Je m'appelle Gilou, 62 ans plutôt efféminé et grassouillet. Un jour ma machine à laver me lache aussi le vais à la laverie près de chez moi.
Il n'y a personne.
Je m'assied le temps que la machine tourne.
Alors entre un jeune beur, il est grand et élancé, il a un beau visage souriant, il porte une casquette, un tee-shirt et un pantalon de jogging noir. Il s'assoit près de moi après avoir mis son linge dans une machine. Il écarte ses cuisses, j'en profite pour coller ma cuisse droite contre sa cuisse gauche. Il regarde son smartphone. Je le mate et pose négligemment une main sur sa cuisse. Le jeune beur me regarde en souriant et retire ma main.
- excuse moi, je me laisse aller, dis je d'une voix émue.
- pas grave dit-il
- tu es du coin
- non je suis de passage
Le jeune beur remet son nez dans son smartphone, quand,à moi je n'ai qu'une envie, me mettre entre ses cuisses et renifler son odeur de jeune mâle viril en bonne vieille salope que je suis.
Ma machine s'arrête, je me lève, baisse légèrement mon short et me penche en avant pour récupérer mon linge. Je porte un string rose bonbon et mon short et suffisamment baisser pour qu'apparaisse le haut de mes fesses. Je tourne légèrement ma tête et constate avec plaisir que le jeune beur mate mon cul.
Une fois mes deux sacs remplis, je lui dit
- j'ai des problèmes de dos, pourrais tu m'aider à les monter chez moi, c'est tout près.
- pas de soucis
Le garçon se lève et prend mes sacs. Je l'amène chez moi le coeur battant.
Arrivé dans ma cuisine, je lui propose une bière, il accepte, je bois la mienne en léchant le goulot.
- c'est comment ton prénom ?
- Aziz
-moi c'est gilou, tu m'appelleras tantouze gilou, c'est mignon Aziz, ça te vas bien.
- tu m'a fait monter chez toi, pour me sucer la bite.
- un beau gosse comme toi, je met facilement à genoux devant lui la bouche ouverte
-tu m'a l'air d'être une bonne salope, profite j'ai les couilles pleines,
Il baisse son jogging, je m'assied sur un tabouret, embrasse son bas-ventre, caresse ses petits abdos et baisse son caleçon.
- t'es bien monté dis-je en constatant sa virilité
- fait moi bander avec ta bouche, tu verras ma belle queue, tantouze gilou
Je m'occupe de sa bite en la suçant et la branlant, je pelote ses grosses couilles, Aziz bande rapidement, il a un beau braquemart qui doit faire plus de 20 cm et en plus il est épais
Je le pompe et lève mes yeux, il me regarde le sucer en finissant sa bière.
Sa queue est trop grosse pour ma bouche, je préfère l'avoir dans le cul.
Je me redresse et lui demande de m'enculer
Je retire mon short et mon string et lui tend un tube de gel que je porte toujours sur moi au cas où.
Je m'allonge sur la table de la cuisine et écarte mes fesses avec mes mains. Aziz me doigte le cul avec le gel.
Je sens son gros gland me perforer l'anus, il me pénètre doucement, je gémis
- tu la sens ma grosse queue, vieille pédale.
- a oui, baise moi à fond
Le jeune beur m'encule avec des coups de reins saccadés, me claque les fesses, me traites de vieille salope
- t'aimes avoir une bite de rebeu dans le cul, tarlouze
- ah oui c'est bon, Aziz baise mon cul de salope
Aziz, retire sa grosse bite et me claque les fesses
- t'en veux encore des coups de bite la grosse tantouze ?
- ah oui encore
Aziz me repenetre, il me baise encore plus fort les mains appuyés sur mes épaules.
J'entends sa respiration s'accélérer, il gémis en poussant un prends ça dans le cul tantouze
Aziz se vide les couilles dans mon cul. Il se retire en envoi une dernière giclée sur mes fesses.
Il se dirige vers l'évier et se nettoie la queue. Je m'essuie les fesses et ma raie du cul avec un saupalin Nous nous reculettons.
- t'a aimé tantouze gilou ?
- oui dis je en l'embrassant sur une joue
- bon faut que je retourne à la laverie
- une autre fois peut être
- peut-être si j'ai a repasser dans le coin.
Je laisse partir ce beau jeune beur qui m'a bien baisé le cul.
Gilou
rivera.gilou@gmail.com
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