Naruto et Minato sont là, aux bains publics, à une heure où tout le monde est chez soi ou bien en train de travailler. Le père et le fils ne s'étant pas vus et parlé depuis bien trop longtemps déjà, Minato avait proposé à son fils de se retrouver ici, pour un moment de relaxation, en toute intimité. Assis au bord d'un bassin, ils ne portent qu'une simple serviette nouée autour de la taille. Ils viennent de s'installer l'un à côté de l'autre, et le père remarque la mine triste de son fils.
« Ça n'a pas l'air d'aller, Naruto. Quelque chose ne va pas ?
– C'est notre couple avec Sasuke, il bat de l'aile, je le sens bien.
– Ah bon ? Mais je pensais que c'était l'amour fou entre vous ?
– C'est toujours le cas, mais on n'arrive plus à supporter d'être constamment séparés à cause de nos missions. On ne se voit qu'en coups de vent ! Quand on se voit, on est épuisés. Sentimentalement, c'est vraiment éprouvant. Et je ne te parle pas de la frustration sexuelle... On en a discuté lui et moi et on a convenu que, même si c'est super dur à vivre, on irait pas pour autant se soulager avec un autre. Je suis désolé de te parler aussi crûment, mais voilà, maintenant tu sais tout.
– Ah ! je comprends mieux. Je te plains. Moi aussi j'ai connu ça, l'éloignement. Il m'arrivait de ne pas voir ta mère pendant plus d'un mois ! Et c'est vrai que le manque de sexe était également très pesant. Mais je pense que vous avez raison de rester fidèles l'un à l'autre. Un écart soulage momentanément, mais rapidement on ne fait plus que le regretter amèrement. Je sais de quoi je parle...
– Ah bon, tu as déjà trompé Maman avec une autre femme ?
– Humm oui... enfin non... Ce n'était qu'une erreur. Et puis je préfère ne pas me souvenir de cet épisode. Je vais m'en vouloir pendant longtemps après ça, ta mère va voir que quelque chose ne va pas et je serai obligé de lui inventer une histoire pour lui expliquer ce qui ne va pas. En plus, si je me mets à me remémorer ce moment-là, euh, ça risque de se voir... au niveau de la serviette quoi... Donc on va éviter hein ?
– Bah ce n'était pas une erreur si y repenser te faisait bander ! Ça devait carrément être une chouette histoire même ! Vas-y raconte !
– Nan Naruto, pas à toi, pas là... Et puis comment peux-tu t'enthousiasmer alors que j'ai causé du tort à ta mère ? Tu devrais m'en vouloir.
– Maman, elle est très heureuse avec toi, tu ne peux pas dire que tu lui causes du tort, c'est tout le contraire d'ailleurs ! Tu as visiblement toujours su lui cacher cette erreur, elle ne l'apprendra jamais ! Ce n'est pas moi qui irai lui raconter tout ça, tu peux me faire confiance, hein ! Allez quoi ! S'il te plaît ! Pense à moi qui n'ai plus du tout de vie sexuelle ces derniers temps !
– C'est gentil de dire ça, et je crois que tu n'as pas tort, alors ok je vais te raconter, mais je ne rentre pas dans les détails, hein !
– Ok !
– Bon, eh bien, c'était avant ta naissance, donc ça remonte quand même à plus de dix-neuf ans ; j'étais en mission depuis au moins trois semaines, loin de Konoha, loin de ta mère. À un moment, j'étais, tu t'en doute, vraiment à cran sexuellement, alors je me suis isolé loin de mon équipe pour me soulager à la main, enfin tu vois ce que je veux dire. Enfin bref, j'étais tranquille, au pied d'un arbre, dans la forêt, entrain de... de euh...
– De te branler !
– Oui de me branler si tu veux. Enfin je n'aime pas employer ce genre de mots-là, pas quand je parle avec mon fils.
– Rhoo ! Il n'y a pas de mal ! Même entre nous on peut appeler un chat un chat, pas besoin de se s'embêter à utiliser un langage châtié ! Justement : on est sensé se parler naturellement, sans chichi !
– Oui, bon d'accord, je me branlais, et là, il y a une jeune femme, tout juste la vingtaine je pense, de mon âge donc, qui sort de je ne sais où, et me surprend, en train de me soulager donc ! Je crois que nous étions l'un et l'autre tellement surpris que personne n'a bougé. Mais le fait est qu'au lieu de logiquement débander, j'ai continué à bander, sûrement parce que j'étais vraiment en chien comme on dit, et puis sûrement aussi, il faut le dire, parce que cette jeune femme était carrément sexy. En tout cas je n'ai pas réussi à cacher mon érection !
– Ah ouais ! Chaud ! Qu'est-ce qui s'est passé après ? Vous avez couché ensemble ?
– J'y viens, j'y viens ! Tu m'as demandé de raconter, alors je raconte ! Du coup, j'en étais au moment où on se dévisage l'un l'autre, à la fois terriblement gênés mais aussi excités. Je dois dire qu'elle était superbement proportionnée, cette femme. Ça ne m'excuse pas d'avoir trompé ta mère, mais je pense que tu vois ce que j'ai pu éprouver à ce moment-là, pas vrai ? J'imagine qu'au cours de tes missions, toi aussi tu as eu l'occasion de rencontrer des ninjas avec lesquels tu aurais volontiers coucher si tu avais été célibataire, non ?
– Oui oui, c'est vrai qu'il m'est souvent arrivé d'être déstabilisé par la beauté et le sex-appeal de plusieurs mecs à l'occasion de missions dans d'autres villages. Mais j'ai toujours réussi à dominer mon désir et à ne pas tromper Sasuke. Comment ça se fait que tu aies craqué, toi ?
– Eh bien j'ai été faible il faut croire. En tout cas, pour te la faire courte, elle s'est rapprochée de moi avec une attitude très féline ; je crois qu'en réalité elle était autant en chien que moi. Elle m'a dit de ne pas me mettre sur la défensive, qu'elle n'était pas une ennemie, qu'elle était venue cueillir et ramasser toute sortes d'herbes médicinales pour le compte de son village. Alors que j'étais encore pétrifié de stupeur et d'excitation, elle est venue s'asseoir sur mes cuisses, face à moi, a enroulé ses jambes autour de ma taille d'une manière terriblement sexy et m'a susurré à l'oreille qu'elle avait envie de sexe à présent. Elle m'a en quelques mots confié qu'elle était une quasi-esclave dans son village, assujettie à la volonté des hommes de sa famille, et qu'entre autres interdictions catégoriques qu'ils lui avaient imposées il y avait celle d'avoir des rapports sexuels avant le mariage. Seulement, elle n'était même pas encore fiancée et, de peur qu'elle ne soit répudiée ou pire, tuée pour avoir désobéi, elle s'est toujours contrainte à ne pas avoir de rapports sexuels disons ordinaires. Elle a toujours veillé à ne pas déchirer son hymen quoi. Elle me suggérait donc, en plus des préliminaires qui ne laissent pas de marques indélébiles, que je la prenne d'une autre manière, mais sans le dire clairement. Je n'avais encore jamais pratiqué ça, mais j'y avais très souvent pensé. C'était même un fantasme, je crois. Autant te dire que j'étais donc extrêmement excité. J'ai même cru à une illusion : une sublime femme inconnue vient me proposer de réaliser un pur fantasme. Je n'ai pas su résister...
– Tu as l'air de beaucoup t'en vouloir. Mais ne sois pas aussi dur avec toi-même. Maman n'a jamais rien su, donc tu ne lui as pas fait de mal. Il n'y qu'à toi que tu en fais. C'est bête. Surtout qu'à t'écouter, cette partie de jambes en l'air avait l'air géniale ! D'ailleurs tu en as pensé quoi ? Je veux dire, ça ta plus la sodo ?
– Putain je n'arrive pas à croire que je suis en train de parler de ça avec mon fils ! Pourtant, je ne sais pas pourquoi, mais ça me semble simple et évident d'en parler. Peut-être parce que jusqu'à présent j'ai gardé ça seulement pour moi. Peut-être que ça me soulage d'en parler, même si c'est avec toi. En tout cas, pour répondre à ta question très indiscrète, oui j'ai bien aimé. Et pour être tout à fait honnête, j'ai même adoré. Dommage que ta mère n'aie jamais voulu essayer... Euh non, attends oublie ce que je viens de dire hein !
– Nan mais cool hein, on se détend, tout va bien. Je ne juge pas. Ni toi, ni elle. Ce que vous faites ensemble, ça ne me regarde pas, je m'en fiche. Mais par contre, si je peux me permettre, je crois que comprends pourquoi maman n'a jamais essayé haha !
– Que veux-tu dire ?
– Euh... Comment te dire ? Hum... Je crois que la taille de ton machin a de quoi effrayer. »
Naruto a en effet eu l'occasion de voir, au cours du récit de son père, que celui-ci est très excité par son souvenir, ce qui se traduit par une érection magistrale. Elle est certes camouflée par la serviette, mais on en devine parfaitement la forme. Et quelle forme ! Le sexe de son père a tout simplement l'air énorme ! Cette vision a tout de suite fait redoubler d'intensité sa propre érection. Naruto comprend dans le même temps que si tous les deux se parlent de plus en plus crûment, c'est justement à cause de leur excitation : elle les désinhibe complètement. Un cercle vicieux !
Quant à Minato, il est surpris par la remarque de son fils et est immédiatement envahi par un sentiment ténu de gêne, mais cependant mêlé d'excitation : s'ils ont parlé jusqu'à présent d'un souvenir, de quelque chose d'extérieur à ce bain public, Naruto a d'un seul coup fait basculé le sujet de la discussion, les menant à une destination parfaitement incestueuse. Minato le sait: s'il continue à répondre aussi librement et spontanément aux questions de son fils, cela va finir par complètement déraper. Mais l'excitation qu'il a accumulée à ressasser et raconter ce fichu souvenir l'aveugle partiellement. En temps normal, il aurait évidemment mis un terme à cette discussion et serait parti, sans oublier de réprimander son fils pour son obscénité et l'indécence de ses remarques. Mais là, il est dans un état second, au comble de l'excitation. Il est même curieusement troublé : son fils n'a pas lâché son entre-jambe du regard, il semble fasciné, et tout aussi excité que lui, à en voir l'imposante bosse qui se dessine sous sa propre serviette. Il ne peut s'empêcher de continuer cette discussion interdite.
« Comment ça ? Tu veux dire que j'en ai une trop grosse haha ? » demanda-t-il, définitivement partagé entre gêne et excitation.
Naruto, qui depuis de longs instants déjà s'est perdu dans des visions érotiques inavouables à force de contempler l'impressionnante déformation de la serviette de son père, ne s'est pas rendu compte que celui-ci l'observe et voit bien ce qu'il regarde si avidement. Lorsqu'il prend conscience de la situation, le rouge lui monte aux joues, mais il ne se démonte pas pour autant. Au contraire. C'est que Naruto prend conscience qu'à cet instant précis il a envie de sexe, de sexe avec son père. Il s'avoue à lui même qu'il se voit entre autres choses lui prodiguer la meilleure fellation qu'il n'a jamais connue, lui empoignant la base du sexe d'une main, massant de l'autre ses bourses qu'il devine tout aussi impressionnantes et faisant rentrer le reste de l'engin dans sa bouche, jusqu'à le sentir buter contre le fond de sa gorge. Il n'a pas l'intention de laisser filer cette occasion parfaite d'assouvir ses désirs les plus tabous. Alors il décide de manœuvrer son père de telle manière qu'ils passent aux choses sérieuses. Et quoi de mieux que d'utiliser des mots crus et excitant pour ça ?
« Eh bien vu comment la serviette est déformée, j'ai l'impression que ta queue dépasse largement les vingt centimètres de longueur. Mais bon, tu me diras, pour ce qui est de la sodomie, c'est pas tant la longueur qui compte que la largeur : ce qui peut poser problème c'est que le trou ne soit pas assez dilaté pour que la queue rentre. Alors je ne sais pas, à toi de me dire : elle est comment ta queue ? Plutôt large ou plutôt fine ?
– Euh... Je n'en sais rien à vrai dire. Je n'ai pas d'élément de comparaison. Contrairement à toi Naruto, je n'ai pas eu l'occasion de comparer mon sexe avec celui d'autres hommes, enfin pas en état d'érection en tout cas.
– Ah bah moi je peux te le dire si elle large ou pas. Mais pour ça, faut que tu retires ta serviette.
– Hmm... Nan... Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, Naruto. Ce n'est pas bien ce que nous faisons. Un père et son fils ne devraient pas avoir ce genre de relation. Ça me pose un vrai problème de conscience, vraiment.
– Oulala ! Mais tu te poses trop de questions ! En s'en fout de la norme, de ce qu'en dirait les autres, parce que justement les autres ne sont pas à notre place, et inversement. Ce n'est pas ça qui compte. Ce qui compte, c'est nos émotions et nos envies respectives ; c'est notre capacité à assumer ensuite ce que nous avons fait ou pas fait. Moi, je sais que je vivrais dans la frustration et le regret si nous arrêtions tout ici et maintenant pour la simple raison que c'est contraire aux bonnes mœurs. Fais comme moi et continue à être spontané, à écouter ton désir. Je te signale que je te propose seulement de te donner mon avis par rapport aux dimensions de ton engin. Je veux seulement te renseigner sur les fondamentaux de la sodomie, et entre autres qu'un sexe très large peut faire très mal et même ne pas rentrer si le/la partenaire n'est pas assez excité.e et dilaté.e. Quand le sexe est fin, ça pose beaucoup moins de problème. Mais bon, en tant qu'initié, je peux te garantir que c'est quand même bien mieux quand c'est large, car même si tu es très excité et que ton trou se dilate beaucoup, tu continues à ressentir beaucoup de sensations. »
Cette dernière remarque interpelle Minato : son fils lui confie ouvertement s'être fait enculer par au moins un mec très bien membré et que ce sont justement les sexes larges qui lui donnent le plus de plaisir anal. Cette remarque lui fait surtout visualiser son fils, à quatre pattes, gémissant et haletant, en train de se faire enculer sans ménagement par son amant, Sasuke. Il ne lutte pas beaucoup et même pas du tout contre ces images lubriques, il doit bien l'admettre. Elles l'excitent encore un peu plus, si toutefois c'est possible. Il s'imagine l'imposant sexe de Sasuke rentrer et sortir de l'antre avide de son fils, laissant le trou béant à chaque fois qu'il ressort. Il voit ce sexe s'enfoncer jusqu'à la garde et entend mentalement les bourses claquer contre les fesses rebondies de Naruto. Mais après quelques instants passés à fantasmer, il se ressaisit : Naruto attend une réponse et risque de remarquer combien son excitation a fragilisé sa défense morale, combien il est proche de baisser sa garde et de se laisser emporter par son envie de sexe. Alors il fait mine de ne pas avoir relevé cette dernière remarque et rebondit sur les précédentes uniquement.
« Nan mais Naruto, je ne suis pas si ignare que ça. Je sais tout ça. La seule chose que je ne comprends pas, c'est pourquoi ça a marché avec cette autre femme et pas avec Kushina...
– J'ai bien compris. Eh bien j'imagine que cette belle inconnue avait l'habitude, qu'elle n'était pas stressée, etc. Ça joue beaucoup. Moi je pense que la taille de ton machin n'aide pas à être en confiance. Je pense au contraire que ça fait stresser. Allez, enlève ta serviette que je voie si c'est bien un problème de taille. »
Minato ne sait pas pourquoi, mais il est indéniable qu'il ressent une forte envie se montrer nu à son fils, et plus précisément lui montrer son imposant service trois pièces. En fait, Minato sait très bien qu'il est monté comme un cheval, car même s'il n'a pas eu l'occasion de se comparer à d'autres hommes, ses partenaires ont quant à elles eu le loisir de le lui faire remarquer à chaque fois. S'il rentre dans le jeu de son fils, s'il fait mine d'envisager de le laisser examiner son engin pour qu'il lui donne un avis éclairant, c'est seulement parce que ce petit jeu l'excite, bien qu'il ait encore du mal à se l'avouer. Il reste quelque peu tiraillé par ce poids moral qui lui interdit d'aller plus loin avec Naruto. Seulement, les mots de son fils l'ont convaincu de lâcher prise et de se laisser aller.
Alors, pour ne pas faire les choses à moitié, il se lève, sous le regard toujours aussi fasciné de Naruto qui reste assis sur le rebord du bassin. Une fois debout, il se rapproche légèrement de son fils, de sorte que son visage soit quasiment face à son entre-jambe, proche et un peu en-dessous. Ce mouvement est à la fois intentionnel et inconscient : le père sait bien qu'en réalité c'est lui qui a le contrôle de la situation, que son fils est à ce point troublé par les promesses que fait l'énorme bosse qui déforme la serviette qu'il semble être en train de rêver, et cela excite beaucoup Minato. Son fils l'admire ostensiblement pour une fois, d'une manière bien peu conventionnelle certes, mais il s'agissait tout de même d'admiration. Aujourd'hui, il compte bien pousser le bouchon un peu loin et voir jusqu'où son fils se laissera lui montrer ses sentiments et ses émotions, lui qui d'ordinaire fait mine de ne jamais être impressionné par le hokage, par un excès de jalousie inavouée sans doute.
Minato, malicieux, commence lentement à dénouer le nœud de sa serviette, sans quitter son fils des yeux, lequel écarquille les siens à la vue des mains de son père qui s'activent à défaire le nœud. L'expression de désir intense qu'affiche son fils l'amuse et l'excite encore davantage. Mais il se contient et continue à jouer la carte de l'ignorant qui a besoin d'être renseigner par son propre fils quant aux dimensions de sa queue. Il défait enfin le nœud et laisse la serviette tomber à ses pieds. Libérée, son impressionnante érection est enfin exposée à la vue de Naruto.
Le plus jeune est tout simplement subjugué. Minato a un véritable mandrin. Les dimensions de celui-ci dépassent allègrement celles qu'il imaginait. Naruto se dit qu'un double décimètre ne suffirait même pas à le mesurer. Et sa largueur est tout aussi impressionnante que sa longueur. En fait, Naruto n'a jamais vu un sexe aussi imposant. Et pourtant, il en a vu un sacré nombre à l'époque où il n'était pas encore en couple avec Sasuke et qu'il explorait sa sexualité avec les ninjas du même bord que lui. Là, il pourrait sans problème saisir cette queue à deux mains et laisser encore un bon tiers apparent. Et que dire des bourses ! Elles sont à l'image de l'engin : larges, lourdes. Si le pubis entretenu de Minato est plutôt fourni en poils, il n'y en a que très peu en-dessous. Cela accentue encore plus le côté imposant du sexe paternel. Naruto a l'eau à la bouche, comme on dit.
Minato, de son côté voit son excitation monter encore d'un cran tandis qu'il scrute le regard avide de sexe de son fils, ses pupilles dilatées de désir, sa bouche entrouverte car terriblement désireuse d'accueillir en elle ce sexe hors normes, et enfin ces mouvements particuliers de la gorge qui trahissent une déglutition difficile, laquelle survient chaque fois que l'on se met à produire une quantité importante de salive, comme lorsqu'on est traversé par une vague de désir intense par exemple... Il a envie de voir son fils prendre l'initiative de saisir son sexe à pleines mains, de se pencher vers celui-ci afin d'y joindre les lèvres, la langue, cette salive de désir. Après tout, il s'est levé pour lui mon montrer son engin, rien de plus. S'il succombe à son envie de venir tapoter sans trop de douceur la bouche de Naruto avec son sexe, de le saisir soit par le coup soit par l'arrière de la tête – voire les deux ! – afin de guider cette dernière jusqu'à son gland turgescent puis de forcer gentiment son entrée jusqu'à ce que Naruto ait englouti son sexe jusqu'à la garde, il risque de le heurter, de briser cette excitation qui repose en partie sur l'innocence que Naruto lui prête. Alors il attend que Naruto prenne lui-même les choses en main.
À suivre...
Gribouille
gribouillecharente@gmail.com
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