J’ai mis du temps à me dire que cette histoire devait avoir une fin tellement elle était suspendue entre fantasme et réalité. Pour vous garder en haleine, je vais la raconter comme je la voulais sans vous dire quand commence le
Fantasme. Mais elle a eu lieu et elle m’a guidé dans mes goûts et mes envies.
Tout commença il y a dix ans lors de mon divorce j’avais 40 ans et j’étais résolu à vivre ma vie d’homme qui aime les queues après 15 ans de mariage. J’étais encore très débutant dans l’amour entre hommes et n’avais vécu que quelques contacts essentiellement buccaux avec ce qui était l’objet d’un désir fort, mais encore mal connu. J’avais peu de temps avant forcer le destin dans un plan à trois insolites qui avait baptisé mon intimité et laisser entrevoir un rapport très docile à la virilité dure et solide.
Dans cet émoi naissant, je suis invité dans un bar « girly » du 20e. Beaucoup de femmes qui aiment les femmes et quelques homos un peu coincés et qui me snobent trouvant ma crise de la quarantaine un peu pathétique. Un mec m’attire physiquement, mais il est vraiment trop con... 2h du mat arrive et le groupe de copains et surtout copine décide de
Poursuivre en after dans un appartement parisien. Je suis bien sûr très alcoolisé et sans envie de rejoindre un chez moi ou je fais chambre à part depuis quelques semaines attendant le divorce.
La soirée commence et trois blacks débarquent avec du « matos » je découvre un autre monde et l’ami qui m’avait proposé de passer une soirée dans un moindre nouveau m indiqué comment appréhender ce nouveau produit nasal. Je débute avec anxiété dans un monde neigeux et troublant. La tête me tourne un peu et je reste au milieu des trois invités blacks qui semblent être là sans être là. Ils sont âgés d’une trentaine d’années. Il y a un plus dominant que les autres assez grands, 1m90 plutôt bien fait, mais pas armoire à Glace, l’air cool et connaissant plutôt les gens. Les deux autres sont pas plus petits moins à l aisé et un peu rustre. Ils ne sont pas très à l’aise et ont l’air sous l’influence du leader. Je ne souviens pas bien de leur tête ni de leur allure par contre je me souviens bien d’avoir été magnétisé par la puissance virile du leader. Il était beau le visage fin, il me regardait depuis ma première ligne comme s’il attendait de voir son Effet. Dans la soirée ça commençait à s’embrasser essentiellement entre femmes. Mon ami continuait à profiter du produit d’un air habituer et m incitait à me lâcher. C’est alors que le grand black s’approcha de moi de me demander
« tu es PD toi? tu sais ça me dérange pas ».
À suivre
Matthieuparis