veux, tu la veux en entier. Lui dis-je en m'enfonçant entièrement en lui.
- aaaah mmm!
- je la sors plus maintenant
- aaahh
et je commence mes va et viens sans capote dans son cul chaud et humide et lui tripotant les tétons
Putain son cul est bon.
- arrête les tétons, je vais pas tenir!!
- ok
et je continue à le pénétrer, il se penche bien pour me faciliter la tâche.
La situation m'excite bien et je jouis en l'enculant. Visiblement il le remarque
- qu'est-ce que tu fais?
- je te remplis le cul.
Il pousse alors ses fesses au maximum contre moi pour que je l'inonde le plus loin possible.
Je lui met une grosse dose au fond. Quand il se retire, du foutre dégouline de son cul. Il sort un petit mouchoir en papier pour essuyer mais il est très vite plein. Il remonte son boxer, il devra faire avec dans ses vêtements souillés.
- waouh, j'ai jouis aussi. Je pensais pas que tu jouirais dedans.
- ouais c'est ça, juste le bout, hein?!
Il me sourit embarrassé. T'es grillé mec, n'essaye pas de jouer les vierges effarouchées, c'est toi qui a enfourché ma queue sans protection, tu m'a testé pendant le tchat, tu voulais une dose de jus dans le cul parce que t'es en rut ma cochonne.
On repart vers nos voitures, j'ai les couilles vides, lui le cul plein.
Micseon
Autres histoires de l'auteur : Le mec à Avignon