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HISTOIRE

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Rajeev...

Un étranger dans la nuit

L’histoire que je vous raconte se déroula alors que j’étais en vacances. Je me trouvais alors dans une petite bourgade située tout près de la frontière américaine où je séjournais pour quelques jours. J’étais assis sur la grande terrasse de bois de l’auberge où je logeais. C’était une chaude nuit d’été. Une torche brûlait et sa flamme vacillante répandait une lumière douce et enveloppante. Un vent du Sud plutôt collant bruissait dans les grands arbres de la forêt qui se dressait tout autour et on entendait au loin les grillons et le coassement des grenouilles. Il se faisait tard, j’étais un peu ivre et je me dis qu’il était peut-être temps de rentrer me coucher.

Tous les clients de l’auberge avaient déserté l’endroit, enfin presque. Il ne restait là-bas qu’une personne, un homme que je n’avais pas remarqué plus tôt. Il était assis sur un banc de bois, dans une attitude pensive, les coudes sur les genoux. J’ai pensé qu’il était bourré et que ses amis venaient de la quitter.

À voir sa silhouette qui se découpait dans l’obscurité, je devinai un homme de taille moyenne, plutôt maigre mais à la belle carrure athlétique. Je le détaillai de loin, épiant ses mouvements car j’étais curieux de voir son visage. Se sentant sans doute observé, il releva la tête pour me regarder. Il le fit sans gêne aucune, me fixant de ses deux billes blanches pendant des secondes qui me parurent interminables, puis son visage sombre se fendit d’un immense sourire que je lui rendis timidement. Dans un geste généreux et un peu gauche, il me fit signe de m’approcher.

Je m’avançai vers lui, un peu excité par cette soudaine attention masculine et je dois dire… inespérée. Je n’étais plus si jeune et, même si j’avais conservé un corps de sportif, il y avait longtemps il me semble que les gens en se retournaient plus sur mon passage. Que me voulait cet homme ? Que je lui offre une bière, une cigarette ou que je lui donne des renseignements touristiques ? Quoi qu’il en soit, je n’avais rien à perdre. Je m’approchai en essayant de me donner une contenance. C’était un homme noir, sans doute métissé car il avait aussi la finesse des traits indiens. Il portait une barbe courte et un peu sauvage qui ravageait des joues creuses et une mâchoire prononcée. Il était ivre, ou sous l’effet de la drogue peut-être, mais ce qui me frappait était sa virilité assumée. Il était beau comme un voleur.

L’homme – il devait avoir entre 35 et 40 ans – me fit signe de m’asseoir à ses côtés. Il continua de me transpercer du regard, en souriant comme s’il était heureux de me voir. J’étais mal à l’aise, un peu craintif, mais diablement excité par le charisme puissant, et le parfum pénétrant qui émanait de sa personne. Il portait un short de sport assez ample qui laissait voir ses longues jambes musclées, ainsi qu’un t-shirt échancré sur le devant. Il se mit à me parler d’une voix profonde.

- Hi there, my name is Rajeev. Nice to meet you man. So what’s up tonight?

Il me tendit la main. Je souris comme un idiot, j’acceptai sa main, mais je restai debout. Il insista pour que je m’asseye en tapotant le banc. Je finis par m’exécuter. Il entreprit alors de passer sa jambe droite par-dessus le banc de sorte qu’il se trouva à califourchon, embrassant mon profil du regard, envahissant mon espace. Pendant que je lui répondais dans mon anglais approximatif, il entoura mes épaules de son bras comme on le ferait pour un ami, tout en continuant à converser. J’étais mal à l’aise. De toute évidence, j’étais moins saoul que lui, mais je le laissai faire. Il me raconta qu’il habitait New-York et qu’il était venu au Canada pendant quelques jours pour visiter sa sœur.

Quand je lui demandai ce qu’il faisait dans la vie, il me répondit sans broncher : « I’m a porn star man ». Je pouffai de rire et il rigola de ma réaction. Ce gars avait assurément le sens de l’humour.

Il me posa des tas de questions car il voulait apprendre des rudiments de français. La conversation était assez amusante. Il avait toujours sa main posée sur mon épaule, et comme je ne protestais pas, il la laissa glisser affectueusement sur mon dos. Je me surpris à lâcher un mmm de contentement.

Son entrejambe me faisait envie et, puisque son visage se trouvait à quelques centimètres du mien, je sentais son haleine et admirais ses lèvres charnues envahies par sa barbe. J’avais envie d’embrasser cette bouche et de toucher ce corps mais je n’en fis rien. Lui avait pourtant déposé sa main pesante sur mon genou.

J’étais tendu et excité à la fois. Se comportait-il en ami ou était-il en train de me draguer ? Ma raison penchait pour la seconde hypothèse, mais en même temps, j’avais peur de me tromper et de créer un malentendu. Pourquoi serait-il intéressé à moi, me disais-je ? Je choisis de rester méfiant.

L’auberge était fermée à cette heure et le seul membre du personnel qui travaillait encore se trouvait à la réception, à l’autre bout du bâtiment principal. Nous étions mon nouvel ami et moi pour ainsi dire tout seuls, avec pour uniques compagnons la lueur blafarde de la torche, le silence de la forêt et cette chaleur étouffante et sensuelle.

Pendant que je répondais stupidement à ses questions, il s’approcha encore de moi et me parlait presque en chuchotant. La proximité de son corps incendiait le mien. La tension devint vite insoutenable. Il y a eu un moment de silence. Il sentit mon malaise, me regarda dans les yeux, s’empara calmement de ma main et la guida sous son t-shirt. Puis il sourit. Il n’y avait plus de doute possible.

Son corps était ferme et sa peau avait la texture du cuir. J’entrepris de lui caresser les mamelons et le torse. Il geignit doucement. Puis il me prit le visage et se pencha pour m’embrasser. Il commença par lécher et mordiller mes lèvres tendrement, puis à enfoncer doucement sa grosse langue rose dans ma bouche. J’étais aux anges.

Spontanément, il enleva son t-shirt. Son torse brun était finement découpé et portait de nombreux tatouages. Ciel qu’il était beau ! Il se leva, ce qui me donnait le loisir de toucher ses cuisses puissantes. C’est à ce moment-là que je m’aperçus un renflement qui déformait son short et qui courait tout le long de sa cuisse. J’étais ému. Clairement, son sexe était de taille et il était libre sous son vêtement. Je commençai à croire qu’il exerçait vraiment le métier d’acteur porno. Il voulut enlever son vêtement. Je le retins. Rien ne pressait.

J’aime voir les grosses queues émerger des pantalons ou surgir d’un slip. C’est insolite et envoûtant. Je continuai à l’embrasser et à lui caresser les cuisses quand ma main heurta son membre. J’avais trop envie de tripoter ce gros morceau par-dessus la toile fine de son vêtement, puis de lentement le dévoiler. Je ne pus résister plus longtemps, j’avais besoin de m’emplir les yeux.

Un engin très foncé, veineux et bien épais pendait lourdement le long de sa cuisse. Je n’avais jamais rien vu de tel. Rajeev se divertissait de mon ravissement. Je pris le gros machin dans mes deux mains pour le tâter. Il avait la texture du caoutchouc. Son odeur musquée emplissait mes narines. Même s’il n’était pas en complète érection, il devait faire déjà plus de 20 cm. Je fis glisser ma langue dessus sur toute sa longueur.

Rajeev était maintenant nu comme un ver sur la terrasse, le bassin avancé et la hampe bien droite, comme en état d’apesanteur. Je jetai un regarde autour de moi pour m’assurer que personne ne nous observait.

De sa main d’homme, Rajeev s’empara de son instrument du diable et me le passa effrontément sur le front, sur les joues, sur les paupières. Je sentis une traînée de liquide pré-séminal sur la commissure de mes lèvres. Son gros gourdin me frappa la bouche pour m’ordonner de l’ouvrir puis il s’y enfonça. Il était le maître, assurément, et il allait me dicter la suite.

Sans se presser, il me fourrait le visage en me tenant la tête. Je sentais grossir sa verge dans ma bouche et Rajeev m’encourageait de sa voix caverneuse avec des « Good boy… » ou « You like that big dick eh ? ». Cela ne faisait que m’exciter davantage.

J’avais une vue magnifique sur son poil pubien, son ventre plat tendu comme une peau de tambour et son torse musculeux qui s’activaient. Puis, quand il lui semblait que ma bouche ne pouvait plus en prendre, il se retirait et me gratifiait de longs baisers juteux et salaces. Cette alternance entre pilonnage de gorge et baiser amoureux me comblait de bonheur.

Parfois il me laissait prendre son membre comme l’on prend une sucette et je lui léchais le gland en le regardant dans les yeux. Il me souriait affectueusement, me remerciant, les mains derrière la tête. D’autres fois, je tirais ma langue et il la frappait avec son bâton puissant ou encore, il m’ordonnait de bouffer ses grosses couilles et en profitait pour presser son tube tout contre mon visage et mon front. Je reniflais alors son odeur un bon coup. Avec ma main libre, je lui caressais le torse, le pubis, les fesses et ses geignements m’indiquaient que ça le rendait heureux. Nous passâmes au moins dix minutes à nous activer ainsi, moi totalement dépendant de sa bite insolente, lui prisonnier de ma bouche et de mes caresses. Mais je pressentis que Rajeev ne s’arrêterait pas là.

Il voulut me voir nu. J’étais en général assez fier de ce que la nature m’avait donné. J’ai une belle queue brune et veineuse de presque 20 cm, rien cependant de comparable à Rajeev qui en faisait au moins 5 ou 6 de plus en longueur et 2 de plus en circonférence. Je le laissai défaire ma braguette. Il était empressé. « Nice » dit-il. Aussitôt, il avala mon membre, se mit à cracher dessus et à me masturber. Nos deux queues luisaient sous la pâle lumière de la nuit. Je n’osai le dire, mais la perspective d’avoir son objet à l’intérieur de moi m’excitait et me terrorisait à la fois. Comment pourrais-je prendre cet engin surdimensionné ? Mais déjà, il tâta mes fesses et m’obligea à me tourner.

Il s’arrêta net, contemplatif. « I love little asses » souffla-t-il.

Il s’accroupit et écarta mes fesses. Il demeura un instant admiratif avant d’y engouffrer sa bouche. Penché vers l’avant, le cul bien offert, je regardais s’affairer mon partenaire à travers mes jambes entrouvertes. J’admirais ses membres bruns et musclés et surtout, ce zob improbable et libre qui tanguait entre ses cuisses. Je le voulais.

Rajeev me demanda de me coucher sur le dos ce que j’ai fait sans mot dire. Il écarta mes jambes et commença à me caresser le trou. Il était agenouillé à côté de moi et avait laissé tomber sa queue lourde dans mon cou. C’était chaud. Pendant qu’il lubrifiait mon orifice de sa main droite, il me donnait sa bite à déguster de sa main gauche. « Good boy », répétait-il. Parfois, il s’arrêtait pour me donner un baiser profond ou me lécher la gueule. J’obéissais. J’adorais. Je m’ouvrais.

Après deux minutes, Rajeev jugea que j’étais prêt. Il porta mes chevilles sur ses épaules et posa un coussin sous mes fesses. « I want to see you while I fuck you », dit-il. Il se masturba quelques secondes et sa bite sombre reprit du volume. Elle était parcourue de grosses veines et avait des airs menaçants.

Il commença alors à me pénétrer. J’anticipai la douleur et je serrai des dents. Je sentais la puissance de sa verge qui tentait de se frayer un chemin. C’était moins douloureux que je ne le pensais. « Relax » qu’il me disait. Il était doux. Il s’introduisait partiellement et très lentement puis se retirait. Après un certain temps, il s’engouffra d’un seul coup. Je poussai un cri de douleur. Il récidiva. La douleur laissa place à une autre sensation, plus douce, plus suave. Je sentis la chaleur irradiante de son pieu en moi.

« It’s so good », ne pus-je m’empêcher de soupirer. Rajeev continua de me besogner. Je remarquai ses épaules musclées et travaillantes, son torse tatoué qui allait et venait, ce sourire qui se perdait sur sa bouche et toujours, et ce regard noir qui m’électrisait. Je lui dis en anglais: « Fais tout ce que tu veux maintenant, laisse-toi aller ».

J’avais une envie irrépressible qu’il me défonce, que nous ne formions qu’un. Rajeev inséra son engin dans son entièreté et s’immobilisa. Je ne pouvais le croire. Il m’embrassa pour me remercier. Nous restâmes ainsi plusieurs secondes. De sa queue brûlante, je ressentais chaque pulsation. Il fit couler de la salive de sa bouche que j’attrapai avec plaisir. Puis il se remit à m’astiquer, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Je sentais son sexe glisser sur toute sa longueur, revenir, et ses couilles buter contre mes fesses. J’étais maintenant totalement ouvert et chacun de ses coups de bassin me rapprochait de l’orgasme. J’étais aussi dur qu’il était possible de l’être.

Rajeev immobilisa mes bras de chaque côté de ma tête et se pencha sur moi. Il voulait m’embrasser et me baiser en même temps. Il le fit d’ailleurs avec passion : il me crachait dans la bouche, me forçait à manger ses mains brutes et me fourrait sans ménagement et sans égard. J’étais son pantin, prisonnier de ses jeux de mâle dominant. Il s’amusait à sortir complètement de mon trou, me montrait son instrument scintillant sous la lumière de la nuit – il était alors d’une fulgurante beauté bestiale – puis me le donnait à nouveau. Tout ça rentrait et sortait comme dans du beurre.

J’étais comblé. Je n’en pouvais plus. Rajeev poussait des cris sourds à chacun de ses coups de reins, tous ses muscles bandés sous l’effort. Je lui répondais en me lamentant : nous étions enchaînés l’un et l’autre dans une folle escalade.

Je sentis soudain un changement de rythme, l’expansion prodigieuse de son sexe qui fut aussitôt suivie d’une formidable décharge dans mon cul. Rajeev explosait. Puis un autre coup de rein, puis un autre, et un autre encore qu’il accompagnait chaque fois d’un mugissement profond. Il se vida six fois. Dès sa troisième éjaculation, je me répandis à mon tour sans même avoir eu à me toucher, m’aspergeant le visage et le cou de grandes giclées de sperme. Je jouissais. Je tressaillais. Je m’effondrais.

Nirvana.

État de grâce.

Silence de la nuit.

Les étoiles.

Rajeev se retira. Je me suis mis alors à rire comme un fou. Rajeev fit de même et s’affala sur moi.

Puis il me tendit sa queue encore gonflée et luisante de sperme et me la donna gentiment à nettoyer. A son tour, il lécha le sperme qui recouvrait mon visage et me le rendit dans un long baiser. Je pris sa bite dans ma main, il m’entoura de ses bras et nous restâmes ainsi de longues minutes, couchés sur le dos à contempler le ciel.

Il tourna un visage souriant vers moi et dit : « In fact, I’m not a porn star». Ce sur quoi, nous éclatâmes de rire.

Le caribou

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