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Une année de fou par Axel
Cette année a été spéciale à tous points de vue. Déjà, j‘en ai fini avec l’acné et mes vacances chez Mamy à Noirmoutier m’ont fait commencer l’année scolaire bien bronzé. Ajoutez à cela que ma pratique du judo et du tennis plus un peu de natation a produit ses fruits et vous avez devant vous un bo-gosse de seconde pas mal fait et avec qui la nature a été généreuse dans le slip : 18x 4.5, ce qui me place parmi les grosses bites de la classe (vu douches après l’EPS).
Une compétition de judo où j’ai battu un mec de première m’a offert mon dépucelage hétéro. Sa meuf l’avait prévenu qu’elle se taperait le mec qui le mettrait au tapis. Ça été moi !
Quand j’ai voulu faire le mec qui sait (alors que j’étais puceau mais éduqué par internet) elle m’a tout de suite expliqué comment ça allait se passer. En trois soirées, elle m’a appris à donner du plaisir aux meufs aussi bien avec mes doigts qu’avec ma bouche, ma langue et ma queue. Elle m’a enseigné à limer une chatte pour notre plaisir réciproque cette fois. Le plus zarbi dans l’histoire c’est qu’après, elle m’a fait la baiser mais devant son mec ! En me faisant faire ce qu’elle m’avait appris, elle lui a montré ce qu’elle voulait de lui. J’ai compris que le mec était plutôt bourrin et pensait plus à lui juter dedans qu’à la faire jouir.
Fort de cette expérience j’ai réussi à me faire deux des filles canons de mon cours. Mais là ça été plutôt fade. Peu de répondant, dégoutées à l’idée de me sucer la bite alors que je venais de leur bouffer la chatte jusqu’à les faire jouir, plutôt décevant. Le seul avantage ç’a été de me placer comme le mec le plus affranchi de ma classe. Rapports aux copains toujours à se branler la nouille.
J’en étais là de mes expériences nouvelles qui me rendaient plutôt fier de moi, quand Valentin est arrivé.
De suite le quartier dont il provenait a été connu. Ça plus sa petite gueule au regard affranchi et plutôt insolent, l’ont rendu intéressant. Rapports aux autres mecs de ma classe avec qui on se suit depuis la maternelle.
Quand je l’ai vu nu sous la douche, il tranchait aussi de mes potes. Alors que chez nous le poil était à l’honneur, lui avait quasiment tout rasé entre ses cheveux et son pubis aux poils taillés courts et de ses couilles à ses chevilles.
Je ne sais plus comment c’est venu mais j’ai sorti qu’il n’y avait que les gros Pd pour s’épiler pareillement. Il m’a répondu que s’il était Pd, il n’était pas gros et que ça l’empêchait pas d’en avoir une plus grosse que la mienne. Je lui ai tombé dessus mais sa réponse a été plutôt expéditive et que je me suis retrouvé allongé sur le ventre, nu sur le carrelage, son pied entre mes omoplates et mon bras droit à la verticale vrillé à la limite dépassée de la douleur. Putain de honte alors que je suis déjà ceinture noire de judo !!
Bien sûr ç’a fini dans le bureau du directeur avec Travail d’Intérêt Général à la suite.
Finalement ça me l’a rendu encore plus intéressant. Les douches à deux seulement après le rangement de la Salle de sport, nous ont encore plus rapprochées. J’ai avoué qu’il me faisait bander. Que c’était le premier mec à me faire cet effet là et il a pris l’initiative. On s’est vite retrouvé à se rouler une pelle. Bien meilleure qu’avec les meufs. Il ne m’a pas laissé le choix et m’a pompé ma queue. Direct une gorge profonde ^^ trop, trop bon ça ! Surtout vu les mijaurées que j’avais sauté et qui me suçaient avec un air dégouté !
Je n’ai pas réussi à lui rendre la pareille mais je n’ai pas hésité longtemps pour mettre son gland dans ma bouche. Mes quelques essais d’auto-fellation m’ont permis de ne pas être trop surpris par la texture de ce qui me remplissait la bouche.
Même quand on s’est fait grillé par le directeur, ça ne nous a pas arrêtés ! Val m’a vraiment cueilli ce jour-là.
Je ne sais pas ce qui m’a pris mais dès qu’il était à mes côtés, je ne pouvais retenir de le toucher. Dur de faire comme si de rien !
Dès la deuxième séance de TIG, il m’a laissé l’enculer. Là non plus rien à voir avec les chattes de meufs même presque neuves ! On tire bien plus de plaisir à limer un cul de mec. C’est plus serré et plus tonique aussi. Val n’attend pas seulement que je le lime, il vient au-devant de mes assauts, il change lui-même de position. Putain de jouissance que j’ai eu cette fois-là. Et depuis à chaque fois qu’on remet ça c’est pareil. Et même quand c’est lui qui me défonce le cul !!
Après quelques semaines à lui défoncer la rondelle, je l’ai supplié de me le faire car je voulais connaitre ce qui lui donnait tant de plaisir. Il me l’a superbement bien fait mon dépucelage. Le cul bien préparé par sa bouche, il m’a enfoncé ses 19cm doucement mais complètement. Après j’ai compris. Ses va et vient m’ont procuré un plaisir sans aucune mesure avec tout ce que j’avais connu jusque-là. Est est-ce parce que c’était lui et que c’était moi ? Mais en attendant j’ai juté pour la première fois sans me branler !
Le plaisir sans conséquence n’a duré que quelques semaines. Trop impatient et trop content de ce qui m’arrivait, j’ai fait le con et on s’est fait grillé par tous.
Convocation chez mon paternel. Je m’attendais à être engueulé, puni, enfermé mais pas à ce m’est tombé dessus : viré de chez moi, enfin de chez lui ! Mis en pension jusqu’à mon émancipation afin que je disparaisse de sa vue et d’éloigner ma mauvaise influence de mes frères et sœurs !!
Plutôt raide ce con de bigot !
Alors que j’étais plutôt sonné, Valentin a tout géré de main de maitre. J’en étais encore à me demander ce qui m’était tombé dessus, qu’il m’avait trouvé un avocat pour l’émancipation et même un toit pour me sortir de la pension. Certains terminales pensait qu’ils pourraient user de mes connaissances du plaisir entre mec pour se vider les couilles régulièrement.
C’est leurs pressions qui me fait accepter d’aller habiter chez ses amis. 1ère rencontre en terrain neutre : le bureau du directeur.
Sasha, je dois en convenir est un sacré beau mec dans les 25 ans. Il a une aisance qui est impressionnante même devant le directeur avec qui il traite en égal. Son charisme est tel que j’accepte dès ce même soir d’aller diner chez lui.
Sa caisse est comme lui hors du commun. 1ere pour moi de voyager en Tesla. Mais ce n’était rien rapport à la maison qu’il habite. Le Blockhaus, c’est son nom, est impensable. Ancien bâtiment industriel, Sasha l’a réhabilité en habitation pour lui, ses maris (4 si j’ai bien compris) et de nombreux amis/employés puisqu’il y a mis le siège de sa société d’escorts.
Mais avant de savoir ce dernier point, nous sommes montés directement au 4ème. Hallucinant, y’a pas d’autre mot ! Les tableaux et vidéo gay et plutôt chauds affichent la couleur. Si j’ai bien compris les deux cariatides qui soutiennent la piscine qui surplombe la cuisine sont copiées sur un de ses amis !! Rien que la piscine déjà… le plus surprenant si c’était encore possible ça été la vue de son employé de maison quand il est venu nous servir. Un beau et très musclé beur vêtu en tout et pour tout d’un simple short en cuir tellement patiné qu’il moule son 3 pièces aussi bien qu’un slip en spandex.
Puis ça été la visite complète des lieux. En fait les deux bâtiments qui accolent au Blockhaus font aussi partie de la « maison ». Là encore j’hallucine. Un véritable club de sport occupe le terrain. A chaque poste de travail musculaire se trouve un beau mec. Et quand je dis beau, je ne galvaude pas le terme. Entre 18 et 25ans environ, quasiment à poils, ils poussent de la fonte ou nagent sous les conseils de pro. Je ne sais plus où poser mes yeux. Les mecs viennent dire bonjour et claquer des bises avant de retourner au taf. Scotché je me suis laissé embrasser par tous ceux qui sont venu poser un bécot sur la joue de Valentin (qui m’a l’air de connaitre tout le monde !!).
Au premier de l’annexe, les corps à corps m’ont super intéressés. Je commençais à trouver le judo trop « académique ». Là d’après ce que je vois c’est un savant mélange de tout ce qui se fait de sport de combat. Ça m’intéresse et comme de plus je n’aurai plus les moyens de continuer avec le club où je pratique…
Jona, le patron de la mise en forme, me prend en main et dédramatise le fait que je bande comme un ouf. Mesures musculaires et de mes capacités à soulever des poids, démonstration de mon niveau de judo, et Sasha nous emmène à ma future chambre.
J’ai rencontré son mec (enfin un de) PH grâce à qui j’ai eu mon avocat. Comme je le remercie de m’avoir sauvé, il rit de mon exagération. Lui aussi se pose en beau-mec mais rien de comparable avec Ludovic, ce mec pourrait être mannequin ! Quand il nous rejoint je ne peux m’empêcher de le fixer plusieurs minutes durant.
Le diner est tout sauf classique. Sasha m’explique ce qui va se passer et comment ma vie va en être modifiée à partir de maintenant. En plus de me fournir un avocat, il se propose (enfin il m’informe) qu’il va m’héberger et me coacher. A côté de moi Valentin est tout sourire d’entendre ça. Sous la table il colle sa cuisse contre la mienne et fait pression genre « fait confiance ».
Quand il me reconduit au pensionnat, je suis rassuré quand à mon avenir immédiat. Je vais sortir bientôt de cette cage où quelques « fauves » s’en prendraient bien à mon petit cul !
Mon cas passe en priorité et je suis jugé rapidement. Mon père écope de devoir financer mes études et d’ajouter de quoi subsister soit pour mes années de lycée à me fournir le coût du pensionnat. C’est pas lourd mais c’est mieux que rien.
Je prends mes quartiers au Blockhaus. La première semaine Valentin reste avec moi H24. Trop fun comme situation. Il m’explique les subtilités du bâtiment et du mode de vie qu’il abrite. C’est ouf ! je n’aurais jamais imaginé ça. Une vie de famille mais homo, c’est particulier ! Ajoutez à cela un club de sport exclusivement masculin à une exception près, où ne se « fatiguent » que des mecs canons à canons+, des coachs sportifs plutôt efficaces et un suivi à la culotte de mes résultats scolaires, heureusement que Valentin m’aide à encaisser !!
Les surprises s’enchainent, le premier WE, je découvre l’Ecurie avec un grand E et là encore plus que les mecs que j’y croise (enfin sexe eux aussi), c’est l’ouverture d’esprit des parents de Ludovic qui me scie. J’aurais aimé avoir des parents comme eux. Pas de jugement, acceptant les particularités de leurs fils et leurs petits copains. Bienveillant est le terme qui leur convient le mieux.
Même si le temps où j’ai été gay et chez mes parents a été court, je devais m’y surveiller continuellement. Là, c’est reposant de ne pas avoir à se cacher. Bon, pas question de passer son temps à se rouler des pelles devant eux quand même !
Le cheval c’est bien mais le maitre des lieux c’est encore mieux. C’est aussi ma première queue TBM. Entre excitation, préparation et conseil de Val, je me fais défoncer comme une reine. Avant que je jouisse, Val se plante sur ma queue et je me retrouve pris dans un sandwich hyper excitant.
Au blockhaus, je m’initie à leur « self défense ». Pour tout un chacun ça ressemble plus à du free figthing ou du MMA . Ma pratique du judo m’aide au départ mais je dois vite en oublier les retenues pour avancer dans le mélange des genres. D’après ce que je comprends, le Krav Maga y apporte une grande part, mâtiné de capoeira avec des emprunts au karaté et autres sports de combat Japonais. Quand je vois les autres se battre, je comprends ce que Sasha nous a dit concernant le fait de n’attendre après personne pour se défendre. Je comprends aussi comment Val à qui je prends dans les 10cm a pu me mettre à terre !!
Après les premières semaines où je me sentais un peu décalé et à force de me faire reprendre à chaque fois que je m’excusais, j’ai enfin accepté ce qu’on m’offrait. Les bras de Val m’ont aidés tout comme ma première baise avec des locaux. Si j’avais eu peur de perdre Val, je me suis aperçu que ça me rapprochait de lui.
Quand j’ai proposé une pension à Sasha, il m’a dit de garder mes sous pour moi, que ce n’était pas ma présence qui allait peser sur le budget du Blockhaus.
Samir et Ammed me gâtent et s’assurent que je ne manque de rien. Alors que les vacances commencent, Sasha me tire avec Val jusqu’à la boutique de Daniel pour nous acheter deux scooters. Daniel nous conseille et quand nous avons choisi, il nous propose de les faire repeindre en noir mat, la couleur Blockhaus. Sasha continu avec les équipements : casques, Daniel nous impose les marques en fonction de la morphologie de nos têtes, gants, bottes. Je pensais que c’était fini mais Sasha s’est mis à écumer les fringues !! Blousons ça je comprends mais nous ne sommes ressortis qu’avec 3 pantalons chacun. 2 cuirs et un jean’s. Les emplettes se sont terminées par une sacoche pour portable renforcée carbone. Les quelques heures obligatoires de pratiques dispensées par Eric nous apportent la sécurité dans l’usage des scooters mais aussi une excitation due au moniteur lui-même.
Je ne parle pas de l’été qui lui aussi a été spécial. Si j’ai eu un peu de mal à enfiler les shorts ultra court façon Quentin et Gaétan, j’ai découvert les travaux de la campagne et le plaisir de longues chevauchées ponctuées de baises. Le top ça été le trip aux USA. Entre la rando de 15 jours et la pratique de nos cow-boys, un vrai moment de folie. Le truc impensable quelques mois plus tôt !!
J’attends maintenant la fin d’année qui nous est annoncée exceptionnelle.
La pendaison de crémaillère chez Côme et MarA !!
Encore un truc de fou, ma première grosse partouze !
En tant que permanant au blockhaus, je suis invité avec Valentin à la fête que donnent Côme et MarA pour leur installation chez eux.
Déjà la bâtisse est impressionnante. Rien à voir avec là où je vis mais ces hauts murs de pierres percés de grandes fenêtres gothiques, la tour rapportée qui contient l’escalier et la taille des pièces rend l’ensemble singulier. Alors que les 2 premiers niveaux restent dans une déco neutre (sexuellement parlant), le second ne peut cacher son objectif de baise !
Quand la « partie » a commencée, Valentin m’a dit que nous devions en profiter un maximum. La plupart des Escorts sont présents tout comme la « famille ».
Alors que j’en étais encore à me demander avec qui je baiserai en premier, Justin et Sosthène m’ont capté. Comme les autres Escorts, ils sont tous les deux bien foutu et musclé juste comme il faut (plus que la normale mais pas disgracieux) en plus Sosthène est métis avec de belles lèvres épaisses et sensuelles, tout comme son nez un petit peu épaté. Et pour finir le tableau, sa queue fait honneur à ses origines. Quand je vois celle de Justin, je me dis que chez les blancs aussi on peut trouver de beaux engins !!
J’ai beau faire 1m80 et plus de 65Kg, je suis une plume entre leurs mains. En moins de 2 je suis à poil et eux aussi. D’instinct devant d’aussi belles bites, je me penche pour les gober alternativement. Mon essai de les prendre en même temps dans ma bouche s’est soldé par un fiasco !
Il se roule une pelle alors que je sus à genoux entre eux. Je suis content quand après quelques minutes j’arrive à prendre chacune tout au fond de ma gorge et que j’écrase mon visage sur leurs abdos, le menton contre leurs couilles.
Je note qu’en blanc, Justin est identiquement équipé à Sosthène. Même longueur, même diamètre, circoncises toutes les deux, elles laissent deux glands de même forme à la vue. Si je veux être puriste, il y a une petite différence au bénéfice de Sosthène sur la saillie que fait le canal de sortie sur la longueur de la hampe.
Considérations futiles puisque le principal et la façon dont ils s’en servent.
Ils m’attrapent bientôt par les pieds et me soulèvent à la verticale. Ils me stabilisent quand ma bouche est pile à la hauteur de leurs bites j’ai le temp de m’enfiler celle de Justin qu’ils m’écartent les jambes et que je sens une bouche se mettre à me pomper alors que l’autre me prépare la rondelle. Dans ma position c’est donc Justin qui me suce et c’est la langue de Sosthène qui s’insinue dans mon petit trou et le rempli de salive. Malgré le sang qui me monte à la tête (moins que d’autres dans cette situation vu que je bande comme un ouf), je pompe avec toute mon énergie et masse le gland qui m’étouffe par de grosses déglutitions (lol j’ai fait des progrès !!).
Retournement de situation mais toujours en sustentation, Sosthène est le premier à bénéficier de son travail. Ils me descendent lentement jusqu’à ce que ma rondelle surplombe la belle queue caramel et d’un coup me lâchent. J’ai crié plus de surprise que de douleur ! Quelques mecs autour nous ont matés avant de revenir à leurs propres plans.
En attendant je me suis enfilé direct 23cm de bite bien épaisse dans le cul. Accroché au cou de Justin, mes lèvres scellées aux siennes, j’ai commencé à onduler du bassin. Ils ont compris que j’étais à l’aise et ne m’ont plus laissé plus de 30 secondes le cul vide. Après quelques minutes du premier régime, levée complète, rotation et descente sur la queue de Justin. Y-a pas à dire, ils se ressemblent dans leurs équipements sexuels !
J’ai vite perdu le nombre et les positions dans lesquelles ils m’ont baisées, mais j’ai kiffé chaque instant. Quand ils m’ont fait jouir, ça été très intense à la limite de la perte de connaissance. Du coup j’ai comaté dans un fauteuil en matant les collègues jusqu’à ce que Val me retrouve et me dise qu’on allait se faire Sasha.
C’est sûr, je n’ai aucun regrets de ma vie d’avant !
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!