Les réseaux sociaux sont d’une efficacité, à peine le temps de s’inscrire sur un groupe et te voilà rapidement une proie. Tu affiches ta photo du jour, la plus colorée, celle qui est réchauffée par le soleil de juillet. Ton visage est resplendissant tu prends du plaisir.
Les likes arrivent comme un compteur à carburant qui avale les euros à mesure que les litres sont pompés. Et voilà. Arrivent alors les messages...
- « Beau gosse ! »
- « Très mignon ! »
- « Pas mal ! »
- « Jolie bouche ! »
- « J’espère te rencontrer un jour… ! »
- « Ça te dirait un diner en tête à tête, tu serais mon dessert… ! »
- « J’aimerais voir le reste »
- …
Arrivent alors les messages plus hard, en message privé…
- « Salut, tu veux voir ma bite ? »
- « Bonjour, j’ai envie de te sucer là tout de suite ! »
- « Coucou, montre-moi une photo de ton cul, je bande déjà ! »
- « Bon, allé, sans détour, j’aimerais te remplir ! »
Finalement, avec beaucoup de confiance en moi, j’évite la plupart des prédateurs qui ne feraient qu’une bouchée de ma petite vie tranquille. Mais j’avoue avoir pris du plaisir à lire tous ces messages remplis de tendresse même si au fond, ils reflètent l’intérêt primaire. Du cul rien que du cul.
Un message vient d’apparaître de Francisco VM : « Bonjour, comment vas-tu ? », « pas besoin de parler de cul pour faire connaissance, tu ne crois pas ? »
Francisco VM me salue et propose un échange de dialogue. Il dit ne pas être, pour l’instant, intéressé par un plan Q… Chouette, peut-être une relation pour du long terme…
Francisco est d’origine Ibérique. Il me parle de sa région natale et des soucis politiques que rencontre le pays. Très intéressant si toute fois on s’intéresse à la politique. Mais bon, ce n’est pas trop mon truc.
Je préfère lui dire tout de suite que nous pourrions nous rencontrer autour d’une table, faire un petit repas et déguster un bon vin et discuter de choses plus sympas. De soi par exemple dans un contexte drôle et apaisant surtout et pourquoi pas parler de cinéma ou tout autre sujet.
Francisco accepte et nous voilà d’accord sur le lieu. Nos horaires sont parfaits pour planifier le moment.
Le dimanche 15 août. Nous voilà en face à face chez Hélios le grec en plein centre de Bruxelles. C’est jour de fête.
Francisco aime la mer, la plongée sous-marine, les profondeurs et le poisson dans son assiette.
Moi aussi disais-je d’ailleurs, le poisson est sans détour ce que je préfère en gastronomie. La culture, la lecture et un peu la luxure ajoutais-je pour plaisanter…
Mon partenaire me faisait déjà beaucoup d’effets, Surtout après le Chardonnay tchèque bien frais servi en accompagnement… J’avais la bougeotte et Francisco me demanda ce que j’avais…
- « Mon pantalon me serre de plus en plus », et pour cause une érection généreuse en imaginant ses mains me caresser le corps.
Je répondais qu’il me fallait aller me poudrer le nez en rigolant… Je me levais et présentais mon pantalon à Francisco discrètement. Ses yeux furent régalant. Un sourire s’afficha et j’en fus enchanté. Je filais vers les toilettes sans trop me presser. Francisco emboîta le pas pour me rejoindre. Il ferma la porte à clé derrière lui et prit ma queue dans sa grande main.
Quelques secondes s’écoulèrent et son pantalon était baissé. Waou, un anaconda était dressé devant moi prêt à me défoncer. J’en n’avais jamais vu un aussi énorme, je me suis dit que je n’y arriverais pas à m’enfiler son monstre. Il me pressa de le sucer.
Avec force et détermination il attrapa ma tête et poussa son énorme gland au fond de ma bouche. Ma mâchoire venait de décrocher, ma gorge ressemblait à une oie en séance de gave…
- « Suce salope, suce bien fort ! »
Je dégustais une énorme queue. Ma bouche manquait de place et mes poumons peinaient à se remplir d’air. Mes mandibules étaient au maximum de l’ouverture.
Ses couilles étaient bien volumineuses aussi, je me dégageais vite fait pour apaiser un peu ma bouche en les léchant tendrement. Mais de courte durée. Car il reprit ma tête et enfonça son gland plus intensément. Son excitation devenait plus forte. Il allait jouir très vite, je lui faisais visiblement beaucoup d’effet aussi.
Ma gorge fut noyée par un torrent de sperme, j’avais la bouche gonflée de son jus et son gland crachait encore quelques giclées. J’avalais sa semence jusqu’à ce que plus rien ne reste pour mieux respirer, j’aspirais encore un peu son gland pour ne rien lui laisser. Il gémissait de plaisir et ne faiblissait pas. Il prit alors mon corps à la taille baissait mon pantalon et d’un coup de langue ferme fouilla mon fion déjà bien dilaté.
- « Je vais t’enculer ma belle salope, tu vas jouir et tu vas en redemander »
Son énorme anaconda mon transperça profondément. Mes yeux se sont ouverts largement comme mon fion d’ailleurs. Il avait placé sa main contre ma bouche pour éviter que je ne crie trop fort. Car oui, il était énorme. J’avais envie de crier tellement il était large et long alors que mon fion n’avait encore jamais pris un tel calibre. Des larmes coulaient de mes yeux.
Au bout de quelques minutes, mon fion a commencé à s’adapter et sa queue encore bien dure pris la cadence.
Il me défonçait le fion comme un animal, comme s’il avait été privé de sexe de longues périodes. J’aimais son ardeur, sa force avec laquelle il me serrait. C’était impossible de fuir, l’anaconda m’avait emprisonné dans ses anneaux.
Il augmenta le rythme. Plus fort et plus profond. Mon fion me surprit de le recevoir si bien malgré le fait que ce soit une première pour moi. Ses mains serrèrent mes hanches, les gémissements commencèrent à sortir de sa bouche et son foutre arriva encore à gros jets. Je reçu ainsi une seconde salve de sa semence, cette fois dans mes entrailles. Je lui demandais de me masturber, j’avais envie de lâcher mon jus.
Son gland encore bien planté en moi, je jouissais comme une salope. C’était donc vrai, j’allais en redemander.
Mon fion caressait de plaisir mon partenaire, il me baisait plus délicatement. La douceur revenait dans ses mains, la tendresse de ses baisers me rendit amoureux pour le reste de la soirée.
Il fallait juste quitter les toilettes, traverser le restaurant et faire comme si rien ne s’était passé. Nous étions encore sous l’émotion, rouge écarlate, les yeux pétillants et moi déjà amoureux.
Difficile de nous cacher. Quelques clients avaient fait marche arrière en entendant nos ébats sexuels dans les toilettes. Nous n’étions pas pointés du doigt, au contraire, c’est nous qui étions un peu mal à l’aise.
En quittant le restaurant, un homme nous a suivi de très près. Je me sentais protégé par Francisco car sa force et son énergie m’avaient impressionné lors de notre petite séance sexuelle. Néanmoins intrigué par le comportement de l’individu je priais Francisco de filer au plus vite.
Mon homme préféra s’adresser à l’inconnu directement.
- « Bonsoir cher monsieur, mon ami souhaite savoir pourquoi vous nous suivez ? »
- « Bonsoir, je voulais juste encore vous observer au cas où, comme dans les toilettes… », je m’appelle Stanis.
- « Olivier, viens voir ce garçon, il aimerait savoir si nous allons encore baiser ce soir ?»
- « Non mais c’est quoi ce mec ? »
- « Bon très bien Stanis, Olivier est d’accord, passes devant ! »
Je n’avais rien à dire finalement. Je comprenais peu à peu mon partenaire. Je suis peut-être son esclave et lui mon maître.
Francisco discutait avec Stanis durant le trajet. En voiture les kilomètres défilaient rapidement.
Je l’écoutais raconter son parcours de séducteur et son besoin de sexe insatiable. J’acceptais la situation et profitais du rôle de la soumise. En fait j’adore le sexe point.
Mon maître louait un petit appartement bien organisé dans une rue de Charleroi. Il y avait même installé quelques objets genre BSDM, croix de saint André, bâillon boule, collier, menottes, et des plugs de toutes tailles. Ça en disait long sur ce qu’il aimait.
Francisco me pria de le suivre dans la chambre. Des vêtements en latex étaient pliés dans un tiroir grand ouvert.
- « Enfile ces vêtements, ensuite tu pourras revenir dans l’autre pièce ! »
- « Oui, maître ! », je jouais le jeu sans trop me poser de question…
Le Latex me collait à la peau. Je n’avais jamais encore essayé le style, mais ça me plaisait beaucoup.
En ouvrant la porte pour aller auprès de mes partenaires, Stanis et Francisco étaient déjà dévêtus.
Francisco m’attacha les poignets et les chevilles à la croix de St-André. J’étais dos à la croix, Stanis commença par me sucer longuement. Ma queue avait disparue dans sa bouche, mes couilles allaient suivre. Aucune chance pour moi d’attraper sa tête, je dégustais une fellation royale. Il consacra sa bouche à pomper mes bourses comme je l’aime, en douceur, la langue glissante sur l’anus et le scrotum.
Pendant ce temps, mon maître était occupé sur l’anus de Stanis avec sa langue.
Stanis poursuivi ses caresses buccales tout en me pénétrant de ses doigts délicats. J’étais euphorique. Le plaisir m’envahissait le corps et l’esprit.
Francisco s’était relevé pour détacher mes chevilles et m’assoir sur un pouf moulé pour le dos. Du vrai bonheur en ce qui concerne le confort. Stanis m’écarta les jambes et sa langue me caressa le fion.
Ses lèvres chaudes me donnaient beaucoup de plaisir. Sa queue se fit grosse et droite, je senti alors son gland me traverser délicatement et le rythme des mouvements de va et vient me fit bander encore plus fort.
Francisco détacha mes poignets. Mieux installé, il me présenta son anaconda que je suçais généreusement. Ma gorge se dilatait et son gland descendait. J’avalais sa queue entièrement. La tête tirée vers l’arrière ma gorge était déployée pour recevoir au maximum.
Stanis se retira de mon trou et tous deux échangèrent leur place.
Francisco était beaucoup plus large et plus long. J’avais retenu ma respiration pour le laisser me traverser. Ensuite quelques mouvements de va et vient. J’annonçais que ma jouissance arrivait tellement j’aimais, Stanis bascula en avant. Sa queue toujours dans ma bouche, la mienne dans la sienne je jouissais par plusieurs jets pendant que Francisco me défonçait le fion.
Je senti le jus de Stanis couler dans ma gorge, Francisco partagea son foutre lui aussi entre mon fion et la bouche de Stanis qui dégustait pour la deuxième fois.
Nos émotions redescendues, Francisco se releva pour aller je ne sais où. J’avais fermé les yeux et mon corps se laissait dorloter par la chaleur des mains de Stanis. Il me tripotait encore la queue et les tétons, dans son élan, il me demanda de me retourner, son visage enfuit entre mes fesses, il dégustait mon fion longuement et j’adorais.
Mon maître avait toujours un bon Chardonnay gardé au frais, ce trio était arrivé par hasard et il fallait fêter ça, la soirée ne faisait que commencer.
Elixir DeVie
olix90@hotmail.com
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