Tout le monde a eu au moins une fois dans son milieu professionnel un patron, un chef de service, un collègue ou même un employé qui vous pourri la journée rien que de par sa présence. Bien la mienne s’appelle Caroline, elle est employée à la conta et rien que le son de sa voix me fait dresser les poils de l’échine.
Je me présente donc, François 36 ans peu sportif, je pratique un peu de natation et fais quelques pompes et abdos de temps en temps juste de quoi garder mon ventre plat. Je suis cadre dans une boîte dynamique où tout le monde se tutoie et où une à deux fois par an est organisée une journée de sortie avec les familles afin de “renforcer l’esprit de communauté en dehors du travail”.
La dernière de celle-ci fût organisée uniquement pour les adultes dans un parc d’aventure avec parcours acrobatiques genre ponts tibétains, descentes en rappel etc. La journée challenge personnel l’ont-ils appelée. Wow diriez-vous et je serais d’accord si ce n’est mon aversion maladive des hauteurs… et bien oui je souffre de vertiges.
Ne pouvant pas y renoncer je fourrais dans mon sac-à-dos un bon livre et mon mp3 avec le medley de mes groupes rock préférés pour passer le temps pendant que les autres iraient jouer à Tarzan et Jane. Me voilà au rendez-vous pour prendre l’autobus loué pour l’occasion et alors que je m’installe j’entends Caroline qui dit: «Alors François toujours seul?…»
Et Sylvie relancer: «On pourrais lui organiser une blinde date, j’ai une ou deux amies qui pourraient être intéressées…»
C’est à ce moment qu’Eric un des boss leur dit: «Vous n’avez rien compris les filles, il est très sélectif nôtre François, petit clin d’œil, et avec raison d’ailleurs.»
Les femmes ayant décidé d’occuper tout le fond de l’autobus je m’assied donc dans une des dernières places disponibles à côté du mari de Caroline, Olivier si je me rappelle, qui après un bref “salut” se reconcentre sur son portable et j’en profite donc pour parler et renouveler la connaissance avec les autres mecs.
Arrivés au parc d’aventure les groupes se forment selon le niveau du parcours qu’ils feront, il ne reste qu’Olivier et moi et c’est alors qu’Eric me lance: “François je connais ton problème mais tu pourrais au moins faire un des ponts du parcours rouge des enfants non? Après tout c’est une journée challenge!”
Après lui avoir jeter un regard assassin je prends sur moi et commence à grimper le long de l’échelle de corde qui conduit à la plateforme de laquelle part le pont de corde et planchettes de bois qui bouge dans tous les sens à peine ai-je mis le pied dessus. Je le traverse tant bien que mal sous les regards de mes collègues et c’est après être redescendu de l’arbre que j’entends Caroline: “Allez Olivier, si François l’a fait tu peux le faire aussi!”
Sous regard noir d’Olivier je me dirige vers la buvette pour ne pas être témoin de sa mortification, commande un café et un cognac pour moi et dis au barman que je paye une autre consommation comme la mienne à l’homme qui arrivera dans quelques minutes et lui décrit Olivier: grand, cheveux châtains, taille normale, veste de sport bleu roi et blanche, la sueur au front, l’air pâle. Je vais m’installer au dehors à une table le dos tourné au parcours pour enfants.
Après un bon quart d’heure Olivier arrive et sans un regard entre dans le bar, il en ressort quelques minutes plus tard et en montrant l’autre chaise me demande: «je peux…»
«Bien sûr!»
«Ah à propos, merci pour…» et il fait signe de la tête vers son verre d’alcool.
«De rien j’imaginais que t’en aurais eu besoin…»
«Ouai ben tu sais… je t’en ai assez voulu tout à l’heure»
«Pourquoi? Moi j’ai dû le faire parce que c’était un challenge, toi t’étais pas obligé de le faire, tu ne fais pas partie de la boîte.»
«Ouai mais avec Caro dans ces moments-là vaut mieux faire ce qu’elle dit…»
Je décide de changer de discours et nous parlons de sport, travail, loisir et je me rends compte qu’au contraire de sa femme Olivier m’est de plus en plus sympathique, nous décidons enfin d’aller la recherche d’un endroit où manger tranquilles et trouvons une brasserie qui entre autre produit ses propres bières
Alors qu’il passe sa commande je prends le temps de mater Olivier qui n’est pas mal du tout pour son âge (la quarantaine bien amorcée) et maintenant qu’il a enlevé sa veste il montre sous son t-shirt des épaules assez larges et un torse tout à fait correct pas trop mince, il a l’air peu poilu à part quelques poils fins sur les bras, pendant que je fais de même il se lève pour aller aux toilettes et j’ai enfin la liberté de visionner son pantalon de randonnée bien rempli par un paire fesses pas trop petites et surtout bien galbées, les jambes aussi semblent musclées mais pas trop, mon envie serait de me précipiter derrière lui mais je décide d’attendre son retour pour voir son côté face et là je ne suis pas déçu: une légère protubérance déforme la partie gauche de son pantalon alors qu’il revient vers moi, il s’assied, me fixe et moi qui avait laissé traîner mon regard un peu trop fait semblant d’être perdu dans mes pensées, non! j’étais bien perdu… Dans un fantasme.
Pendant le repas arrosé à la bière de la maison, nous continuons à parler mais nos regards se croisent de plus en plus souvent, toujours plus appuyés de ma part alors qu’il y a comme un question dans ceux d’Olivier. Quand nous en sommes au café Olivier détendu allonge ses jambes qui viennent frôler la mienne, je me déplace discrètement mais pendant que nous sommes debout à la caisse pour régler l’addition je lui dit que c’est moi qui offre et tout en tendant ma carte à la caissière je lui pose ma main dans le dos sans que cela semble le déranger.
Nous retournons lentement vers le parc d’aventure et c’est très simplement le discours revient à sa meuf.
«Tu sais François j’étais un peu prévenu envers toi...»
«Ah bon?»
«Ben oui...Caroline me parle de toi continuellement et ça commence à bien faire, elle n’arrête pas de me comparer à toi, j’ai compris qu’on n’a plus rien en commun, j’ai décidé de demander le divorce comme ça vous aurez tout le temps de mieux vous connaître…»
A ces mots la salive me vas de travers et après m’être repris je lui dit: «...non mais là t’as aucun soucis à te faire elle n’est pas du tout mon idéal! Et entre nous elle est un peu lourde sur le travail aussi... t’as bien vu ce matin avec les autres... En fait tu as toute ma compréhension puis tu es encore assez jeune pour te refaire une vie!»
«Oui je connais bien Sylvie et les autres. Et c’est justement pour ça que plutôt que de me remettre avec une femme je me fait un mec!»
Soudain il met mal son pied sur le bord de la route et je l’attrape par le bras pour l’empêcher de rouler dans le fossé et c’est alors que nous nous retrouvons dans les bras l’un de l’autre et qu’il me roule une pelle, après un premier moment de surprise je la lui rend bien, c’est presqu’un combat de langues, à celui qui y va le plus fort, un corps à corps. Je m’éloigne un peu de son visage et le regarde dans les yeux, il est un peu confus de son geste et je lui dit: «Je suis complètement à ta disposition Olivier.»
Nous nous remettons en chemin, je vois qu’Olivier boite un peu et je le convainc d’aller jusqu’au cabanon qui se trouve juste après l’entrée du parc juste pour voir l’état de sa cheville. Après avoir fait sauter le cadenas, nous entrons et je dis à Olivier de s’assoir sur la table, je m’abaisse pour lui prendre le pied en main mais il me dit que tout va bien, pour me le démontrer il enlève chaussure et chaussette, en effet il n’y a pas de bleu mais quand je remonte mon regard vers lui je m’aperçois que le devant de son fute s’est bien rempli alors je glisse ma main de la cheville vers le mollet et vois qu’il tressailli, je me relève, viens me poser tout contre son entre-jambes et abaisse la tête pour lui mordiller la lèvre inférieure puis la lui lécher.
Après avoir retenu un instant son souffle il ouvre la bouche et happe ma langue, nous nous serrons dans les bras et nos mains commencent à explorer nos bustes, les vestes et les t-shirt volent, enfin je peux voir son corps racé: le ventre plat juste un peu velu sous le nombril et autour des tétons roses foncés, pendant que je lui caresse le dos il m’embrasse le cou, le lèche et me prend par les fesses pour se frotter contre ma bite.
Je lui reprend la bouche, conduis ses main vers l’avant de mon froc et lui laisse décider si l’ouvrir ou pas, il s’exécute un peu nerveusement et met la main sur mon paquet pendant que je fais de même mais en sortant directement sa queue et commence une lente masturbation tout en soutenant son regard. Olivier fait de même par-dessus mon caleçon et lentement je me baisse à lécher puis mordre ses tétons, je continue à descendre jusqu’à remplacer ma main, qui entoure à peine son chibre déjà raide, par ma bouche.
Je lui donne de petits coups de langue sur le prépuce et le décalotte avec mes lèvres, avec un râle de plaisir Olivier s’arque vers moi et j’en profite pour lui passer pantalon et boxer en dessous de ses cuisses. Je continue alors ma fellation tout en lui malaxant doucement les brunes et en le regardant dans les yeux, il me dit: «Ouah que c’est bon... n’arrête pas!»
Olivier passe enfin sa main dans mon caleçon et m’astique avec toujours plus de conviction et moi je caresse sa jambe d’une main, déplace doucement l’autre vers le périnée et commence y tracer de petits cercles pendant que j’engouffre sa verge sur toute sa longueur et continue à le pomper puis de la pointe de ma langue je remonte suivant le parcours de ses veines pour ne sucer que son gland qui grossi et...
«Attends, je jouis!» sa première giclée m’a un peu surpris mais j’enfonce son manche à fond afin de déguster le reste sans rien en perdre. J’entends Olivier à bout de souffle et me relève pour l’embrasser et lui faire goûter son sperme «Alors tu aimes ton goût?», il me fait un beau sourire saute bas de la table me plaque à la parois et me dit: «oui mais maintenant je veux le tiens»
Il s’agenouille baisse le reste de mes vêtements sur les chevilles et viens mettre son nez sur mon pieu en pleine érection, il sort sa langue qui bien plate commence à la remonter d’entre mes testicules vers mon gland déjà retroussé et gorgé de sang, il avale les trois quarts de mon membre avant de s’étrangler, pas mal pour une première fois, et commence ses allées et venues, les mains dans ses cheveux je le caresse et lui dit que mon trip c’est qu’il aspire à fond quand il ressort mon engin de sa bouche et qu’il me passe bien la langue autour du gland, sur le frein et le méat, il apprend vite et continue pendant qu’il m’effleure l’arrière des cuisses à la limite des fesses, j’aime ça, je suis sur le point de jouir et le lui dit dans un rugissement, il continue, il veut me boire comme je l’ai fait avec lui mais n’y arrive pas aussi dès que mes jets finissent je m’agenouille contre lui et lèche tout ce qui a dégouliné du coin de ses lèvres, le long du menton, du cou jusqu’à ses pectoraux j’en profite pour le téter un peu et finir par une bonne pelle bien assaisonnée.
Après un autre baisé Olivier me dit: «J’en veux plus!»
«Moi aussi malheureusement le temps nous manque pour faire les choses convenablement pour ta première fois mais, si tu veux, je peux te donner un avant-goût.»
«Bien sûr que je veux». Je le ramène vers la table lui donne un baiser avant de le plier dessus, je lui embrasse la nuque, les épaules, toute la colonne vertébrale, je le caresse, mes mains passent sur le côté de ses fesses sur le haut de ses jambes et mes doigts vont à nouveau titiller le périnée, je sens qu’il rebande, récolte un peu de sa mouille et commence à lubrifier son nœud, Olivier halète, j’écarte ses fesses et viens lui lécher la fente tout en le palpant, quand il est bien relax je lui enfile lentement l’index, il se resserre alors je m’arrête je l’embrasse de nouveau lui caresse les fesses de mon autre main, il se détend enfin et je continue ma lente progression jusqu’à ce que le doigt soit complètement entré, au début je fais de petits vas et viens pour ensuite augmenter le rythme, lorsque je sens que l’anus s’est habitué à mon doigt j’enfile également le majeur, là Olivier se crispe je me penche à son oreille: «Respire calmement et pousse ton anus un peu vers moi.»
Je rentre et ressort les deux doigts, je les tourne pour l’élargir un peu et vais chercher sa prostate que je masse doucement en même temps je soutiens sa bite toute molle dans ma main, petit à petit elle rebande et Olivier s’essouffle, je continue , il vient à ma rencontre, il gémi me demande de le masturber mais je m’appuie sur son dos pour qu’il ne bouge pas et poursuit ma caresse jusqu’à son explosion en de grandes gerbes ponctuées par ses cris.
Pendant que nous nous rhabillons il me demande: «C’était quoi ça?»
«Le début de ce que tu pourrais avoir!»
«Alors je veux.»
Il se fait tard et nous devons rejoindre les autres à l’autobus pour rentrer, un dernier baiser nous échangeons nos numéros de tel et repartons.
A nôtre arrivée Caroline nous demande: «Alors les hommes qu’est-ce que vous avez fait de vôtre journée?»
Et pendant que je monte reprendre ma place j’entends Olivier répondre: «trois fois rien.»
Au retour alors que tous les autres échangent leurs impressions Olivier se reconnecte à son portable tandis que je m’isole avec ma musique dans les oreille si ce n’est que l’on tchat pour organiser le prochain vendredi après-midi.
C’est décidé la prochaine sortie famille organisée par la boîte, Olivier se rendra en visite chez sa mère tandis que moi je me donnerai pâle.
Quasi
quasi1@gmx.com
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