Cette histoire se passe dans le futur à la levée du confinement et des restrictions sanitaires.
L'histoire est écrite à 2 mains : Alain et Bruno.
Alain :
Suite à mes précédentes histoires sur Cyrillo (entre autres: le fils de mes amis, le cycliste au bord de la route, plan lycra etc..), un mec me contacte me disant qu'il a les mêmes goûts que moi en matière de lycra.
On s'échange de nombreux messages, photos, je m'aperçois que nous avons pas mal de points communs entre Bruno (c'est son nom) et moi.
Le problème : il vit en région parisienne et moi dans les Alpes-Maritimes.
Je me dis toutefois que je pourrai rapidement le rencontrer lorsque je monte pour mon travail... Hélas, le confinement, les restrictions, je suis resté bloqué chez moi pendant des mois. J'ai même complètement abandonné l'idée.
Nous échangeons souvent avec Bruno mais je me dis que ça risque de rester un fantasme.
Mais un jour, mon chef me demande de participer à une réunion à Paris en présentiel.
Je me dis que ma chance est peut-être au rendez-vous.
Je dois partir la veille car la réunion se déroule tôt le matin, et revenir en fin de journée.
Je préviens Bruno de ma venue, le service voyage m'a réservé un hôtel à la défense, pas folichon pour visiter mais je n'y vais pas pour ça !
Le jour venu, je file à l'aéroport, puis rejoins mon hôtel vers 17H30, j'en ai profité pour commander une tenue Cofidis avec un sublime cuissard rouge. Je me faire livrer à l'hôtel pour plus de discrétion...
Nous nous sommes donné rendez-vous à 18H30, j'ai le temps de me préparer : je prends une bonne douche, puis je passe ma tenue, bon j'avoue à chaque fois que j'enfile une nouvelle tenue lycra j'ai une trique d'enfer, je trouve qu'elle est parfaite mais il faut que je me soulage... Je me lance dans une bonne branlette, puis je repars sous la douche et repasse ma tenue.
Bruno :
Ça y est le jour J est arrivé. Après des mois d’attente je vais enfin rencontrer Alain.
J’ai l’impression de le connaître déjà tant nous avons échangé depuis que je l’ai contacté grâce à Cyrillo.
J’avais en effet complètement craqué sur l’Histoire parue il y a quelques années « le cycliste au bord de la route » que je continue à relire régulièrement quand je cherche de l’inspiration pour une bonne petite séance de branle en lycra.
Nous avons échangé pas mal de photos et je réserve une petite surprise à Alain.
En effet, connaissant son goût pour les cuissards cyclistes, je me suis mis en quête d’une tenue FDJ que j’ai dénichée sur Vinted. Je l’ai finalement trouvée chez un certain Fabrice de Lyon qui se dit cycliste mais a surtout un côté bien exhib puisqu’il met des photos des tenues qu’il vend systématiquement portées. Et chaque fois, on a droit à une photo ou on devine non seulement très bien la forme de sa queue mais également ses détails comme le gland qui ne laisse aucune place à l’imagination.
Ses fringues ayant beaucoup de succès, j’ai mis une alerte sur son profil et cette fois, c’est moi qui ai pu avoir le fameux cuissard blanc qui plaît tant à Alain.
Je quitte le boulot bien excité, passe à la douche et enfile le cuissard qui épouse parfaitement mon corps.
Ma bite pointe vers le haut et pour être un peu discret, je passe par-dessus un bas de survêtement ajusté et un sweat à capuche.
Je prends quelques tenues dont des maillots de lutte dans un sac de sport et saute dans le métro direction La Défense pour retrouver Alain.
Alain:
J'attends Bruno, mon érection ne tombe pas tellement j'ai fantasmé ce moment.
Certes, j'ai eu des plans lycra avec pas mal de mecs mais jamais je n'avais trouvé un mec qui partage à ce point ce trip.
On tape à la porte. J'ouvre : le voilà !
Un mec bien bâti avec un jogging et une capuche, en entrant, il retire sa capuche, il est vraiment mieux qu'en photo !
Je me dis, je vais lui faire le grand jeu !
Je le fais entrer et je me jette immédiatement à ses pieds, je fais glisser le jogging qui glisse très bien sur le lycra et là, le choc ! Il a acheté ma tenue préférée : la FDJ blanche. Sa queue est tendue vers le haut et déforme le lycra tant elle est tendue, une petite tâche de mouille démontre qu'il doit être aussi excité que moi 😉
Je le pousse sur le lit et me mets au travail.
Je commence à lécher sa queue en commençant de la base : ma langue longe sa hampe, Bruno gémit. Je me trouve maintenant sur son gland, j'en parcours tous les replis, ma langue entre partout où elle peut, j'aspire le gland au travers du lycra. Bruno respire fort.
J'attrape sa queue tout en aspirant le gland, je salive beaucoup, la sensation est agréable.
Je le branle au travers du lycra tout en léchant aussi fort que je peux.
Au bout de quelques minutes, Bruno me dit qu'il va tout lâcher mais je continue, je frotte mes lèvres, ma langue, mes mains, et soudain, Bruno jouit dans un râle, je sens sa queue qui envoie de nombreux jets de sperme.
Je lâche alors l'objet de mes fantasmes mais je suis dans un état second, ma queue est douloureuse tant elle est tendue...
Bruno:
Dans le métro vers la Défense, j’ai du mal à contenir mon excitation. Moi l’avocat à la quarantaine bien tassée, Specialisé en procédures rébarbatives, je vais enfin rencontrer Alain, même âge et consultant de haut vol en informatique.
Sauf que la ce qui nous rapproche, c’est le fétichisme du lycra et tout le reste ne compte plus.
J’arrive à l’hôtel, je fais un peu tache en tenue de sport au milieu de ces cadres proprets de passage à La Défense, et monte direct à la chambre dont Alain m’a indiqué le numero.
Un peu nerveux mais toujours complètement tendu de la bite, je frappe à la porte et quand elle s’ouvre, j’ai 2 bonnes surprises :
D’abord Alain est aussi beau mec que je l’espérais : D’un gabarit comparable au mien, j’adore sa gueule virile, qui me fait penser à un médecin pompier avec ses cheveux bien courts.
Son corps est bien proportionné et hâlé grâce à la pratique régulière du vélo dans le sud.
Ensuite il porte une tenue de cycliste et pas n’importe laquelle : une COFIDIS rouge qui moule parfaitement chaque détail de son anatomie. Alain m’avait pourtant dit qu’il n’avait plus de matos du fait des soupçons que cela avait fini par éveiller chez lui, et il a eu la super idée de se faire livrer ce petit bijou à l’hôtel.
J’ai à peine le temps de m’attarder sur ses cuisses musclées et poilues dont le bronzage contraste avec les jambes du cuissard, et surtout la magnifique protubérance qui déforme l’avant de façon obscène qu’Alain se jette sur mon survêtement pour le baisser et s’attaquer à ma bite qui n’en peut plus.
Ainsi qu’il l’a mentionné, l’action de ses mains et de sa bouche sur mon lycra tendu à mort me fait tellement d’effet que je ne tarde pas à cracher à travers le cycliste blanc devenu très transparent au niveau de ma queue, sous l’action combinée de ma mouille et de la salive de mon partenaire.
Alain s’attarde sur ma bite toujours prisonnière puis remonte me rouler une pelle délicieusement parfumée.
J’ai l’impression d’être un éjaculateur précoce mais n’ai aucun regret d’avoir joui aussi intensément, d’autant que je me connais et sais pouvoir rebander très rapidement.
Quant à Alain, il m’avoue que son endurance est liée au fait qu’il a pris un peu d’avance sur moi en se branlant avant mon arrivée, mais que la, il est vraiment chaud bouillant.
Mon côté taquin me pousse à le faire patienter encore un peu le temps de deviner ses désirs :
Je commence par l’effleurer un peu partout sous le lycra, sauf au niveau du sexe : ses tétons sont très sensibles sous les bretelles, son ventre ferme ondule sous mes caresses, mes lèvres parcourent ses fesses là où elles sont en contact direct avec le tissu mais ses couilles et la base de son sexe sont « protégés » par le rembourrage du cycliste, ce qui semble lui procurer une certaine frustration.
Tout en cerclant autour du bout de sa bite qui suinte d’excitation, je lui demande s’il souhaite conserver sa tenue, ou passer un des maillots de lutte que j’ai apportés et qui allient l’indécence du lycra à l’absence de rembourrage...
Alain :
Bruno me propose de passer une des tenues qu’il a amenées.
J’accepte avec plaisir. Je bande toujours autant, après qu’on ait tous les 2 abandonné nos tenues cyclistes, nous sommes tous 2 à poil la queue levée vers le ciel par l’excitation.
Je m’approche de lui, me colle contre son corps et lui roule une pelle d’enfer, je prends nos 2 queues en main et commence à nous branler tous les 2, oh quel pied !
J’ai du mal à me détacher de son corps, de sa bouche mais je veux essayer cette tenue.
Nous enfilons tous 2 ces vêtements si fins et moulants.
Je propose à Bruno de se mettre en 69.
Je commence à lui bouffer le paquet, quelle sensation ! Je passe ma langue partout, je glisse le long de sa queue, j’attrape ses couilles, je plonge et replonge dans tous les replis de la tenue déformée par son anatomie.
Mais Bruno n’est pas en reste, cet essayage, l’excitation, ma queue est en feu, il m’aspire le gland, fait jouer sa langue sur mes couilles, je lui dis que je ne vais pas tenir mais il insiste, se déchaine sur mon pieux et je lâche de nombreux jets dans la tenue...
J’ai joui comme rarement, j’ai du mal à reprendre mes esprits, mais j’ai une idée pour combler mon partenaire qui a sa queue tendue à bloc :
Comme je lui ai déjà expliqué, j’ai peu d’expérience en sodo et j’aimerais qu’un mec me prenne mais sans tomber sur un bourrin, Bruno me semble le bon candidat !
Mais j'ai envie de conjuguer mon trip lycra avec ce besoin de le voir me posséder, c’est pourquoi je lui propose de me prendre en tenue ! Ça peut paraitre bête mais c’est un fantasme que je n’ai jamais réalisé, me faire prendre en tenue cycliste.
Je repasse ma tenue COFIDIS et lui sa FDJ.
Je descends la tenue jusque mes cuisses, seules mes cuisses sont encore gainées dans le lycra, quant à Bruno, je descends sa FDJ pour laisser s’échapper sa queue raide et ses couilles.
J’en profite pour le pomper...
Puis, je lui enfile une capote et j’enduis le tout de gel.
Vu notre accoutrement, il me parait évident que la levrette s’impose, je me positionne donc à 4 pattes sur le lit et attends mon cycliste avec impatience.
Bruno s’approche et commence à me lécher, sa langue si agile me provoque des sensations inouïes, je gémis, j’ai l’impression de planer.
Puis il m’introduit un doigt ou 2, je ne me rends plus compte, j’ondule mes fesses je suis hors du temps...
Mais Bruno se décide alors à aller plus loin, il pose sa queue sur ma rondelle et pousse lentement.
Vu mon excitation et sa préparation, il n’a aucun problème à entrer et il commence donc des va et viens rapide. Je commence à être de nouveau raide.
Bruno semble expert dans le domaine, il alterne mouvements rapides et plus lents, il se retire parfois complètement...
J’en profite pour caresser ses cuisses puissantes à travers le lycra blanc de sa tenue... mais les fantasmes ont leurs limites : ma tenue et la sienne baissées limitent nos mouvements. Je lui propose alors de tout enlever avant de continuer.
J’en profite pour l’embrasser et lui dire à quel point il me fait du bien, puis je me couche sur le dos et demande à Bruno de venir, je pose mes jambes sur ses épaules et il me lime bien à fond.
A son visage, je vois qu’il prend son pied, mais de mon côté je ressens des choses que je n’avais jamais connues avant, ma queue est gorgée de sang, tendue à me faire mal et soudain, sans la toucher je jouis dans un flot saccadé de sperme.
Bruno me suit et s’écroule sur moi. Je l’entoure de mes jambes et nous nous embrassons pendant un long moment.
Bruno:
Ça y est Alain a baptisé ma tenue de lutte : on est à égalité car il vient de juter sous l’action combinée de ma bouche et de mes mains sur sa queue qui distend le tissu.
Quand il jouit, je vois son foutre qui traverse le lycra par saccades et me rue dessus pour continuer à lui bouffer la bite et goûter le jus qui en sort abondamment.
Ça sent le mâle dans la piaule, on est vraiment chaud tous les deux et je suis ravi de constater que l’éjaculation de mon partenaire ne lui a pas coupé son désir.
Au contraire, il me fait comprendre qu’il a envie d’aller plus loin, et comme nous sommes aussi obsédés l’un que l’autre par le lycra, c’est sans aucune gêne qu’il me propose de le prendre en tenue de cycliste.
Je n’ai pas débandé et le fait de réenfiler ma tenue FDJ pendant que lui remet sa Cofidis maintient mon excitation au plus haut.
Après quelques jeux de palpes branles suces entrecoupées de bonnes pelles bien profondes qui redonnent à la bite d’Alain toute sa vigueur, je baisse son cuissard à la hauteur adéquate afin d’avoir accès à son cul, que j’entreprends de bouffer sans modération.
Vu les soupirs qu’Alain fait entendre, ce traitement ne lui déplaît pas, ce qui me permet de passer au stade suivant.
Après avoir positionné mon cuissard sous mes couilles, je place Alain à 4 pattes sur le lit et prépare le terrain avec un puis 2 doigts, histoire de ne pas brusquer ce beau mâle qui ne pratique pas si souvent ce genre de pénétration.
Son cul est magnifique, serré juste ce qu’il faut et il me laisse le pénétrer, m’encourageant même à aller au plus profond en me chopant les cuisses encore gainées de lycra pour m’attirer en lui.
Malgré ma première jouissance, je sens qu’à ce rythme je ne vais pas tenir éternellement et comme je veux voir la belle gueule d’Alain quand je lâcherai tout, je le positionne sur le dos pour le reprendre bien à fond.
Le filet de mouille qui s’étale sur son ventre montre que ses soupirs ne sont pas simulés et qu’il prend vraiment son pied.
J’en recueille au bout des doigts et dépose ce nectar sur ses lèvres et les miennes avant de me pencher sur lui pour lui rouler une bonne galoche.
Je suis donc en train d’envahir sa bouche et son cul, mais n’ai nullement l’impression de le dominer : nous partageons un moment unique et rien ne pourrait nous priver du plaisir que nous prenons l’un comme l’autre.
Quand je sens que je vais venir, je prends la queue d’Alain pour la branler mais à ma grande surprise, il me chope les deux mains pour les positionner sur ses tétons, contracte le cul pour amplifier mes sensations et je vois alors sa queue décharger une bonne quantité de foutre dans des soubresauts, ce qui déclenche ma propre jouissance.
Je m’écroule alors sur mon partenaire, à qui je reste collé par le foutre de longues minutes.
Nous avons beau avoir de l’expérience, nous n’en revenons pas de cette séance de baise intense qui a duré 2 bonnes heures et nous a ouvert l’appétit.
Nous filons donc sous la douche avec l’idée de poursuivre cette bonne soirée ensemble car il n’y a aucune gêne entre nous : on a l’impression de se connaître depuis toujours et les sujets de conversation me font découvrir son humour que j’apprécie plus que tout.
Le quartier étant un peu sinistre, nous choisissons une box de sushis à partager avec quelques bières japonaises bien fraîches, que nous reportons à l’hôtel histoire d’avoir un peu d’intimité.
Au fur et à mesure de la conversation, je me laisse aller à la confidence et avoue à Alain que je ne me suis jamais fait prendre, étant bloqué de ce côté là depuis qu’un bourrin a essayé d’y aller sans ménagement.
Je vois alors une étincelle d’amusement et de curiosité s’allumer dans le regard de mon partenaire.
Alain:
Bruno m’a confié qu’il ne serait pas contre essayer de se faire prendre.
Je dois dire que je ne m’y attendais pas, il ne me l’a jamais dit. Mais j’avoue que cette idée m’obsède maintenant qu’il me l’a confiée.
Il faut dire que Bruno a un cul à faire damner un saint, rebondi musclé sans doute par une pratique soutenue du sport, il ne peut laisser indifférent, il a dû souvent déchainer les fantasmes.
Me proposer d’y entrer est un privilège, mais bon c’est surtout que j’ai une furieuse envie de me vider en lui 😉
En mangeant notre repas, nous avions tous deux remis nos tenues, lorsque Bruno se leva pour aller à la salle de bain, j’observais avec attention ses fesses moulées à la perfection par le lycra blanc de sa tenue FDJ, la lumière des spots de la chambre semblaient illuminer l’objets de mon désir, et ses fesses semblaient implorer d’être caressées.
En revenant de la salle de bain, Bruno a dû me trouver bizarre : une étincelle de désir dans les yeux, une trique monumentale dans mon lycra rouge...
Alors qu’il allait se rassoir pour finir son repas, je me précipitais contre lui, queue contre son ventre, je lui roulais une pelle tout en caressant ses fesses musclée et en frottant ma queue contre lui.
La réaction de sa queue ne se fit pas attendre, je lui proposais donc de retirer sa tenue, sa queue jaillit contre mon visage alors que j’étais à genoux pour finir son déshabillage, je le pris donc en bouche et commençais une fellation baveuse. Puis, je m’allongeais sur la moquette et je lui demandais de venir s’accroupir sur mon visage.
Je commençais par lécher ses belles boules, je repris sa queue en bouche, puis je commençais à lécher sa rondelle, humm, quel pied, Bruno ondulait sous mes coups de langue et gémissait fort. J’explorais tous les recoins de sa rondelle, je me délectais de ce moment, puis je lui demandais de se mettre à plat ventre sur le lit tout en gardant ses genoux au sol, je repris mes coups de langue mais cette fois j’accompagnais avec mes doigts, je fis entrer un premier doigt, puis 2, il n’avait pas l’habitude d’être pris mais sa rondelle me laissait facilement passer. Je pris le tube de gel et recommençais mon traitement.
Je savais que je ne tiendrais pas longtemps, je baissais donc ma tenue comme il l’avait fait tout à l’heure, juste assez pour laisser passer ma queue et mes couilles, j’enfilais à la hâte une capote puis, j’enduisais ma queue de gel.
Bruno avait été doux avec moi, je voulais faire de même, j’entrais très doucement (même si je mourrais d’envie d’entrer totalement), puis je me mis à bouger doucement, oh que c’était bon !
Mais je voulais le voir, prendre mon pied avec lui.
Il se coucha sur le dos et je rentrais de nouveau avec ses jambes sur mes épaules, j’accélérais le mouvement, Bruno se branlait en même temps.
Au bout de quelques minutes je ne pouvais plus me retenir et je giclais dans un râle tandis que Bruno éjaculait aussi.
Je m’effondrais sur lui et je l’embrassai tandis qu’il m’enserrait entre ses jambes puissantes.
Nous restâmes un bon moment à nous embrasser.
Bruno:
Et dire que je m’étais privé de ça pendant si longtemps :
Le climat de confiance qui s’est installé entre Alain et moi a fait fondre mes dernières hésitations : oui je veux qu’on soit « à égalité » ; oui je veux lui donner ce plaisir qu’il m’a donné juste avant, oui je veux bien retenter l’aventure pour lui mais aussi pour moi puisqu’apparemment il y a moyen de bien prendre son pied de ce côté-là.
J’avoue toutefois ne pas faire mon fier et il faut toute la sensualité de la bouche et des doigts d’Alain pour me préparer à recevoir son sexe qui, pour le coup, m’apparaît encore plus gros que tout à l’heure.
Mais j’ai eu raison d’avoir confiance car après une crispation de mon cul à l’introduction des premiers centimètres de sa queue, je sens la chaleur du corps d’Alain se répandre dans mon bassin de façon incroyable.
Ses mouvements, d’abord doux, se font plus amples et profonds pour notre plus grande satisfaction.
Mon plaisir déclenche des décharges d’endorphines pareilles à celles des sportifs en plein effort et cela tombe bien puisqu’Alain arbore toujours sa tenue en lycra qui participe au pied monstrueux qu’on prend tous les deux.
Mon endurance n’est cependant pas comparable à celle d’un coureur du Tour de France et je suis secrètement soulagé quand Alain me dit qu’il va jouir, et s’empare de ma bite pour me faire cracher en même temps que lui.
Il est plus de minuit, nous sommes épuisés et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, Alain me propose de rester pour la nuit.
J’accepte sa proposition avec joie et, alors que l’on se caresse en douceur en échangeant quelques mots, je tombe dans un profond sommeil. A 5h, je me réveille en me demandant où je suis et si j’ai rêvé de cette soirée.
Mais non, Alain dort encore profondément et comme je ne veux pas le déranger car je sais qu’il a une grosse journée, je m’habille en silence, emporte sa combinaison Cofidis en souvenir puisqu’il ne peut pas revenir chez lui avec et ferme la porte en douceur.
Ecrit à deux mains par:
Alain: naimarjean@hotmail.com
Bruno: etrangecreature@hotmail.fr
Fanlycra06
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