Vous montez dans votre train en direction du pays basque pour une semaine de vacances bien méritée. Vous vous êtes même offert une place en 1er en vous assurant d’avoir un fauteuil isolé. Vous vous en réjouissez.
Le train part. Vous somnolez rapidement. La nuit a été courte et le train vous berce.
Une grosse heure plus tard vous émergez. Pour constater que sur la rangée d’à côté les deux fauteuils sont occupés par un charmant jeune homme d’une petite vingtaine d'années qui dort comme un bienheureux, étendu et la main carrément dans le pantalon. Vous apercevez même la bande haute d’un charmant caleçon parachute rouge. L’ensemble est pas mal d’ailleurs. Cheveux courts châtains, petit tee shirt assez proche du corps mais pas moulant, short marron. Le tee shirt légèrement relevé laisse apercevoir un magnifique liseré de poils.
Vous êtes en train de vous demander si en vous contorsionnant un peu vous pourriez en voir plus quand le jeune homme ouvre les yeux. Vos regards se croisent. Il vous sourit. Un grand sourire coquin avec beaucoup de dents blanches. Vous lui faites un clin d’œil. Comme il a toujours la main dans son fût, il le soulève. Et vous révèle son érection tout en continuant de vous sourire.
Il se redresse avec souplesse. Se lève en prenant soin de cacher son entrejambe avec son pull qui lui servait d’oreiller de fortune. Et vous fait un signe de tête en direction des toilettes.
Vous le suivez. Entrez à sa suite dans la pièce très exiguë mais heureusement très propre.
Ni une ni deux vous vous mettez à genoux. Il dégrafe sa ceinture, enlève short et caleçon. Son sexe est long et assez fin. Mais très dur. Son torse est finement musclé et lisse. Vous lui léchez d’abord lentement la tige. Votre langue passe doucement sur la peau soyeuse de sa queue. Vous commencez à vous attarder sur son gland quand il décide de faire accélérer les choses.
Il enfonce sa queue dans votre bouche avec une certaine maladresse mais vigueur. Vous hoqueter de surprise. Il décide de ne pas vous offrir de répit et commence à faire des vas-et-vient dans votre bouche. Il a entre-temps placé vos deux mains sur ses cuisses fermes. Sa queue glisse de plus en plus dans votre bouche aidée par la salive que vous n’arrivez plus à avaler. Ses mains placées sur votre nuque vous empêchent de vous dégager même si pour rien au monde vous ne bougeriez.
Le mec continue à vous bourriner la bouche. Son gland force vos amygdales et ses couilles claquent sur votre menton. Il lâche des râles discrets de satisfaction tout en vous baisant la gorge. Vous sentez dans votre bouche le goût salé de sa mouille qui se mêle à votre salive.
Vous dégagez votre main droite pour vous branlez. Il jette un coup d’œil à votre queue. Vous fait un clin d’œil- la taille de votre sexe a toujours impressionné.
Sa mouille est de plus en plus abondante. Ses couilles sont durcies par le besoin de se vider. Il sort sa queue de votre bouche. Et après deux trois mouvements de poignets vous asperge de foutre chaud et liquide. Vous jouissez immédiatement.
Après une trentaine de secondes où il reprend son souffle, il se rhabille avec nonchalance.
D’une voix joyeuse et charmante vous dit
« je vais au wagon - bar prendre un café. Tu veux quelque chose ? «
Vous lui souriez « non c’est gentil ! D’ailleurs faut que je me nettoie un peu «
Vous vous regardez avec une certaine complicité. Vous le regardez sortir avec un petit pincement. Sa jeunesse, son insouciance, vous en êtes un peu jaloux. La vôtre est passée si rapidement.
En reprenant votre place, vous reprenez vos activités. Vous êtes étonné de ne pas voir revenir le petit jeune qui a dû s'éterniser à la voiture restauration.
Déjà on annonce l’arrivée du train à Bordeaux. Vous le voyez surgir en catastrophe. Vous comprenez qu’il doit descendre là. Il ramasse rapidement ses affaires. Un détail vous amuse. Il a mal remis son caleçon qui dépasse carrément de son short. Il se retourne vers vous une dernière fois, son sac sous Le Bras. Et vous sourit une dernière fois. Du même sourire craquant. La blancheur laiteuse de son biceps gonflé vous excite terriblement. Vous en voudriez plus de ce garçon là… Mais déjà celui-ci s’en va.
Antoine L.
saintcartblum@gmail.com
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