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Jérèm et Yanis-1
Yanis prend donc ses marques dans les annexes sportives du Blockhaus. Les conditions d'accès ayant été acceptées, il se donne à fond dans la muscu, le MMA mais aussi ses cours du lycée. Il y a toujours un de mes escorts pour lui expliquer ce qu'il n'a pas compris en cours où pour le corriger et /ou le faire progresser. Même s'il est plus content de sa prise de muscle que de ses 2 points de mieux à sa moyenne, pour ses parents c'est l'inverse.
A la mi-octobre, je note qu'il ne s'est toujours pas laissé aller à baiser avec ses « partenaires » de muscu.
J'en discute avec Jérem qui lui aussi à bien vu que son petit frère ne reste pas indifférent devants les physiques dénudés des mecs qu'il croise. Il me confirme que sous les douches, il bande franchement. Mais tous le laissent tranquille. S'ils ne se retiennent pas pour se câliner ou même baiser sous les douches, ils ne l'invitent pas ni ne le pressent de les rejoindre.
Jérèm rit de la situation et voit bien que Yanis semble de plus en plus attiré. Mais lui aussi le laisse faire son chemin. Il est sûr que dans peu de temps son petit frère va virer Bi.
Yanis profite d'un moment où je suis seul à mon bureau. Déjà en tenue, « short ultramoulant et baskets », il débarque sans prévenir. Je lève les yeux mais les ramène aussitôt sur l'écran de mon Pc où je suis en train de formater la mise aux enchères de Killian. J'envisage des enchères mixtes puis une deuxième pour le sexe qui aura perdu la première.
Je surveille Yanis du coin de l'œil. Son regard est fixé au-dessus de moi. Le temps qu'il fasse le tour de mes escorts, j'ai terminé la mise en page. J'enregistre et m'intéresse à son cas. Il bande ferme. Son short ultracourt ne peut cacher son excitation. Un 20x6 sur un corps de 1m80 et d'à peine 60Kg ça se remarque !
Il est tout rouge quand je lui demande ce qu'il me veut. Les mots se bousculent dans sa bouche, mais je comprends qu'il voudrait passer le cap mais avec moi. Je lui fais remarquer que son frère est mon dernier mari en date. Il me répond que c'est justement lui qui lui a suggéré de se faire dépuceler par moi.
Aller comprendre comment ça marche dans le cerveau des jeunes de maintenant !!
Je lui demande de développer puisque je le croyais 100% hétéro.
Il m'explique que depuis qu'il vient s'entrainer au blockhaus, la saveur de la baise avec les meufs n'a plus le même goût. Il ne peut empêcher d'avoir dans sa tête des images de mes Escorts qui baisent. Même avec celles qu'il arrive à enculer, c'est plus pareil.
Ça, je veux bien le croire. C'est ce qui m'est arrivé aussi après que Marc m'ait dépucelé ! Sauf avec Emma mais elle, c'est ma mère(lol).
Pendant qu'il me tient son discours, je vois s'étaler une tâche humide autour de son gland. Les couleurs sombres ne peuvent cacher cela. Lui ne s'en est pas encore rendu compte. Il est grave excité !
Je me lève et contourne mon bureau. Ses yeux tombent sur mon short. Moi non plus je ne cache pas mon intérêt. Sans même qu'il soit un quasi clone de Jérèm, il m'excite grave. Je le prends par la main et l'entraine à l'étage du dessus. Post-it dans le monte-charge comme quoi l'étage est réservé/condamné jusqu'à disparition du post-it.
Il découvre la première salle de muscu transformée en baisodrome. Je le pousse debout devant le mur de glace et me place derrière lui. Nos regards se croisent dans nos reflets. Mes mains courent sur ses épaules, descendent sur ses pecs fins mais couronnés de deux beaux tétons. Elles glissent, entrainées par la pesanteur et quand elles arrivent sur son sexe, le plaquent contre moi. Le tissu de son short, élastique, lui rentre entre les fesses, poussé par ma queue. Sa tête vient naturellement se placer sur ma clavicule droite. Ma bouche se pose sur son oreille gauche. Il gémit d'un plaisir contenu. Je sens sous ma main affluer encore plus de sang dans sa queue déjà bien raide. Y'a pas à dire je lui fais de l'effet ^^
Avec beaucoup de mal j'arrive à décoller et faire glisser sous ses couilles son short AD. Sa queue libérée claque ses abdos. Question poils, il a opté pour « rien », imberbe, épilation ou rasage total. Deux jolies petites couilles collées à leur base terminent ce tableau que tous vont me jalouser !!
Une dernière fois, à voix basse dans le creux de son oreille, je lui demande si c'est bien ce qu'il veut. Il hoche la tête. Il me fixe dans les yeux. Son regard est entre fiévreux et sous psychotropes quand il me fixe dans la glace. J'empoigne son sexe. Il ferme les yeux puis les rouvre aussi vite. Sa bouche s'entrouvre et un petit halètement en sort.
Je baisse son short côté pile. Ses deux petites fesses rondes épousent ma queue verticale encore emballée. Il recule même le bassin pour mieux la sentir.
Alors que je savourerai bien encore quelques instants ce merveilleux moment, il se retourne et s'agenouille à mes pieds.
Je le laisse gérer. Après tout c'est sa première à lui !
Bras en l'air, ses mains caressent mes pecs (beaucoup plus épais que les siens), puis descendent pour arracher mon short. Ma queue le biffle alors qu'elle prend elle aussi la station verticale. Je soulève les pieds pour me désentraver. Ses mains décollent ma queue et avec du mal la positionne à l'horizontale. Il mate mon gland puis je vois sa langue pointer hors de sa bouche et venir se poser dessus. Limite une décharge électrique, tellement il y a de tension.
C'est un supplice ! Il la promène sur toute la surface hypertendue de mon gland. Je sens la libération venir quand il ouvre sa bouche et se l'enfonce dedans. Je me retiens de tout lui mettre d'un coup !! Il me travaille le gland comme s'il apprivoisait ses sensations. Lentement, très lentement ! Il enfonce ma queue jusqu'à la glotte.
Je n'en demande pas plus pour le moment même s'il en reste un bon tiers dehors. Sa langue explore toute la surface de ma tige et de mes boules comme une exploratrice un site inconnu.
Je me retiens toujours. C'en est jouissif !
Il recommence à me pomper et tente de faire passer mon gland dans sa gorge. Ça coince. Il se relève et après avoir léché mon téton vierge de piercing, fait glisser sa langue sur ma carotide puis ma mâchoire avant de me prendre dans ses bras et me rouler une pelle.
On se perd dans ce baiser. Nos bites collées, il m'embrasse vraiment bien. Les meufs doivent et les mecs vont kiffer avec ce petit mec !
Je le repousse et lui propose un 69. Il est évidement d'accord. Je m'alonge sur le dos la tête en dehors de la pile de tatami et le laisse venir. Ses genoux encadrent ma tête, je décolle sa queue toujours plaquée à son nombril et place son gland dans ma bouche. (Lol) il a vraiment la même queue que Jérèm. Ça va passer facile !
Mes mains sur ses fesses, je l'oblige à s'enfoncer dans ma bouche puis ma gorge. Il exhale un râle avant qu'il ne plonge, tête en avant, pour reprendre ma bite en bouche. Ses mains en appuis sur mes cuisses il approfondit son expérience. Sans que je le force, il tente et réussit plusieurs fois à avaler mon gland quelques secondes. Moi je n'ai pas ce problème et de mes mains fermement agrippées à ses fesses, je me défonce la gorge de son 20x6. Je dois rapidement encercler ces couilles pour qu'il ne jute pas trop vite. La légère douleur le fait revenir sur terre. On se décolle. Il pivote à 180°, me roule une pelle ou je retrouve un peu le goût de ma mouille avant de me déclarer que c'est gagné il sera bi. Il se couche sur moi et enfoui son visage dans mon cou. Je sens quelques larmes. Je le repousse à bout de bras. Ce sont bien des larmes que son sourire dédramatise.
Moi « bonheur ? »
Lui « total bonheur ! »
J'inverse nos positions. Je prends ses chevilles et les lui mets en mains avec mission de les tirer vers lui. Son cul décolle légèrement du tapis et ses fesses s'ouvrent pour me dévoiler son joyau. Je sais maintenant reconnaitre une rondelle vierge et celle que j'ai sous les yeux ne peut que l'être. Rose, imberbe, au plissé rond et bien serré, elle répond à tous les critères. J'avance ma tête, sors ma langue et vient la poser dessus. Même réaction quasi électrique que tout à l'heure.
Je me déchaine. Aux grands coups de langue à plat pour l'enduire de salive, j'alterne des tentatives de pénétrations linguo-anales. À force, Yanis se détend et j'arrive à pousser un peu de salive au-delà de 5mnm. Je vérifie, il bande toujours comme un cerf. Ses halètements prouvent qu'il apprécie les sensations.
Je recommence mon travail de mineur (piqueur dans les mines, pas ado de moins de 18ans !!). J'alterne avec des remontées pompages de bite et bouffages de couilles. Mais je reviens encore et toujours à sa rondelle vierge. Je ne sais combien de temps je l'ai travaillé mais elle a fini par céder. Ma langue, après avoir déposer sa salive sur plus d'un cm a été rejointe par mes majeurs. Un puis deux, ils se sont installés poussant toujours plus loin ma lubrification salivaire.
Remplacement par un lubrifiant plus adéquat et ils coulissent tous les deux ensembles facilement. Toujours haletant, à l'écoute de son corps, Yanis me laisse faire. Quand j'arrive à lui mettre trois doigts je sais que je peux enfin le déflorer.
J'enduis ma bite du même lubrifiant et la présente à sa rondelle. Je me couche sur lui. Les yeux dans les yeux, je commence à l'enculer. C'est fantastique de voir dans l'être que vous dépucelez toutes les variations de ses sensations.
Sous ma poussée, je sens son petit trou se déplisser et mon gland prendre la température. Il est chaud c'est certain !!
Un petit coup de rein et il se trouve tout entier dans Yanis. Réaction réflexe de contraction. Je ne bouge pas en attendant que dans sa tête il se fasse à l'idée que ça y est il est dépucelé et que dans son cul, son sphincter se formate.
Ses mains quittent les plis de ses genoux qu'il attirait vers lui pour prendre mes fesses et faire de même. Ma queue rentre lentement. Je vois dans ses yeux toute la progression de mes 20cm. Quand il cesse de nous rapprocher, pensant sans doute que je suis totalement en lui, je donne le petit coup de rein qui lui montre que non, il en restait encore un peu. Couinement, grand sourire, il attrape ma tête et l'attire pour un patin. Sa queue bandée coincée entre nos abdos prouve si besoin était qu'il apprécie cette invasion.
Je recule aussi lentement que je suis entré. Nouvelle couche de lubrifiant de part et d'autre. La deuxième pénétration est plus facile. Il me garde collé contre lui les 6/7 coups de reins suivants puis me relâche ayant besoin de plus d'air que notre pelle lui laissait le loisir d'aspirer.
Je l'attrape par le haut des cuisses et commence à le pilonner. Si nos têtes se sont éloignées, nos regards restent fixés. Sa bouche s'entrouvre et ses halètements m'excitent encore plus.
Un « levrette » interrogatif me fait changer mon angle d'attaque. Je lui mets ses jambes autour de ma taille et le soulève. Ma queue le pénètre encore plus de ses 60Kg que la pesanteur tire vers le bas. Je le pose au sol et recule. Il se place à 4 pattes, les reins cambrés et le cul relevé. Ses petites fesses rondes sont un véritable appel au viol s'il n'était consentant !
Il manifeste son impatience à se faire à nouveau défoncer la rondelle par de petits mouvements de bassin. J'immobilise ce dernier, pose mon gland sur sa rondelle et le laisse s'empaler sur ma tige. Si j'avais eu un doute, la violence du recul me l'aurait effacé. Nos bassins se tapent et sous la force ses fesses s'écartent et mes 20cm tout entiers sont dedans. Je kiffe un max. ma queue est gainée sur toute sa longueur. Mon gland ressent la compression interne ce qui le rend encore plus sensible. Yanis aussi ressent bien les effets de mon va et vient. Je lui broie les couilles encore 2 fois pour éviter qu'il ne décharge trop tôt. Masi il finit par ne plus tenir et alors que je le laboure en mode sortie totale il jute sans se toucher. Je compte pas moins de 10 spasme de sa rondelle comme autant d'éjaculation.
Mort, il s'étale enfin sur le tapis alors qu'à mon tour je jute et le dose. Je ne reste pas trop longtemps après sa jouissance et me retire pour larguer encore deux traits de sperme sur son dos.
Je me couche sur lui. Mon sperme s'écoule sur ses flancs. On reste bien 1/4h sans bouger puis je le libère de mes 90Kg. Debout je lui tends la main et le redresse. Il vient se coller à moi pour me rouler une pelle pleine de remerciements. Je le pousse jusque sous les douches et nous finissons à la bonne température dans la petite piscine/spa.
Le premier il parle.
Yanis « tu parles que quand t'as gouté à ça, les meufs c'est moins bon ! »
Moi « croit pas ça, j'ai quelques cougars qui le sont (bonnes) sauf pour la sodo évidemment ! »
Yanis « ça je m'en doute, réel j'ai kiffé te sentir en moi. Je comprends Jérèm maintenant. »
Moi « c'est que le début. Tu vas voir aux prochaines touzes. Je pense que maintenant tu ne vas plus te retenir avec les collègues de muscu ? »
Yanis « déjà que j'avais de plus en plus de mal »
Moi « oui on a vu ça Jérèm et moi ! La prochaine fois c'est toi qui m'encule. D'ici là fait toi plaise !».
Au 4ème nous retrouvons mes maris. Yanis devient tout rouge quand il pense à ce que nous venons de faire. Comme s'ils allaient me faire une scène pour l'avoir dépucelé !!
Jérèm lui fait un gros câlin et nous dinons tous ensemble avant qu'il ne rentre chez ses parents.
Sur les oreillers, je dévoile un peu le plaisir que nous avons pris à baiser ensemble ce qui nous fait glisser gentiment vers une touze matrimoniale (Marc, Ernesto, PH, Ludovic et Jérèm)
Dans les semaines qui suivent je note que Yanis s'essaye un peu à tous les styles. Il drague Dorian et Julien. S'ensuivent Sosthène et Justin puis il passe à la vitesse supérieure avec mes « petits frères ». Ces derniers, sans entrer dans les détails me disent qu'il promet. Ce sera devenu un pro pour ses 18ans!
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!
