L’histoire qui suit a commencé lors du confinement de mars 2020 et se poursuit encore aujourd’hui. Je suis Alex, 39 ans, sportif, assez musclé, 1m82, 73kg, brun, plutôt beau gosse à ce qu’on dit. Cadre dans une entreprise, j’ai pas mal réussi ma vie.
Jeune ado, j’ai découvert les filles et aussi les mecs. Le premier était un pote, gay assumé qui, un soir de fête bien arrosée, m’a chauffé. Il m’a entraîné dans sa chambre, ce soir-là il a été passif. On s’est revu quelques fois et m’a initié à être aussi passif, j’ai pris beaucoup de plaisir ce qui m’a amené à baiser avec d’autres mecs de temps en temps. Tout ceci s’est arrêté quand j’ai rencontré ma première femme, on est resté marié 10 ans puis on a divorcé.
J’ai rencontré d’autres femmes et quelques hommes aussi, surtout un qui m’a présenté sa meilleure amie dont je suis tombé amoureux et qui est devenue ma deuxième femme depuis 2017, elle a 6 ans de plus que moi. Pour elle aussi, c’est une deuxième union, elle a eu un fils de son premier mariage, Mathis qui a aujourd’hui 21 ans.
C’est un beau gosse, viril, plutôt macho qui a toujours eu un problème avec l’autorité. L’archétype parfait du « petit con arrogant » à qui j’en aurais bien collé une mais bon ! Il n’a pas vu d’un très bon œil mon apparition dans son monde, il y a eu quelques frictions jusqu’au jour où je l’ai récupéré dans ce qui ressemblait à un quasi coma éthylique, j’imagine que quelques substances avaient été rajoutées au cocktail. Bref, après une nuit de dégrisement, une douche froide et un litre de café, il a réintégré le domicile de sa mère sans qu’elle ne sache le reste. Contre toute attente, il a eu de la reconnaissance envers moi.
On va dire, pour résumer, que les choses se sont un peu calmées. Enfin, la vérité est qu’il a pris l’habitude que je lui serve d’alibi et j’avoue avoir acheté la paix sociale comme ça.
En début d’année 2020, c’est totalement par hasard que j’ai découvert qu’il se tapait des mecs mâtures en échange de fric pour se payer ses sorties ! Ça m’a trotté dans la tête pendant quelques jours avant que je me décide de lui en parler. Comme je m’y étais attendu, il m’a renvoyé balader puis, il est revenu pour me dire de ne pas en parler à sa mère. Je lui ai dit que c’était entre nous mais que je voulais en parler sérieusement avec lui, gardant l’espoir de le raisonner.
On a discuté mais, en fait, il a contré tous mes arguments en restant sur la défensive. A un moment, il m’a dit qu’avec ma vie d’hétéro, de bourge propre sur lui, je ne pouvais pas le comprendre. J’ai voulu lui dire que je m’étais bien amusé aussi avant d’être casé… Bref, j’ai donné un coup d’épée dans l’eau !
Le confinement est donc arrivé là-dessus. Comme pour beaucoup de familles l’ont fait, nous lui avons proposé de venir se confiner à la maison, il a accepté. Ma femme travaillant dans le domaine de la santé, elle a été sur le pont dès le début. Mathis et moi restions à la maison, je télétravaillais pendant que lui glandait !
Un jour, il arrive dans la chambre reconvertie en bureau et me dit :
- « Putain, on se fait bien chier quand même ! ».
J’ai répondu :
- « Parle pour toi Mathis, t’aurais un taf, ça t’occuperait quelques heures par jour ! ».
Il est venu derrière moi, il a posé ses deux mains sur mes épaules, il a baissé son visage et m’a susurré à l’oreille :
- « Mais Alex, t’oublies que j’exerce une activité très lucrative et si agréable mais là, à part toi, je vois pas bien avec qui l’exercer ! »
Ça m’a décontenancé que ce petit con me chauffe !
- « Mais t’es malade ? laisse-moi bosser ! »
Là, ses mains m’ont caressé le torse, il a déboutonné ma chemise, m’a trituré les tétons ce qui m’a fait gémir, c’est vraiment un point très sensible et érogène chez moi. Il m’a embrassé dans le cou, a léché mon oreille, mordillé le lobe. Une de ses mains est descendue sur mon paquet, je bandais, il m’a dit :
- « Humm, T’as encore de bons réflexes ! ».
Ça m’a électrisé et fait bander encore plus fort. Il m’a caressé encore un peu puis s’est relevé, a tourné le fauteuil pour que je sois face à lui. Là, il m’a écarté les jambes et s’est glissé entre. Il portait un jean bleu délavé, un Sweat qu’il a enlevé et jeté à terre puis a dit :
- « Je te laisse t’occuper du bas ! »
J’ai caressé son torse sec, sa peau douce m’excitait, j’ai embrassé son ventre, j’ai caressé son paquet qui était dur comme de la pierre, son jean était déformé par sa gaule. J’ai défait les boutons un par un, j’ai baissé le jean sur ses cuisses, une bonne tâche de mouille s’était déjà dessinée sur son boxer gris.
- « Vas-y, nettoie bb, tu vas aimer mon odeur de mâle ! »
J’ai léché la mouille, il me caressait la tête appuyait sa queue sur ma bouche et disait :
- « Humm, t’as l’air de bien aimer ça. Tu vas pas être déçu par ce que je bais te donner ! ».
Il m’a demandé de baisser son boxer, sa queue a jailli, raide, fière, le gland rougeoyant avec une goutte de mouille qui perlait. Je me suis dit qu’il était bien monté !
- « Bifle-toi, ouvre la bouche, tire la langue et fais claquer ma queue dessus. Regarde-moi en faisant ça ! »
On s’est regardé pendant que sa queue frappait mes joues et claquait sur ma langue, il avait un regard de puissance, de défiance, de mâle alpha, j’étais envoûté. Il a penché sa tête au-dessus de la mienne puis a largué un flot de salive dans ma bouche.
- « C’est bien, t’as l’air bien soumise ! Je vais te donner du plaisir toi ! Tu bandes ? »
- « Oui ».
- « Sors ta queue, mais tu te branles pas ! »
Il a passé la main dessus, m’a serré les couilles et m’a dit :
- « Alors c’est ça qui fait jouir ma daronne ? Elle se contente de peu, toi tu vas être plus gâté qu’elle ! »
Là, il a enfilé sa queue dans ma bouche et m’a dit :
- « Parait que tu t’es amusé quand t’étais jeune, ben fais voir ce que tu faisais ! ».
J’ai commencé par le pomper mais très vite il a repris le dessus :
- « Masse mes couilles, regarde-moi quand tu me suces ! »
Il a posé ses mains derrière ma tête et, sans me prévenir, il a enfoncé sa queue sans ménagement dans ma gorge, il a appuyé sur ma tête, mon nez était dans ses poils et ses couilles sur mon menton, j’ai toussé, les larmes me sont montées aux yeux, j’ai eu des relents, j’étouffais. Il a pris une poignée de cheveux dans ses mains et s’est servii de ma bouche comme d’un sextoy, il m’a baisé la bouche sans ménagement. Sa queue ressortait, me bifflait pour bien étaler ma salive, j’en avais partout, il revenait dans ma bouche, il alternait les gorges profondes et longues avec les va et vient rapides. Je ne maîtrisais plus rien, j’étais son objet, il me souillait. Après un bon moment, je l’ai entendu pousser des râles de plus en plus forts et rapprochés, il a juste laissé son gland dans ma bouche et a éjaculé une bonne dose de sperme. Une fois vidé, il m’a dit :
- « Ouvre la bouche, fais voir ? »
Il a regardé son jus dans ma bouche, il a mollardé deux fois et m’a dit :
- « Avale ! »
J’ai avalé, il m’a demandé de me branler, j’ai vite éjaculé dans sa main, il a étalé mon jus sur mon visage puis m’a dit :
- « Lève-toi ! »
Une fois debout, il m’a fait retourner, a baissé mon pantalon et m’a dit :
- « Penche-toi en avant et écarte les cuisses ! »
Une fois dans cette position humiliante, il a dit :
- « Beau cul ! Ecarte tes fesses, je veux voir ta chatte ! »
Je l’ai fait, il a dit :
- « Pour demain, tu te rases les poils du cul et des couilles, tu te fais un lavement, demain, je fais de toi ma femelle, mon vide-couilles ! ».
Voilà comment ça a commencé !
Si l’histoire vous a plu, merci de m’envoyer un message, ça me fera plaisir et, si vous le souhaitez, je pourrais vous raconter la suite.
Alex
alex.bezaud@hotmail.com
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