Premier épisode
Le lendemain matin, mal dormi, une trique d’enfer m’a gardé éveillé toute la fin de nuit. Lui aussi. Ma femme a ses trucs, donc si ça doit sortir ça sortira, avec mon téléphone à la main, lui dis je. Il me demande si j’ai rejoué avec mon cul, je lui dis non, mais que j’ai visionné les vidéos et en ai retrouvé plus que prévu.
Il me demande quand et comment j’ai commencé à me doigter et m’enfoncer des trucs dans le cul. Je lui réponds : à partir de 24 ans, quand j’étais célibataire, dans mon studio, j’ai commencé par un stylo bille, après j’ai essayé avec d’autres trucs, par exemple le rouleau de papier alu quand c’est fini, avec un peu de mousse d’emballage pour ne pas avoir mal et un préservatif pour tenir. Ça devait faire à peu près 3 cm de diamètre. « Et ça allait profond ? » Je lui réponds, ça rentrait peut-être de 10 cm. À l’époque (1995), internet ce n’était pas ça, et aller dans un sex shop, hors de question, trop timide.
« Et un vrai sexe tu as essayé ? ». Il y va fort le bougre ! Je lui réponds par la négative. Il rajoute « ça doit être plus agréable que le plastique, non ? » Je lui dis peut-être, mais je suis hétéro et fidèle. « Moi j’arrive à un âge où je me pose toutes ces questions justement ». Je lui dis « ça reste des fantasmes, d’ailleurs le fantasme de me faire enculer par ma femme ou de l’enculer moi-même s’est un peu dissipé, peut être suis je assagi ».
Je commence à lui envoyer les snaps de mes vidéos, on m’y voit pénétrer ma femme, jusqu’au fond, sur la dernière photo, le sperme sortir de sa chatte. « sacré remplissage de jus » me rétorque-t-il
Je continue ma série, en solo cette fois, avec mon premier gode de 4 cm, puis avec le gode de 5,8 cm, je n’y suis pas nu, mais porte un jockstrap. Il adore. Ça ne m’empêche pas de bien enfoncer la vingtaine de centimètres du plug jusqu’à la base.
Enfin, avec le plug anal de 6 cm que je n’arrive pas à clipser totalement dans le cul.
Je n’ai pas trop de temps pour discuter plus, mais ça fait monter l’excitation, la sienne aussi. J’ai trop envie de m’installer à poil dans mon hamac et faire ce qu’il faut pour lui montrer mon sperme sur ses abdos, photo que je lui dois après la sienne dans la même situation. Mais confinement et télétravail oblige, je n’ai pas la possibilité.
Les heures passent. En fin d’après midi, travail terminé, un peu de temps libre, je lui demande comment il veut me voir jouir. Il me dit « dans une tasse, pour ne pas en perdre une goutte ». Je lui montre la tasse transparente où transitera mon sperme avant de finir au fond de ma gorge. Je lui demande s’il n’a rien à proposer pour faire monter la sauce. Il m’envoie trois photos, dont l’une après avoir éjaculé sur sa queue à la verticale.
Bon, je me mets en position, celle qu’il me conseille, les fesses en l’air, tête sur le matelas, bite bien raide à la main, gland bien fourré dans la tasse et me vidanger à fond dedans. C’est la position pour avoir le plus de jus. Il a l’air bien renseigné ! Je m’exécute, je remplis bien la tasse, et bois son contenu d’une traite. Pour une fois j’ai bien aimé (peut être changement de régime alimentaire, arrêt de l’alcool…). Malheureusement, étant novice en snapchat, l’enregistrement vidéo s’arrête avant qu’il m’ait vu boire. Mais il me félicite de la quantité.
Pas vraiment de discussion les jours suivants, faute de disponibilité de chacun. L’aventure va-t-elle continuer ?
X_ray
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