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Baptême avec le père de mon pote

J’ai toujours eu honte d’avouer que j’ai eu ma première relation sexuelle avec le père d’un ami, mais aujourd’hui j’ai besoin de l’extérioriser et c’est sur Cyrillo que je voudrais le faire, car c’est encore jusqu’à maintenant, un souvenir qui alimente mes fantasmes,

J’étais en dernière année de lycée, 18 ans. À ce moment je n’avais pas fait mon coming out et j’avais un faible pour mon meilleur ami, Franck. Bien que pas dans la même classe, on se retrouvait tout le temps pour déjeuner au lycée, pour jouer au tennis le mercredi après-midi ou pour jouer à la console le vendredi soir après les cours.

Une fois de temps en temps je restais dormir chez lui. Parfois nous dormions dans le canapé lit de son garage, d’autres fois dans le lit double de sa chambre. J'espérais sûrement qu'il se passe quelque chose mais comme il me parlait tout le temps de filles, que notre amitié était précieuse et que j'étais trop honteux d'avoir une attirance pour un garçon, je n'ai jamais rien tenté. J'attendais éventuellement qu'il fasse le premier pas.

L'été de cette année là, les parents de Franck m'ont proposé de venir en vacances dans le sud où ils allaient tous les ans. La mère de Franck m'aimait bien, quant à lui le père de Franck, Gilles, m'a toujours fait peur.

C’était un homme d'origine italienne très autoritaire. Toujours à faire des remarques à ses enfants et il ne se gênait pas pour moi, même si je n’étais pas son fils. Il suffisait d’une maladresse, d’une erreur d’inattention et Gilles était toujours là pour la faire remarquer et nous humilier devant tout le monde. Le genre d'adulte qui me mettait particulièrement mal à l'aise. Et quand il s’énervait, il faisait peur. Il était grand et large, avec une voix grave et puissante. Sa moustache poivre et sel n'aidait pas à le rendre sympathique.

Ses enfants et même sa femme ne le contredisaient jamais. Ce n’était pas pour rien que son fils, Franck, était un garçon timide et réservé, car avec un père comme ça il n’avait d'autre choix que de s'écraser.

Mes parents acceptèrent la proposition des parents de Franck, et voilà arrivé le jour du départ en vacances. un trajet en voiture de plus de 7h nous attendait dans la grande Renaud Espace avec les 2 parents, Franck, ses 2 petits frères et moi à l'arrière. Durant le trajet, la radio comblait les silences pendant que les petits jouaient à la console. À un moment, notre chanson du moment avec Franck passa à la radio : Don't Cha des Pussy Cat Dolls. La mère de Franck aussi adorait cette chanson. En voyant ma réaction, Gilles me dit :

— Ah non, tu vas pas me dire que toi aussi tu aimes cette chanson de fillette ?

Gros malaise, déjà que je n’assumais pas mon homosexualité, ma pire crainte était que celle-ci soit découverte. Une remarque comme celle-ci me glaça le sang et je me renfermai tout de suite. Je faisais comme si de rien n'était mais à partir de ce moment là je n'osais plus rien dire devant lui. Franck, lui, semblait habitué à ce genre de remarques et n'y prêta pas plus d'attention que ça.

En arrivant, je découvrit le lotissement. Avec Franck nous allions dormir dans une chambre composée de deux lits simples superposés. Je laissa le lit supérieur à Franck et prenais le lit du dessous.

Entre nos vas et viens à l’extérieur, mon lit un peu caché devint rapidement une sorte de refuge où je trouvais mon intimité et pouvait me mettre un peu à à l'abri du viseur de Gilles. Pareil pour Franck. On évitait le salon à tout prix. Nous retrouvions notre liberté à la piscine et sur le terrain de tennis de la ville, mais à la maison nous restions cantonnés dans la chambre.

De temps en temps, Franck me proposait de venir voir un film sur sa tablette dans son lit. Nous étions un peu serrés dans ce lit simple. Ces moments de proximité avec Franck me plaisaient beaucoup bien qu'il ne me venait jamais à l'idée de tenter quoi que ce soit. Et honnêtement, je n'suis pas sûr que ce fut réciproque. Franck ne me montrait aucun signe d'affection autre que de la pure amitié bienveillante. Il était très pudique et me parlait à peine parfois des actrices de ses films porno préférés. Il me semblait être principalement hétéro.

Une après midi, Franck attendait son tour pour prendre sa douche après son père. Moi je jouais à la gameboy dans mon lit. Il faut savoir que la salle de bain donnait sur l'entrée de notre chambre. Une fois la salle de bain libérée, Franck croisa son père qui en sortait. Celui-ci jeta un oeil dans notre chambre

— Franck, c'est comme ça que tu fais ton lit ?

— Quoi Papa, je l'ai fait

— Tu te moques de moi ? dit-il en haussant le ton. Allez va prendre ta douche avant que je m'énerve, mais si jamais demain tu me reprends pour un con c'est une torgnole que tu vas te prendre.

— pardon papa, dit Franck timidement

Franck s’enferma dans la salle de bain et son père avança dans notre chambre pour refaire le lit de son fils. J’étais assis dans le lit du dessous, avec une vue imprenable sur la serviette entourant la taille et le bas ventre parsemé de poils de Gilles.

Pendant qu'il refaisait le lit, la serviette se balançait. Le pli de la serviette laissait un petit espace à travers lequel je distinguais quelque chose en mouvement. Puis, cédant à l'agitation nerveuse de Gilles, le nœud commença à se détendre, jusqu'à se défaire complètement. La serviette tomba à ses pieds, et je me retrouvais face au premier sexe d'homme qu'il m'était donné de voir de si près. De taille imposante, il était surtout beaucoup plus épais que les sexes que j’avais observés jusqu’à maintenant sur internet. Une toison de poils d'un noir profond l'entourait. À son extrémité, son gland était encalotté.

La situation ne semblait pas déranger Gilles qui continua de finir le lit de son fils. Les balancements de son sexe dans tous les sens étaient un véritable spectacle pour le puceau curieux que j'étais à l'époque. Et grâce au lit supérieur qui lui cachait la vue, je pouvais admirer la scène sans craindre que Gilles ne me voit.

Une fois terminé, Gilles se baissa pour ramasser la serviette. Il ne cacha pas sa surprise en m'aperçevant :

— Et bien, qu'est-ce que tu fais là toi ?

Les mots me manquaient, je n'ai rien pu dire. Dans la panique, mon regard se porta à nouveau sur son entrejambe. Voyant que j'étais rouge de honte, il renfila sa serviette en riant de sa voix grave et puissante,

— Bah fais pas cette tête, t'as pas l'habitude de voir celle de tes potes dans les vestiaires du foot ?

— je n'fais pas de foot

— évidemment, pour vous les princesses c'est plutôt du tennis. Dit-il en se retirant

Quelques minutes plus tard Franck sortit de la douche et nous reprenions nos activités habituelles.

Le lendemain, après midi c'était le tour de Franck d'accompagner sa maman pour faire les courses. Les petits jouaient dans le jardin et je profitais de ce moment pour me réfugier dans mon lit faire une petite sieste.

Je fus réveillé par le bruit d'une porte qui s'ouvrit brusquement, c'était Gilles qui sortait de sa douche. Aperçevant notre chambre, il pesta :

— c'est pas vrai il m'écoute jamais celui-là, combien faut-il que je lui répète ?

Il s'avança vers notre lit superposé, cette fois vêtu d’un simple caleçon à carreaux qui mettait tout à fait en valeur le liseret de poils sombres de son bas ventre qui constituaient la naissance de ses poils pubiens, ses cuisses larges et poilues, sa peau légèrement mat et la bosse de son membre bien caché.

Cette fois-ci il semblait tout à fait au courant de ma présence

— il devrait prendre exemple sur toi, ça c'est sûr, tu veux pas lui montrer comment faire ?

— pardon ?

— TON LIT, tu lui montreras comment tu le fais, tu veux bien ?

Malgré son ton agressif, c’était la première fois que Gilles me faisait un compliment. je ressentis tout un tas d'émotions qui s'ajoutaient au spectacle de son bas ventre agité.

— euh... oui

— hein, que dis-tu ? Dit-il en se penchant vers moi

— o... ok je vais lui montrer

Il se redressa pour poursuivre ce qu'il avait commencé

— oui s'il te plaît sinon il va vraiment commencer à m'agacer, je sens que ça va barder

Je ne pouvais m'empêcher de contempler son corps tout en devinant les mouvements de son sexe à travers son caleçon aux motifs écossais.

Gilles passa la main sur son caleçon, se gratta les couilles, puis releva son bras pour continuer de border le lit de Franck. Cela eu pour effet de rehausser le bas de son caleçon. Je pouvais maintenant apercevoir son gland recouvert d’une peau légèrement fripée. un intense frisson me parcouru l'échine.

Je ne perdais pas une miette du spectacle car je savais qu'il serait bref et qu'il me restait peu de temps pour en profiter.

— décidément tu ne t'en remets pas, garçon

Je sursautai.

Gilles me voyait grâce à l’espace entre le matelas et le rebord du lit. Je découvrais ses yeux ténébreux me guettant à travers les lattes du lit supérieur. Je tremblai d'effroi.

— c'est si étonnant de voir une bite ? toi aussi tu en as une entre les jambe, non?

— bien sûr, dis-je brusquement sur un ton insolent en baissant la tête. J'étais vexé et honteux.

— Te vexe pas, j'dirais rien aux autres, même si ça me fait bien rire. Peut-être que t'en as jamais vu de cette taille.

— ...

— Tu peux le dire hein, j'vais pas te manger. J'suis si méchant que ça ?

— ...

— Alala, ces jeunes si susceptibles aujourd'hui

— ...

— cela dit, la mienne peut être impressionnante, surtout pour un petit jeunot.

— oui

— Ah bah voilà, c'était pas si compliqué de l’avouer

—...

— Si ça t'intrigue tant que ça, tu peux la toucher tu sais

— ...

Gilles rigola à nouveau avec son rire plein d'assurance. Je n’étais pas du tout sûr d’avoir bien entendu

— elle va pas te mordre,

Submergé par les émotions qui fusaient dans tous les sens dans mon pauvre esprit tourmenté, je n'osais plus faire un mouvement.

— Ça reste entre nous mais il faut que tu de décoinces petit. que tu t'affirmes un peu. Je dis ça pour toi. C'est qu'une bite, faut pas que ça te gêne. Tu réagis pareil quand tu vois Franck à poil ?

— Je l'ai jamais vu à poil,

C’était faux

— Qu'est-ce que ça va être quand tu vas la voir alors ?

Soudain, il baissa son caleçon jusqu'au genou et sa queue apparu à nouveau à mes yeux en se balançant lourdement

— Tiens, prends-là en main, tu verras que c'est juste une bite, pas de quoi en faire un plat. Je te promets que ça restera entre nous. C'est pas tous les jours que t'auras cette chance

Je me sentais piégé. Je ne lui faisais pas confiance. J'avais peur que ce soit un piège et qu'il me foute une gifle si j'osais la toucher. Mais ne voyant aucune échappatoire face à son ton autoritaire, je finis par succomber. J'ai pris sa verge dans la paume de ma main.

Gilles ne bougeait pas.

— bah voilà c'était pas si compliqué.

Elle était douce, et lourde. J'étais submergé par les émotions. Au contact de la peau veineuse de sa bite, je laissai échapper un soupir d’excitation, mon cœur battait la chamade.

— C'est bien, maintenant tu sais c'que c'est qu'une bite,

Je continuais de l'examiner

— t'en as encore pour longtemps ? C'est pas que j'ai que ça à faire mais bon

— …

— Allez petit, maintenant on peut passer à autre chose

— ...

Voyant que je ne lâchait pas prise, Gilles se pencha pour observer mon entre jambe

— mais ?!! tu bandes gamin ??

Couvert de honte, je lâchais brusquement son sexe et me recroquevillai en lui tournant le dos :

— pas du tout, laisse-moi tranquille

J'entendis Gilles remonter son caleçon et prendre place à côté de moi sur le lit. En posant la main sur mon dos, il me dit :

— Petit, dis-moi, si c'est la première fois que ça arrive je t'en voudrais pas. Mais rassure-moi sur un point, Franck est comme toi ? Vous avez déjà fait des choses ?

— mais pas du tout, il s'est jamais rien passé. Et je vois pas de quoi tu parles, s'il te plait laisse-moi tout seul,

Je sentais les larmes monter, j'étais horrifié à l'idée d'être anormal et trop bizarre pour exister dans ce monde.

— ouf, tu me rassures. Bon écoute, je sais pas quoi te dire, mais j'imagine que c'est des choses qui arrivent.

— tu crois ?

— bien sûr, c'est sûrement une coïncidence, tu étais en train de te palucher avant que j'arrive ?

— de quoi ?

— tu te branlais ?

— non

— et là, tu bandes encore ?

— non

— fais voir

— je me tournais vers lui tout en cachant mon visage pour éviter de croiser son regard

— Plus rien en effet, tu vois, c'était juste un accident

— c'est vrai ?

— certain. Ça m'est déjà arrivé de bander dans des moments imprévus. Tu veux qu'on réessaye ? Tu verras, ça fera pas le même effet cette fois

— C'est vrai ?

— promis,

— ok juste pour vérifier alors

En restant assis, Gilles s’adossa contre le mur et baissa à nouveau son caleçon, cette fois à mi cuisse pour laisser apparaître son morceau gisant sur son bas ventre poilu,

J'avançai ma main et la posa sur son membre. Qu'il était gros... et chaud. Gilles me regarda frissonner en le prenant en main. Il ne dit rien. Un long silence s'installa.

— Alors, qu'est-ce que tu ressens cette fois

— je me sens bien

— je vois ça oui, tu as l'air plus serein. C'est bien je suis fier de toi

Le compliment de Gilles ne me laissa pas indifférent. J'avais des papillons plein le ventre. Mais cette fois il ne semblait plus s’intéresser à ma gaule

— Tu en as pour longtemps ?

Son regard avait changé, sa voix s'était légèrement adoucie.

Je tenais dans les main l'objet permettant de donner du plaisir à cet homme qui m'impressionnait et dont j'avais envie d'obtenir la reconnaissance. Je voulais tout sauf le lacher. Et puis sa taille m'impressionnait, à tel point que je me demandais si elle n'avait pas grossi au contact de ma main.

— Du coup, est-ce je peux te demander quelque chose ? Dit Gilles

Je hochais la tête en signe d'approbation. Son membre était de plus en plus imposant entre mes doigts, il commençais à durcir

— on dirait que j'ai un accident moi aussi, ce sont des choses qui arrivent, tu peux m’aider à débander?

— comment faire ?

— toi tu n'as rien à faire, c'est moi qui vais bouger,

— ok

Gilles entreprit des vas et viens avec ses hanches pour faire coulisser son sexe dans ma main qui en faisait à peine le tour.

Son sexe était si imposant et dur à présent que je devais le tenir à la verticale.

— serre un peu plus fort petit, s'il te plait

Je m'efforçais d'obéir bien qu'il me semblait impossible d'exercer une quelconque pression en voyant la taille ridicule de ma main en comparaison de cette masse de chaire chaude et épaisse.

Ses mouvements de hanche prirent un rythme régulier, la peau de son prépuce laissait apparaître son gland rose vif par intermittence. Voir son bas ventre, ses hanches puissantes et ses cuisses imposantes soulever son gros sexe pour qu’il coulisse entre mes doigts était un spectacle de tous les instants

— tu fais ça très bien, petit, dit-il sur un ton légèrement essouflé. Tu sais ce qui pourrait m'aider encore mieux ?

— non, quoi ?

— tu pourrais remplacer ta main par ta bouche, pour que ma gaule disparaisse plus vite

Je le regardais d'un air inquiet, est-ce qu'il voulait vraiment faire passer son érection comme ça ?

— allez, n'ait pas peur

Gilles passa sa main derrière ma tête pour exercer une légère pression vers le bas. Sentir sa main virile effleurer ma nuque me fit tressaillir

Je me penchais pour approcher mon visage de son sexe. Il me paraissait gigantesque vu de si près. Je fus surpris par son odeur, je n'avais jamais rien senti d’aussi bon. Comme des effluves tièdes et laiteuses . Je n'avais plus qu'une envie, celle de goûter à ce parfum enivrant.

Je donnai quelques baisers sur son gland, il était brulant, puis j'ouvris la bouche lentement pour accueillir son membre dans ma bouche en savourant chaque seconde,

À ce moment Gilles pris ma nuque avec ses deux mains et en l’espace d’une micro seconde je me retrouvai le nez enfoui dans ses poils pubiens avec son membre intégralement dans ma bouche et son gland forçant le passage de ma gorge, je tressailli de surprise

— c’est pas le tout gamin mais on a pas tout le temps devant nous, les autres vont arriver

Je ne pouvais rien dire à cause de l’encombrement dans ma cavité buccale, et puis j’étais sous le choque, tout en restant concentré sur ma respiration pour ne pas manquer d’air,

Gilles commença à faire des vas être vient. Je compris plus tard que ce qu’il me faisait s’appelait une gorge profonde, tout ça était nouveau pour moi,

Je sentais sa queue coulisser jusqu’au fond de ma gorge. Très franchement je ne me souviens pas d’avoir ressenti du plaisir à ce moment là, je ne me posais même pas la question,

— hmmmm c’est super agréable petit,

Gilles, toujours assis, ses jambes poilues bien écartées, avec ma tête entre ses cuisses massives, m’imposait son dard qu’il faisait glisser dans ma gorge. tout en maintenant ma tête empalée sur sa tige épaisse, Il appuya de nouveau sur ma nuque et commença à accompagner ses mouvements par des coups de reins violents qui me firent couiner et dégouliner de bave,

— putain c’est bon

À bout de souffle, je commençais à avoir le hoquet et ma mâchoire, peu habituée à ce genre de traitements, avait de plus en plus de mal à rester si écartée, à tel point que j’essayais de me dégager,

— reste bien en place petit, j’en ai plus pour longtemps mais va falloir que tu m’aides encore un peu, contracte ta gorge pour moi s’il te plaît

Contracter quoi ? Mais de quoi parlait-il ? sa queue avait déjà largement traversé ma gorge.

— allez vas-y contracte, fais comme si t’avalais quelque chose

À bout de force, je décidais de faire exactement ce qu’il me disait pour en finir au plus vite, je déglutis comme lorsqu’on avale de la nourriture,

— hmmm oui putain c’est exactement ça

Ses coups de rein avaient redoublé de vitesse et je ne sentais plus ma tête. Je n’en pouvais plus. Je continuais à contracter ma gorge pour lui procurer un maximum de plaisir, qu’on en finisse

— hmmm tu fais ça bien, expert du premier coup je suis impressionné

Gilles, ses mains toujours agrippées à mon cou, confondait littéralement ma gorge avec le trou d’une pelleteuse dans un chantier de construction,

— aaahhhhhh, bouge plus petit, ça vient !

Dans un râle long et retentissant, Gilles me fit comprendre qu’il était en train de se vider de probablement plusieurs giclées de sperme directement dans mon appareil digestif.

— ahhhhhh

Ses jambes se mirent à avoir des réflexes de contractions par à-coups secs mais violents qui achevaient de me démolir la mâchoire.

À ce moment Gilles relâcha un peu la pression de ses mains sur ma nuque et j’en profitais pour me dégager avec une grande inspiration : j’étais enfin libéré

— tout va bien ici ? C’était la maman de Franck qui venait à peine de rentrer

— hum, euh oui tout va bien chérie on arrive, dit Gilles tout haut avant de me glisser tout bas : nettoie moi ça, vite !

Encore essoufflé et la bouche dégoulinante d’un mélange de bave et de sperme, je m’empressai de lécher le reste du jus sur son gros gland rose tout luisant. Qu’est-ce qu’il était doux et chaud, mais la situation ne me permettait pas de m’éterniser,

Une fois nettoyé, Gilles rangea son engin et enfila son caleçon en vitesse en se dirigeant vers le salon

— tu m’as fait peur chéri j’ai cru qu’il y’avait eu un accident,

— ahah pas du tout, tout va bien. On a fait un peu de rangement vu que Franck nous laisse sa chambre en bazar

— en effet tu es tout transpirant, pourtant tu as pris une douche

— oh ça, oui c’est vrai qu’on a bien cravaché, n’est-ce pas petit ?

— oh oui, dis-je au loin en me précipitant dans la salle de bain pour me laver le visage,

En passant dans le couloir, je croisais qui Franck me regarda d’un air interloqué en découvrant mon visage éclaboussé de toute part. Je pense qu’il n’a pas compris, nous n’en avons pas reparlé,

J’étais encore loin de mes surprises pour ce séjour,

J’espère pouvoir vous raconter la suite prochainement.

Lito

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