Je suis assez souvent en déplacement professionnel donc je réserve fréquemment dans les mêmes hôtels une étape.
Ce soir-là une étape bien particulière m’attendait
Je prends ma chambre, un douche et fait mes préparatifs pour le lendemain. Vers 20 heures, je descends au restaurant pour le diner, beaucoup de monde.
Je m’installe à une table.
Un jeune serveur prend la commande et se retire. De chaque côté, les tables sont occupées par le même genre de professionnel, grand nombre sont sur leur téléphone portable bien sûr en main. Mon voisin de droite lit l’Équipe, l’autre de gauche des documents professionnels. L’attente est un peu longue au bout d’un certain temps, le serveur me ramène enfin l’entrée. Dès son départ, je constate qu’il me manque de pain, je l’aperçois et lui fait signe, mais il est préoccupé par la rapidité du service, c’est alors que mon voisin de droite me dit :
« Prenez un morceau de pain dans ma corbeille ».
« Il est un peu dépassé ce jeunot, un petit pet au cul ne lui ferait pas de mal »
Dans la foulée je lui réponds
« Ça n’a jamais fait de mal à personne ».
Il se mit à rire, j’ai compris que j’avais répondu stupidement. Mais bon.
Au cours du repas, nous avons échangé sur nos boulots, etc.… Il est techno commercial dans une boite agroalimentaire et vient de Bretagne, Il se nomme Ewen Il a 38 ans. Le mec bien costaud, large d’épaule et semble à voir des pectoraux bien musclés sous sa tenue NIKE. Le temps passe plus vite vers la fin du repas il me dit : « je t’offre une bière au bar ? » « Pourquoi pas »
Nous entrons dans la salle du bar où tout est plus calme. On prend une table et commandons nos bières et continuons à discuter. Je remets ma tournée puis une autre, vers 22 h 30, le bar se vide de plus en plus. Je commence à avoir chaud, car on a ajouté des alcools dans nos bières. On commence à parler bien sur cul. Lui vient de se séparer et s’amuse comme il peut. Moi, je lui dis que je suis libre sans lui donner la moindre piste sur mes préférences.
Le bar se vide presque totalement, on parle de plus en plus de nos aventures et d’un seul coup je sens son pied qui remonte sur ma jambe droite. Je le fixe droit dans les yeux, il fait un rictus et monte son pied jusqu’à mon sexe et le frotte vigoureusement. Je bandais déjà, mais là j’avais la trique.
« Viens on monte dans ma chambre, on a de quoi téter là-haut »
« OK, mais attends un peu j’ai une telle trique que je n’ose pas sortir de la table »
Il se lève et me dit – « regarde ».
Son jogging laisse apparaitre une de ces bosses et une tige bien droite que cela laissait deviner ceux que j’allais trouver là-dessous.
Je me lève et nous prenons la direction de l’ascenseur. Un mec attend aussi. Une fois ouvert à travers de la glace de l’ascenseur il voit nos prédominances du bas ventre et reste fixé dessus un instant. Il ose à peine nous demander l’étage, Ewen est au 6e, lui au 4e comme moi. En sortant de l’ascenseur, il nous fixe et nous dit « amusez-vous bien ». Avant que ne se ferme les portes pour monter, Ewen descend son jogging laissant notre pauvre mec pantois moi aussi d’ailleurs. Il ne tient plus même pour monter deux étages, il me passe la main sur mes fesses, sur ma bite partout.
Il ouvre sa porte avec sa carte puis à peine dedans, il jette ses vêtements, se met à poils en arborant avec fierté sa bite épaisse comme pas deux. Un vrai poilu basané. II m’ordonne de me déshabiller et me donne même un coup de main.
Je suis chaud comme tout.
« Allez maintenant tête, ». Ill ne fallait pas me le dire deux fois. Je prenais en main ce beau traquenard et déguster avec vigueur et plaisirs lui me traitant de pute. Hélas, il ne mit à peine 5 minutes dans un gémissement il déchargea dans ma bouche, j’étais un peu frustré.
« Sale pute ne rêve pas la nuit n’est pas finie, tu ne crois pas que l’on va en rester là ».
Nous nous installons sur le lit, il vient sur moi, me lèche la poitrine tout en me branlant et descend pour commencer à me faire une pipe inoubliable, j’étais très étonné !!!
Il se relève, va à la salle d’eau et revient après avoir craché dans le lavabo. Il revient me chevaucher et là encore plus surpris, il empoigne ma bite et se l’ajuste dans sa raie. Il rentre bien dedans et se met à faire des vas et vient que j’accompagne. Il est lourd et musclé 105 kg – 192 cm, je le traite de « taureau enculé », çà lui plait bien Je suis prêt à décharger il me dit ; « vas y met la purée dans mon cul »
Je jouis au moins avec 5 jets tellement je m’étais retenu. Le calme de nos ébats revint. J’étais un peu épuisé par notre baise et l’alcool. Il sortit de moi en laissant échapper quelques filets de jus mélangés avec du gel, car il était allé se mettre du gel quand il est allé à la salle de bain.
On se félicite de notre baise et je lui dis
« J’espère que nous nous reverrons »
Il me dit : « c’est clair. Tu restes là cette nuit, car tu vois je recommence à bander de nouveau et je veux me faire ton cul, je vais ouvrir une autre bière. » Bien qu’épuisé, je bois un peu de bière et comme çà je me mets à masser son splendide torse. Il bande dur comme tout, je le suce de nouveau en n’oubliant pas de gober ses énormes couilles. Lui prend son pied, il joue au pacha puis petit à petit, il investit mes fesses qu’il masse fortement, virilement. Il commence à envahir mon cul avec un puis deux doigts puis il va chercher le gel et m’en fou une bonne quantité.
« Je vais te limer un bon moment mec dans tous les sens pendant 1 heure »
J’avais repris des forces et je lui réponds « je voudrais bien voir çà »
« Viens t’empaler sur moi » moi « oui j’ai envie de ta bite bien épaisse ».
Bien que bien ouvert et bien doigté, le premier passage n’était pas facile, mais l’envie a pris le dessus et je suis arrivé à me prendre cette bite épaisse et longue au moins 17. J’ai commencé à faire des vas et vient, le plaisirs montait de plus en plus. J’avais débandé, mais en peu de temps, je reprenais la forme, Ewen tout en me branlant commencer à prendre le rythme de mes vas et vient en même temps. Je commençai mes gémissements. Je partais au 7e ciel. Il rentrait et sortait sans douleur il jouer de la rosette puis me saillissait. Un vrai expert. Il aime çà, de plus il a un gland fait pour.
« Salope, tu es une vraie pute, je n’y aurai pas cru avant le repas que j’aurai une pute à dispo ce soir ».
D’un geste fort et dominant, il me souleva et me mit en levrette et il me dit « maintenant c’est moi qui prends les commandes » Il me posséda avec force et plaisir. Je n’avais jamais vécu çà. Ces énormes couilles frappaient mes fesses, il sortait totalement pour mieux me saisir et je me suis vu en train d’accélérer le rythme en disant « vas-y défonce moi ».
« T’inquiète tu vas avoir le cul en compote ».
Je ne sais pas le temps qu’il a mis, car au bout d’un moment, il me soulève debout, il me mit une nouvelle dose. Je l’aide à me mettre le feu au cul en donnant des coups de reins. Il transpire, il sent le mec, j’adore ! D’un geste de nouveau franc, il me met sur le lit sur le dos. J’écarte bien les fesses, il met deux doigts et rajoute du gel froid et il me saillit une nouvelle fois sans autre. Il prend son pied « Salope je vais te doser et te remplir » il continue à me ramoner sans cesse, j’en demande de plus en plus je n’ai plus le contrôle de moi puis il me dit « c’est le moment où tu vas prendre cher ». Il se mit encore plus à s’agiter, tous ces muscles étaient saillant particulièrement ceux de ces fesses. J’étais secoué de partout, je lui appartenais il se défoulait sur moi (les voisins de chambre en ont même tapé pour le bruit) . Être soi tout en appartenant a son partenaire, Il déchargea de nouveau au moins avec 6-7 jets. Je sentais sa bite se contracter, se détracter dans mon cul, une joie d’enfer. Il resta un moment dans moi, j’adore ce moment où l’on sent que la bite se met au repos doucement. Je n’avais plus qu’à me branler. Ewen m’aida avec sa main et ses doigts en me titillant les couilles. Je jouis sur mon torse, lui se régalait de lécher ma semence. Il regarda son téléphone et me dit « j’e tu as limé pendant 1 heure et dix minutes et tu n’as pas bronché. Bravo. »
Les fauves avaient besoin de repos. Nous nous sommes endormis enlacés tels deux beaux nounours après nous être douchés. Le matin réveil dur à 6 h 30. Je m’aventure à le caresser, le toucher lui faire une pipe, il me regarde et nous fîmes un 69 rapide. Lorsque je suis descendu du lit, j’ai vu que j’ai effectivement le cul en compote, mais c’était pour la bonne cause. J’ai rejoint ma chambre pour reprendre mes affaires. On s’est retrouvé au petit déjeuner, nous avons eu droit à des regards sévères. On a dû faire du bruit intense. Le mec de l’ascenseur nous a salués gentiment et nous a dit « ne m’oubliez pas la prochaine fois ».
Nous avons échangé nos téléphones et je dois dire même si parfois l’un et l’autre on rallonge nos parcours d’une heure, nous ne manquons pas de nous retrouver.
Nous avons passé 5 jours de vacances ensemble dans le nord de la Bretagne, lui étant du sud . Un grand moment, On a vraiment passé la moitié de nos vacances en partie de cul, mais ça c’est une autre histoire.
Ce récit est fidèle à ce que nous avons vraiment vécu pleinement. Si tout va bien entre nous deux, je pense que c’est parce que nous sommes éloignés, que nous ne vivons pas ensemble, que nos rencontres ne sont que vouées qu’aux plaisirs sexuels. Faut dire qu’à chaque fois, c’est un feu d’artifice et nous en avons un grand besoin l’un et l’autre.
Petit clin d’œil à Bastien L7 qui m’a donné envie de publier.
Jgoelan
jgoelan@yahoo.fr
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