Premier épisode
Saison 1 : Thomas - Chapitre 2
Le rayon de soleil, qui filtrait au fil des heures le long du corps de Thomas le réveilla quand il atteignit son visage. Il regarda son téléphone, il était 11h. Son corps nu allongé sur le côté, un genou remonté, s’était refroidi de toutes les ardeurs qui l’avaient envahi pendant la nuit.
Thomas s’assit contre la tête de lit et examina le champ de bataille.
Ses draps étaient souillés, il allait devoir les laver. De plus il nota une quantité importante de sperme séché sur sa jambe droite, son pénis et ses testicules. Il se remémora avec une certaine honte ce qu’il avait fait la veille. Pas une honte de l’avoir fait, non, une honte d’y avoir pris autant de plaisir.
Il commença par ramener le drap sur lui de peur qu’on le découvre dans cette fâcheuse posture, avant d’appeler les occupants de la maison.
— Papa ? Penny ? Dee ?
Il n’appela pas sa belle-mère Mariam, sachant que le dimanche matin elle allait toujours courir plusieurs heures. N’ayant entendu aucune réponse il jeta un nouveau coup d’œil à son portable et remarqua un message non lu de son père lui annonçant qu’ils étaient allé se rafraichir à la piscine. Il regretta de ne pas avoir pu y aller lui aussi, à la fois car ça lui aurait fait du bien mais aussi pour admirer Penny dans son bikini.
Une image de Penny et Dolph en maillot s’imposa à son esprit. Il vit les mains de la jeune fille caresser langoureusement le dos puis les fesses de Dee. Il chassa cette vision de sa tête et décida, alors qu’un début d’érection le tiraillait, qu’une douche froide lui fera lui plus grand bien.
Il ouvrit doucement la porte de sa chambre, puis celle d’en face avant d’entrer, toujours nu, dans la salle de bain.
Il actionna l’eau et la fit couler par la colonne de douche. Une fois à l’intérieur de cette grande douche à l’italienne il se laissa bercer par le son et la sensation de l’eau fraiche coulant sur tout son corps. Après cinq minutes de ce traitement Thomas commença à se savonner, il avait beaucoup de trace de sperme à faire disparaitre. Il commença par sa jambe, avant de s’attarder à ses testicules retardant le reste sachant ce qu’il allait arriver.
Il remit du gel douche dans ses mains et vint se laver les fesses. Il continua ensuite dans sa raie frottant énergiquement, de plus en plus bas.
Il admira l’effet sur son pénis, regardant l’allongement. Il vient frotter puis appuyer fort sous son anus. Puis il fit jouer les muscles de son pubis afin de remonter de plus en plus haut sa verge. Quand un dernier spasme parvint à le décalotter entièrement il s’autorisa enfin à attraper sa bite.
Quand Thomas était debout, au comble de l’excitation sa bite remontait très haut à la verticale, il n’y avait que quelques centimètres entre elle et le bas de son ventre.
Il savait que cette séance de masturbation serait moins intense que celle de cette nuit. Cette nuit il avait senti une véritable connexion, une envie qui monte progressivement dans tout son corps. Ce matin ce n’était pas le cas, il avait juste besoin de gicler, évacuer les dernières tensions résiduelles.
Il se branla énergiquement d’une main, écrasant avec force son pubis du poignet quand il redescendait sa main à la base de sa queue et malaxant le gland une demi-seconde quand il en arrivait en haut. De son autre main il agrippait ses couilles, les tirant vers le bas pour accroitre la tension dans sa bite.
Il ne tient pas longtemps répétant sans cesse dans sa tête « oui putain c’est bon, comme ça oui, humm j’adore, continue, continuuue, CONTINUUUUUE »
Il jouit dans un hoquet de plaisir. Puis par reflexe écrasa son pubis encore deux fois pour accompagner les deux giclés suivantes.
Il relâcha ses couilles et regarda sa bite retomber dessus. Elle avait perdue de sa vigueur mais resterait mi longs pendant encore dix minutes. Il avait l’habitude. Il remarqua les trainées crémeuses sur la vitre de la douche avant de faire couler l’eau dessus pour effacer toute trace de son plaisir.
Une fois sorti de la douche et habillé d’un short et d’un tee-shirt, Thomas mis ses draps dans la machine à laver du rez-de-chaussée après être descendu boire un verre de jus de fruit frais. C’est à ce moment que les nageurs arrivèrent.
— Comment va la marmotte, demanda le père de Thomas.
— J’émerge encore, répondit-il avant d’ajouter d’un air joueur, ça ira mieux avec un bon repas, à défaut d’un petit-déj.
— Ça je m‘en charge ! Annonça Dolph.
— Il n’est pas parfait, dit Pénélope avant d’embrasser son petit ami.
Ce dernier se dirigea vers la cuisine, puis remarquant la machine à laver qui tourne dans la buanderie mitoyenne s’exclama :
— Bah alors Thomas, un accident nocturne ?
Thomas ayant déjà tout prévu affirma sûr de lui :
— Si seulement, rien d’aussi honteux, juste un peu de sueur. Je vous conseille d’ailleurs de tous en faire autant, vos draps ne doivent pas sentir la rose.
Tout le monde rigola, et sur ces entre-faits Mariam rentra avant de se diriger vers sa salle de bain.
Une heure plus tard tout le monde était assis autour de la table et profita d’une bonne salade préparée par Dolph.
La journée se passa sans faits notables, Thomas plancha sur ses devoirs et à 18h le petit couple alla prendre le train pour passer la soirée en amoureux chez Dee. Ainsi ils pourront aller travailler tôt le lendemain avant de partir en déplacement. Thomas fut soulagé, il pourra aller au lycée lundi reposé.
Les deux semaines suivantes de cours auraient dû se passer normalement, Penny et Dee étaient en déplacement professionnels à Lyon, Thomas aurait dû avoir des nuits calmes et sans distraction. Il avait déjà tout prévu : devoirs, jeux vidéo et foot avec Antoine et Alexandre (ses deux meilleurs amis) peut être essayer de voir s’il avait ses chances avec Pauline (la belle blonde en face de lui en cours d’Histoire) et avancer sur son exposé de SVT avec Kevin … Mais rien ne se passa comme prévu.
Chaque jour l’image de Dolph et Penny s’imposait à lui, il les imaginait dans toutes les positions sexuelles dont il avait connaissance. Puis quand il pensait un peu trop à Pauline il se mis à imaginer Dee avec elle, la manière dont il pourrait la faire gémir. Il pensa ensuite à Mme Prieto leur sublime et pulpeuse professeur d’espagnol en train de coucher avec Dolph sur son bureau de classe. Quoi qu’il fasse où qu’il se trouve il pensait au beau Dee, il imaginait comment ce garçon à qui aucune fille ne résiste pourrait vivre les orgasmes dont il rêvait. Cependant le plus perturbant, il ne fallut pas longtemps à Thomas pour imaginer Dolph se pavaner nu devant des filles, pour les exciter, et se masturber en face d’elle. Thomas commençait petit à petit à éliminer les belles filles de ses fantasmes pour se focaliser uniquement sur le beau gosse.
Tout cela commençait à lui pourrir ses journées, il croyait revivre la troisième avec l’arrivée de Penny dans la famille. Thomas n’avait qu’un moyen de faire disparaitre ces images de sa tête pendant deux, trois heures, il devait se masturber.
Il commença à le faire n’importe où, n’importe quand. Ça arrivait pendant la nuit, dans les toilettes du lycée, dans les vestiaires, sous la douche, en pleine nature ou même en plein cours. Dès le lundi, après s’être branlé trois fois dans la nuit à la suite du départ de Penny et Dee, Thomas pris des notes dans son téléphone de ses fréquentes masturbations car il croyait que quelque chose clochait. Voilà ce qu’il écrivit :
Lundi 20 septembre :
• 1 fois le matin au réveil (après l’avoir fait 3 fois dans la nuit) [4]
• Dans le bus j’ai repensé à ma nuit et l’odeur de mon foutre, 1 fois de plus dans les toilettes en arrivant au lycée, j’ai giclé rapidement [5]
• Pauline est venu me parler, ça m’a donné envie de l’imaginer baiser avec Dolph, j’ai dû attendre d’être à la maison et je me suis vidé sous la douche [6]
Mardi 21 septembre :
• J’ai fait un rêve porno, je me souviens juste de Dee, je crois, ça m’a réveillé à 3h, me suis branlé, allongé sur le ventre, le coussin sous mon bassin [7]
• Ce midi j’en pouvais plus il fallait que ça sorte, j’ai tartiné la porte des chiottes du lycée [8]
Mercredi 22 septembre
• Ma grosse queue commençait à se voir en cours de sport ce matin, j’ai prétexté un mal de tête pour me vider dans le vestiaire. Ça sentait la sueur d’homme, sans doute proche d’une odeur de baise je suppose, ça m’a fait gicler direct [9]
Jeudi 23 septembre
• 2 fois entre minuit et 8h, je n’arrivais pas à dormir sinon [11]
• Le soir en me déshabillant dans la salle de bain je me suis vu à poil dans le miroir, la vue de mes couilles qui pendent m’a donnée envie de les vider sous la douche. Je ne m’étais jamais branlé en tirant autant sur mes burnes [12]
Vendredi 24 septembre
• J’ai réussi à tenir toute la journée mais j’ai la bite énorme, heureusement je portais un jean et pas un survêt. J’ai failli gicler quand Alexandre a mis sa main sur mon épaule pour me demander si ça allait. Une fois rentré j’ai été dans ma chambre et j’ai remonté mes jambes en l’air pour jouir comme dans le passé la bite en l’air mais je ne sais pas pourquoi au moment de l’orgasme j’ai tout envoyé dans ma gueule. Heureusement j’ai fermé la bouche [13]
Samedi 25 septembre
• La sensation et l’odeur de foutre sur mon visage m’a tellement excité que je l’ai refait 4 fois dans la nuit. Une fois allongé sur le dos, une fois sur le ventre, une fois avec le drap en corde et une dernière fois dans ma gueule. J’en ai eu un peu dans la bouche cette fois … C’était bizarre [17]
Dimanche 26 septembre
• Je l’ai tellement fait samedi avant de me lever que j’ai tenu toute la journée, mes couilles étaient trop vides et j’avais mal à la bite à force. Cependant en début de soirée lors de la balade en forêt je tenais plus, je me suis vidé derrière un arbre [18]
• Avant minuit je l’ai encore fait deux fois, au début j’étais allongé sur le ventre mais j’ai fini par remonter mon cul et j’ai branlé ma bite qui pendait entre mes cuisses [20]
Lundi 27 septembre
• J’ai décidé de ne plus rien faire ! J’ai tenu toute la journée
Mardi 28 septembre
• Nuit affreuse, gaule monstrueuse mais je tiens
Mercredi 29 septembre
• Je me suis fait dispenser du cours de sport, prétextant un mal de dos sinon j’aurai eu la honte dans le vestiaire, ma bite passe son temps gonflée, prise de spasmes et des gouttes de foutre en sortent
• J’ai craqué, Mme Prieto avait mis un décolleté, j’ai imaginé Dolph la bourriner, elle couchée sur le ventre sur son bureau, lui derrière utilisant tous ses muscles pour se satisfaire. Je me suis branlé à travers la poche de mon jean, il ne m’a fallu que 4 aller-retours pour tartiner toute ma jambe. J’ai cru que le sperme n’arrêterait jamais de sortir [21]
• Me suis encore branlé deux fois avant de dormir pour être sûr de ne pas être dérangé cette nuit [23]
Jeudi 30 septembre
• Encore une fois ce matin en me levant et une fois sous la douche, comme ça la journée sera tranquille je crois [25]
Vendredi 1 octobre
• 3 fois ce matin dont une sur mon visage et une en levrette, ça fait un bien fou [28]
• J’avais mis un survêt pensant être tranquille mais j’ai encore pensé à Dolph qui se branle devant des filles, je ne pouvais pas quitter le cours de math avec une érection de cette taille, je me suis lentement branlé en pensant à Dolph qui se tripote pour faire plaisir à son harem [29]
Samedi 2 octobre
• Une fois en me levant … Penny et Dee rentrent cet aprèm … [TOTAL 30]
Nei
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