Première éjaculation assez spéciale
Salut, je m’appelle Raphaël. Je viens de fêter mes 18 ans et suis en dernière année de lycée.
Je suis plutôt beau gosse : Je mesure 1,85 / 77 kg / brun aux yeux verts avec une queue de 17 cm (j’aurais adoré en avoir le même spécimen que celle de mon grand frère (21 ans), mais bon…).
Ah autre détail non négligeable, je suis plutôt fin mais bien dessiné avec un super beau cul bien bombé qui fait fureur autour de moi.
J’ai commencé tard à penser réellement au sexe. J’étais toujours à fond dans le sport et mes études : j’avais conscience que la qualité de mon dossier scolaire allait être déterminant pour pouvoir postuler à un lycée sport étude.
Mais un jour tout a basculé, ce jour où mes hormones ont décidé de se réveiller, je m’en rappelle comme si c’était hier. Ma grande sœur de 10 ans ma cadette était déjà fiancée à un beau marocain de son âge (avec lequel elle est marié aujourd’hui). Les parents de Kamel avaient invité ma famille à manger le couscous dans leur restaurant. J’étais comme d’habitude, le plus jeune et donc mis un peu à l’écart par mon frère, Romain, et le frère de Kamel, qui avaient le même âge.
Nous étions à table depuis déjà une bonne heure quand je me retirai pour aller aux toilettes situées au sous-sol. En passant devant les cuisines, je pus voir l’équipe de cuisiniers s’occuper du repas. Celui qui devait avoir le rôle de second de cuisine était un grand mec d’une petite trentaine d’année, baraqué d’au moins 1,90 cm. A l’époque j’étais petit de taille alors j’avais l’impression d’être face à un géant. Quand il me vit, il me sourit et me demanda si j’avais apprécié l’entrée. Je ne sus rien répondre tant j’étais impressionné par sa taille puis alors que je lui demandai où se trouvaient les toilettes, il me proposa de m’y accompagner afin de lui aussi se soulager. L’espace attribué aux hommes était assez spacieux avec deux urinoirs et deux cabines très propres.
Alors que je venais de me poser face à une des deux pissotières, le cuisinier choisit la grande cabine située derrière moi. A peine entré dans le WC, il m’interpella pour l’aider à dégrafer son pantalon car il avait oublié de retirer ses gants. Je me dirigeai alors vers son espace et commençai à baisser sa braguette. Je ne compris pas tout de suite qu’il attendait aussi que je sorte sa queue de son slip. Me sentant gêné, il me confia qu’entre mecs, on pouvait se rendre service, ce qui brisa le malaise et m’encouragea à plonger la main dans son pantalon. Sa queue était aussi impressionnante que sa taille. Alors qu’elle ne bandait pas, elle devait facilement mesurer dans les 13 cm (c’est-à-dire la taille de la mienne au garde à vous à l’époque). Par peur de pisser partout, il me demanda de la lui tenir. Il comprit que mon hésitation était liée à ma peur d’être surpris par l’arrivée inopinée d’un convive. Sur ses conseils je fermai la porte à clé et revins vers lui pour continuer ma mission.
Puis, je la pris du bout des doigts ; c’était le premier sexe inconnu que j’avais en main et que je pouvais observer de si près. En revanche je n’osais pas regarder le propriétaire tant la situation était gênante, quand je l’entendis soupirer. Je levai alors les yeux vers lui et il me sourit. Il commença à pisser. J’entrepris hâtivement de la prendre à pleine main de peur d’être éclabousser d’urine. J’étais surpris de la puissance du jet.
Une fois qu’il eut terminé, il me demanda de l’égoutter et de prendre un morceau de papier pour essuyer son gland. Alors que je commençai à secouer sa bite, je me rendis compte que la dimension avait un peu évoluée.
Pour ma part, mon envie d’uriner avait pris de l’ampleur et je sentais bien ma queue durcir. Avant de lui remballer son sexe, je ne pus me retenir et m’empressai de me déshabiller. Mon pantalon et mon caleçon aux pieds, je n’occupais plus de la présence du rebeu qui m’avait laissé la place. Alors que je terminais mon pipi, je sentis une caresse sur mon petit cul (déjà tout rond à l’époque). Je compris le manège quand je vis à terre les gants de cuisine. Je ne savais pas quoi dire, ni quoi faire. Je restais immobile et n’osais pas me retourner.
Le rebeu continuait à me caresser les fesses, puis il se colla à moi et me dit à l’oreille que j’avais les plus belles fesses qu’il avait vues et qu’il n’avait pas pu s’empêcher de les toucher. Je ne pus sortir aucun mot autant pour l’encourager que pour protester mais alors qu’il me tenait par les épaules, il s’aperçut que je bandais. Il me dit d’une voix douve et suave de ne pas être gêné et de me retourner. Quel spectacle ! Sa bite dépassait cette fois les 24 cm avec un diamètre impressionnant. Il me demanda si j’avais envie de la prendre en main ; ma réponse ne se fit pas attendre et je commençais déjà à jouer avec et à peser ses grosses boules de billard. Il me proposa de m’assoir sur la cuvette pour être à bonne hauteur et plus à mon aise. Naïf, sa proposition me mis à l’aise et assis sur le trône je continuais à lui toucher le sexe qui sembla dur comme du roc. Il prit ma main et l’encourageait à des va et viens plus rapides. Quand il me demanda de serrer davantage, une main ne suffit pas.
C’est donc en voulant entreprendre le rituel à deux mains que mon visage se rapprocha peu à peu de son gland jusqu’à ce qu’il commence à poser son bout sur mes lèvres. Au moment d’ouvrir la bouche pour protester, il prit cela pour une invitation et commença à entrer progressivement. Je l’entendis soupirer alors que j’étais au bord de l’étouffement même si je n’avais même pas la moitié de sa queue en bouche. Il lâcha son membre pour prendre ma tête et tantôt il me caressait les cheveux, tantôt il accompagnait ma tête vers sa queue. Je commençais à me faire à l’idée et quand il me conseilla de téter comme un veau, j’entrepris un rythme qui semblait le satisfaire. Au bout de 15 minutes, il me dit d’ouvrir grand la bouche et il commença à lâcher 6 gros jets de sperme qu’il m’ordonna d’avaler.
Dès qu’il eut fini, il m’embrassa sur le front et me remercia de ce petit moment de détente. Mais à ma grande surprise, au moment de me lever, il vit que je bandais toujours. Il se mit alors à genoux face à moi et commença à me branler énergiquement puis très vite il me rendit l’appareil en le gobant à son tour ; la sensation était enivrante. Je crus m’évanouir au moment d’éjaculer. Je n’eus pas le temps de l’avertir et me déversai dans sa bouche. Malgré ma gêne, il ne s’arrêtait pas et avala jusqu’à la dernière goutte. Quand nous nous rhabillâmes, il me prit dans les bras et m’embrassa sur la bouche en me disant que nous reverrons bientôt. Je ne suis pas sûr qu’il avait conscience qu’avant ce fameux dimanche, je n’avais jamais éjaculé de ma vie.
Je regagnai ensuite ma place à table ; évidemment personne ne semblait avoir remarqué ma disparition à l’exception de mon beau-frère, que je vis remonter lui aussi des toilettes, suivi du second de cuisine. Ils parlaient ensemble et arrivés au niveau de la table me regardaient intensément comme deux lions reluquaient une antilope.
Speedo
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