D’abord une présentation physique, Aloïs, 20 ans, 1m83 pour 60 kg, plutôt mince en fait haha, la quarantaine, ça n’aide pas et j’ai de fait perdu le peu de muscles que j’avais après un an de natation, sans me lancer de fleurs je suis quand même beau gosse, on me regarde dans la rue et j’aime sentir les regards sur moi… Bref anyway depuis septembre 2019 j’habite en Angleterre parce que ras le bol de la France et surtout marre des mecs de ma région, il était temps de changer d’air, radicalement haha.
J’ai enchainé les plans pendant un an et je me suis donc dit que ce serait peut-être une bonne idée de les consigner et de les partager sur le site vu que je le lis depuis que j’ai découvert le plaisir de la masturbation. Côté sexe, je suis versa depuis peu, passif expérimenté et actif débutant. Et entre mes cuisses rien de colossal, je suis la moyenne, 15 par 5. J’en suis satisfait et mes partenaires actifs comme passifs ne s’en sont jamais plain. Côté kiff et fantasmes, je suis assez vanilla, bien que j’apprécie satisfaire un daddy sexy. 1er plan cul.
Je me rappelle parfaitement de la date, de la météo, de tout ! J’avais décidé de sauter le pas, de faire jouir une autre bite que la mienne. Juste avant de faire une douche, je lance quelques appas sur la fameuse application que tout le monde connait et je ne tarde pas à recevoir quelques messages, parmi ceux-ci, c’est celui d’un gars de 18 ans qui retient mon attention, on s’échange quelques photos et franchement, une bombe, belle gueule, abdos, bref un canon. Je réponds en me précipitant de peur que l’occasion ne m’échappe. Ni lui ni moi ne pouvions recevoir donc ma première expérience se fera à l’arrière de ma voiture au troisième sous-sol de la gare. Je le vois arriver, confiant, sur de lui, souriant, fier de se faire vider les couilles pas un puceau sans doute. Je l’invite à monter à côté de moi. Très vite il me touche la bite pour me montrer ce que je dois faire. Je l’imite. Je pose timidement ma main tremblante sur son paquet déjà bien gonflé. Dur, gorgée de sang, impatiente de rencontrer les lèvres douces et vierges qui vont la soulager, mes lèvres. Je déboutonne maladroitement les boutons de son pantalon gonflé et étirer au maximum, baisse l’élastique de son caleçon, prêt à lâcher tant la pression exercée par sa colonne de chaire d’un bon 18 par 6 était forte. Décalottée, lisse, au gland rouge vif, veines saillantes et pulsant de désir, son sexe appelait ma bouche.
Je redresse ma tête pour croiser son regard. Moi, rouge d’un mélange de peur, d’excitation, et de gêne, lui, le regard certain, déterminé et sur de lui, le sourire en coin.
Je dirige alors mon visage vers le fruit de mes désirs, tremblant d’excitation. Je pose mes lèvres vierges pour la première fois sur un sexe, un pénis, une bite, tous ces noms que je lui donne dans mes fantasmes sont en train de se concrétiser. Le contact me donne comme une décharge de plaisir, je sens mon intimité pulser, plus dure que jamais auparavant. Je n’ose pas me toucher de peur d’être maladroit. Mais lui attrape ma bite fermement, avec assurance pour appuyer sa domination et affirmer sa position d’actif supérieur, ce qui augmente encore mon niveau d’excitation. Je commence alors les premiers vas et vient dans ma cavité buccale. Ce morceau de chair remplit complètement ma bouche, ma mâchoire ouverte au maximum, j’essaie d’avaler cette verge aussi dure que le roc. J’entends le souffle de mon homme dans le creux de mon oreille, me décrivant la scène avec un vocabulaire très imagé, me décrivant la façon dont je dois vénérer son sceptre de sang, ou je dois lécher, laper, sucer, comment lui masser les couilles. Un jeune mâle plein de vigueur.
Soudain il me dit de ne plus m’arrêter, qu’il n’est plus très loin de la délivrance, que l’orgasme se rapproche. Je lui obéis alors et accélère la cadence, bien que ma mâchoire soit douloureuse de cette queue vigoureuse. Je lui consacre mes dernières forces, je le sens se contracter, Il commence à souffler comme un animal en rut. Je m’use à la tâche qui en vaut la peine puisque qu’il m’attrape la nuque, me bloque la tête sur son glaive brulant, l’enfonçant au plus profond de ma gorge et me fait gouter sa semence de mâle pour la première fois. Chaud, doux, salé, épais, autant de description que de longues secondes à savourer son nectar. Une fois bien nettoyer, il saisit la queue délaissée au plaisir de celle de mon premier mec. Il ne me faut pas longtemps avant que je jouisse de sa main experte, douce et ferme. Il m’aide à me nettoyer, me dit au revoir, et s’en va.
Je le reverrai plusieurs fois par la suite, mais ceci sera une autre histoire. Car ma vie de débauche ne fait que commencer !
PS : j’ai été acheté des chewing-gums juste après mdr
Aloïs
mr.croque.odile@gmail.com
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